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5 - Le test

(Baldwin en média)

Je me réveillée brutalement, je jurais intérieurement Anna de ce foutu sort d'endormissement.

J'étais assise sur un vieux siège en cuir, je découvrais la pièce avec stupéfaction. Au premier abord je dirais que c'est une bibliothèque vu le nombre incalculables de livres qui m'entoure.

« La belle au bois dormant est enfin debout, ricane Baldwin.

Baldwin me sourit chaleureusement.

- Belle n'est pas forcément le terme à employer, pique mesquinement la blonde aguicheuse.

Je ne lui accorde pas d'importance. Je cherche du regard Iris qui ne semble pas être les parages.

- Ne commences pas Danaé, siffle Tristan en apparaissant. Becca, ton amie est en train de passer le test, répond-t-il gentiment. »

J'hoche la tête et décide de parcourir l'infinité de ces livres.

Tristan vient rapidement me rejoindre.

« Ne fait pas attention à cette vipère, elle est toujours aussi virulente.

Je suis tellement absorbée par les grimoires et vieux livres que contient ces armoires que j'oublie de répondre au brun.

- Becca, t'es stressée pour l'épreuve ?

Cette question résonne dans ma tête. Pourquoi avoir peur ? Tant que je ne risque plus ma vie, je n'en n'ai rien à cirer.

- Je n'ai aucune raison d'être nerveuse, Tristan. Non ? »

Il m'observe, je finis par tourner ma tête vers lui. Chaque trait de son visage est extrêmement dessiner. Il me sourit et ses fossettes ressortent automatiquement.

« Becca Jaw, grogne une voix depuis l'autre bout de la pièce.

Je me dirige automatiquement vers sa voix. Une sorte de lutin grincheux m'attend, un carnet en main.

- Bah, dépêche-toi, râle-t-il en me pressant.

Je presse le pas en m'approchant de lui. Il referme la porte derrière moi, nous traversons les couloirs.

Je reste émerveiller devant le magnifique spectacle qui s'offre à moi, à travers les balcons chaque saison est représentée. D'un balcon à l'autre se transforme de merveilleuse boule de neige en incroyable fleurs de lilas.

La magie est vraiment une chose extraordinaire.

J'entends le gnome soupirer devant mes enfantillages.

- Avance plus vite, tu veux. »

Son agressivité me donne encore plus envie de ralentir le pas.

Arrivé au bout du couloir, le président du ministère m'attend, un sourire victorieux, une posture hautaine.

Je le toise du regard, pendant qu'il m'ouvre majestueusement la porte qui est censé marquer le début de mon test.

« Mademoiselle Jaw, veuillez enlever votre collier, s'il vous plait.

Je le détache sans protestation, le fourre dans mon sac et entre.

La pièce est dans l'obscurité quasi-totale, seule ma baguette est éclairée.

Je m'approche d'elle, j'attrape et sens un tourbillon d'émotion me transporter. J'aurais peut-être dû me renseigner sur cette foutu épreuve avant de me jeter dans la gueule du loup.

Brutalement un choc me percute, je regarde aux alentours. Je reconnais la forêt, je le sens mal.

« Je t'en supplie Becca aide moi, geint une voix. »

La voix ne m'ai pas inconnu, quand mes yeux se pose sur lui, une larme roule sur ma joue.

Il est là, ce pauvre garçon malheureusement engloutit par la terre. Il semble terriblement souffrir, il continue de me supplier.

Je me remémore les phrases d'Iris et des garçons, seule la baguette peut le sauver.

Je brandis ma baguette mais un blocage se fait lorsque j'essaye de parler. Je ne connais aucun sort.

Peu à peu, il s'enfonce de plus en plus, poussant des cris plus insoutenables et abominables.

« Somnum, chuchotais-je en visant le petit brun. »

Ses paupières se ferment, se laissant partir dans une morte douce et paisible.

Mes yeux s'embuent puis me brulent peu à peu.

Heureusement, je suis transférée ailleurs, loin de tout ça.

Plus précisément, chez moi, dans ma chambre londonienne.

Je me déplace dans la pièce, touchant les draps pour vérifier que je suis bien dans une réalité. Mes yeux se remplissent d'eau et je souris sincèrement.

« Maman, hurlais-je à travers la maison. Papa. »

J'avais besoin de les serrer dans mes bras mais en descendant à l'étage d'en dessous je fus frigorifier.

Une mare de sang tacher le parquet, laissant flotter les deux corps. L'agresseur était en train d'affliger le dernier coup à mon père.

Une rage incontrôlable et impulsive me fit précipiter vers la commode du salon. J'ouvrais le dernier tiroir, je savais pertinemment ce que j'allais trouver. Mon père avait caché une arme de gros calibre, ici.

Je l'attrape et avec sang-froid j'abas le meurtrier.

La balle touche parfaitement la cible imaginaire que je m'étais fixée. Lorsque la balle traverse la cage thoracique de l'homme, il s'effondre sur le sol.

Un long et douloureux silence m'empare. Les larmes perlent sur mon visage, laissant mon cœur se serrer.

Je m'effondre sur le parquet, mes larmes ruissèlent, ma frénésie meurtrière est en train de me faire perdre la tête.

Je n'entends que le silence morbide de la pièce alors que mes cris incessants résident dans la demeure.

Je tente de me relever, la pièce est dans un vacarme sans nom.

Le grand miroir de la salle à manger reflète mon visage, noircit par le meurtre, détruite par la mort et meurtri de ces actes.

Mes yeux me brûlent de nouveau, j'ai l'impression que mon corps tout entier s'embrase. La douleur commence à devenir insoutenable. Je manque de tomber à plusieurs reprises, je m'accroche au rebord de la commode.

« Venator. Ignosce mihi, pecus, fredonne doucement et douloureusement une voix derrière moi. »

Je me retourne vivement, découvrant mon père souffrant terriblement, une larme roule sur sa joue.

Je découvre entre ses doigts ensanglantés une petite arme, visant droit vers mon cœur.

« Papa, murmurais-je avant que la balle interpelle mon cœur. »

Singulièrement, je ne ressens aucune sensation mis-à-part l'impression que mon père venait de me trahir.

Je réside muette face à cette scène, le décor s'envole et je suis de nouveau face à ma baguette. La pièce est toujours dans la pénombre tandis que mes yeux laissent ruisseler un torrent d'émotion. Je suis toujours à genoux, fixant un point imaginaire dans ce noir infini.

Soudainement, un homme au visage sévère mais prospère se place derrière moi.

« Bienvenu chez les Phénix, Becca.

Je me redresse, les yeux encore rougis par ce combat d'émotion permanent.

Il allait se présenter que je le bouscule, empruntant la porte par laquelle il était arrivé.

Je n'ai pas le temps de faire quelques pas que je crois discerner ma petite blonde.

Iris échappe un soupir de soulagement en me voyant apparaître, elle me prend dans ses bras, je resserre l'étreinte.

Un toussotement nous sort de nos retrouvailles.

L'homme de tous à l'heure se tient solennellement devant nous, son petit rictus s'est effacé. Il semble un poil irriter de ma bousculade, si je ne m'abuse.

Ces cheveux noirs corbeaux sont assortis à son uniforme. Seuls les couleurs flamboyantes de son blason illuminent quelque peu sa tenue terne et maussade.

- Nous y allons, dépêchez-vous, grince-t-il péniblement. »

Il nous fait sortir de ce laboratoire, et nous rejoignons les couloirs de notre futur établissement, je remarque que tous le mobilier, les murs et les fondations semblent vieilles, comme si le temps c'était arrêté il y a de-là une décennie.

Quelques élèves passent, valises en main, en nous contemplant comme des œuvres d'arts ou de vulgaire célébrité locale.

L'homme probablement âgé de la trentaine nous désigne une porte au bout du couloir.

- Vos chambres se trouvent ici, d'autres élèves devraient se présenter au fur et à mesure de la journée, il marque une pause pour arquer un sourcil. Veuillez-vous montrez courtoise, grimace-t-il en me foudroyant du regard.

Je ne lui adresse aucun petit sourire, juste un regard froid et encore secouée de ce test, qui fut un réel ascenseur émotionnel.

- Vous trouverez votre emploie du temps, vos uniformes et quelques règles de base à savoir avant le déroulement de cette première soirée. »

Iris lui sourit chaleureusement, attrapant mon poignet et m'entrainant vers notre nouvelle chambre.

Lorsqu'elle ouvre la porte, nous découvrons avec stupéfaction dans notre nouvel habitat.

Le parquet craqué légèrement sous nos pas, les murs sont tapissés d'un papier peint rouge et au milieu de la cloison se trouvait le blason de notre maison. La décoration est ancienne comme les cinq lits présents.

Je pouvais enfin l'étudier de plus près, le fond était rouge avec un arbre dominateur et noir, devant sans étonnement ce trouve un valeureux phénix en plein vol.

Quelqu'un toque à notre porte, ce qui me sort de mes rêveries. Encore une sorte de gobelin, habillé comme un majordome londonien. Il nous apporte nos valises, manquant de faire écraser par une des males d'Iris.

Il dépose chaque valise au pied d'un lit. Je m'avance vers la mienne, étonnamment j'ai bien peur que tous mes habits n'ont pas pu loger dedans.

Je découvre par ailleurs, plié sur mon lit, mon nouvel uniforme.

Iris vient poser sa tête sur mon épaule pendant que je déplie notre nouvel habit.

Le vêtement est plutôt simple en soi, elle ressemble grossièrement à ma robe noire que m'avait prêté Anna. La toilette est noir presque anthracite, avec brodé sur l'épaule le blason de notre maison.

Vaguement, je me souviens d'avoir déjà vu cette uniforme.

Alors que nous allions déballer le reste de la tenue, la porte s'ouvre sauvagement dévoilant une petite brune et une rouquine que je commence à connaitre.

Elles s'arrêtent nettes en nous voyant, Chloé souffle en m'apercevant, je suis ravis de voir que ma présence la réjouit. La petite brune sourit franchement, elle a l'air d'une bonne vivante.

Alors qu'elle allait se présenter, une brune fait une entrée fracassante.

Quand tous les regards se posent sur la dernière arrivée, elle nous fait un signe de main.

« Salut les laiderons, dit-elle heureuse de sa sottise. Je suis Mayn Corner, fille de William Corner, le plus grand inventeur de balais magique de notre siècle, nargue-t-elle en balançant son sac à dos sur son lit.

Les deux amies semblent exaspérées du comportement de Mayn. La petite brune qui semblait si vivante s'avère c'être complètement fermer.

- Je vous présente Chloé, ma meilleure amie, finit par dire la brune. Je suis Nyx Zerre.

- Becca me connait, enchaine la rousse. Elle connait aussi ton frère, Hypnos. »

J'hoche la tête pendant que mon amie se présente aux autres.

« Attendez, vous deux-là, pointe vulgairement du doigt Mayn. Vous êtes des Cinq ?

Iris acquiesce gentiment.

- Nom d'un griffon, vous déchirez. Le bruit court que lors des épreuves que vous endurez avant de pouvoir intégrer l'école, vous devrez vous livrez un combat sans merci qui a tué de pauvre innocent.

Je serre involontairement mon poing.

- Nous n'avons pas besoin de nous battre, les autres créatures surnaturelles le font à notre place, complète Iris d'un ton hostile, le visage inexpressif. Eh, Mayn, interpelle Iris. Ne colporte par des ragots de bas à étages alors que tu ne sais foutrement rien de ce que nous avons vécu. »

La tension est monté d'un grand, la brune regarde vicieusement mon amie. Alors qu'elle allait répliquer quelqu'un nous prévient que la cérémonie du premier soir va bientôt commencer, alors tout le monde se prépare silencieusement dans son coin.

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