Chào các bạn! Vì nhiều lý do từ nay Truyen2U chính thức đổi tên là Truyen247.Pro. Mong các bạn tiếp tục ủng hộ truy cập tên miền mới này nhé! Mãi yêu... ♥

Chapitre 22 Ils sont beaux pas vrai?

Point de vue de Tobias :

Personne ne bouge, tout le monde reste figé. Comment ça Luke est mort? Zeke répond à ma question silencieuse.

- Nous l'avons retrouvé chez lui. Il s'est défendu, c'est indéniable. Mais, cela n'a pas suffit.

- Tu...tu veux dire que quelqu'un l'a tué à mains nues? demande Tris.

Mon meilleur ami acquiesce. Beatrice porte la main à sa bouche, horrifiée.

- Je pensais que je me devais de vous le dire. Je dois y aller maintenant.

Je raccompagne Zeke à la porte puis reviens dans le salon où je trouve Beatrice dans la même position que tout à l'heure.

- Eric, pas vrai? demande-t-elle d'une voix faible.

- Sûrement.

Ses poings se serrent et ce n'est que maintenant que je remarque que mes phalanges sont blanches.

- Il est mort à cause de nous, pas vrai?

- Bea-

- Il faut que je trouve Eric, affirme-t-elle en se précipitant vers la porte.

J'attrape son bras au dernier moment, l'empêchant de sortir.

- Allons à la salle de contrôle de manière à voir ce qu'il s'est passé.

Elle soupire mais accepte. Je l'attrape par la taille et ne la lâche pas jusqu'à que nous ayons atteint la salle de contrôle. J'ai trop peur qu'il ne lui arrive quelque chose. Seulement, lorsque nous arrivons, Max y est déjà. Il sort, fulminant. Lorsqu'il nous voit, il s'approche de nous.

- Ce n'est pas la peine que vous y alliez. C'est Eric le coupable. Et il va payer, ça, c'est certain. Il aura ce qu'il mérite. Je me dois de vous dire que les cendres de Luke seront jetées demain.

Il laisse passer un silence avant d'ajouter :

- Quatre, prend soin d'elle.

Mon emprise sur Beatrice se resserre un peu.

- Bien sûr.

Il nous salue d'un hochement de tête puis part en sens inverse.

- Si je le trouve, je le bute, déclare sèchement Tris.

Je me tourne vers elle et mes deux bras l'entourent à présent.

- J'en suis certain, je murmure.

- Tu te sens coupable, pas vrai?

Je fuis son regard, posant mon menton sur le haut de sa tête.

- S'il te plaît, réponds moi non, me supplie-t-elle.

- Il est venu vers moi, il m'a prévenu et c'est en grande partie grâce à lui que nous t'avons retrouvée. Et, il est mort.

- Nous ne pouvions pas savoir ce qui allait se passer.

Malgré le fait qu'elle veuille le cacher, j'entends très bien la culpabilité dans sa voix. Elle veut seulement être forte pour moi, comme toujours.

- Rentrons.

- Non.

- Pourquoi?

- Parce que sinon, nous allons nous morfondre tous les deux. Allons retrouver les autres plutôt.

- Tu as raison, comme toujours, dis-je.

Etant en fin de journée, nos amis ont tous terminé de travailler. Nous - ou plutôt Tris - choisit d'aller chez Uriah. A peine sa porte ouverte, Uriah saute dans les bras de Tris. Quant à moi, je reste en retrait comme toujours. Il nous fait entrer et nous trouvons Marlene sur le canapé.

- Salut vous deux! s'exclame-t-elle.

Ils ne nous demandent pas ce que nous faisons ici, nous accueillant simplement.

- Asseyez-vous, je vais chercher de quoi boire, nous propose Uriah.

J'avance donc jusqu'au salon, une main dans le dos de Tris. Uriah revient rapidement avec quatre bières. Me prenant par surprise, Tris en prend une et a l'air bien décidée de la boire entière. Je soupire.

- Si vous voulez mon avis, ce n'est pas ce genre de comportement que l'on s'attend à voir chez des personnes qui vont se marier, affirme Marlene, gagnant un regard noir de la part de son mari.

Elle hausse les épaules comme pour dire " Qu'est-ce qu'il y a?". Seulement, il se trouve qu'elle a raison. Nous devrions être heureux, souriants, impatients. Et, lorsque je vois Tris, je ne vois qu'une jeune femme triste, à bout, et prête à se bourrer. Et je ne dois pas être mieux.

- Vous devriez repousser le mariage, déclare Marlene.

Beatrice lève des yeux tristes sur son amie.

- Tu as raison, je murmure.

- Quoi? Non! Quatre, nous avions dit que nous nous marrions mercredi donc nous nous marrions mercredi! s'exclame Tris.

- Mais, réfléchis. Tu as vu ce qu'il se passe en ce moment. Je ne veux pas que nos esprits soient accaparés par tout ça ce jour-là, je tente de la raisonner, agacé par son comportement.

Point de vue d'Uriah :

Ça me brise le cœur de les voir ainsi. Et je pense qu'une dispute est bien la dernière chose dont ils ont besoin.

- En fait, tu es en train de me dire que tu ne veux plus te marier avec moi, c'est ça? demande ma meilleure amie.

Oh non. Pas ça.

- Tris! Arrête de penser ça, tu m'énerves! s'exclame Quatre en se levant, plutôt énervé.

Tris se replie sur elle même, honteuse.

- Stop. Vous allez dire des choses que vous ne pensez pas, j'interviens.

Tris ne bouge plus, observant sa bouteille que je regrette soudain de lui avoir donnée. Elle est déjà à moitié vide.

- Je suis désolée de vous dire ça, mais je pense que vous devriez être chacun de votre côté ce soir. Vous êtes toujours ensemble et être séparés juste le temps d'une nuit ne peut être que bénéfique, affirme ma femme.

Et je dois avouer que je suis plutôt d'accord avec elle. Quatre soupire, sachant que Marlene a raison. Il pose sa bouteille en verre sur la table de la même matière et s'avance vers Tris.

- Viens, lui murmure-t-il en l'entraînant dans une pièce voisine.

Marlene et moi patientons une bonne vingtaine de minutes jusqu'à ce qu'ils ressortent.

- C'est gênant si elle reste ici? me demande Quatre.

- Absolument pas. Nous prendrons soin d'elle, répond Marlene.

Quatre hoche la tête, sombre. 

Point de vue de Beatrice ( lorsqu'elle part dans une pièce avec Quatre ) :

Tobias me tient le bras et referme la porte derrière lui. Il me lâche, s'adosse à  la porte et me regarde, les bras croisés et le regard incertain.

- Je crois qu'il faut que l'on discute, déclare-t-il.

Je ne réponds pas, fixant le sol. Je ne sais plus où j'en suis.

- Ecoute, je crois que Marlene a raison. Tu ferais mieux de rester ici et moi d'aller dormir chez nous.

Je secoue énergiquement la tête négativement, comme une enfant.

- Tris...

Je saute dans ses bras qui se referment automatiquement sur moi.

- Je ne veux pas être loin de toi.

- Je sais mon ange. Mais, c'est pour nous qu'il faut le faire. Tu as vu les doutes que nous avions tout à l'heure dans le salon d'Uriah? Je refuse que ça aille plus loin.

Je m'accroche à son T-shirt, refusant de le laisser partir même si je sais bien qu'il a raison. Je ne sais plus quoi penser ni quoi faire. Même si Tobias représente tout pour moi il faut que je me ressaisisse et que je me retrouve seule face à moi même.

- Tu vas rester ici et je vais rester à la maison.

- Tu vas rester tout seul?

- J'ai l'habitude de l'être lorsque tu n'es pas là. Ne t'inquiète pas pour moi.

Je pose mon front sur son épaule pendant qu'il caresse mes cheveux.

- Et pour le maria-

- Nous parlerons de ça à tête reposée, me coupe-t-il.

- D'accord. Mais, tu m'appelles si tu veux que je rentre, on est bien d'accord?

- C'est promis. Tu feras la même chose?

J'acquiesce. Il pose sa main sur la poignée, pensant que la discussion était terminée mais je le tourne vers moi et écrase mes lèvres contre les siennes. J'avais besoin d'un baiser passionné comme celui là. Et vu l'ardeur qu'il met dans le baiser, lui aussi.

- Je t'aime, d'accord?

- Oui.

Nous sortons de la chambre et il ne tarde pas à partir lui aussi.

- Tant que vous étiez là-bas, je t'ai préparé ta chambre pensant que tu allais rester ici, m'informe Marlene.

- Merci, je murmure.

- On est là si tu as besoin de quoi que ce soit.

- Merci Uriah.

Je m'enferme donc dans la chambre préparée pour moi et m'allonge lourdement dans le lit.

Reprenons depuis le début. Eric a aidé lors de mon enlèvement. Quelqu'un l'a dénoncé. Eric a été jugé et condamné. Il a tué Luke. Pourquoi Luke? Parce que c'est lui qui a tout dit à Tobias? C'est une possibilité. Il est aussi possible que ça soit Luke qui ait tout dit. Je n'en sais rien.

Et, concernant notre mariage, je ne sais pas quoi faire non plus. Je ne sais pas si nous devons éloigner la date ou bien la conserver ainsi. J'étouffe un cri de colère dans l'oreiller avant de m'asseoir. Je tremble, ne sachant si c'est de rage, de colère ou simplement parce que je suis au bout du rouleau. 

Me rendant compte que je suis venue ici sans affaires, je suis obligée de sortir. Marlene et Uriah sont sur le canapé en train de regarder la télévision. Je me racle la gorge, montrant ma présence. Ils sursautent et se tournent vers moi.

- Je suis désolée mais je n'ai rien pour dormir, dis-je, mal à l'aise.

Marlene se lève et me fait signe de la suivre. Je me retrouve rapidement dans leur chambre. Elle est dans les tons noirs, comme nous sommes chez les Audacieux. Des vêtements traînent par terre et ce n'est pas très bien rangé. Les natifs Audacieux sont comme ça : ils se fichent pas mal de leur intérieur, préférant profiter de l'extérieur. Chez nous, tout est à peu près ordonné. Voilà ce qui arrive lorsque l'on est natifs Altruiste. Marlene me tend un pyjama : juste un short et un débardeur en coton. Et moi qui dors toujours avec le T-shirt de Tobias...

- Il risque de t'être un peu grand, me prévient-elle.

- Ce n'est pas grave.

Je vais me changer et les rejoins, ne voulant pas rester seule. Je reste seule sur le fauteuil tandis qu'ils sont sur le canapé.

- Tris, arrête de penser.

Je sais ce dont j'ai besoin. Des bras de Tobias.

Point de vue de Tobias :

Je me tourne et me retourne dans le lit que je trouve beaucoup trop vide. Je sais que nous faisons ça uniquement pour améliorer les choses mais je ne cesse de me demander si elle va bien. Je sais qu'elle est avec Uriah et Marlene mais je ne peux pas m'en empêcher. Si bien que j'ai envoyé un message à Uriah. Il m'a répondu :

Elle va bien. Arrête de t'inquiéter pour elle et focalise toi sur ce qu'il faut.

Le problème, c'est que je n'y arrive pas. Je soupire et me lève pour aller boire un verre d'eau. En revenant, j'observe que j'ai reçu un message. Je l'ouvre et souris malgré moi.

Tu me manques même si je sais que c'est pour nous. Je t'aime <3

Je lui réponds sans tarder.

Tu me manques aussi. Nous nous verrons demain matin, je viendrais te chercher. Je t'aime aussi <3

Elle ne répond plus. De toute façon, Il n'y a rien à répondre.

* Le lendemain matin *

Je n'ai quasiment pas dormi et j'en suis arrivé à la conclusion suivante : si lundi tout ne va pas mieux, nous décalerons la cérémonie. Sinon, non.

Et concernant Luke, nous ne pouvons malheureusement rien y changer. Je m'en veux, c'est certain. J'aurais dû deviner qu'Eric allait s'en prendre à lui. J'ai préféré m'occuper de Beatrice. Je pense que personne ne peut m'en vouloir pour ça. Le pire, c'est qu'Eric l'a tué à mains nues. Une mort atroce je suppose. Je frissonne rien que d'y penser. Je sais déjà que Max va le faire regretter à Eric et je sais qu'il est capable de tout.

Je m'habille rapidement et ne prends même pas le temps d'avaler quelque chose que je suis déjà devant l'appartement d'Uriah et Marlene. Je toque et Uriah m'ouvre. Il me laisse entrer.

- Elle ne s'est endormie qu'il n'y a une heure ou deux, m'informe-t-il.

- D'accord.

- Bonjour Quatre. Je suis certaine que tu n'as pas déjeuné. Viens manger quelque chose et laisse la dormir encore un peu, me propose Marlene.

- Je vais juste la voir, je reviens.

Je pousse doucement la porte de sa chambre et la vois dormir. Elle est recroquevillée sur elle-même, serrant le drap dans ses poings, les traits tendus. J'hésite à m'approcher. Si je le fais, elle risque de se réveiller. Je reviens sur mes pas et vais rapidement déjeuner avec mes amis. Cela se fait en silence pour ma part.

- Retourne la voir, on voit bien que tu en meurs d'envie, me dit Uriah.

Il ne m'en faut pas plus pour me lever et m'avancer vers la chambre. Je l'ouvre doucement, retire mes chaussures et m'allonge face à elle. Elle a changé de côté depuis tout à l'heure mais autrement elle a toujours la même expression faciale. Doucement, je pose ma main sur sa joue. C'est fou comme elle m'a manqué alors que ça ne fait même pas 24 heures que nous nous sommes quittés. Je passe mon index sur chaque trait de son visage. Ce dernier se détend petit à petit mais je ne parviens pas à faire apparaître un sourire. Ses mains desserrent leur emprise sur le drap pour s'accrocher à moi. Ses jambes se mélangent aux miennes, m'attirant plus encore à elle. Elle dort encore. Je dois aller travailler dans vingt minutes et elle aussi, mais j'hésite à la réveiller. Je suis exténué mais je n'ai pas le choix. Je ne veux pas risquer de perdre mon emploi. Je l'embrasse sur le front.

Point de vue de Marlene :

Je passe devant la chambre d'ami et y jette un œil. Quatre est couché face à Tris, sa main sur sa joue.

- Uriah, viens voir, je murmure.

Mon mari soupire mais vient me rejoindre. Il regarde à son tour dans l'embrasure de la porte. Il s'écarte en souriant.

- Ils sont beaux pas vrai?

- C'est vrai, répond-il en m'attrapant par la taille.

- Tu crois qu'il va arriver quoi à Eric? je questionne soudainement.

- Je n'en sais rien mais rien de bon. Son jugement est dans une demi-heure.

- Je veux que tu m'appelles dès que tu sais de quoi il en retourne.

- C'est promis.

Un mouvement me fait tourner la tête : Quatre est sorti de la chambre....sans Tris. Je l'interroge du regard.

- Je préfère la laisser dormir, ça ne vous dérange pas?

- Aucun problème.

Quatre m'étonnera toujours. Uriah m'a avoué qu'il avait pleuré lorsque Tris a disparu. Pas de grosses larmes, juste une. Ça le rend tellement plus vivant. Étrangement, avec ce qu'il s'est passé, je le trouve un peu plus ouvert aux autres. Je ne me risquerais jamais de lui demander pourquoi mais je trouve ça bien.

- J'aimerais venir comment elle va à midi, déclare-t-il presque timidement.

Je m'écarte de mon mari et reviens avec un double des clefs que je lui tends.

- Viens la voir quand tu veux.

- Avec mon patron, je ne pourrais pas partir avant midi.

Il nous remercie, nous salue d'un hochement de tête et sort.

- Il faudrait y aller pour nous aussi, dit Uriah.

Point de vue de Tobias :

A peine arrivé au travail, je gagne un regard noir de la part de mon patron. Je m'empresse de m'asseoir à ma place et de mettre en surveillance la porte d'entrée de l'appartement d'Uriah. Nous n'avons pas l'autorisation d'allumer les caméras à l'intérieur sauf urgence. Je sens le regard de mon patron derrière moi donc je m'empresse de me mettre au travail, mais pas de bon cœur.

* * * 

Dès qu'il est l'heure pour moi de partir, je suis dehors. Je m'apprête à me diriger vers l'appartement où se trouve Tris mais celle-ci me prend par surprise en me sautant dans les bras.

- Qu'est-ce que tu fais là? je murmure.

- Je pourrais te poser la même question, me répond-elle, la voix étouffée contre mon T-shirt. Pourquoi personne ne m'a réveillée ce matin?

Elle écarte son visage pour pouvoir me regarder.

- C'est moi qui ai décidé de ne pas le faire. Tu avais l'air vraiment fatiguée.

- Toi aussi, souffle-t-elle en caressant ma joue de son pouce. J'ai passé la nuit à réfléchir.

- Et, à quelle conclusion en es-tu arrivée?

- Concernant le mariage, nous devrions attendre quelques jours afin de voir si les choses se tassent dans nos esprits.

- J'en suis arrivé au même endroit que toi. Et, pour Luke?

Elle reste silencieuse quelques temps.

- Je pense que je vais le vivre comme la mort d'Al. Je vais me sentir coupable pendant longtemps jusqu'à ce que j'accepte que je ne suis pas la principale coupable.

- Nous avons bien fait de nous séparer pour la nuit alors?

- Si on met de côté le fait que tu m'as atrocement manqué. Que je me suis retournée maintes et maintes fois dans mon lit sans trouver le sommeil. Que je n'ai pas arrêté de penser à comment tu te sentais. Et aux nombres de fois où j'ai hésité à venir te retrouver. Oui, c'était le mieux à faire.

Je ris doucement, replaçant une mèche rebelle derrière son oreille. Je ne remarque que maintenant qu'elle n'est qu'à peu près coiffée, pas maquillée et vêtue des mêmes vêtements qu'hier.

- Mais, ce qui serait le mieux dans l'immédiat serait d'aller manger, je n'ai rien avalé depuis hier midi.

- Tris!  je la réprimande

- Mais quoi? Quand est-ce que j'aurais pu manger? se défend-elle.

- Tu aurais pu piquer quelque chose à Uriah et Marlene, ils n'auraient rien vu.

- Tu rigoles. Je suis certaine qu'il tient un compte de tout ce qu'il à manger chez lui.

Je rigole en secouant la tête.

- Dis?

- Oui?

- Je n'ai pas eu mon baiser encore, quémande-t-elle timidement.

- Tu as raison. Il va falloir remédier à cela de suite.

Je me penche vers elle tandis qu'elle se dresse sur la pointe des pieds, permettant à nos lèvres de se rencontrer pour un long baiser langoureux. Mais, comme nous nous trouvons devant la salle de contrôle et que je ne suis pas vraiment appréciés dans mon travail, un 'collègue' nous interrompt.

- Quatre, fais ça ailleurs, ça m'arrangerait.

- Ta gueule, crache Tris.

L'homme - dont je ne me souviens plus le prénom - reste pantois quelques secondes avant de partir, honteux.

- Je te l'ai déjà dit que tu étais la meilleure?

- Hum...oui, mais tu peux le répéter, ça ne me dérange pas.

- Tu es la meilleure.

- Merci mon cœur.

Je suis soulagé de voir que rien n'a changé entre nous. Peut être que tout va redevenir comme avant plus rapidement que ce que je pensais.

Arrivés dans la cafétéria, un bon nombre de regard se tourne vers nous mais il n'y a aucune méchanceté dans ces regards. Plutôt de la reconnaissance? Après s'être servis, nous rejoignons les autres. Et, étonnamment, ils sont silencieux. Comme s'ils n'osaient pas nous dire quelque chose.

- Vous allez me dire ce qu'il se passe, s'impatiente Tris. C'est à propos d'Eric pas vrai?

Uriah lève la tête et je sais qu'il va nous le dire.

- Il va être exécuté dans une demi-heure par Max.

__________________

Salut!

Je n'aime pas ce chapitre, c'est catégorique. Au bout de trois tomes, je n'arrive plus à avoir autant d'idées qu'avant et je mets beaucoup plus de temps à écrire... Je me rattraperais dans le prochain, j'ai quelques idées déjà ;) J'espère que ça vous plaît toujours autant...

TrueWordOfLove ~ <3 <4

Bạn đang đọc truyện trên: Truyen247.Pro