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1.

Il y avait, comme bruit de fond, une petite musique qui ne faisait qu’alourdir un peu plus la tension qui se trouvait dans la grande salle. Installé dans un des boxes privés de la boîte dans laquelle il se trouvait, le brun était en train d'astiquer son arme à feu tout en observant les environs. Il y avait, dans chacun des autres boxes, des hommes riches assez connus dans différents domaines tel que celui de la politique ou celui de la musique. Tous étaient en compagnies de femmes qui n'étaient aucunement leur compagne d'origine, qu'ils avaient sûrement prit avec eut après leur avoir donné une certaine somme d'argent. Chacunes d'elles étaient habillées dans des choses que l'on ne pourrait pas vraiment qualifier de vêtements tellement les tissus semblaient être manquant, voir même inexistant. Un sourire amusé apparut sur les lèvres du jeune homme qui se re-concentra sur la tâche qu'il était en train d'exécuter, c'est-à-dire nettoyer son arme à feu. Soudain, une femme, habillée elle aussi en tenue légère, apparut dans le champ de vision du brun en compagnie d'un plateau sur lequel se trouvait un cocktail à la couleur orange.

- Monsieur Potter, quelqu'un m'a demandé de vous donnez ceci, déclara la jeune femme en lui présentant le verre à cocktail.

Le jeune homme stoppa alors son activité et plongea son regard émeraude dans les yeux couleur chocolats de la serveuse. Il se saisit du verre, afficha un air séducteur à la jeune femme qui était venue à sa rencontre, la faisant rougir de plus belle, avant qu'elle ne disparaisse pour aller servir d'autre clients. Lorsqu'elle disparut de son champ de vision, Harry put récolter dans sa bouche, ce que renfermait la boisson, après l'avoir bu. Il observa ce qui se trouvait autour de lui, seule la serveuse, qui était venue lui apporter son verre, était en train de l'observer, avant de se permettre d'ouvrir le petit bout de papier et de le lire. Puis il se saisit de son briquet, qui se trouvait dans sa poche, et brûla le bout de papier. Le jeune homme observa la feuille blanche comme fasciné par cette flamme qui venait dévorer le bout de papier. Lorsque ce dernier eut fini de prendre feu, Harry se leva de sa place, en laissant le cocktail et les cendres de l'ancienne feuille derrière lui, et sortit de la boîte sans plus tarder.

L'air frais vint lui caresser le visage et le brun sortit de sa poche une clope, en plus de son briquet fétiche, une paire d'ail était gravée dessus, puis il alluma sa cigarette, tira un coup dessus et ferma les yeux lorsque la fumée entrer dans son corps pour s'éparpiller un peu partout pour qu'il aille ensuite la recracher. Malgré le fait qu'il soit dans une rue assez sombre et qui ne semblait aucunement de confiance, de par l'odeur nauséabonde et putride de pisse et les tâches de sang séchés par endroit, qui se trouvait sur le sol, le corps d'Harry se détendit sans pour autant lâcher sa vigilance. Juste le temps pour lui de finir sa cigarette. Jetant son mégot à ses pieds et l'écrasant à l'aide de la semelle de sa chaussure Mariano Fabiani, Harry se mit en marche pour retourner auprès de sa voiture alors que des bruits ressemblants à des coups de feu et à des cris se faisaient entendre depuis la porte d'entrée de la boîte. Montant dans son véhicule à la couleur sombre, le brun se laissa assaillir par l'odeur de cuire, sa tête mise en arrière et les yeux fermés. Il eut un petit soupire avant que ses mains ne passent au niveau du volant, qu'il fasse entrer sa clé dans le contact pour faire actionner le moteur et qu'il ne se mette en route pour son chez lui. En même temps qu'il conduisait, Harry laissait son regard vagabonder sur le paysage qui s'offrait à lui malgré le fait qu'il fasse sombre. Alors qu'il la s'arrêtait à cause d'un feu, il tourna la tête vers sa droite et observa toutes ces femmes qui se trouvaient sur les trottoirs. Leurs regards étaient tous les mêmes. Celui de personnes ayant une grande soif de luxure et d'argent surtout. Toutes vêtus dans leurs plus beaux “habits” elles abordaient un sourire, qu'elles qualifiaient de séducteur, pour essayer d'avoir des clients avec qui passer la nuit. Harry les trouvaient sans intérêt, fausses, ce n'était pas le genre de personne qui lui plaisait que ce soit en amour ou encore dans le but d'y passer une nuit alors, malgré tout les clins d'oeil que ces femmes lui faisaient, le brun ne prit pas la décision d'abaisser sa fenêtre. Il la garda close et attendit que le feu se décide à passer au vert pour qu'il puisse rentrer chez lui. Le feu passa au vert et le brun se remit en route. Il lui restait encore quelques mètres à parcourir avant de quitter ce quartier sans le moindre écart. Pourtant, alors qu'il se trouvait à la fin du trottoir quelque chose le força à s’arrêter. Là, juste sur sa gauche, un homme se tenait, comme toutes les autres, sur la route. Mais contrairement aux autres, le jeune homme avait un regard pénétrant, hypnotisant. Il ne possédait pas la même signification que celui des autres femmes. Ses yeux montraient ouvertement tout le dégoût qu'il éprouvait pour ce qu'il était en train de faire mais il y avait une certaine noblesse dans ce regard dans le style: Je suis peut-être une pute mais ce n'est pas pour autant que je vais me laisser dominer par vous. Ce regard plaisait à Harry. Il sentit son estomac se retourner et avant même que son cerveau ne lui en fasse prendre conscience, il s'arrêta devant le garçon à la peau pâle et abaissa sa fenêtre avant de lui faire un signe de tête pour l'inviter à monter avec lui. Le jeune homme resta pendant un long moment sur son trottoir, n'arrivant pas réellement à croire ce qui était en train de se passer. Mais lorsque l'information atteignit son cerveau, le blond monta dans le véhicule sans une once d'hésitation, comme si cette voiture lui appartenait, qu'elle avait toujours été là. Harry eut un petit sourire en remarquant cela et, une fois que la portière fut fermée, démarra en trombe. Il leur restait encore environ dix minutes avant qu'ils n'arrivent chez le plus vieux et aucun des deux individus n'avaient encore prit la parole. On pourrait dire qu'il régnait autour d'eux un silence de plomb. Ce n'est que lorsqu'ils arrivèrent à destination que l'invitée de Harry prit la parole.

- Où est votre salle de bain ?

Potter ne chercha pas à comprendre se contentant d'indiquer, d'un mouvement du bras, la direction de sa salle d'eau. Le blond le remercia alors d'un hochement de tête et c'est avec élégance qu'il se dirigea vers la pièce désirée. Il en sortit seulement dix minutes plus tard, une serviette placé autour de sa poitrine pour masquer sa nudité au monde extérieur. Toujours en compagnie de cette même élégance, le jeune homme se balada dans la maison, un peu trop grande pour une personne vivant seule, à la recherche de l'homme qui réclamait de ses services. Il trouva ce dernier les jambes croisées, assis sur un grand fauteuil en cuire sombre, une cigarette à la main et le regard fixé vers sa cheminée. L'exemple cliché du parrain italien d'une grande famille de mafieux, pensa avec amusement le blond.

- Combien de temps voulez-vous que je reste ici ?

Harry porta sa clope à ses lèvres avant de lever la tête et de se tourner vers son invité.

- Autant de temps qu'il te plaira.

- Pensez-vous que je sois le genre de personne qui ressent le besoin de se faire entretenir ?

Le garçon à la peau blanche s'avança dans la pièce dans le but de se rapprocher du maître de maison et c'est sans aucune gêne qu'il vint s'installer à califourchon sur ses genoux, sa nudité ne le gênant aucunement. Potter eut la même impression que lorsqu'il avait invité la jeune prostituée dans sa voiture, cet impression que le geste du blond n'avait rien d'étrange puisqu'il a toujours été là, à ses côtés. Le noiraud fronça des sourcils. Ce sentiment était vraiment trop étrange. Harry sortit de ses pensées lorsqu'il sentit les bras du blond s'enrouler autour de son cou rapprochant leur visage. Il n'y avait plus que quelques centimètres entre eux, ils n'avaient plus qu'à le franchir pour s'embrasser mais aucun des deux ne bougea se contentant de se regarder dans le blanc des yeux.

- Penses-tu que je sois le genre de personne à vouloir entretenir et m’approprier une personne ?

Le jeune homme eut un sourire à la réponse de l'autre homme.

- Qu’attendez-vous de moi dans ce cas ?

Cette question n'était qu'un murmure installant entre les deux jeunes gens une ambiance plus intime, privé.

- Et toi, Que désires-tu de moi ?

Cette question avait été là réponse à celle du blond qui n'avait pas attendu plus longtemps pour aller poser doucement, presque au ralenti, ses lèvres sur celles d'Harry. Ce baiser semblait être là signature d'un pacte, un pacte dont seul ces deux jeunes gens en connaissaient les closes.

- Votre nom…

- Pourquoi ?

- Pour que je sache quel nom je devrai crier une fois que j’aurai votre queue en moi.

Harry eut un sourire amuser. Cet homme était vraiment spécial.

- Serait-ce une promesse ?

- En désirez-vous en une ?

A nouveau, les lèvres d'Harry se retrouvèrent écrasés sur celles du blond à la peau pâle et ce dernier poussa un gémissement qui mourut dans la bouche de l'homme qu'il embrassait. C'est le souffle coupé que leur échange s'arrêta. Leur front se touchant et leur souffle se mélangeant, la voix du maître de maison raisonna entre leurs murs de sa demeure faisant frissonner la prostituée qui se colla un peu plus au corps de son hôte, écrasant tors nu contre le plus vieux.

- Potter. Je m'appelle Harry Potter.

Toute tremblante, le blond se lécha les lèvres. Il avait l'impression que sa bouche était soudainement devenue sèche après avoir entendu le brun prononcé ces mots. Il ne put s'empêcher de ressentir le besoin de prononcer dans sa propre bouche le prénom de cet homme dont il ne connaissait que le nom.

- Harry Potter…

Il prit le temps de prononcer chaque syllabe pour en savourer un peu plus ses mots avant que son corps ne se mette à trembler. Il le désirait, du plus profond de son être c'est pourquoi il prononça ces mots avant de sauter sur son hôte.

- Appelez moi Draco dans ce cas...

Après ça, le dénommé Draco ne se retint plus et plaqua avec une grande passion ses lèvres contres celles de Potter. Les mains du jeune hommes se posèrent immédiatement sur les hanches nu du blond et il les lui caressa. Dans la position dans laquelle il se trouvait, Draco pouvait parfaitement sentir que le sexe d'Harry commençait à réagir. Ses lèvres s’étirèrent en un sourire coquin lorsque le baiser se stoppa et il plongea ses yeux argentés dans ceux de son homologue.

- Je vous fais donc de l'effet monsieur Potter.

Il accompagna cette phrase d'un mouvement du bassin qui fit entrer en contact le haut de sa cuisse et le sexe de Harry. Cela provoqua un grognement venant de la part du plus vieux qui resserra sa prise sur le corps de la jeune prostituée. Il ne s'en formalisa pas, ne faisant pas parti des genres de personnes qui marquaient facilement, et se mit à déboutonner la chemise immaculée de son hôte, dévoilant à chaque fois un peu plus de la peau du brun. Harry, ses mains toujours placées sur les hanches Draco, n’essaya même pas d’accomplir quoi que ce soit, il se contenta d'observer les moindres faits et gestes de son invité. Une fois la chemise totalement déboutonner, Draco laissa le vêtement sur le corps du noiraud et vint poser la pulpe de ses lèvres dans son cou. Sa langue lécha lentement la carotide du plus vieux puis ses dents vinrent lui mordre la peau. Harry frissonna et poussa à nouveau un grognement lorsque sa chaire se retrouva prisonnière entre les dents du jeune homme aux cheveux blond. Il y aura des marques demain, pensa-t-il pendant un cours instant avant que son attention ne soit avec nouveau porter sur la personne se trouvant sur ses cuisses et qui jouait de ces talents pour lui faire perdre la tête. A peine avait-il déboutonner sa chemise, que Harry sentait les doigts fins et agiles de Draco se promener au niveau de son bassin. Le blond était en train de défaire la boucle de sa ceinture avant de s’attaquer à son bouton de pantalon et sa braguette. Un souffle chaud vint s'abattre sur son oreille.

- Ce soir M. Potter, vous n'aurez qu'un aperçu de ce que seule une putain de mon envergure est capable de faire.

Une langue vint à s'attarder sur son oreille avant que des dents ne la remplace et qu'il ne morde son lobe. A la suite de cette action, Harry sentit des doigts froids se poser sur le haut de son sexe alors que le jeune homme installé sur ses genoux se reculait légèrement pour pouvoir sortir complètement son sexe de sa prison de tissus.

- Prenez moi M. Potter, faites moi hurler, osa murmurer l’hustler à l'oreille de son hôte qui n'attendit pas plus pour entrer en action.

Il commanda à Draco d'enrouler ses jambes autour de sa taille et après s'être débarrassé de sa chemise, Harry monta à l'étage en direction de sa chambre tout en embrassa fougueusement les lèvres pulpeuses de la prostituée. Leur acheminement vers la chambre à coucher fut assez tumultueuse de par les nombreux baisers échangés et les déhanchés provoqués par Draco qui créaient des frictions entre leur deux sexes les faisant trembler et grogner de plaisir. Potter arrivait à se venger en se saisissant d’une main ferme et sûre d’elle le cul bombé du blond à la peau pâle et qu’il le malaxait sans aucune gêne. Arrivé dans la chambre du maître de maison, ce dernier se laissa tomber en arrière lorsqu'il fut certain que son lit se trouvait tout juste derrière lui, de cette façon, son invité était toujours positionné à califourchon sur son corps. Il dominait facilement,de part sa position, le brun. Nu comme un premier né, aucune gêne ne transparaissait sur son visage il ne semblait pas avoir honte de son corps. Peut-être que la gêne avait disparu avec le temps vu le métier qu'il exécutait, pensa Harry.

- Depuis combien de temps travail tu comme gigolo ?
- Est-ce vraiment le moment de me poser la question avec ce que nous avons dans l'idée de faire ?

Potter eut un sourire.

- Et quand est-ce que le moment sera venu ?
- Jouons à un jeu voulez-vous. Le premier qui se trouvera à supplié devra un gage au gagnant.
- Tu es sûre de toi ? Demanda le brun en haussant un sourcil l'air joueur.
- Vous jouez ?

Il n’en fallut pas plus pour Harry Potter. Cette fois-ci, il tourna la chose à son avantage, le blond était à présent allongé contre le matelas du lit tandis que lui se trouvait entre ses jambes. Il lui fit écartées les cuisses et plaça les jambes d'un jeune homme sur ses épaules. Ainsi positionné, Harry avait vue sur tout, que ce soit sur le visage de l'homme pâle, le haut de son corps ou bien encore son sexe en érection qui réclamait de l’attention, rien ne lui était caché. Il releva l'une des jambes présent sur ses épaules pour pouvoir y déposer la pulpe de ses lèvres tout en regardant dans le blanc des yeux, comme avec un air de défis, Draco qui se sentit soudainement déstabilisé par cet homme. Plus le brun s'approchait des l'intérieur de ses cuisses avec ces baisers, plus le désir du blond grandissait, à un tel point qu'il crut même qu'il allait finir par exploser et il sentait que son hôte s'en amusait. Les lèvres de Potter arrivèrent jusqu'à ses bourses pleines, le nez face à son sexe dresser. Draco sentait parfaitement le souffle chaud du brun contre son membre. Il voulait que le jeune homme le suce, qu’il le prenne entièrement de sa bouche jusqu’à le faire jouir. Il voudrait le supplier mais ses propres mots au sujet du pari lui revinrent en mémoir et le blond se mit à grimacer légèrement. Il ne devait pas perdre. Pourtant, son amant semblait avoir suivit le cours de ses pensées puisqu’il afficha un sourire cruel tandis que ses yeux semblaient briller d’une nouvelle lueur. Il y avait du désir mais aussi un petit plus en malice. Il voulait jouer pour pouvoir le faire craquer. Un petit coup de langue, presque inexistant, s’exerça sur sa queue légèrement collante et toute bouillonnante faisant couiner le gigolo qui resserra ses doigts sur les draps du lit. Un nouveau coup humidifia un peu plus son sexe puis un souffle légèrement frais s’abbit sur lui. A nouveau Draco cria.

- Supplie. Supplie moi et tu auras ce que tu voudras, murmura sur un ton sensuel et empli de promesse le jeune Potter.

Draco préféra rester dans le silence pour le plus grand plaisir de celui qui se tenait entre ses jambes qui continua sa lente et petite torture. Il alterna entre coup de langue et léger souffle sur la queue du blond avant de laisser sa bouche s’attaquer à un endroit légèrement plus bas. Ses lèvres se renfermèrent sur les bourses pleines du jeune homme et il les humidifia en jouant de sa langue. Les larmes montèrent aux yeux de Draco qui finit par craquer et supplier. Supplié que le brun le prenne entièrement en bouche, qu’il vienne le pénétrer de sa queue pour qu’il puisse se sentir plein à l’intérieur. Et Harry accéda à sa requête, le suçant avec une grande attention tout en le préparant à le recevoir. Lorsque le moment fut venu, ils leur suffit d’un échange de regard avant qu’Harry n’aille embrasser son invité tout en faisant entrer son érection dans l'intimité du jeune homme qui poussa un son qui se retrouva étouffé par le baiser. Leurs bouches se séparèrent et un mouvement de bassin venant de la part de Harry fut le commencement d'une danse sauvage et passionnée. Le brun pilonnait sans vergogne le hustler qui vit rapidement ses cris de plaisir augmenter de plus en plus. Le plaisir était trop grand et contrairement à ses autres clients, Draco n'était pas obligé de simuler pourtant il se connaissait comme étant une personne avec un grand appétit sexuelle. Ce mec était doué, il n'y avait pas à dire. Les mains de Draco serrèrent le draps sur lequel il était allongé à en rendre blanc le bout de ses doigts. Puis soudainement, le rythme changea passant de quelque chose de soutenu à quelque chose de lent. Draco couina alors qu'une grande frustration le prenait.

- Potter ! Cria-t-il pour illustrer son ressenti ce qui fit sourire l'interpeller qui ne changea en rien le rythme. Vous… vous n'êtes tout de-même pas sérieux ?!

Aucune réponse ne lui fut parvenu, à la place Harry se saisit à nouveau de la jambe droite du gigolo pour la baiser et y laisser un suçon qui fit soupirer de plaisir ce dernier. Mais après cela, le plus vieux ne toucha plus son amant, se contentant seulement de le rythme lent et terriblement frustrant. Draco en vint même à se mordre la lèvre inférieure avant de se mettre à parler de manière hacher.

- Pour-Pourquoi ?

- Il te suffit de peu pour avoir ce que tu désir.

- Quoi ?! Vous l’avez déjà eut, s’indigna le blond.

- Ce n’est pas suffisant pour moi.

Un coup donné beaucoup plus brutalement en lui le fit crier puis la lenteur fut de retour. Harry continua à jouer ainsi pendant un petit instant avant que les mots qu'il attendait tant ne fassent leur apparition.

- Je… je vous en supplie !

Après ces mots, le noiraud pu enfin se lâcher et y aller de toute ces forces. Jouer à ce petit jeu n'avait pas seulement frustré Draco et il devait se rattraper. Alors il y mit tout ce qu'il avait jusqu'à la délivrance de sa semence, faisant hurler le plus jeune, allant à l'extérieur de l'intimité du en en mettant sur son estomac tandis que ce dernier venait à son tour. Après ça, les jambes de Draco tombèrent d'elles-mêmes sur le matelas alors que son corps était en train de trembler à cause de son orgasme. Harry observait le corps de cet homme, couvert de leur semence et tremblant de plaisir, avec un sourire de satisfaction.

- Vous avez perdu, déclara-t-il mais le jeune homme ne pouvait pas lui répondre dans l'immédiat. Alors ? M. est-il satisfait ?

- Vous n’étiez... pas mal.

Draco essayait de reprendre son souffle.

- Seulement pas mal ? Demanda le brun avec amusement.

- C'est-à-dire que… Il est assez difficile pour moi de me contenter d'une première fois pour en juger voyez-vous M. Potter ?

- Je vois tout à fait oui...

Puis, après ces mots, le brun plongea sur le cou du jeune homme pour y imposer des marques et recommencer un autre round jusqu'à que ce dernier ne soit totalement satisfaite. Il avait toute la nuit après tout.

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