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Backstage

Maxime releva son t-shirt nerveusement, ses mains s’agitant inutilement dans le vide.

– Merde… Dépêches-toi, Sid.

Les doigts de Sidjil frôlèrent la peau chaude de Maxime, tandis qu’il tentait de saisir en vain le fil du micro qui s’était détaché de son boîtier.

– T’es marrant toi, t’avais qu’à pas t’agiter dans tous les sens, on en serait pas là.

Maxime grogna en réponse, laissant Sidjil s’affairer à la recherche du câble.

Ses mains se posèrent sur le dos de Maxime, chaud et luisant à cause des spots du plateau de Zen ; il laissa ses doigts glisser plus loin, son pouce frôlant ses hanches tandis qu’il tentait de se saisir du cordon.

Maxime ne put empêcher ses muscles de se raidirent quand Sidjil glissa sa main juste au-dessus de son bas-ventre, sa voix basse vibrant dans son dos lorsqu’il jura rageusement alors que le fil lui échappait d’entre les doigts.

Sidjil remonta sa main jusqu’à son torse, et Maxime tressauta nerveusement au contact ; le plus grand échappa un grognement, quand le câble se déroba de nouveau de sa prise.

– Bouge pas.

Maxime leva les yeux au ciel.

– Plus facile à dire qu’à faire, t’arrête pas de me toucher je te signale.

Sidjil ne releva pas la remarque, se contentant de laisser ses doigts glisser plus loin, jusqu’à ce qu’il puisse enfin le saisir entre son index et son majeur ; poussant un cri victorieux, il ramena le fil derrière pour le rebrancher au boîtier.

Maxime ne put réprimer le frisson qui parcourut sa colonne quand Sidjil agrippa la ceinture de son pantalon pour l’abaisser, essayant d’atteindre le boîtier qui se trouvait là.

Il ferma les yeux, essayant d’éloigner son esprit loin de là où sa peau le brûlait ; juste aux endroits où Sidjil l’avait touché. Cependant, un halètement franchit ses lèvres lorsqu’il sentit la main de celui-ci se glisser derrière sa cuisse.

– Qu’est-ce que tu fous ?!

Une autre vint se serrer sur sa hanche, le maintenant fermement immobile.

– Détends-toi, ton boîtier a glissé, j’essaie juste de le choper.

Maxime laissa un soupir tremblant franchir ses lèvres, tandis qu’il tentait vainement de reprendre le contrôle sur son corps.

Néanmoins, Sidjil semblait inconsciemment déterminé à le faire échouer, puisque ses doigts se frayèrent un chemin entre ses jambes, caressant sans le vouloir une zone sensible qui se trouvait là. Un léger soubresaut remonta son échine, le faisant gémir bruyamment.

Sidjil se figea net et Maxime se raidit.

Sidjil se redressa et se planta devant Maxime, le cherchant du regard.

– Max ?

Sa voix était douce, légèrement moqueuse quand il voyait le plus petit se cacher honteusement derrière ses mains. Il les retira doucement de son visage, mais il n’eut pas le temps de dire quoi que ce soit que celui-ci le devança :

– Mec, je suis désolé, je suis juste sensible et-

– T’inquiète, y a rien de grave.

Il eut un silence, jusqu’à ce que Maxime murmure :

– Si, justement.

Il baissa la tête et Sidjil suivit son regard, jusqu’à voir le léger renflement dans son pantalon.

Maxime recula de quelques pas, embarrassé ; il passa une main sur son visage, balbutiant des excuses de manière incompréhensible. Sidjil amusé, réduisit la distance entre eux, prenant la main de Maxime dans la sienne, il demanda :

– Laisse-moi t’aider.

Maxime releva soudainement la tête, les yeux écarquillés. Un sourire recourba les lèvres de Sidjil en voyant l’expression incrédule de Maxime.

– C’est de ma faute si tu es dans cette situation mec, laisse-moi t’aider.

Il ne laissa pas à Maxime le temps rétorquer quoi que ce soit qu’il le fit reculer jusqu’au mur.

Maxime inspira brusquement lorsqu’il sentit les jointures de Sidjil frôler son sexe quand celui-ci déboucla sa ceinture d’un seul geste. Incertain, il releva la tête, plongeant son regard dans celui de Sidjil.

– Sid… T’es pas obligé-

Il n’eut pas le temps de finir sa phrase que Sidjil agrippa sa nuque, plaquant brusquement ses lèvres sur celles de Maxime.

La prise de Sidjil se déplaça vers la hanche du plus petit, les rapprochant. Puis, il bougea son bassin, frottant le denim rugueux contre le sexe de Maxime, lui arrachant un soupir. Les mains de Maxime se refermèrent sur le t-shirt de Sidjil, agrippant avec force le tissu, alors qu’il sentait ses jambes trembler sous lui.

Il haleta dans leur baiser quand il sentit la main de Sidjil se glisser dans son boxer, saisissant son érection douloureuse. Le souffle court, Maxime rompit le baiser, laissant sa tête retomber dans le cou du plus grand.

Sidjil prenait son temps, laissant ses doigts glisser du bout à la base, se délectant de voir la façon dont le plaisir de Maxime montait de plus en plus haut à chaque passage.

Frissonnant quand son poing se tordait juste comme il faut, jurant quand son pouce passait sur la tête de son sexe, grognant quand ses doigts remontaient la courbe de sa hampe pour récolter le précum qui fuyait.

Sidjil aimait la façon dont la voix de Maxime se resserrait, sa respiration rapide étranglant ses gémissements.

– Putain… Sid.

La prise sur son t-shirt se fit plus forte et le souffle chaud dans son cou plus erratique.

Il pouvait sentir que Maxime se retenait de faire du bruit, mordant sa lèvre avec ferveur, s’assurant qu’aucun son indécent ne sorte de sa bouche. Un sourire sournois recourba ses lèvres, alors qu’il glissa son genou entre les jambes de Maxime, le laissant reposer là, juste contre ses couilles.

Puis, Sidjil accéléra soudainement ses mouvements et la tête de Maxime heurta violemment le mur, le corps parcourut de frissons incontrôlables alors qu’il gémissait bas dans sa gorge.

Maxime était magnifique comme ça ; les yeux clos, tremblant, les lèvres entrouvertes, et la respiration haletante ; s’abandonnant totalement au plaisir. Un grognement guttural vibra dans la gorge de Sidjil, quand Maxime roula inconsciemment ses hanches vers l’avant, rencontrant le membre dur de Sidjil à travers son pantalon.

Fiévreux, il saisit les cheveux de Maxime, tirant sur les mèches qui se trouvaient là, jusqu’à ce que leurs bouches ne soient plus qu’à un centimètre l’une de l’autre. Les pupilles complètement dilatées de désir, Maxime plongea son regard dans celui de Sidjil, buvant son souffle ; puis, il glissa sa main dans le cou de celui-ci et réduisit la distance entre eux, écrasant leurs lèvres ensemble.

Sidjil le rencontra avec force, leurs dents s’entrechoquant douloureusement, tandis que leurs langues glissaient l’une contre l’autre, leurs arrachant des grognements de plaisir.

C’était purement instinctif, ça n’avait rien de doux. Comme une pulsion sauvage, torride et insatiable.

Maxime s’accrocha plus fort, plus désespérément, alors qu’il sentait la chaleur s’enrouler dans son bas-ventre. Ses doigts griffèrent durement le crâne de Sidjil, alors que ses mains tiraient sur ses cheveux de manière implorante, suppliant pour plus.

Sidjil, la respiration erratique, rompit le baiser, laissant ses lèvres effleurer la mâchoire de Maxime, glisser jusqu’à son cou, écartant son t-shirt pour laisser sa bouche embrasser sa clavicule.

– Tu me rend dingue.

Sa voix était basse, rauque, comme usée par tout ce désir qui le saisissait avec violence. À ses mots, le soupir de Maxime se mua en un gémissement brisé.

– Putain, putain… Sidjil.

Il était proche, il aurait voulu le dire, le prévenir, mais aucun mot ne put franchir la barrière de ses lèvres. Sa bouche s’ouvrit en un cri silencieux alors que son orgasme le frappait de plein fouet.

Son souffle était complètement saccadé, erratique, seuls des halètements désespérés sortaient avec peine de sa gorge. Tremblant, il hoqueta légèrement quand Sidjil glissa une dernière fois sa main sur la tête de son sexe, récoltant les dernières preuves de sa jouissance.

Maxime ferma les yeux, laissant sa tête retomber contre la poitrine de Sidjil, faisant confiance à celui-ci pour le maintenir debout, puisque ses jambes ne semblaient plus en être capables. La prise de Sidjil se resserra, rapprochant de nouveau leurs corps l’un contre l’autre, il posa son front sur l’épaule du plus petit.

Ses hanches bougèrent légèrement et Maxime le sentit ; Sidjil était encore dur. Il releva tête et le sentant bouger, Sidjil fit de même. Encore à bout de souffle, Maxime demanda d’une voix rauque :

– Tu veux que je t’aide… avec ça ?

Sidjil, l’esprit encore embrumé secoua simplement la tête et ajouta :

– Nan, c’est bon… Je m’en occuperai tout à l’heure.

Maxime déglutit, son regard se posa un instant sur les lèvres de Sidjil avant de remonter.

– Nan mec, je veux… t’aider.

Il appuya ses mots en commençant à déboucler la ceinture de Sidjil. Celui-ci échappa un grognement impuissant avant de saisir le bras de Maxime et de le trainer jusqu’à la pièce la plus proche.
   

   
      ***
 

 

Le dos de Maxime percuta la porte avec force, lui arrachant un juron de douleur, mais les mots eurent à peine le temps de franchir ses lèvres que Sidjil posa de nouveau les siennes sur celles de Maxime.

Le verrou se ferma avec un clic audible, tandis que leur baiser s’approfondissait ; jusqu’à ce que les soupirs de Sidjil se muèrent en un grondement d’impatience.

Il roula ses hanches inconsciemment, cherchant une quelconque friction pour soulager sa peine.

Sidjil soupira dans leur baiser quand Maxime acheva de déboucler sa ceinture, libérant son sexe douloureux. Néanmoins, Maxime n’eut pas le temps de passer une main entre eux que Sidjil le renversa sur le canapé qui se trouvait là.

Sur le dos, Sidjil au-dessus de lui, Maxime papillonna des yeux et ne put empêcher un frisson de remonter son échine quand le regard de Sidjil rencontra le sien.

Un jurons franchi ses lèvres, et son corps se cambra inconsciemment cherchant le contact, tandis que son sexe durcissait de nouveau dans son pantalon.

Sidjil plaqua son bassin contre celui du plus petit, son membre rencontrant celui de Maxime à travers leurs vêtements. Maxime rejeta sa tête en arrière quand Sidjil commença à bouger, grognant quand le denim rugueux frotta contre son sexe humide.

– Mon jean…  il haletait, essayant de repousser son pantalon, mais la ceinture l’en empêchait. Putain… Enlève-le.

Les doigts de Sidjil saisirent le pantalon de Maxime, tandis que celui-ci soulevait maladroitement ses hanches, permettant à Sidjil de le glisser jusqu’à ses cuisses. Ils gémirent à l’unisson quand leurs bassins se rencontrèrent de nouveau, leurs jeans délaissés, Maxime se redressa sur ses coudes tirant avec impatience sur l’élastique du caleçon de Sidjil.

Sidjil le repoussa, sa main sur le torse du plus petit, le forçant à se rallonger dans le canapé, un sourire narquois se dessinant sur ses lèvres quand Maxime râla au geste. Sidjil laissa ses doigts glisser lentement jusqu’à l’aine de Maxime, butant sur le bord de son sous-vêtement, avant de saisir le sexe déjà fuyant de celui-ci.

Il embrassa son cou, son épaule, se délectant de la vue de sa peau couleur carmin, rouge de plaisir. Maxime haletant, se tortilla, tirant sur les cheveux de Sidjil, il ordonna à bout de souffle :

– Aller putain, bouge.

Sidjil s’exécuta.

C’était un petit mouvement de hanches, rien de plus qu’un léger roulement de bassin. Mais cela envoya des frissons dans tout le corps de Maxime, le faisant haleter et enfoncer plus fort ses ongles dans le bras de Sidjil.

Puis, les doigts de Sidjil s’enroulèrent autour de leurs membres, arrachant un gémissement erratique à Maxime qui se cambra au contact. Pour toute réponse, Sidjil laissa un soupir à la limite du gémissement lui échapper.

Les muscles fléchirent sous la main de Maxime, alors que Sidjil recommençait à bouger ; laissant sa tête retomber en arrière, son dos s’arquant, Maxime siffla quand les hanches de Sidjil claquèrent en avant, laissant des traînées sales et lisses sur son sexe.

Ses bras passèrent sur les épaules de Sidjil, les rapprochant, ses doigts se resserrèrent sur son t-shirt alors qu’un violent frisson remonta son échine.

– Merde… J’vais pas tenir...

Sidjil, haletant, son souffle court se perdant dans le cou de Maxime, murmura dans un soupir :

– Putain… Viens Max, viens.

Celui-ci, la bouche entrouverte, étouffa un gémissement quand Sidjil le tira vers lui dans un baiser affamé.

Ses vas et viens devinrent plus saccadés, plus frénétiques alors que le plaisir bouillonnait dans ses veines, remontant sa colonne. Sa prise sur la hanche de Maxime se resserra, laissant des traces rouges sur sa peau, un grognement vibra dans sa gorge alors qu’il s’arrachait aux lèvres de Maxime, goûtant la sueur là où sa bouche se pressait contre la peau nue de celui-ci.

Maxime gémit haut et fort quand Sidjil laissa ses dents percer sa chair, juste assez pour sentir le goût du sang sur ses lèvres ; tandis que les ongles de Maxime s’enfoncèrent plus loin dans sa peau, laissant de longues marques rouges derrière lui.

Ils étaient proches, ils le savaient ; l’entendaient dans leurs souffles de plus en plus rapprochés, dans leurs voix tremblantes, leurs gestes désespérés, complètement débauchés ; à la manière dont leurs muscles se tendaient, se crispaient, les frissons incontrôlables qui parcouraient sans cesse leur corps, remontant leur colonne, les laissant pantelant, haletant.

Seul le bruit de leurs respirations saccadées et le glissement humide de leur érection se frottant l’une contre l’autre, résonnaient dans la pièce.

Puis, leurs hanches se rencontrèrent une dernière fois, avant que leurs orgasmes ne les frappent avec force, traversant leur corps comme une décharge électrique ; leur arrachant un grognement guttural, les faisant vibrer tous les deux.

Après un instant, les doigts de Sidjil desserrèrent leur prise sur leurs membres, il réprima un rictus satisfait quand il sentit leur venue glisser sur sa paume ; ceux de Maxime glissèrent de son dos, s’arrêtant sur sa nuque pour embrasser paresseusement Sidjil.

Puis, Maxime brisa le silence en déclarant d’une voix légèrement éraillée :

– Merci du coup de main. il acheva sa phrase en mimant un geste vulgaire avec sa main droite, un sourire railleur sur les lèvres.

Un rire franc sortit de la bouche de Sidjil, alors qu’il se laissa tomber sur la poitrine de Maxime, les épaules tremblantes alors que son rire ne semblait pas vouloir s’arrêter.

Maxime amusé, le rejoignit bien vite, leurs éclats de rires résonnèrent longtemps dans la petite pièce.

Et quand Grim plus tard, demandera où ils étaient passés, Maxime répondra nonchalamment que Sidjil lui avait simplement donné un coup de main, sous le regard complice et amusé de celui-ci.

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