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Chapitre 36 C'est le plus beau cadeau que tu pouvais me faire

Point de vue de Tobias :

Aujourd'hui, je suis particulièrement stressé. Et cela pour une très bonne raison. Certes, c'est l'anniversaire de Tris. Mais ce n'est pas ce qui me perturbe le plus. Non. C'est de savoir si mon cadeau va lui plaire. Elle n'en voulait pas mais elle devra faire avec.

Je rentre dans la salle de bain et la trouve sous la douche. Je lève les yeux au ciel.

- Chérie, pourquoi t'es-tu levée avant moi ce matin?

Elle sursaute et se tourne vers moi.

- J'ai le droit de prendre une douche non?

- Tout à fait. Mais aujourd'hui étant ton anniversaire, je voulais que tu te réveilles avec moi, je marmonne.

- Tu n'as qu'à venir avec moi, me répond-elle en haussant les épaules.

Je souris et accède à sa requête.

- Bon anniversaire, dis-je en lui souriant.

- Merci.

Elle verrouille ses mains derrière mon cou et je l'embrasse rapidement. Elle sort de la douche, se sèche et s'habille.

- Je vais aller préparer le petit déjeuner, affirme-t-elle.

- Il en est hors de question! je m'exclame.

- Tobias, c'est juste mon anniversaire, souffle-t-elle pendant que je sors de la douche et m'enroule dans une serviette.

- Dois-je te rappeler que je n'ai rien eu le droit de faire le jour de mon anniversaire? Donc, tu vas dans le lit ou dans le canapé et je m'en occupe. 

Je m'approche d'elle et l'embrasse sur le front.

- Et on ne discute pas Madame Eaton.

Elle me répond d'un sourire et part dans la chambre, me laissant la porte entrouverte. Je me change rapidement et pars dans la cuisine. Obligé de passer par la chambre puisque c'est la seule façon d'atteindre la salle de bain, je vais d'abord voir Beatrice qui bouquine sur le lit. Elle lève des yeux souriants vers moi.

- Alors, que veux-tu déjeuner?

Elle hausse les épaules.

- Si tu le proposes si gentiment, j'aimerais beaucoup des pancakes.

- J'y vais alors.

Elle tire sur ma main pour l'attirer à elle et me vole un baiser.

- C'était déloyal, je me plains.

- Comme tu l'as dit tout à l'heure, c'est mon anniversaire donc je fais ce que je veux!

Je souris en levant les yeux au ciel puis pars dans la cuisine. Je me dépêche de préparer tout ça pour la rejoindre au plus vite. Je vérifie qu'aucun message n'a été envoyé sur mon téléphone. Une petite soirée avec nos amis est prévue ce soir. Puis, je lui donnerais mon cadeau. Je perds mon sourire à cette pensée. Mais je me reprends vite, ne voulant pas être d'une humeur massacrante aujourd'hui. Au bout d'un peu plus de vingt minutes, tout est prêt. Je mets tout sur un plateau et amène tout dans la chambre.

- Oui Uriah, dit Beatrice au téléphone. 

Je m'assois à côté d'elle et lui prends le téléphone des mains.

- Uriah? C'est Quatre. Et je vais raccrocher.

Et c'est ce que je fais sous le regard éberlué de ma femme.

- Quoi? Tu le verras ce soir de toute façon, je me justifie.

- C'est mon meilleur ami Tobias! Il m'appelait pour mon anniversaire.

- Eh bien ton mari vient de t'apporter ton petit déjeuner, je rétorque.

Elle baisse les yeux sur le plateau contenant tout ce qu'il faut pour un bon petit déjeuner.

- D'accord, je me rends. Si tu me prends par les sentiments, je ne peux rien te refuser.

Je ris doucement et lui tends une assiette avec un pancake sur lequel je verse du sirop d'érable. Elle me sourit et commence à manger.

- Je t'ai déjà dit que tu es un excellent cuisinier? 

- Oui, plusieurs fois, je souris.

- Je te le répète alors. Je peux en avoir un autre?

Je ris et lui en sers un autre, mangeant le mien par la même occasion.

- On reste ici ce matin? demande-t-elle soudainement.

- Oui, sauf si tu veux sortir.

- Non, ça me va. Je vais me changer alors.

Elle se lève et avance jusqu'à l'armoire face au lit. Elle fait coulisser une porte et semble réfléchir.

- Pourquoi réfléchis-tu? Tu vas finir par ouvrir mon tiroir pour mettre mes habits, j'affirme.

Et c'est ce qu'elle fait sans un mot. Elle se change et laisse les habits qu'elle portait par terre. Elle arpente la pièce et reviens dans le lit.

- Je deviens prévisible peut être.

- Tris, à chaque fois que nous restons à la maison, tu mets toujours des vêtements confortables. Et, la majorité du temps, ce sont des affaires m'appartenant, j'explique en m'allongeant après avoir posé le plateau par terre. Mais tu continues de me surprendre tous les jours.

- Tant mieux!

Elle se couche sur le ventre à côté de moi et me regarde.

- Alors, ça fait quoi d'avoir atteint le quart de siècle? je me moque.

- C'est toi qui dis ça? Je te rappelle quand même que tu es plus vieux que moi!

- C'est vrai que ce fossé de deux ans est absolument totalement insurmontable.

Je souris en mémoire de cette phrase. Elle remonte un peu et pose son menton sur ses mains liées posées sur mon torse.

- Ça ne te rappelle rien cette phrase?

- Hum... peut être, sourit-elle, en tournant le visage pour que sa joue soit en contact avec mon torse.

Elle parcourt mon torse du bout des doigts, s'arrêtant sur son prénom récemment modifié. Je caresse tendrement ses cheveux sans rien répondre.

Et, malgré moi, j'en reviens à ma décision. Elle est prise maintenant. Ou presque.

- Tobias?

- Hum? je réponds un peu perdu dans mes pensées.

- Tu crois que nous aurions eu la même vie en gris?

Je la resserre contre moi.

- Je pense que nous aurions fini par être ensemble mais nous n'aurions pas vécu de la même manière. Tout ce que je peux te dire, c'est que je préfère avoir fait ma vie ici.

- Moi aussi. Enfin, je n'en sais rien. J'aurais été avec mes parents mais je n'aurais pas été aussi libre. Disons que la balance est presque équilibrée. Mais qu'elle penche à peine vers les Audacieux. Ils m'ont toujours fascinés et aujourd'hui encore.

Elle se redresse un peu pour verrouiller son regard dans le mien.

- Surtout toi.

- Ah oui? Je te fascine? je demande, amusé.

- Oui, répond-elle simplement. Quel est ton plus grand regret?

Comment fait-elle pour arriver à ce genre de question si naturellement? Je ne le comprendrais jamais. Je décroche de son regard, le temps de réfléchir à sa question.

- Avant j'aurais eu tendance à répondre mon choix. Aujourd'hui, je pense que c'est le fait de m'être autant renfermé dans le personnage de Quatre.

- De quel choix tu parles?

- Celui d'être venu chez les Audacieux. C'était de la pure lâcheté. Mais, aujourd'hui, je ne le regrette plus.

- Pourquoi avoir changé d'avis?

- Parce que je me suis rendu compte que je n'aurais jamais trouvé ma place chez les Altruistes, j'avais été trop invisible durant mon enfance. Ici, j'ai pu me reconstruire du mieux que je pouvais et j'aime ma vie ici. Et toi, quel est ton plus grand regret?

- Je ne me suis jamais posé la question en fait. Sûrement Al. J'aurais dû essayer de le sauver. Mais il est trop tard.

- Je ne répéterais pas ce que je t'ai déjà dit plusieurs fois à ce sujet. Mais, parlons d'autre chose.

* * *

Point de vue de Beatrice :

- Bon anniversaire! s'exclame Marlene lorsque je rentre chez elle en compagnie de Tobias.

- Merci, je réponds en souriant.

Je rentre et tout le monde me souhaite un joyeux anniversaire.

- Quatre! Je peux savoir pourquoi est-ce que tu m'as raccroché au nez tout à l'heure? demande Uriah, les bras croisés.

- Tu comprends, il en était tout retourné! ajoute Marlene en riant. Se prendre un vent de cette puissance ne lui arrive pas tous les jours, il n'a pas l'habitude.

D'ailleurs, elle va s'asseoir, sûrement fatiguée de porter son enfant.

- Je ne voulais pas être dérangé pendant mon petit déjeuner, répond-il simplement.

- Excuse-le Uriah. Une crise de possessivité, je souris, gagnant quelques sourires et un regard noir.

A vous de deviner de qui vient ce regard mauvais. Mon meilleur lève les yeux au ciel avec un sourire moqueur.

- Tris! Ouvre mon cadeau! s'exclame Marlene depuis le canapé.

- Chérie, ce n'est pas l'heure encore!

- Mais je veux qu'elle l'ouvre maintenant! insiste-t-elle.

- Ne contrarions pas une femme enceinte, soupire Lynn.

Nous la suivons tous jusque dans le salon où Marlene m'attend avec son cadeau.

- Mais je ne voulais pas de cadeau, je soupire.

- Et tu as vraiment cru que nous n'allions rien d'offrir! s'exclame Christina.

Et, rapidement, ils se retrouvent tous avec un cadeau en main. Je soupire à nouveau, mal à l'aise d'être le sens de l'attention.

- Le mien d'abord!

Je récupère donc le cadeau qu'elle me tend. Une boîte manifestement. Des chaussures. Celles que j'avais vues le jour de mon essayage de robe même. Je la remercie chaleureusement puis les autres me donnent leurs cadeaux. Au final, je me retrouve avec du maquillage, un couteau avec mon surnom gravé dans le manche, des photos et un livre. Je remercie tout le monde puis Uriah disparaît dans la cuisine avant de revenir avec un gâteau. Audacieux bien sûr.

- Attends! Et le cadeau de Quatre? demande Marlene.

- Je lui donnerais à la maison, je ne l'ai pas pris, répond Tobias, un peu tendu.

Pourquoi? Je n'en sais rien.

- Tu m'avais promis que tu ne m'offrirais rien!

Il me donne un sourire un peu crispé mais ne répond rien. Voyant mon air frustré, il m'embrasse doucement. Qu'a-t-il prévu?

- Souffle ces bougies sœurette! 

Je souris à mon meilleur ami et m'exécute, sous les acclamations de tous amis. J'entreprends de couper le gâteau puis de servir tout le monde. Mais Uriah me dépasse et s'octroie la plus grosse part.

- On ne te dérange pas petit frère? demande Zeke.

- Non ça va, répond ce dernier la bouge pleine.

Je pouffe de rire et prends la dernière assiette.

- C'est son anniversaire pas le tien, réplique Shauna.

- Elle ne m'en voudra pas, c'est ma meilleure amie.

- N'en sois pas si sûr, je rétorque.

Il écarquille les yeux et part dans la cuisine. Je le suis du regard et le vois revenir avec un autre gâteau. Entier. Il me le tend.

- Pardonne-moi. Je te l'offre. Tout entier.

- Tu es trop mignon, je souris en acceptant le gâteau.

Sauf qu'au moment de l'attraper, Zeke me le jette en plein visage.

- NON! Frère! On ne rigole pas avec le gâteau Audacieux! s'insurge Uriah. Et en plus, il n'y a que Quatre qui peut en profiter.

Je me lèche les lèvres, mangeant une partie du gâteau. Tobias se penche vers moi.

- En effet, il n'y a que moi qui ait droit de manger ce gâteau, affirme-t-il avant de déposer un baiser sur ma joue.

- Il est hors de question que nous assistions à ça! Tris, va dans la salle de bain! nous interrompt Lynn. Sans lui, s'empresse-t-elle d'ajouter.

Je lui tire la langue mais accepte quand même. Je me nettoie rapidement et rejoins les autres.

- Mais on ne gâche pas un gâteau comme ça! s'exclame Uriah.

- Vous allez vraiment vous disputer pour un gâteau? je demande en m'asseyant sur les genoux de Tobias.

Les deux frères se fusillent du regard.

- Tu allais vraiment lui donner entièrement?

- Bien sûr que non! J'en aurais pris les trois-quarts! réplique Uriah. Mais non! Il a fallu que tu le gâches! 

- Bon, ça suffit vous deux, s'interpose Marlene.

Les deux frères se regardent en chiens de faïence.

- Tu m'as prévu quoi exactement? je demande à Tobias.

- Tu verras tout à l'heure, me répond-il, le visage fermé.

* * *

Je me rends compte que cela fait presque deux heures que nous sommes ici.

- Et si on rentrait? je propose à Tobias.

- D'accord.

Nous nous levons.

- Nous allons y aller, prévient Tobias.

- Oui, nous aussi, dit Shauna.

- J'ai passé une très bonne soirée, merci.

Nous nous saluons tous puis partons chacun de notre côté. Tobias m'ouvre la porte et me laisse entrer. Je vais ranger les cadeaux de mes amis puis le rejoins dans le salon. Je le trouve assis sur le canapé, m'attendant et stressé.

- Tu vas bien? je m'enquiers en me blottissant contre lui.

- Il est tant que je t'offre mon cadeau.

- Tobias, je murmure. Tu n'es obligé de rien.

- Je sais que tu ne veux rien de matériel. Mais je peux t'offrir autre chose, insiste-t-il.

- Tu m'as déjà offert le mariage mon cœur, dis-je doucement, ne voyant pas où il veut en venir.

Il fixe un point invisible devant lui et reste silencieux quelques instants. Il baisse le regard dans le mien et ne le lâche plus.

- Ce que je veux t'offrir, c'est un enfant Beatrice.

J'écarquille les yeux, sous le choc. Vient-il réellement de m'annoncer qu'il accepte d'être père?

- Qu-Quoi? je bégaye, l'esprit pas vraiment clair.

Il soupire et passe ma main dans ses cheveux.

- Je suis prêt. Je veux un enfant et je le veux avec toi.

Je me redresse et m'assois en tailleur, tournée vers lui.

- D'accord. Mais, tu es certain de ta décision? Je veux dire, je ne veux pas que tu te sentes obligé de faire ça.

- J'y ai longuement réfléchi Tris. Et, ce n'est pas toi qui m'a influencé dans mon choix.

Mon cœur bat à tout rompre. Mais, avant de me réjouir de cette nouvelle, j'ai besoin d'en parler calmement avec lui.

- Je n'ai plus peur d'être comme Marcus. Je ne le suis pas, c'est clair pour moi maintenant. Ma nouvelle peur dans mon paysage des peurs te représentait toi et un enfant. Cet enfant était en pleurs et te demandait pourquoi son père ne l'aimait pas. C'est à ce moment que j'ai compris que ma nouvelle peur était de décevoir et de ne pas être à la hauteur. Je n'ai pas peur d'être comme mon père. Et, la peur de décevoir, je pense pouvoir la dépasser, m'explique-t-il.     

- Je ne sais pas quoi te dire, tu me prends un peu de court là. Je ne pensais pas que tu me répondrais par la positive.

- Je ne sais pas si je serais un bon père. Mais j'ai envie d'essayer.

- Tobias, c'est certain que tu seras un bon père. Mais je veux être sûre que tu ne regretteras rien le jour où il sera né.

Il baisse les yeux, réfléchissant à ce que je viens de rire.

- Ecoute, ce que je te propose est simple. Attendons que le garçon d'Uriah et Marlene soit né. Ainsi, tu verras si oui ou non tu es à l'aise. Et nous aviserons ensuite. Qu'en penses-tu?

- D'accord.

Je m'autorise enfin à sourire.

- Merci.

- De quoi? questionne-t-il en se tournant vers moi.

- C'est le plus beau cadeau que tu pouvais me faire.           

Il se penche vers moi et me serre dans ses bras en me murmurant les trois mots que je préfère.

- Donc tu me crois maintenant si je te dis que tu n'es pas comme Marcus? je finis par demander.

- Oui, j'ai fini par me rendre à l'évidence.

Un grand sourire étire mes lèvres.

- J'ai fini par parvenir à te convaincre alors.

Il rit doucement. Je me surprends à m'imaginer avec un enfant de lui. Maintenant qu'il est capable de se projeter ainsi, je m'en autorise le droit. Et je ne fais que sourire. Je ne parvenais pas à me prononcer quant à sa réponse. Et maintenant qu'elle est presque positive, j'en suis plus qu'heureuse. 

- Avoue-le, me murmure-t-il.

- Que j'avoue quoi?

- Que tu es en train de te l'imaginer.

Point de vue de Tobias :

Elle se mord la lèvre inférieure, me répondant implicitement.

J'ai fini par changer d'avis concernant la grossesse. Je me sens prêt à assumer ce rôle. Vraiment. La seule peur qui subsiste est celle de ne pas être à la hauteur. Mais, je ne pourrais jamais être sûr de ça si je n'essaye pas. Et je sais que Beatrice me soutiendra. Alors, même si je suis soulagé par sa proposition, je ressens une pointe d'impatience. Le bébé d'Uriah et Marlene verra le jour d'ici quatre mois. A ce moment-là, je verrais si ma réponse tend plus vers le oui ou le non. Mais maintenant il m'arrive de penser à cet enfant qui sera peut être le notre.

Je pense que mon passage dans mon paysage des peurs a beaucoup influencé mon choix. Je ne me serais pas rendu compte de mon changement de peur seul. Et j'aurais probablement répondu non à Tris. Je sais qu'elle ne m'en aurait pas voulu. Mais elle aurait été déçue. S'il y a quelques années quelqu'un m'avait dit que je me poserais sérieusement la question d'avoir un enfant, je lui aurais ri au nez. Mais aujourd'hui, cela me paraît tout à fait logique.

Beatrice semble heureuse et c'est tout ce qui compte. Elle se blottit contre moi, un sourire scotché au visage.

- Tu es le meilleur, murmure-t-elle.

Je l'embrasse tendrement sur le front.

- Je sais que ce n'est pas un oui définitif mais je sais aussi que ça t'a beaucoup demandé, ajoute-t-elle.

Elle relève le tête et ancre ses yeux dans les miens, puis pose sa main sur ma joue.

- Et puis, avec toi comme père, cet enfant sera magnifique.

Je rougis à son compliment, ce qui la fait sourire.

- Je t'aime tellement, chuchote-t-elle en me regardant avec admiration.

Je tourne mon visage pour le cacher dans sa main. Je dépose un baiser dans sa main puis tourne à nouveau la tête pour lui faire face.

- Je t'aime aussi.             

- C'est le plus bel anniversaire que j'ai vécu. Enfin, si l'on exclut le premier bien sûr.

Je me remémore son premier anniversaire. Je l'avais prise par surprise puisqu'elle ne connaissait pas la date de son anniversaire. Et, ce jour-là, nous avions vécu notre première fois ensemble. Mémorable.

- C'est ton huitième anniversaire aujourd'hui, j'affirme.

- Hey! Je n'ai pas huit ans! s'exclame-t-elle.

- Je sais, dis-je en riant. Je disais simplement que c'était la huitième fois que tu le fêtais.

Elle place une jambe de chaque côté de ma taille, se mettant à califourchon sur mes genoux. J'embrasse ses quatre choucas un par un par un et termine par celui qui me représente.

Cette femme est parfaite. Et cette femme est mienne.

______________________________

Tadaa! Alors? Contente de cet arrangement? Et de cette décision de la part de Tobias ( bien qu'elle ne soit pas définitive ) ? 

Je préviens, le prochain chapitre, je vais avancer dans le temps. Parce que nous sommes au 36ième chapitre. Et que je compte m'arrêter au 50ième! Donc, rapide calcul *cerveau qui chauffe* il reste 14 chapitres!

Sinon, avez-vous aimé le chapitre?    

TrueWordOfLove ~ <3 <4         


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