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END - "Years later..."


Quelques années plus tard

- C'était quoi cette poignée de main foireuse ? me fait Louis

- C'était pas foireux.

- Arrête. Y a pas 4 ans vous baisiez comme des bêtes dans la douche et maintenant vous vous serrez à peine la main ?

- C'est devenu un petit con qu'est-ce que tu veux.

- C'est pour ça cette poignée de main super chelou aux American Music Awards ?

- Ouais. Pour lui rappeler que j'existe. Et que c'était mon meilleur ami avant tout ça.

- Bah, je sais pas si c'était assez clair. Il est devenu sacrément con ces derniers temps.

- Je sais... Et toi avec Hazza ?

- Avec Hazza tout va bien. Juste qu'on peut toujours pas se montrer ensemble comme tu le sais... mais ce soir je m'en fous, je l'emmène au restaurant.

- Waw. Il va être content.

- J'espère. J'ai réservé et tout, il a intérêt à être content. Sinon je laisse tomber.

- Oh arrête, il est toujours content d'être avec toi.

Je rigole et on se sépare. J'arrive chez moi et... what the fuck is that. Y a quelqu'un chez moi ?

J'ouvre le portail et entre, pas très sûr de moi mais en même temps, si cette personne est chez moi c'est qu'elle connait mon code.

Y a des pétales de rose par terre. Genre, vraiment. Des pétales qui me dessinent une allée. Wtf. Personne va me demander en mariage, je sors avec personne. C'est quoi le truc, il s'est trompé ?

Je suis le chemin et entre chez moi, où encore il y a ces pétales de rose. Ca a dû coûter une blinde tout ça, c'est crésus mon intrus en fait.

Je continue de suivre les pétales et... non c'est ma chambre là. Il est dans ma chambre ? J'ai un peu peur.

J'entre. Et je reste là figé.

- Ca va t'es à l'aise ? je demande au gars qui est tranquillement installé sur mon lit

- Ouais ça va.

- T'as pas une blonde à rejoindre ?

- Nan.

Je regarde ce qu'il a fait de ma chambre. Ce gars est fou. Des pétales de rose partout, jusque sur le lit, mais sérieusement ? Et puis le coeur là, c'est pas un peu facile ?

- T'aimes ?

- Non.

- Oh. Okay. J'aurais peut-être dû choisir le message par avion alors.

Hein ?

- Ou avec les lumières des fenêtres d'un immeuble. J'y ai pensé, mais ca me semblait compliqué de trouver un immeuble, puis qu'on soit devant tous les deux... Puis j'ai pensé que tu aimerais les roses.

- Qu'est-ce que tu veux ?

- Qu'on parle.

- Parlons alors. Tu veux commencer par quoi ? Comment t'es un connard qui s'est barré du jour au lendemain pour aller vivre sa petite vie tranquillou aux US ?

- Non.

- Quoi alors ?

- Toi.

- Moi ? Tu veux parler de moi ?

- Ouais.

Il me fait un sourire malicieux. Qu'est-ce qu'il a encore inventé ?

- This Town... comme ça ça parle de ta ville ?

- Ouais.

- C'est marrant, parce que ça me rappelle quelque chose. Que t'avais écrit quand on vivait ensemble avec le groupe. Tu sais ça faisait un truc comme "butterflies they come alive when I'm next to you. Over and over the only truth. Everything comes back to you."

- Oui bon, et puis ?

- Rien je me disais juste que c'est marrant que ta chanson qui parlait de moi y a 4 ans parle maintenant d'une ville.

- Elle a jamais parlé de toi.

- Alors c'est moi ta ville. Parce que, si, ça parle de moi.

- Comment tu peux être une ville ?

- C'est une image. L'endroit où tu te sens vivant... je ne vais pas te l'apprendre, c'est ta chanson.

- Qu'est-ce que tu fais là Zayn ?

- Je me suis dit que ce serait fort dommage que notre relation soit passée au stade des poignées de main à la va vite.

- C'est ce que tu as voulu.

- Non. Ce que je veux c'est toi. Je veux que tu refasses partie de ma vie comme avant.

- C'est trop tard.

- Okay c'est bon tu m'as recalé, comme tu rêves probablement de le faire depuis que tout ça a commencé, maintenant tu peux me dire oui.

- Non.

- Tu me laisses pas trop le choix alors.

- Le choix de quoi ?

- Je vais t'afficher. Monsieur l'ultra pudique.

Je le vois faire je ne sais pas quoi sur son téléphone, et il sort de chez moi. Mais qu'est-ce qu'il fout ?

Je le suis en me demandant ce qu'il magouille.

C'est là que je vois l'immense horreur sur le bâtiment d'en face.

- T'as pas fait ça.

- Oh si je l'ai fait. Mais rassure-toi, je le ferai enlever quand tu m'auras dit oui.

- Mais... t'es un grand malade.

- Je sais... seulement quand il est question de toi, dit-il en passant les bras autour de moi et posant la tête sur mon épaule alors qu'on regarde toujours la chose immonde qui décore maintenant mon quartier.

- Faut que tu fasses enlever cette horreur.

- Moi je la trouve réussie.

- Je m'en fiche qu'elle soit réussie ou pas, ça dégage !

- Mais bébé... T'es tellement beau dessus.

- Rien à foutre. Ça dégage.

- Ca me donne envie de te manger. Et pas que ça...

Quand je comprends qu'il est sérieux, je me sauve dans la maison, mais il m'attrape et me coince sur mon lit.

- Cette chose doit dégager.

- Tout comme tes fringues, dit-il en m'embrassant dans le cou.

- Noooon, vraiment ! Ca peut pas rester là.

- Et pourquoi pas ? Y a bien un artiste qui a mis une queue géante, les gens ont kiffé.

- Je m'en fous je veux pas de ce dessin dans ma ville. Ni n'importe où où on pourrait le voir !

- Pourquoi ? Moi je nous trouve super beaux.

- T'as pas une meuf ? je dis en le repoussant. J'suis sûr que tu lui manques là, tu devrais aller la voir.

- Elle s'en fout.

- Ah bon ? Vous êtes un couple libre ?

- Bébé je veux être un couple qu'avec toi...

- Oui j'ai eu l'occasion de voir ça.

- Je suis désolé de t'avoir blessé. Je suis parti pour faire mes trucs de mon côté et... j'aurais pas dû te laisser là. J'ai pensé qu'à moi, je voulais m'amuser. Je me sentais tellement enfermé avec le management... Mais maintenant c'est fini. Je sais ce qui est important. Et c'est toi.

- Et c'est trop tard, je dis en me levant du lit

- Pourquoi ? T'as... quelqu'un d'autre ?

- Qu'est-ce que ça peut te faire ?

- Je prends ça pour un non. Bébé dis oui... s'il te plaît. Tu me manques trop.

- Non. Toi aussi tu m'as manqué pendant ces presque 2 ans et t'en avais rien à foutre.

- S'il te plaît. Je veux pas perdre plus de temps sans toi.

- Non.

- Je t'aime.

- ...

- S'il te plaît. De toute façon je reste ici, et je te demanderai tous les jours jusqu'à ce que tu dises oui.

- Mais c'est quoi ta question en fait ? je demande lassé

Il me regarde sérieusement. Je me dis que j'aurais peut-être dû me taire. Et c'est là que je vois la bague.

- Je veux juste pas passer une minute de plus loin de toi.

- Oh wow. Les roses, le fan art géant, toi ici et maintenant... ça ?

- Tu vois que je sais faire les choses en grand. Je suis prêt à tout pour qu'on soit à nouveau ensemble.

- Okay... dans ce cas...

- Ouais ?

- Je te laisse faire tes preuves. Mais, si au jour du mariage tu ne m'as pas prouvé que tu en vaux la peine, je dis non. Je te jure que je le fais.

Il se jette sur moi et me couvre de bisous. Eeeh il s'emballe là, j'ai pas dit oui ! On est en attente d'une réponse.

- Tu veux vraiment que j'enlève le dessin ?

- Ouais.

Il pianote sur son portable.

- Voilà, ce sera fait. J'ai un petit quelque chose pour toi.

- Quoi ?

- Tu m'as demandé de faire des dessins.

- Ouais.

- Les voilà.

Il me donne tout un dossier, rempli de dessins. Je les regarde, et... putain il m'a dessiné. Plein de fois. Il m'a laissé croire pendant des mois qu'il avait oublié mon existence et... et il me dessinait.

- Si tu veux toujours des dessins pour décorer... y en a plein. Y a de tout, y a qu'à choisir.

- Tu sais y a une chose dont je voudrais savoir si ça a changé.

- Quoi ?

- Tu devines pas ? je dis en m'approchant de lui

- Euh...

- Hmmm?

- Dis-moi.

- Ta façon de baiser.

- Oh putain. Je rêvais de ce moment.

Il se jette sur moi et m'arrache presque mes fringues. Et je fais à peu près pareil.

- Et toi, t'as appris à faire les fellations ?

- Tu sais très bien que oui ! ...non ?

- Fais-moi voir je me souviens plus.

- Putain comment tu magouilles ! Nan, t'auras rien du tout. Je t'ai pas encore assez puni pour être parti si longtemps.

- Et si je pleure ?

- Pleure je m'en fous.

- T'es devenu un coeur de pierre.

- Ouais on se demande grâce à qui.

- J'ai l'impression qu'on est devenus Larry... dit-il en un soupir. Depuis quand on se chamaille comme ça ? Je veux te faire l'amour. Tais-toi et laisse-moi faire.

- Oh... Okay.

- Et tout à l'heure je te montrerai comment on fait une fellation, souffle-t-il dans mon cou entre plusieurs baisers. D'abord je te fais l'amour.

God. Il est toujours aussi sexy. Je pourrais jouir rien qu'au son de sa voix.

- Puis on ira inaugurer ta douche... J'ai très envie d'inaugurer ta douche.

Oh putain.

- C'est dans une salle de bains que tout a commencé après tout...

- Je vais mourir putain tais-toi et fais-moi l'amour.

- Tout de suite.

- Et dis-moi que tu m'aimes.

- Je t'aime. Dis-moi que tu m'aimes.

- Nan. Tu dois le mériter.

- Et si je jouis je l'aurais mérité ?

- Fais-moi jouir d'abord et on en reparlera.

- Hmm... me demande pas pourquoi mais ça m'excite quand tu commandes tout comme ça.

- Moi ca m'excite quand tu te frottes à moi comme ça... fais-moi l'amour !

- Je t'aime trop. Je suis trop heureux de te retrouver.

- Bah montre-le-moi. Mieux que ça.

- T'es sûr hein ? Parce que ça va faire beaucoup d'un coup.

- Je connais tes performances sexuelles je sais à quoi m'attendre. Vas-y.

- D'accord. Comme la première fois tu voudrais ? En gros câlin.

- Ouais.

Je vais mourir avant qu'on commence.

Ca va être ca ma vie maintenant ?

Si on m'avait dit un jour que j'allais tomber amoureux de mon meilleur ami, puis qu'il allait partir, et qu'il reviendrait comme s'il n'avait jamais cessé de m'aimer... je n'y aurais jamais cru. Et putain, je l'aime.

Et dire que tout a commencé dans une salle de bains.

- J'suis gay.

- Quoi ?

- J'suis gay !

- Ah. Bah... moi j'ai la syphilis.

- Tais-toi embrasse-moi.

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