(point de vue Sacha, a fille aux cheveux rose)

En oubliant tous ce qui c'est passée ses dix dernières années et mon sens nul pour les relations humaines je me renforce avec elle. Sa fumée sort de sa petite bouche parfaitement maquiller comme une vrai garce. Elle me fait vibrer comme personne d'autre. Je l'aime tellement cette fille. Elle me prend par na nuque pour coller nos fronts l'un contre l'autre tout en m'embrassant délicatement par dessus le goût de l'alcool.

- Tu restes avec moi, j'ai besoin de toi.

- Je te donnerais tous, ma salope. me dit elle avec son plus beau sourire sournois.

Ses yeux de chat m'emmène dans la chambre du fond et nous reprenons très vite nos habitudes. Deux trois verres de champagnes et des épaisseurs en moins pour un plaisirs optimum.

Enora est la fille qui m'a tous fait découvrir. On est plus que complice plus que des sœurs et encore plus que soudée. On ne se traite pas comme petite amie car elle sais que j'ai laisser mes sentiments de côté il y a bien longtemps mais je lui dit souvent qu'elle compte pour moi.

Son bras sur moi me réveil doucement laissant place à un mal de crâne dû au plaisir divin de a veille. Je part dans la cuisine en sous vêtement pour trouver de quoi déjeuner. Apparemment il y a eu une fête ici, après tous j'en sais rien et c'est très bien comme ça. Les cadavres de personne endormis ne cesse de me surprendre. Il faut vraiment que je retourne au travail aujourd'hui sinon j'aurais pas ma paie.

Un long et fougueux baiser plus tard je suis partis pour me laver un minimum avant de repartir chez moi des images des mon bracelets perdue me reviennent en tête j'ai un mauvais pressentiment. Ce petit bijoux tous fin argenter accompagnée d'une pierre carrée en onyx à toujours sû me guidée. Sûrement parce qu'on dit qu'il repousse la négativité et qu'il augmente la persévérance. La seule fois ou je ne l'ai pas porter ça m'a coûter très chère alors maintenant je le garde tous le temps, et c'est comme ça. C'est l'une des rares chose au qu'elle je tiens au jour d'aujourd'hui.

Le lycée n'a pas encore sonnée, encore heureux pour moi je vais réussir aujourd'hui, la petite fille douce et gentille. Pf, tu parles si les gens savaient se que je fessait avec mes mains ils changerais de pays.  J'entends des motos arriver et un sourire se fend sur mon visage. Hier j'ai quitté ce julien après l'avoir shooté et baisé. Je me dirige vers l'escalier pour prendre mon cours de sport quand une voix "inconnu " m'appelle.

- Sacha !

Sans aucun doute c'était bien la voix du gars d'hier. Il s'approche de moi et je titille le piercing de ma langue pour éviter de m'emporter. De toute évidence il a l'air énerver.

- Bonjour, tu veux quelques chose ?

Jouée l'indifférence c'est le meilleur remède miracle.

- Heu tu m'expliques ce qu'il c'est passer hier, et ce qu'il c'est passer à l'argent d'hier ?

Il cherche mon regard, que je n'accorde pas, bien sur. Je ne regarde personne dans les yeux, c'est une de mes particularités je regarde le  front, les sourcils mais pas les yeux. Je sens qu'il s'impatiente et pour faire tourner mon interlocuteur en bourrique je n'adresse qu'un simple sourire pour à nouveau partir.

Ma matinée aurais été des plus ennuyante si je n'avais pas reçu un message me disant que ce soir je vais avoir besoin d'un gros calibre. Maintenant je sais, ma journée se déroule à merveille, ou presque. Toujours à mes trousses le Hulk de la motos m'empoigne jusque dans les vestiaires. J'ai beau me débattre il a réellement de la force comparer à moi. La mains englobe tous mon poignée et je ne peux qu'avoir mal et quelques rougeur.

- Bon, tu m'expliques pourquoi tu es venue chez moi hier ?

-  On a fait une rédaction, et ensuite on c'est chevaucher comme des bêtes féroces.

Mes doigts lui monte vers son coup et je vais la moue des lèvres.

- On dirais que tu n'as pas apprécier se que je t'ai fait hier, pourtant tu avais l'aire tellement heureux... Je me retrouve plaquer contre le casier d'une personne avec lui tous près de moi.

- Je t'interdis de dire que j'ai été heureux.  Reviens chez moi ce soir, et pose pas de question.

Pourquoi cette personne change d'humeur comme une étoile filante apparaît. Cette fois c'est moi qui inverse les rôles.  Le prenant pas le col mes yeux atterrissent vers sa bouche.

- Qui t'as dit que j'allais venir, t'es pas l'univers pour me donner des ordres pareil. Et pour que tu saches, oui tu as bien été content quand je t'ai fait jouir sur le canapé. Il continue à essayer de me faire peur en prenant une voix grave.

- Où comptes tu aller ce soir ?

- Pourquoi tu veux savoir j'ai pas de compte à te rendre.

- Dit le, sinon je te suis.

- Une teinture chez un coiffeur t'iras comme réponse ?

- Tu n'es pas une fille qui a froid au yeux n'est-ce pas ?

- Non j'ai du culot et assez pour te dire qu'on se voit demain si tu veux. C'est pas bien de rester trop longtemps sans bouger son corps entièrement.

Mes pieds avancent et je me retrouve vite en dehors du lycée. Ce soir va être une grande fête. Je passe tous d'abord au bar pour faire décompresser mon patron. Je travaille ici en temps que serveuse et maîtresse. Un job que j'aime beaucoup et je ne suis pas là seule dans cette situation.
- Je putain oui ! Continue !
Ses aboiements et gémissement me donne la chaire de poule, j'éprouve un plaisir incontestable pour entendre les personnes dans ce genre de situation.
Malheureusement un client habitué arrive et je me retire de lui.

- Pourquoi tu as été aussi longue ? Tu sais bien que je veux la nouvelle collection des boutiques.

- Tu les auras, j'ai pris un peu plus de temps au bar.

- Encore a coucher avec lui, et dire que moi je ne peux plus...
Son aire faussement déçu le faire rire. Encore quelques virage puis  on arrive à notre lieux, pris pour cible.