Ils terminèrent leur repas, et sortirent du restaurant, plus proches que jamais.

Mais l'euphorie retomba immédiatement – du moins pour Zayn – quand ils furent hélés par un paparazzi.

L'homme les harcela de questions, et Zayn aurait coupé court à tout ça immédiatement si Niall ne s'était pas mis à taper la discut tranquillement avec lui comme si c'était un de ses amis. Il resta donc là immobile, sans vraiment comprendre ce qui se passait. Peut-être que Niall était juste de trop bonne humeur pour envoyer balader l'homme. Ce serait tout à fait lui.

- Vous avez passé une bonne soirée ? demanda le paparazzi qui les filmait avec son portable

- Oui, grandiose !

- Ah bon tant que ça ?

Zayn aurait posé la même question si cet homme ne venait pas de le faire.

- Ouiiiii ! C'était trop bien.

- Zayn est un bon rendez-vous ?

- Ah oui il est trop chou !

Il pouffa plus ou moins discrètement mais ne fit aucun commentaire.

- Vous fêtiez quelque chose ? demanda le paparazzi avant de désigner la fameuse bague. C'est nouveau ça ? Je peux voir ?

Niall montra fièrement sa bague, avec un sourire qu'il ne pouvait même pas camoufler, vraiment trop heureux de sa soirée pour se poser des questions.

- C'est nos 10 ans d'amitié aujourd'hui, expliqua-t-il tout de même. Il est pas trop chou ?

Il fit un gros bisou sur la joue de Zayn qui ne réagissait toujours pas – à part pouffer plus ou moins discrètement il n'avait rien fait jusqu'à maintenant – et le paparazzi approuva, avant de finalement les remercier et les laisser seuls.

- T'es vraiment trop gentil, souffla Zayn en secouant la tête

- Quoi ? demanda Niall en faisant la moue

- C'était un paparazzi. Un paparazzi qui nous filmait. Depuis quand on donne des interviews dans la rue à des paparazzis qui nous filment ?

- Oh bah... Depuis ça, dit Niall en montrant sa bague avant de se mettre à rire. C'est bon c'était rien de grave.

En plus il était à peu près sûr que ce paparazzi avait été envoyé par Louis, pour qu'il se passe exactement ce qui venait de se passer. Relancer la rumeur Ziall, c'était donc ça.

- Moui... Viens, je te ramène.