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Chapitre 32 Comme un livre ouvert

Point de vue de Beatrice :

Ce sont des baisers sur ma clavicule qui me sortent de mon sommeil. J'ouvre les yeux, déjà souriante. Nous sommes couchés dans les bras l'un de l'autre, dans un enchevêtrement de membre et en travers du lit, enroulés dans les draps.

- Bonjour, me salue Tobias avec un grand sourire.

- Bonjour.

Après cette nuit qui a été tellement intense, torride et tendre à la fois, je suis un peu courbaturée de partout. Je m'étire en lâchant un petit grognement avant de faire face à deux yeux bleus.

- Madame Eaton, sourit-il.

- J'aime beaucoup. Répète pour voir.

Il se niche dans mon cou pour murmurer cette appellation dans mon oreille. Je frisonne.

- C'est confirmé. J'aime vraiment beaucoup, Monsieur Eaton.

- Monsieur Eaton aimerait un baiser de sa femme, quémande-t-il.

- Tu n'en as pas eu assez?

- Je ne serais jamais rassasié.

A ces mots, il s'allonge sur moi, épousant mon corps à la perfection et se retenant sur ses avant-bras pour ne pas m'écraser.

- Ça tombe bien, moi non plus, je murmure avant d'appuyer légèrement sur le derrière de sa tête pour l'embrasser.

Il sourit contre mes lèvres avant de rapidement s'écarter. Toujours ce même sourire sur les lèvres.

- Je t'aime.

C'est sorti naturellement mais ma pensée décuple considérablement ces quelques mots.

- Je t'aime aussi mon amour.

Il se penche pour m'embrasser à nouveau mais un coup à la porte l'arrête. Il me regarde comme si j'allais lui expliquer qui pouvait bien toquer. Il fronce les sourcils puis se penche à nouveau, pensant que ce n'était que le fruit de son imagination mais le bruit recommence. Il soupire et se laisse tomber sur le matelas, juste à côté de moi.

- Je vais aller voir, dis-je doucement avant de déposer un baiser sur son épaule.

Je sors du lit et enfile mes sous vêtements. Je me précipite dans le salon pour enfiler la chemise de Tobias. Ma tenue n'est pas très décente mais je n'ai pas le choix. J'ouvre la porte et découvre un jeune homme poussant une desserte. Il est grand, musclé et blond.

- Bonjour, je vous apporte votre repas, m'explique-t-il poliment devant mon air ahuri.

- Oh, eh bien, entrez.

Je me décale pour le laisser passer. Il laisse la desserte devant le canapé et se retourne, me fixant.

- Dîtes, ça ne vous dérange pas de reluquer ma femme de cette façon? demande la voix froide de Tobias.

Il porte seulement son boxer. Appuyé contre le chambranle de la porte, les bras croisés, le regard dur, il est terriblement beau. Je remarque une note d'amusement dans sa voix bien qu'elle soit noyée parmi la jalousie et l'agacement.

- Hum...Veuillez m'excuser, je vais y aller, s'empresse de dire l'homme.

Et sans que je ne puisse rien dire, le voilà dehors, porte close. Je reste interdite quelques secondes devant la rapidité de ce qu'il vient de se passer.

- Alors il nous interrompt pour ça?

Je me tourne vers Tobias avec un petit sourire en coin. Je m'approche de lui et verrouille mes mains derrière son dos musclé.

- Tu crois que je ne l'ai pas vu?

- De quoi tu parles? me demande-t-il innocemment. 

- Ça t'a amusé de l'effrayer et tu as aimé pouvoir dire que je suis ta femme.

- Je plaide coupable, sourit-il. Mais c'était aussi parce que je n'aimais pas sa façon de te regarder. Et, naïve comme tu es, tu ne l'as même pas vu.

- C'est vrai.

Il regarde derrière moi.

- Un vrai festin.

Il s'écarte de moi pour s'avancer vers les plats fumants.

- En plus il y a du gâteau Audacieux! s'exclame-t-il, enthousiaste.

Je souris devant son air enfantin face à un gâteau au chocolat.

- On mange maintenant? Tant que c'est encore chaud.

- Quelle heure est-il?

- Aucune idée mais j'ai faim.

- On se demande pourquoi.

Il lève la tête vers moi pendant que je m'enfuis dans la chambre.

- Toi aussi tu te mets à faire à faire des phrases suspectes? demande-t-il depuis le salon.

Je rougis considérablement mais ne réponds rien. Je trouve une valise par terre et m'en approche. Une fois ouverte, j'y trouve des vêtements pour Tobias et moi. Certains neufs. Je lève les yeux au ciel. Il a fallu que les filles en profite pour tenter de refaire ma garde-robe.

- Pourquoi veux-tu te changer? Tu es train bien comme ça, questionne une voix derrière moi, me faisant sursauter.

- Je regardais simplement ce qu'ils avaient emmené.

Me prenant par surprise, il me soulève dans ses bras, comme une mariée. Ce que j'étais encore il y a quelques heures. Je ris et m'accroche à lui. Il me pose négligemment sur le canapé et entreprend de regarder ce que le jeune homme nous a emmené. Il y a suffisamment de nourriture pour plusieurs jours... Tobias nous sert deux assiettes avec un peu de tout. Pendant ce temps, je vais ramasser ma robe qui est restée ici. Je vais la ranger sur un cintre, la lissant de ma main. Je ne me lasserais jamais de la regarder. Je ne la porterais plus jamais mais elle m'a accompagnée dans un des plus beaux moments de ma vie.

Je rejoins le salon et Tobias qui me tend mon assiette. Puis il s'empiffre comme s'il n'avait pas mangé depuis plusieurs jours.

- Tu avais si faim que ça? je m'étonne.

- C'est de ta faute.

- Comment ça?

- Tu m'as épuisé! s'exclame-t-il.

- Hey! Tu n'étais pas en reste non plus! je me défends en le frappant sur le bras.

Il rit devant mon geste qui lui est insignifiant. 

- Aller, mange.

Et c'est ce que je fais. Une fois que nous avons terminé je me lève.

- Tu vas où?

- Me démaquiller et terminer de me décoiffer.

Il fait la moue.

- Dépêche toi de revenir alors.

Je souris et me dirige vers la chambre puisque c'est la seule façon d'atteindre la salle de bain. Je n'y suis pas encore entrée mais dès que j'allume la lumière, je reste époustouflée. J'aurais dû m'en douter, vu le reste de la suite. Une baignoire pouvant contenir au moins six personnes trône au milieu de la pièce. Une grande douche à l'italienne se trouve dans le coin droit de la pièce. Un grand miroir qui part du plafond jusqu'au sol est à côté du lavabo. Et lorsque je me vois dans ce miroir, j'esquisse une grimace. Mes cheveux sont complètement emmêlés, partant dans tous les sens et mon maquillage a coulé. Je m'empresse de retirer toutes les pinces de mes cheveux, les laissant retomber en cascade sur mes épaules. Mais ils sont tellement emmêlés qu'ils forment des nœuds conséquents. J'ouvre le placard et y trouve du coton et du démaquillant. Parfait. Une fois démaquillée, c'est déjà mieux. Quant à mes cheveux, je vais devoir prendre une douche et les laver. Je retourne dans le salon. Tobias lève les yeux vers moi et rit lorsqu'il voit mes cheveux.

- Tu comprends pourquoi est-ce que je dois aller me doucher? D'ailleurs, tu as vu la salle de bain?

- Non, pas encore.

Il se lève et me suit. Il a la même réaction que moi : stupéfait. Je souris puis finis par le pousser dehors.

- Hey! s'exclame-t-il.

- Laisse moi me doucher tranquille.

Je l'entends râler quelque chose comme : "Mais pourquoi je n'ai pas le droit de venir?" suivi d'un soupir. Je pouffe avant de me déshabiller et de rentrer sous l'eau chaude qui détend instantanément tous mes muscles. Je me lave les cheveux, les sentant retrouver leur souplesse habituelle. Puis je sors, me sèche et m'enroule dans une serviette. Je n'ai pas pensé à prendre des affaires de rechange... Je soupire et entrebâille la porte. Tobias s'est installé dans le lit, allongé, les mains derrière la tête et fixant le plafond. Il descend ses yeux sur moi.

- Je prends juste des affaires.

Ce que je fais avant de m'enfermer à nouveau dans la salle de bain. Je décide de seulement mettre mes sous vêtements et la chemise de Tobias. Je ressors, les cheveux encore mouillés.

- Je vais prendre ta place.

Et pendant qu'il est dans la salle de bain, je m'allonge à sa place dans le lit. Son odeur s'y trouve encore. Je profite de son absence pour l'humer. Cette odeur me réconforte dans le sens où je la relie avec la sécurité. Et je reste comme ça un moment, simplement heureuse.

- Tu es bien installée? demande Tobias.

Je relève la tête pour le trouver vêtu d'un jogging avec les cheveux mouillés, les bras croisés et un petit sourire sur les lèvres.

- Il me manque un oreiller, dis-je en faisant retomber ma tête sur le lit.

- Moi?

- Oui, toi.

Il me pousse pour s'asseoir sur le lit, adossé à la tête de lit. Je me redresse en position assise et pose ma tête sur son épaule. Je soulève mes jambes pour les poser en travers des siennes. Du bout des doigts, je trace mon nom tatoué sur son torse.

- Dis-moi, tu penses qu'il est possible que je le transforme en "Beatrice"? me demande-t-il.

Je souris en levant les yeux vers lui.

- Je devrais pouvoir transformer le T en A.

- Il paraît qu'il y a une très bonne tatoueuse là-bas, tu la connais?

- Non. Dis-moi à quoi elle ressemble, pour voir.

- Les cheveux longs et blonds. Des yeux bleus-gris profonds. Un corps parfait. Vraiment magnifique.

Je souris, décidant de rentrer dans son jeu.

- Il va falloir que je demande à Tori de la renvoyer. Je ne voudrais pas que mon mari soit tenté.

- Tu devrais peut être en effet.

- Tu vois, il faut que j'élimine la concurrence, pour te garder rien qu'à moi. 

Il m'embrasse dans le cou et attrape ma main.

- Tu penses?

- Hum hum.

Ses doigts trouvent mes bagues et il joue avec en souriant.

- Moi je pense que ce n'est pas la peine.

- Vraiment?

- Oui, murmure-t-il.

Je capture sa main pour que je puisse jouer avec son alliance.

- Elle te va très bien cette bague, j'affirme en posant mes lèvres dessus.

Il défait sa main de mon emprise et me serre dans ses bras.

- J'ai oublié quelque chose, je reviens.

Il se lève, me laissant seule dans ce lit définitivement trop grand, et il revient avec une enveloppe.

- Qu'est-ce que c'est? je demande, confuse.

- Je n'en sais rien. C'est Zeke qui me l'a donnée hier.

Il s'assoit à nouveau et me soulève pour me poser entre ses jambes, son torse contre mon dos.

- Ouvre-la.

Je fronce les sourcils et la prends dans mes mains. Elle n'a jamais été ouverte et il n'y a aucune inscription. Je la retourne et l'ouvre précautionneusement. J'en sors un papier - une lettre probablement - et une feuille plus grande. Je la retourne et je reste sous le choc. Tobias lâche un hoquet de surprise. Je passe mes doigts sur le visage masculin de la photo abasourdie.

- Tu t'en souviens? je demande dans un souffle.

- Non.

Il pose ses mains sur les miennes qui tiennent la photo. Son pouce caresse avec tendresse mes doigts. Cette photo ne peut venir que d'une personne. Je la délaisse seulement pour ouvrir le papier.

Beatrice,

Nous aurions aimé être présents pour ce jour-ci important mais comme tu t'en doutes, nous avons été dans l'impossibilité de le faire. Sache que même si nous étions absents, le cœur y était. Nous sommes vraiment heureux pour toi.

Lorsque nous t'avons vu le Jour des Visites, nous t'avons trouvé rayonnante, heureuse, pleine de vie, toujours Altruiste. Et amoureuse. Nous n'aurions jamais pensé que tu finirais par te marier avec Tobias Eaton. Mais qu'importe. Tout bonheur est tout ce qui compte. S'il sait te combler, s'il sait te rendre heureuse, s'il t'aime, alors ne le lâche pas. Nous ne le connaissons pas vraiment mais ce que nous avons vu de lui nous a suffit. Il te témoigne beaucoup de respect. Nous voyons comment il te regarde et comment toi tu le regardes. Vous vous aimez c'est indéniable.

Nous sommes très fiers de toi Beatrice. Nous n'aurions pas pu rêver mieux pour ton avenir. Que tu ais choisi une autre faction n'a plus vraiment d'importance maintenant. Nous n'avons aucune idée quant à savoir si tu aurais été heureuse chez les Altruistes. Mais tu as l'air d'avoir trouvé ce qu'il te fallait et c'est tant mieux.

Nous avons glissé une photo dans l'enveloppe. C'est le seul exemplaire qui existe. Ce devait être lors d'un repas à la maison, en compagnie de Marcus. Nous espérons que vous apprécierez cette attention.

Soyez heureux, Beatrice comme Tobias, c'est tout ce que nous vous demandons.

Avec tout notre amour, Andrew et Nathalie Prior

Je porte ma main à ma bouche, étouffant un sanglot. C'est le plus beau cadeau de mariage que nous avons reçu. Tobias pose la photo sur le lit et m'entoure dans ses bras forts.

- Je t'ai toujours dit qu'ils t'aimaient et qu'ils étaient fiers de toi. Je n'ai pas lu la lettre, mais je suppose que c'est ce qui était noté dedans?

J'acquiesce, refoulant mes larmes mais ne pouvant pas arrêter de sourire.

- Elle te concerne aussi. Lis-la.

- D'accord.

Il m'embrasse sur la tempe et entreprend de lire la lettre de mes parents. Pendant ce temps, j'examine plus précisément cette photo. Nous y voyons deux enfants : une fillette blonde et un petit garçon brun aux yeux bleus. Tous deux vêtus de gris. Il s'agit de nous, indéniablement. Nous sourions tous les deux bien que je perçoive une pointe de tristesse, de lassitude et de douleur dans le regard du garçon. Et moi, j'ai l'air contente, sans aucun problème. Nous devions avoir six et huit ans, environ.

- Tu étais déjà beau à cette époque-là, je souris.

Je le sens rire contre moi.

- Je n'ai aucun souvenir de cette photo.

- Tu sais ce que je vois dans tes yeux?

- Parce que tu lis dans mes yeux?

- Comme dans un livre ouvert. Sauf lorsque tu te renfermes sur toi-même. Tout ça pour dire que tu souris mais ce sourire ne monte pas entièrement jusqu'à tes yeux.

A mes mots, je frôle les yeux du Tobias enfant sur la photo. Il ne répond rien, enroulant ses bras autour de moi. Nous savons tous les deux pourquoi il a cette lueur dans les yeux. A cause de qui surtout

- Tu as lu la lettre?

- Oui, et je peux te dire que je compte bien honorer leu demande. Nous allons être heureux.

- Mais nous le sommes déjà. Non?

- Tu as raison. Nous allons continuer à être heureux.

* * *

- Dis, on mange sur le toit? je propose.

- Pourquoi pas, me répond-il en haussant les épaules. Mais habille-toi plus. Il ne fait pas des restes chauds dehors.

- C'est toi qui voulais que je reste comme ça!

Il me sourit en penchant la tête.

- Va te changer, dit-il simplement. 

Je vais dans la chambre après lui avoir demandé de faire la même chose. Nous nous rejoignons sur le toit, plus chaudement vêtus et devant des plats fumants. Le même homme que tout à l'heure et venu échanger les dessertes. Tobias l'a fusillé du regard, les bras croisés et il a attendu à mes côtés jusqu'à ce qu'il parte, le bras autour de ma taille. J'ai éclaté de rire lorsqu'il a fermé la porte. Il n'a pas osé lever les yeux vers moi une seule seconde et il a furtivement croisé le regard de Tobias avant de baisser les yeux et de s'empresser de partir.

Nous n'avons pas fait grand chose de la journée à vrai dire mais nous nous sommes promis de faire un tour dans l'hôtel ce soir, après avoir mangé. J'ouvre la baie vitrée et monte sur le toit. Je m'approche du bord pour observer l'horizon. Le ciel est rosé et la vue sur les vieux bâtiments est magnifique. J'aperçois même vaguement la Grande Roue au loin. Je ramène mes bras sur moi, me réchauffant un peu.

- Reviens ici s'il te plaît, me demande Tobias qui est resté en terrain sûr, loin du bord.

Je me rapproche de lui.

- Je n'aime pas te savoir près du bord, marmonne-t-il.

- Il ne peut pas m'arriver grand chose tu sais.

- Tu pourrais tomber. Et s'il t'arrive quelque chose, je te rappelle que j'ai le vertige.

Je souris en voyant qu'il s'inquiète toujours autant de moi.

- J'observais la vue.

Il m'attire dans ses bras et dépose un baiser sur le haut de mon crâne. Je regarde ce qui nous entoure. Un toit plutôt spacieux s'offre à nous. Un petit jardin fleurit cet endroit. Je lâche Tobias et m'y avance. De nombreuses fleurs  de beaucoup de couleurs différentes colorent le lieu. Je souris et passe mes doigts sur les pétales. J'hume l'odeur enivrante. Je me tourne pour faire face à Tobias qui me regarde en souriant.

- Tu aimes?

- J'adore.

- Tu penserais quoi si on mettait des fleurs sur le balcon?

Un grand sourire étire mes lèvres.

- J'adorerais. Un petit coin jardin.

- Vendu. Aller, viens manger.

Il me tire par la main mais je reste immobile.

- Je veux manger ici.

- D'accord Madame, rit-il. Je reviens.

Je contemple ce petit coin de paradis jusqu'à ce qu'il revienne avec notre repas. Nous nous asseyons à même le sol.

- Que nous as-tu préparé de bon?

- Pour une fois, ce n'est pas moi qui ai cuisiné.

Je fais la moue même si je le savais pertinemment. Je me rapproche de lui et nous mangeons en discutant tranquillement. Et je finis le repas allongée contre ses genoux. Il trace inlassablement le T tatoué sur mon poignet.

- Comment ai-je pu douter du mariage? murmure-t-il.

- Je n'en sais rien, je ne suis pas dans ta tête!

- Heureusement, rit-il.

J'éclate de rire, me cachant dans sa grande main.

- Serais-tu en train de te moquer de moi par hasard?

- Peut être.

- Tant que c'est peut être, tout va bien.

Je ris doucement. Il pose sa main sur mon ventre.

- Dis?

- Oui?

- Je t'aime.

Je pouffe avant de lui répondre.

- Moi aussi.

- Je sais.

- Oh non! Ne deviens pas arrogant, par pitié! je m'exclame.

- De toute façon, c'est trop tard. Tu es mariée avec moi.

- Aurais-tu prévu un plan diabolique pour me pourrir la vie?

- Non, tout le contraire.

- Tant mieux!

Je me redresse en même temps qu'il se penche et nos lèvres se rencontrent naturellement. Je m'assois pour être plus confortable et il me soulève pour me poser sur ses genoux. Il s'écarte et me fixe intensément. Il replace une mèche rebelle derrière mon oreille et laisse sa main sur ma joue.

- J'ai tellement de chance de t'avoir, murmure-t-il.

___________________________

C'est tout ce que vous aurez de la lune de miel. Parce que je ne sais pas quoi écrire de plus. Et puis, on va les laisser un peu seuls, non? xD

J'espère que ça vous a plu!

PS : bientôt la rentrée donc moins de chapitres!

TrueWordOfLove~ <3 <4

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