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(Chris miles en média)

Le Ask arrive dans la semaine, vous pouvez toujours me posez des questions mdrr

Jude's Head

Quatre ans auparavant :

Mon premier appartement, j'avais enfin mon premier appartement.

Fini la petite chambre universitaire, non, loin de là, les douches communes, et les colocataires bruyants.

J'avais enfin mon petit chez moi, ma vie, loin de tous ces jeunes en chaleurs.

Bien-sûr, j'avais dû trouver un petit boulot et grâce aux économies que j'avais faite lors de YouMeet j'avais quelques réserves, néanmoins, je ne pouvais plus être aussi présente pour Théo et Malia.

J'ai eu la chance incroyable de me lier d'amitié avec un gars un peu plus vieux de mon université, qui m'avait dégoté cet appart, et aussi une nounou, qui n'était autre que sa femme.

J'avais donc une nounou, un appart, deux enfants, et beaucoup de bordel dans ma tête.

Depuis, que j'ai quitté l'hôpital où été interné Martin, je ne cesse de faire des terreurs nocturnes, j'ai cette peur constante qu'il rentre de nouveau dans ma vie pour tout brisée.

Il était fou, atteint psychologiquement, un médecin m'a avoué la vérité, la terrible vérité.

Non, je n'étais pas assez naïve pour croire les mensonges de cette pauvre infirmière, qui avait tenté de me faire croire qu'il avait assassiner quelqu'un, son rôle d'actrice était pitoyable, et il aurait fallu que je sois une sombre idiote pour tomber dans le panneau.

Non, il était sérieusement malade, du syndrome de Clérambault aussi appelé érotomanie. Une maladie assez spéciale, vu que la maladie est tout simplement la conviction délirante d'être aimé.

Cette maladie est plutôt assez flippante, vu qu'elle peut entrainer dans le pire des cas des crimes passionnels, mais plus généralement, c'est le harcèlement qu'utilise les patients atteint de cette maladie.

Ils pensent qu'une personne les aimes, alors que non, et s'en suit des vengeances, du harcèlement et d'autres conneries.

J'avais pris le large quand j'avais su ça, je ne voulais pas d'une vie comme ça, Martin n'était qu'un ami, que j'avais rencontré à l'hôpital, quand j'avais dix-sept ans.

À l'époque, j'étais moi-même malade. Mais quand j'ai eu mon accident, celui provoqué part Nash et Matthew, je m'étais rendu compte à quel point la vie était précieuse, et qu'elle était trop courte pour ces conneries, là.

Je ne voulais plus retomber dans ce tourbillon de paranoïa.

Puis, maintenant, j'avais mes enfants, et surtout j'avais Chris, ouais, Chris Miles.

Un ami qui passait les trois quarts de ses journées chez moi, à s'occuper de mes enfants quand je rentrais plus tard que prévu, qui dormait avec moi quand j'avais des coups de moins bien, notre histoire à durée un an, un an d'une putain de belle amitié.

Puis, je me rappelle de ce soir-là, où on s'est pris la tête.

« Je te jure Chris, t'as intérêt à me dire que c'est une blague parce que sinon, crois-moi, je vais péter un câble, sortis-je à bout de nerf.

- Jude, je crois que tu peux comprendre que j'ai besoin d'avancer, se justifie-t-il en attrapant mes hanches.

- Lâche-moi Chris, tu veux vraiment faire ça ? Partir en tournée avec Matthew Espinosa ? Tu veux vraiment jouer sur ce terrain-là ? Dis-je en m'éloignant plus loin dans la pièce.

- Tu sais que sa boosterait ma carrière, Jude, arrête de penser qu'à toi, j'ai le droit d'avancer moi aussi, avec ou sans toi.

Ces mots venaient de me déchirer.

- Ok, alors sort de chez moi, sort de ma vie et casse-toi, va devenir un rappeur à minette. Et j'espère que tu te rappelleras pas de moi. »

Il souffla, et sortit de chez moi.

Alors c'était ça, c'était comme ça que devait se terminer mon amitié avec lui ? Ce mec avec qui j'avais presque partagé ma vie pendant presque un an.

J'étais rien d'autre ? Encore une fois ? Belote, et rebelote. C'était donc impossible de m'aimer ?

Deux ans après :

On était sur le campus avec mon amie Taylor et Grace.

« Alors on commence quand notre plan ? Demandait Giavasis.

- Dès que Bart aura convaincu Cameron de refaire le Magcon avec le plus de gars possible.

- Ouh, mission impossible. Vu comment ils sont en train de faire leur vie chacun de leur côté, glissais-je en lisant un de mes partiels.

- Eh, miss. Tu sais, j'ai revu, le père de tes gosses, tu sais Chris Collins, et bah putain, il part sérieusement en couille, et il pense toujours à toi, d'ailleurs, dit la métisse.

- Je pense plus à ce mec depuis des années, soufflais-je.

- Non, elle ne cesse de penser à Chris Miles, faut croire, que t'as une fâcheuse tendance à aimer les Chris, renchérit Grace.

- Attends, sérieusement Chris Miles, c'est légal, ça ? Se moque mon autre copine. Putain, je pensée que t'était encore en chien sur Espinosa.

- Euh, lui, il est mort dans le film, mais tu sais quoi, si un jour nos plans devaient tomber à l'eau, on a cas faire croire que je suis amoureuse de lui, et que je tentais de le protéger. Ça évitera probablement les dégâts.

- Alors, qu'en réalité, tu ne protèges que Miles, ricane la blonde.

- Je ne protège personne, il a préféré faire sa tournée avec notre sosie Lidl de Justin Bieber, pour une pseudo célébrité.

- Tu lui as déjà dit ce que tu ressentais, me demande la brune.

- Jamais, on n'était que des amis, et puis, enfin entre nous c'était que de l'amitié.

- L'écoute pas dire des conneries, elle se toucher l'abricot en pensant à lui, gueule ma copine hilare, allongé dans l'herbe.

- Moi, je dis, Jude, tu vas probablement me détester mais je l'ai appelé tout à l'heure, et je crois que lui aussi à des choses à te dire, dit-elle en me pointant quelqu'un au loin. »

Je me retourne, il est adossé à un lampadaire, ses petites lunettes de soleil sur le bout du nez, à regarder son cellulaire. Putain, il a pas changé ce salopard.

- Oh, hors de question, que j'aille le voir, je vous rejoindrais quand il sera partit, fis-je en me levant et en quittant le petit coin d'ombre où nous étions. »

J'entends mon amie gueuler son nom, j'ai l'impression d'être au collège, et de jouer à ce putain de jeu de fuis moi tu me suis et vice versa.

Très vite, je vois le brun devant moi, il a les joues rouges, il est un peu essoufflé, et il semble gêné.

« Je sais que tu me haies, mais je t'en supplie, écoute-moi, deux minutes. »

Je lui sortis un 'non' catégorique avant de continuer mon chemin vers mon appartement.

Il agrippe mes hanches, et colle son bassin au mien.

« Arrête ce jeu, là, avec moi, et pour une fois, laisse-moi assumer mes actes. »

Deux mois après ce jour

Will, un ami de l'université, avait organisé, une soirée.

J'étais sur le balcon du troisième étage, et je regardais la ville s'éteindre par le poids de la nuit.

La douce brise du vent d'été me rappeler que j'approchais de la fin de l'université, que j'allais enfin devenir une femme, j'allais rentrer dans le monde du travaille.

Je fus coupée dans mes pensées, par les bras qui viennent de passer autour ma taille, j'avais un petit sourire, tandis qu'il me faisait quelques bisous dans la nuque.

« Tu pensais à quoi, me demande Chris, en continuant ses baisers.

Ouais, Chris et moi, on s'est réconcilié, j'ai appris à pardonner avec le temps, et on a en quelques sortes retrouvées cette complicité. Mais elle est différente d'avant, elle est plus douce, agréable et plus sensuelle d'une certaine manière.

- Je réfléchissais à mon futur.

- T'as peur, me répond-il en passant ses doigts entre les miens.

- Je sais pas, Chris. J'ai juste l'impression que tout va trop vite, et que j'ai pas le temps de penser à tous mes problèmes, j'ai envie de vivre au jour le jour, mais je peux pas, pour un tas de raisons. Je veux juste laisser une trace de mon passage sur Terre.

Il détache ses mains des miennes, et vient se placer face à moi.

- Croit moi, Jude. T'as laissé plus qu'une trace. Peut-être pas aux yeux du monde, mais t'as laissé tes empreintes partout sur ton passage, chaque personnes que tu as croisés se rappelle de la Carlsey. La garce d'Internet, la grande gueule, la femme que t'es devenu, et une mère extraordinaire.

Je me jetais dans ses bras, passant mes bras derrière sa tête.

- Promet moi, que tu ne m'abandonneras jamais.

- J'irai au bout du monde pour toi, lâche-t-il en me regardant droit dans les yeux.

S'en ai suivi un long silence, que j'ai fini par briser, en collant mes lèvres aux siennes.

Et puis, merde, au pire, on est jeune.

Chris a approfondit mon baiser, en passant doucement ses mains sur mes hanches.

Mon corps était en ébullition, j'avais comme un feu qui ravagé tous mes membres. Je crois que la chaleur est très vite montée.

Nos baisers sont devenus plus bestiales, plus passionnés.

Depuis le temps qu'on attendait ça.

On s'est retrouvé dans ma chambre quelques minutes plus tard, Chris a enlevé son t-shirt, et j'ai fait de même.

Il passait doucement ses lèvres sur le bas de mon ventre pour remonter petit à petit vers ma poitrine.

Cette sensation que je ressentais, qui me brulait intérieurement, c'était une émotion que je n'avais jamais ressenti auparavant.

Je passais mes mains dans ses cheveux, j'avais envie de plus, envie de lui.

J'enlevais mes sous-vêtements, et lui fit de même.

Ce moment-là, ce n'était rien d'autres, que l'union de nos deux corps, qui ne firent plus qu'un.

C'était lui, l'homme que j'aimais et dont j'étais tombé amoureuse.

Lui, qui envahissait chacune de mes pensées, ce garçon qui avait toujours été présent, que j'avais pardonné par amour, c'était ça, pour moi, l'amour.

J'agrippais les draps d'une telle force, chacun de ses mouvements me procurait un plaisir que je n'avais jamais ressenti avant. Chacun de ses baisers bruler un peu plus ma peau dénudé, et chaque cris poussé me rapproché un peu plus de cette jouissance tant désirée.

Le jour suivant

« Qu'est-ce que tu ressens Jude, j'ai besoin de savoir.

- Je sais ce que je ressens pour toi, mais je sais pas si je serais capable de te rendre heureuse.

- Il y a qu'un moyen de le savoir, il marqua une pause. Toi, et j'attendrai, le temps qu'il faudra, quand tu seras prête, je serais là, répondit-il en enlaçant nos doigts.

- Chris, je crois que je peux pas. Je suis pas celle que tu crois. »

J'aimais Chris plus que n'importe quel homme, mais le problème venait de Martin.

Il devenait oppressant dans ma vie.

Il harcèle mon répondeur, il cesse de me menacer quand je le croise, dans la rue.

Il voulait obtenir vengeance, il faisait semblant d'être un maitre chanteur auprès de mes copines, il voulait que je détruise ses gens que j'ai aimé, c'était son prétendu but.

Son réel but, c'était de m'atteindre.

Que je sois seule, que je ne puisse plus respirer, et que je finisse par tomber dans ses bras.

J'avais beau être une garce, une connasse, et toutes les saloperies que la Terre est pu créer. Jamais, je ne ferais de mal à ceux que j'aime et que j'ai aimé.

_________________

bon, bon, bon.

Déjà, je vous ai encore niquer.

De deux, soyez indulgente avec le petit passage 'hot', hein. C'est la première fois, et c'était parce que vous me harceliez, mdr.

mdr, en tout cas, j'espère que c'est un peu plus claire pour vous.

sinon, j'ai pas grand choses à part que Milude (Miles+Jude, nsm c'est bien)


Des choses à me dire (à part que vous détestez? mdrrr) ?

Lots of ta mère

- Maddy reine de la quenelle

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