Friend?
Hannah's head
Je venais de passer une des semaines les plus merveilleuses de ma vie, vendredi soir, avec l'équipe nous avons joué notre place pour la qualification de septembre.
Et j'étais d'une certaine manière totalement conquise de savoir que l'année prochaine, j'allais entrer dans une nouvelle catégorie, le fait de progresser, me procurer un plaisir exquis.
Ensuite, j'avais passé, le week-end avec Valentine, Benjamin et Rachel. C'était juste le feu, je n'étais jamais vraiment sortie en ville, et j'ai pu en profiter ce week-end.
Moon quant à elle avait dû aller son week-end chez ses potes, parce que ma mère à refuser d'elle dorme à la maison, pour une raison qui m'échappe.
Bref, le week-end vient de se terminer, et j'emmène les jumeaux pour leur premier jour de cours.
Je les déposais devant leur entrer, avant de me diriger vers le parking, au même moment, une voiture flambant neuf se gare à ma gauche, je ne fais pas attention à qui appartient cette voiture, et me dépêche de sortir. Je vais arriver en retard à ce rythme-là.
Je remettais ma jupe patineuse correctement, et saisi mon sac de cours.
J'avançai vers le bâtiment, quand j'aperçu tout la petite bande, je soufflai et emprunta une autre direction, sauf, que, Carter m'avait vu et forcément il a ramené son petit cul pour m'embêter.
Je fis exprès de ne pas le voir, et fonça immédiatement en cours.
Je m'assis à une des dernières tables restantes, au fond de la classe, seule. J'avais besoin de rattraper ma nuit d'hier, et quoi de mieux qu'un cours de SVT pour ça.
Je ne suis pas le genre de fille à faire des conneries ou autres, mais je suis réellement crevée, j'ai besoin de sommeil.
Mon repos fut de courtes durée, quand je vis arriver Jack et Matthew s'approcher dangereusement de ma place, finalement Gilinsky s'installa à la place devant moi, et Matt à ma droite.
Je soufflai, et décida de ne pas faire attention à eux.
D'un coup Matthew leva la main pour être interroger, et encore une fois, je me la suis fait mettre à l'envers.
« Monsieur, Hannah ne se sent pas bien, je peux l'accompagner à l'infirmerie.
Evidemment, ce couillon a dit oui.
- Monsieur, vous inquiètez pas, je vais bien, j'ai pas besoin de sortir.
- Mademoiselle Crew, vous êtes très pâle, et je ne permettrai pas qu'il vous arrive un incident dans mon cours, dit-il tout sourire. »
Je suis sûre si Matthew n'avait pas demandé, j'aurais pu crever sous ses yeux, qu'il ne m'aurait même pas donné un verre d'eau.
Je traine des pieds jusqu'à la sortie, et je vois cette imbécile de blondinet, lancer un clin d'œil à son pote. Je crois vraiment qu'il pense que j'ai que deux neurones.
J'essaye de mettre une distance entre lui et moi, en partant plus vite, mais à peine ais-je fais deux pas qu'il attrape mon bras.
« Lâche-moi Espinosa, lui lançais-je.
- Hannah, tu peux crier, hurler, te débattre, me frappez, tu sais très bien que je n'abandonnerai pas. Tu sais, Hannah, dit-il en caressant du bout des doigts ma joue, plus vite les choses sont réglés, plus vite, tu pourras vivre ta vie.
- Parce que tu penses sérieusement, que votre petit jeu m'atteint, dis-je en enlevant la main de ma joue. Tu te trompes, sur mon compte. Je suis pas comme toutes ses filles, moi, je me bats, je me bats pour mes convictions, et quel que soit le prix à payer, lançais-je à quelques centimètres de son visage.
- J'adore quand il y a du défi, ça m'excite, me susurre-t-il dans le creux de l'oreille. »
Je ris, et repart vers l'infirmerie. Je le sens me suivre, mais je n'en tiens pas compte.
A un moment, je sens des mains se coller à mes hanches, et je sens un corps se plaquer contre mon bassin.
« Matthew, arrête ça tout de suite, tu veux bien, dis-je assez fort. »
Je remarque aussi à ce moment que nous sommes à l'extérieur du bâtiment, entre l'infirmerie et les salles de cours.
Ce salop à choisit un endroit à l'abri des regards.
Je sens ses lèvres se déposer dans mon cou, un léger frisson me parcourt le corps.
Je me dégage à nouveau, et je le vois sourire.
« Souris pas, ça te rend encore plus dégueulasse, dis-je face à lui, les bras croisés sur ma poitrine.
- Tu pourras dire tout ce que tu veux, mais je suis en train de déstabiliser, s'approche-t-il de moi. »
Je fais un pas en arrière, mais je me retrouve très vite collé au grillage du lycée.
Putain, logiquement dans le genre d'histoire bateau à la con, cette scène aurait été romantique, mais là, j'ai plus l'impression que je vais me faire violer à n'importe quel moment. C'est moins glam d'un coup.
Je fais finalement face à Matthew, son regard, me transperce littéralement.
Il à un sourire sur le bout des lèvres, et il attrape mes hanches.
Merde, j'ai l'impression d'être impuissante, tous mes membres sont complétement paralysé, un doux mélange de sentiments me transperce, entre désir, peur et inconnu.
Il scelle ses lèvres avec les miennes, et j'ai juste l'impression de vivre un concert de hard rock dans mon cerveau.
Quand, il décolle ses lèvres, il a toujours son sourire, et j'ai juste envie de l'étriper.
« Je pensais pas que ce serait aussi facile, tu vois, quand tu veux, on trouve un accord commun, me dit-il en me faisant un clin d'œil. »
Je l'entends se moquer, en se redirigeant vers l'établissement, je sais pas pourquoi j'ai fait ça, mais je lui ai mis une béquille. Il s'est rétamé, et j'ai ajouté.
« Toute façon, t'embrasse moins bien qu'Aaron. »
Attendez, calmez-vous. Je n'ai jamais embrassé Aaron, mais, si je fous le bordel ça peut être drôle.
Je laisse Matthew par terre, se tordre de douleur, pendant que je retourne en cours.
Quand j'entre dans la classe mon prof me demande pourquoi je ne suis pas avec Matthew.
« Il est tombé dans l'escalier, rien de bien grave, mais du coup, il est un peu à la traîne, dis-je narquoisement. »
Je narguais Gilinsky du regard, il avait compris que si Matthew n'était pas là, c'était encore ma faute.
Je me rassois à ma place et Jack se retourne vers moi.
« Il est arrivé quoi à Matt ?
- On va dire, que je lui ai peut-être, je dis bien peut-être mis une béquille. Et, je tiens à dire que ce n'est pas de ma faute, s'il a aucun appui et aucune force. »
Il me foudroie du regard pendant que je me moque ouvertement de lui.
Au finale, je commence à bien aimer ce jeu.
Quelques minutes après, Matthew entre en classe, il boite un peu, et je ne peux m'empêcher de rire.
« T'es vraiment qu'une traînée, me chuchote-t-il.
- A force de jouer avec le feu, on s'y brûle, renchéris-je. »
Après ça, la sonnerie sonna, et je vous épargne les autres longues et intéressante heures de cours.
Ce qui nous emmène à ma soirée, vu que notre soirée de fin d'année approche, il faut absolument, organiser tout un tas de choses.
Toutes les équipes de sports sont mobilisés, on se retrouve tous finalement dans un grand amphi à écouter nos directeur faire de la parlote. J'envoie quelques SMS à Jaden pour passer le temps, ouais parce que Rachel est en train de roucouler avec mon meilleur ami, Noah.
J'envoie quelques chuchotements à mon égard, mais je n'y prête pas attention.
En sortant de la salle, ma coach m'attrape par le poignet.
« Hannah, tu es sûre de vouloir faire ça ?
- De quoi tu parles ? Lui demandais-je à moitié à l'ouest.
- Bah, Matthew Espinosa vient de proposer d'être avec toi, pour les activités, celle qui servent à aider les préparations de la fête.
- J'ai jamais dit oui à ça, moi, me plaignais-je.
- Tu n'as pas écoutés tout à l'heure ? Quand tout le monde faisait des propositions.
Je hoche la tête pour lui faire comprendre que non.
- T'es pas possible, Hannah. Ecoute, je te fais confiance, mais ne tombe pas dans leur filet. »
J'en ai marre de toujours avoir affaire à eux.
Rachel's Head
Je m'apprêtais à rentrer chez moi, quand je vis les phares d'une voiture m'éblouir. La voiture me dépassa et puis fit marche arrière, je pu juste remarquer que c'était une voiture de luxe.
Quand la voiture s'arrête à mon niveau, je remarquai instinctivement le vicieux visage de Taylor Caniff. Il coupa le moteur, et ouvrit sa portière.
« T'es au courant que ce baladais seule, le soir, dans les rues de L.A ça craint un peu, niveau sécurité.
- Tu crois, Taylor ? Oh, j'ai oublié, ma voiture a été retrouvé avec deux pneus crevés la semaine dernière, je suis censé être ta mère et venir en cours en tapis volant, du con.
- Ou, tu pouvais simplement emmener ta voiture chez le garagiste.
- Tous le monde a pas les mêmes moyens, dis-je en fixant sa bagnole.
- Je peux te ramener, dit-il d'un ton innocent.
Je croise les bras sur ma poitrine, et ris.
- Tu me crois assez naïve pour tomber dans ton panneau.
- Eh, on est lundi soir, j'ai autre choses à foutre que de te draguer, en plus, on m'a pas mis dans la mission séduction, vu que j'ai une copine.
J'arque un sourcil.
- Je te promets, ce qui doive te draguer ce sont Nash et Johnson. Allez, tu ne vas pas mourir à monter dans ma voiture. »
Je souffle, hésitante. J'ai encore beaucoup de chemin à faire, et j'avoue que me baladait seule, ne me rassure pas forcément. J'accepte finalement.
On commence à faire un bout du chemin dans le silence, quand il décide finalement de lancer la conversation.
On discute pendant un quart d'heure, et je me rends compte à ce moment, que je n'ai donné aucune adresse à Taylor.
« Taylor, j'ai oublié de te donner l'adresse, c'est..
- Trop tard, on est trop loin, répond-t-il sèchement.
- Taylor, non, je ne rigole pas, là. Tu vas me ramener chez moi immédiatement.
- Ta gueule, putain. »
Il se gare finalement devant une grande propriété.
« Je m'en bats royalement les ovaires, je dors dans ta voiture »
Il souffle, descend de la voiture, et vient ouvrir ma portière. Il m'enlève la ceinture de sécurité, et me porta jusqu'à la porte d'entrée.
J'avoue j'ai hésité à partir en courant en mode bat les steaks. Puis, je me suis rappelé que je connaissais absolument pas la ville.
« Tu vis seule, dis-je en entrant dans sa maison.
- Ouais, mes parents n'habitent pas à L.A. Mais en soit, je me porte mieux comme ça, renchérit-il en enlevant sa veste. T'as faim, peut-être ?»
Je hoche la tête, je suis un peu gênée, en fait. Taylor, n'a pas l'air méchant, mais je me doute de la connerie.
Je le vois préparer des pâtes, quand j'entends un aboiement qui me fait littéralement sursauter. Je vois Taylor rire de la situation.
« Eh, rigole pas, toi, boudais-je. C'est pas ma faute, si je savais pas que t'avait un chien.
- T'as réaction était mignonne. »
Je sais pas pourquoi, j'ai paniqué, je lui ai lâché un : « Toute façon, t'as une meuf. »
Je crois, il a pas capté lui aussi. C'est pas ma faute, si je ne contrôle pas ce que je dis quand je stress. Rachel ou la meuf maladroite.
« Désolé, quand je suis mal à l'aise, je commence à dire des conneries, m'excusais-je un peu honteuse.
- T'inquiète pas, ce n'est pas ta faute, je t'ai en quelque sorte kidnappé, t'as le droit d'être mal à l'aise.
- Ça ferait une bonne chronique : Rachel kidnappé par un mec avec une Ferrari et miskin j'ai pas vu sa tête, mais il a dû bif.
- Tu peux être conne quand tu le veux, rit-il. En fait, je te penser pas comme ça.
- Tu me pensais comment, dis-je en m'asseyant sur le plan de travail.
- Chiante, ennuyeuse, et capricieuse, bon t'es chiante, mais t'es chiante d'une manière mignonne et innocente.
- En même temps, c'est normal que j'ai l'air d'être innocente, je suis vierge.
Je crois mon cerveau, il s'est pris d'un fou-rire tout seul, genre, vraiment. Ça a mis un gros blanc, avant que je parte littéralement en fou-rire.
- T'es différente des filles que je croise d'habitude.
- Ouh, la phrase de loveur. Attend à mon tour, ton père c'est un terroriste, parce que t'es une bombe.
Je l'ai entendu rire.
- Tu te défonces à quoi, Rachel, me dit-il tout sourire.
- J'en sais rien, c'est naturel. »
Et, on a passé la soirée comme ça, à rire, et à parler. Je crois que j'ai jamais été aussi proche de quelqu'un en si peu de temps.
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OHOH.
Salutation, patrice.
MDRR. LES GARS J'ADORENT ECRIRE BASKET UN TRUC DE OUF! TROP D'INSPIRATION ET TOUTTTTTT.
BON PAR CONTRE J'AI RIEN A VOUS DIRE PARCE QUE J'AI UNE VIE NULLE A CHIER.
BREF, j'aime le rapprochement Taylor/Rachel (Taychel ? Raclor ? (miskin on dirait je vais te vendre du fromage après) Raylor ?) Mdrrr, je suis sûre, parmi vous, y en a elle croisé les doigts pour du lemon, mdr toujours pas
Lots of Raclor (ntm, j'aime trop les shipp de merde)
Maddy
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