Jude's head

Lorsque Nash arriva totalement enragé, je me plaçai entre les deux, mais Nash me poussa sur le côté, comme une vulgaire trainée.

J'eus à peine le temps de me relever que le poing de Nash était déjà parti dans la mâchoire de Chris, Nash chuchotait toutes les injures les plus offensantes à son égard. Je me levai d'une traite, et ce fut à mon tour de pousser Nash. Il se cogna contre la vitre, pendant que j'aidé Chris à se relever.

Les yeux de Nash étaient noircis par la haine, mais lorsque Dylan et Tyler sont arrivés, ils écartèrent immédiatement Chris de Nash. Je l'ai suivie, serrant la main de mon ami. Ils le transportèrent dans une petite salle, pour essayer d'éponger un peu sa plaie avec de l'eau. Mais dans une once d'énervement, je sortis de la pièce.

Grier et sa bande n'avaient pas bougé, il crachait les plus vulgaires insanités qu'il possédait dans son champ lexical.

« - Vous êtes pas croyable, gueulais-je en arrivant. Tu te crois tout permis, parce que t'est Nash Grier, dis-je d'un ton provocateur. Ouais, le petit vineur, fumeur de joint, sans avenir. Ouais, t'as pas changé, toujours la même gueule de con, et la même de dégaine de salop, crachais-je vicieusement. »

Plus je parlais, plus il compressait les poings, sur le moment, j'en avais strictement rien à foutre de ce qu'il m'arrivait, je ne pouvais plus tolérer ce genre de comportement, bordel, il a vingt-quatre ans.

« - Jude, casse toi, tu vas finir par avoir des bricoles, dit silencieusement Nate.

- Je vais finir par avoir des bricoles ? Mais qu'est-ce que j'en ai à foutre, il vient de frapper son meilleur pote, comme ça et je dois partir cueillir des champignons tout en chantant, à quel point la vie est belle ? Non, mais t'as fumé quoi encore Nate ? J'aurais dû te dire plutôt que la drogue détruisait le cerveau. Vous savez quoi, ce livre va vous détruire. Intérieurement comme extérieurement, alors vous avez voulu jouer, vous allez perdre. Parce que la partie est terminée depuis cinq ans, et que depuis cinq ans, je suis la seule à avoir fait quelque chose de ma vie. Alors, profiter des derniers jours de votre joyeuse notoriété parce que mon livre arrive est-il va vous faire exploser en vols. Le compte à rebours est lancé les gars, j'ai plus le temps de jouer à vos conneries. »

Je tourne les talons et me redirige vers la salle où se trouvait mon compagnon.

Je les attendais discuter derrière la porte, et lorsque j'ouvris la porte, la conversation stoppa immédiatement.

Chris avait la lèvre ouverte, et un joli hématome sous l'œil, je ne pus m'empêcher de le regarder avec pitié.

« - T'inquiètes pas princesse, ton chéri va bien, il va s'en sortir, ricane Tyler.

- Il est peut-être préférable que tu le ramènes chez lui, toute façon, la soirée vient de finir, dit Dylan.

- Tu vas devoir me ramener à l'hôtel, plutôt. Je vis avec les garçons, et j'ai pas envie qu'on me découpe pendant mon sommeil, rit-il.

Son sourire m'avait manqué, malgré son visage amoché, il restait toujours le même.

- Je te ramène à la maison, vu l'heure qu'il est, il te restera juste quelque motel miteux, et j'ai pas envie que tu fasses violer par un travesti. Tu chercheras demain un hôtel.

- Moi, je dis, que finalement, tu peux remercier Nash, de t'avoir frappé, renchérit Tyler. »

Chris lui donne un coup de coude amical et je l'aide à se relever.

Je préviens Basil, que je rentre à la maison en taxi.

Pendant tout le trajet, je check mes réseaux sociaux, tout en essayant d'éviter le regard insistant de Chris, mais je finis finalement par le regarder.

« - Qu'est qui a ?

- Rien, j'aime juste te regarder, t'es encore plus belle qu'avant. »

Je ne dis rien, et j'essaye de dissimuler mon sourire.

Je veux prendre mon temps et ne pas faire les mêmes erreurs. Il faut que j'aille doucement, et que j'arrête de foncer tête baissée.

Arrivé dans ma maison, j'emmène immédiatement Chris dans la salle de bains et le fait asseoir sur le rebord du bain.

Je sors de l'étagère une trousse médicale, et en sort un désinfectant et quelque coton.

Je commence à compresser la plaie, quand je vois les signes de douleurs sur le visage de Chris, j'essaye d'être plus douce, mais la douleur a l'air toujours présent. Je décide d'aller lui chercher une poche de glace dans la cuisine, il m'accompagne sans broncher.

« - Les enfants ne sont pas là ? Dit-il en cherchant quelque chose du regard.

- Je les ai laissés à ma mère pour la soirée, dis-je en lui donnant la glace.

- Tu leur as déjà parlé, de moi, où de je ne sais quoi ?

- J'en ai parlé à Malia, seulement. Je lui ai raconté à la version conte de fées, du coup, t'es un peu son héros, même si elle ne savait pas à quoi tu ressemblais. Puis, Théo, c'est Théo. L'homme de la maison, il ne supporte pas de voir d'autres mecs à la maison, le pire était à Seattle. Je pouvais ramener personne sans qu'il les fasse fuir.

- Je l'aime déjà cet enfant, dit-il gentiment.

- Ouais, bah, lui, je ne sais pas s'il t'aime, riais-je.

- Rassurant. »

On a fini par rire de nos vies, on a brièvement mangé, et puis on s'est installé dans mon lit et on a parlé, longtemps.

On ne s'est pas menti, on s'est juste dit la vérité, nos sentiments envers l'autre, et puis tout.

Puis vers les coups de deux heures du matin, il coupa court à notre conversation en m'embrassant fougueusement comme la première fois où cela nous était arrivé.

Flashback

Encore, et toujours une nouvelle dispute avec Nash. Je balançais toutes les horreurs que je pouvais à son égard à Chris.

J'aimais Chris, pour son sourire, sa joie de vivre et son plaisir à m'écouter.

C'était surement pour ça, que nous passions nos journées ensemble, j'avais besoin de dire à Chris la véritable cause de mon énervement, mais j'en étais incapable.

Il m'aurait aidé, je le sais. Mais, je n'avais pas la force de lui avouer, que je savais que mon copain entretenait une liaison avec Taylor Giavanis.

Il m'aurait forcé à le quitter, mais je pense qu'il est capable de changer, du moins je l'espère.

Je suis bête de croire ça, hein.

Je me le suis répété en boucle, et comme si soudainement tous mes problèmes s'évaporaient, Chris tentait de me faire rire.

Il était toujours, là, pour moi. À me faire rire quand je pleure, et à essayer de me rendre plus heureuse chaque jour.

La femme qui aura Chris aura bien de la chance, parce qu'un mec comme ça, on en a un, pas deux.

Et lorsque que cette pensée vint bousculer, les autres un léger pincement au cœur se fit.

Je ne pouvais pas être jalouse d'une fille qui n'existe même pas, puis je ne peux pas être jalouse pour l'amour de mon ami. Ça n'a aucun sens.

Aucun sens.

Tout d'un coup, toutes mes pensées changèrent..

Ce n'était plus de l'amitié que je ressentais à son égard.

Depuis longtemps, j'en étais consciente, mais merde, j'ai jamais voulu l'accepter.

Et puis merde, on n'a qu'une vie.

Chris était en train de me parler quand je me suis littéralement jeté sur lui, et que les embrassés.

Il ne pas repoussait, non, loin de là. Il a approfondi le baiser, et puis c'est parti en couilles.

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HI MES POULETTES.

chapitre à 23h normaleeee.

BREF J'AIME CE CHAPITRE PARCE QUE J'AIME LEUR COUPLE

ET FINALEMENT JE DETESTE TOUJOURS AUTANT LEUR SHIPP MAIS MSKN LEUR COUPLE C'EST LA VIEEEE. 

Bref, je sais pas si vous êtes au courant, j'ai sortis ma première vraie histoire et tout, ça s'appelle "Jusqu'aux étoiles" et voilà, cette histoire va devenir toute ma vie, je le sens.

BREF, je souhaitais juste finir mon message à un bisous à ma chérie @LotOfPizzas bref les gars laissés tomber cette fille c'est ma vie, merci wattpad de m'avoir permis de la rencontrer, enfin sérieux. Franchement on se fait des Facetimes h24, on aime les même trucs et tout, puis si tu passes par là, hein. Je t'aime, hein, même si tu le savais déjà. Je t'aime fort fort.

Après le moment fragilité, je vous souhaite une bonne semaine, et beaucoup de bonheur et de chocolat et je vous aimeeee.

 BYE