(Point de vue de Sacha)

Il ne pensais tous de même pas que sa allait se finir comme ça ? Tous est toujours sous contrôle avec moi. Comme l'homme que j'ai " assommé" ce matin. Quand il dormait j'ai refais tous mes plans. Je dois trouvé deux milles euros dans moins de 24heures. Le coup de feu ne venais pas ne nous et pourtant une balle est arrivée dans la porte. On regarde tous le même endroits.

- Qu'est...

Le blond enferme sa bouche dans sa main et mon kidnapper ma fait baisser la tête. Le troisième nous fait signe de baisser notre tête et de nous taire. On part dans la chambre où on a dormis. A ce que j'ai compris le brun s'appelle Kenzo. Il nous enlève le tapis du sol et ouvre une trappe dans le sol. On entre tous dedans et il referme tous derrière nous.

- Bon il faut se séparer toi tu viens avec nous et toi tu restes avec lui. On se retrouve au point de rupture dans deux jours.

- Enora, je t'emmerde.

- On se retrouvera, salope.

Sur nos mots de gentillesse ont de font dans des tunnels après avoir descendu un immense escaliers. Il fait tous noirs et pourtant je sent un courant chaud à ma droite. J'ai trop mal aux pieds encore trois mètre et je m'effondre.

- On s'arrête.

- Il faut sortir d'ici. Après on trouvera un hôtel pour dormir si tu veux.

- Non, j'ai trop mal aux pieds. Sa fait plus de deux heures qu'on marche.

Une main prend la mienne et il me fait arrêter de marcher. Il est tous près de moi, tellement près que je sent son souffle vers mon oreille.

- On arrive dans cinq minutes, tu veux t'arrêter à l'endroit le plus dangereux ?

- Comment tu sais qu'on est bientôt arrivé ?

Il se remet a marcher tous en tenant ma main.

- Le rond blanc jaune devant c'est la sortis, avant on prend à droite et on sort.

En effet à droite se trouve un sac qu'il prend et on sort dans une ruelle. Le temps passé sous terre a échanger le soleil en lune. Il est vraiment tard. On s'arrête dans un hôtel où il réserve une chambre pour deux. Je ne suis pas d'accord.

- Et moi ?

- Toi tu dors avec moi.

- Et si j'ai pas envie ?

- Rho, arrête de faire l'enfant si tu tiens temps a recevoir une balle en plein cœur reste dehors.

On monte dans la chambre et il referme la porte. Je fonce directement au toilettes. Je reviens quelques minutes plus tard et plus personne. Je n'ai pas l'énergie nécessaire pour le chercher alors je repars dans la salle de bain enlever mon pull de mes hanches et l'enfiler. mon jean et mon haut se retrouve à terre et je m'allonge sur le lit.

Une sensation tellement douce. C'est chaud, et bon. C'est une pizza ! Mes yeux s'ouvrent et admire un belle homme qui me regarde.

- Tu as faim ?

Je remue lentement pour m'asseoir. Il me tend une part que je prend volontiers.

- Tu as bien dormi ?

- Je mange.

Mes yeux sont encore mis clos et mon estomac bien réveiller. Quand le repars fut fini il part jeter le carton à la poubelle. Quand il se rassois je me met sur lui pour laisser ses bras m'enrouler.

- Rendors toi, je te réveillerai plus tard.

- Embrasse moi. 

- Non pas se soir, tu es trop fatiguée.

Je n'arrive pas à dire mes pensées ou plutôt arrêter de dire des bêtises. En même temps je n'arrête pas de le regarder et j'ai tellement envie qu'il m'embrasse. Ma main agrippe ses cheveux pour rabaisser sa tête vers la mienne. Je sent un petit sourire parvienne à son visage avant que ses lèvres frôle les miennes. J'en veux plus, toujours plus. J'essaie de me lever de manière à avoir un contacte plus vrai mais il se retire.

- Non ma jolie, c'est moi qui commende ici.

- Attend quoi ?

Il viens de dire quoi ? Mon dos se redresse et je fais exprès de croiser son regard.

- Tu en veux plus et moi je veux mon argent. Tu sais celui que tu m'as volée après m'avoir drogué. Alors tu n'auras rien de moi durant ces trois jours.

- Je croyais que c'était deux.

- Ça a changé, je ne sais pas si tu as remarquer mais on est un peu suivit en ce moment.  Donc on doit rester à l'abri de tous les regards.

- Sa n'empêche qu'on ne peu sortir alors je ne peux pas te donner d'argent alors j'ai le droits d'être embrassé. Et comme tu ne t'y opposera pas...

Mon ton de voix me surprend, j'ai l'impression de draguer alors que j'ai le sourires aux lèvres. Mes mains se posent sur le lits et je fais quelques pas avant d'arrivée a son niveau. Je n'aime pas regarder dans les yeux mais lui, lui il est différent.

- Je t'ai dit...

- Tu as peur de quoi au juste ? Je te rappelle que sa restera entre nous.

- Avant de faire quoi que se soit, tu es déjà en couple ?

- Qu'est ce que cela peut te faire. On est dans une pièce et rien que nous deux.

- C'était la fille de tout  l'heure ou une autre personne ?

Qu'il m'énerve avec ses questions j'ai tellement envie de lui a cette instant que je ne sais pas se qui me retiens de lui enlever sa de sa tête. Mais j'ai plus d'un tour dans mon sac.

- Soit tu m'embrasses maintenant ou sinon je me casse. Dépêche toi de choisir.

Je me retrouve allonger avec mon pull beaucoup trop remonter à mon goût. Je ne suis pas pudique mais si on ouvre la porte tous le monde pourrais voir mes sous vêtements.

- Si on fait une seule chose de plus que là, tu devras m'appartenir. Tu en es consciente ?

Je hoche la tête et il part vers son sac. Je n'ai aucune idée de que cela signifie pour lui comme pour moi mais une petite voix dans ma tête me dit que le coca n'était pas seul avec les glaçons. Il a rajouté un autre ingrédient. Il reviens vers moi et me retourne sur le ventre. Une sensation de froid me pique le bas gauche du dos. Je bouge mais il s'assoie sur moi.

Je crois qu'il m'a marqué. Je suis sa propriété privée.