Azhaar - II
xgfb
C'était tout simplement du vin, des herbes, et sûrement du sang d'un rituel sacrifice. C'est infecte, mais je n'en laisse rien paraître. Je bois tout d'un coup. Lorsque je redonne la coupe au prêtre, je lève la tête pour fixer mon mari droit dans les yeux, le menton lever. Dans la salle, les cris de joies et les applaudissements fusent. Les femmes et les hommes font tinté leur bijoux. Les invités rester debout qui obstruaient le passage ce dégage pour nous laissez passer. Ouhemibrê me propose son bras, que je prend.
Le banquet avais commencer depuis quelques heures déjà. Assise sur un coussin qui doit coûter plus de pièces que ma robe, je regarde les inviters ce remplir la pense et devenir de plus en plus saoul. Mes frères et les maris de mes soeurs discutent et négocie avec des marchands et des ministres. Mes soeurs discutent avec les dames. Certains hommes courtisent de jeunes femmes ou profite des danseuses. La nourriture arrive en abondance, accompagner de plus de vin que je n'en n'ai jamais vue.
C'est mon premiers banquet. Dans la maison de mon père, ils nous interdisaient de nous montrer au banquet, même ceux de mariage. Il voulait garder ses trésors à l'abri des regards, pour nous marier plus cher. Mais aussi pour nous cacher du regard des hommes. Il n'y a aucunes jeunes filles dans la salle qui ne soit pas mariée - ou alors étrangère. Elles sont toutes marier. La plus jeune à treize ans, et elle est la femmes d'un des marchands que mon frère Iah essais de mettre sous sa croupe.
Je regarde la jeune fille, assise avec mes soeurs, qui sont presque toutes allongées. Du khôl entour ses yeux noir, la vieillissant. Je remarque que Jamila n'est pas avec elles.
-Le banquet te plait ? dit-une voix grave.
Je fais signe a une servante de me resservir du vin.
-Oui, dis-je sans le regarder.
-Je crois que c'est ton premiers banquet, d'après ce que ton père m'a dit, continue-t-il.
Il est évident qu'il essai de faire la conversation. Je prend mon verre et bois quelques gorger pour me détendre un peu plus. Je laisse mes yeux ce perdre sur la fête qui ce déroule devant moi.
-C'est exacte, répondis-je. Ceci est mon premiers banquet.
-J'espère que tout ce passeras bien, dit-il après un moment de silence. Je dois m'absenter quelques instant, je vous pris. Je ne serrais pas long. J'en suis navrer.
Je lui fais signe que ce n'est rien, il en profite pour prendre ma main et l'embrasser. Je dois avouer que ce geste me surprend. Il ce lève, passant inaperçut au milieu du brouahah, je le suis du regard et le voie ce diriger vers une porte. Deux garde l'attendent, dont l'un est un garde royal. Il échangent à peines quelques paroles que Ouhemibrê disparaît avec eux. Je suis tenter de me lever pour voir ce qui ce trame, mais Jamila apparait sous mes yeux. Je me lève pour la prendre dans mes bras. Elle me félicite pour mon mariage, et je remarque qu'elle est bien plus habillé que d'habitude. Sa robe est plus ample, et un foulard cache son buste. J'imagine que vivre avec un homme si pieux l'y oblige. Néanmoins, elle porte toujours tant de bijoux qu'elle brille de mille-feux.
Je me crispe lorsqu'elle propose de me donner des conseils pour ma nuit de noce. Le banquet risque de durée assez longtemps pour que la chose n'arrive pas immédiatement, mais d'habitude, après une journée à festoyer, les époux vont enfin dans la chambre pour consommer leur mariage. Toutes mes soeurs ont réussis à passer cette étape idem, alors je vais réussir. Malgré tout je fais croire à Jamila que je dois la laisser et m'en vais vers la sortie. Dans le couloir où est passer Ouhemibrê, il fait bien plus sombre. Quelques torches espacer et les rayons de la lunes éclairs le couloir qui donne sur des jardins intérieur. L'air y est bien plus frais.
-Azhaar ? Que fais-tu ici ?
Je reconnais la voix de Ouhemibrê.
-J'avais besoin de prendre l'air, dis-je en inspirant. L'ambiance du banquet m'étouffe quelque peu.
Il ne réponds rien, et ce contente de m'observer dans la pénombre. Il est si grand que pour le regarder dans les yeux je suis obliger de lever la tête.
-Suivez moi, on m'a charger de venir vous cherchez. Quelqu'un aimerait vous rencontrez, dit-il finalement.
Il me laisse passer devant, passant sa main dans mon dos pour me diriger dans le noir. Je ne sais pas à quoi m'attendre avec cet homme. Je ne le connais pas. Et si, sans me prévenir, il nous menait à notre chambre, désirant consommer ce mariage pour lequel il a payer si cher ? Je n'aurais en aucuns cas le droit de le lui refuser. Ca m'est interdit. Alors je me laisse guider, restant sur mes garde préparer à plusieurs éventualités.
Nous traversons quelques couloirs et quelques pièces, ce qui me permet de visiter un peu les lieux. Chaques pièces est décorer avec des tapis perçants magnifique. Nous passons par les appartements des servants, et passons dans la réserve. Nous rejoignons la sortie des écuries, ou des hommes à cheval nous attendent. La nuit est encors plus fraîche. Seul quelques hommes portent des torchent, ce qui éclaire peu, de plus les hommes sont couvert par des manteaux qui les dissimules partiellement. La terre sèche sous mes pieds est si dure et cabosser que ça me fais mal au pieds. La scène sous mes yeux me donne des frissons de peur, et l'adrénaline coule dans mes veinnes.
La main de Ouhemibrê quitte mon dos, et il s'avance. L'un des hommes à cheval descend de sa monture, et hoche la tête dans sa direction. Il s'avance ensuite vers moi. Je me tiens sur mes gardes, prête à fuir à n'importe quel moment. Malgré tout, je me laisse docilement approcher. Je me retiens de sursauté, lorsque l'étranger prend ma main pour l'embrasser.
-Heureux de vous rencontrer, Azhaar Haânkhès Jumanji. Je vous félécite pour votre mariage, vous et Ouhemibrê. Je suis cependant désoler de ne pouvoir assister à votre banquet, mais je tenais malgré tout à vous voir de mes propres yeux.
Je reste stoïque devant ces politesses. Ce sont les seuls chose que l'ont m'ais dite depuis que j'ai bu ce vin. Je le remercie poliment.
-Que suis-je goujat ! je ne me suis pas fait présenter, s'exclame l'étranger avec un rictus.
Il ce place au coter d'Ouhemibrê, posant sa main sur son épaule et l'autre sur sa propre hanche. Je le dévisage, essayant de discerner tant bien que mal ses traits. Ouhemibrê relève la tête.
-Azhaar, je te présente le prince, son altesse Akimébirê Râamses Ir, le sixième prince héritier, dit-il d'une voix grave et respectueuse.
J'ouvre de grand yeux, réalisant qui est l'homme qui m'a embrasser la main. Pendant une seconde, toute les règles et notions de politesse que mon père et mon institutrice ce sont évertués à m'enseigner ont disparut. J'ai cherchée dans ma mémoire les cours pour s'adresser à une personnes de sang royal. Alors, je me suis laisser tomber à genoux devant eux, mains sur les cuisses et tête basses, tremblente d'angoisse. Et si je n'avais pas fais ce qu'il fallait ? A ma grande surprise, le rire du prince résonne à travers la nuit.
-Allons mon enfant, relevez-vous ! dit-il.
Ouhemibrê me tend sa main, que j'accepte. Je me relève avec précotion, m'époustant avant de relever la tête. Je suis un peu honteuse, mais heureuse que la nuit cache mes joues rougissante. Mon mari à toujours ma main dans la sienne, et délicatement je la retire. En le voyant me fixer, je détourne les yeux et fait une courte révérance au prince.
-Je suis honnorée de vous rencontrez, prince Akimébirê Râamses, dis-je en inclinant la tête.
-Je suis navré de ne pas avoir pus assister à votre cérémonie, ni au banquet, dit-il péné. Mais je suis avec mes troupes non-loin, et j'ai préférer ne pas attiré l'attention.
-Vos troupes ? Vous partez en guerre, prince ? dis-je avec de grand yeux.
Je ne savais pas que ce genre de choses ce préparait. Père ne me laissait que peu d'accés à la politique, puisque disait-il, ce ne sont pas les affaires d'une femme. Malgré tout, grace à de multiple moyens et au serviteur, je parvenais à entendre quelques brides et reconstitué la situation politique actuel, ainsi que les conflits interne ou externe. Les rumeurs serraient donc vraie..
Le prince et Ouhemibrê ce sont regarder un instant, et c'est le second qui daigna me répondre. Mais ce n'est pas ce que j'aurais voulut entendre.
-Azhaar, il est temps de retourné à vos invités avant qu'ils ne ce posent des questions sur votre absence, dit-il d'une voie haute et calme.
Je fixe cet homme d'un regard dure comme la pierre. Prise d'une soudaine folie, je m'exclame :
-Ce sont vos invités je vous rappelles, je n'en connais pas le quart. Et il n'y a nul doute qu'ils doivent tous être trop saoul et repus pour remarquer mon absence en particulier. Ou bien il s'imagineront que nous consommons notre mariage en forniquant dans l'une des chambres, alors je n'ai que faire qu'ils remarquent mon absence, Ouhemibrê ! clamais-je d'une voie relativement basse, mais froide et ferme.
Un silence planne pendant quelques secondes, et on entend que la respiration des chevaux. Je remarque l'air surpris du prince, mais garde mes yeux braqué sur mon époux. Ses yeux cerné ce plisse, et de sa hauteur il me toise toute entière. Mon frère avait tort, je n'ai pas pourrie, c'est bien la preuve. Et c'est même peut être bien le problème.
Mon mari me dévisage en silence, et j'en fais de même. Je me refuse à baisser les yeux la première, comme prise d'une folie passagère, comme si ma fierté m'en empêchais. Si père me voyait, il serais bien pire qu'outrager. Mais pour le moment, je n'en n'ai que faire. Ce seras peut être la seule et dernière fois que je pourrais parler ainsi à Ouhemibrê sans me faire flageler immédiatement.
-Hé bien, mon ami, voilà une femme de caractère ! s'exclame le prince rompant le silence. Vous savez ce que l'ont dit d'elles ? Se sont les meilleures au lit.
-Mon prince, Azhaar n'est encore qu'une enfant inexpérimentée. Je doute qu'une vierge puisse faire de quelquonque prouesses de ce genre, réplique-t-il d'un ton posée et froid, toujours le regard fixer sur moi.
Je serre les dents, essayant de retenir le rouge qui me monte au joues. N'ont-ils aucunes honte à parler de moi ainsi alors que je suis devant eux ? Je voie le prince sourire, avant de rejoindre sa monture. Le cheval hainni lorsqu'il monte sur son dos, et les bijoux et autres objets en bronze font durant quelques secondes un bruit de cliqueti.
-Allons Ouhmibrê, nous savons toi et moi que tu ne l'a pas choisis pour rien, dit-il en faisant avancer son cheval jusqu'à lui.
Le prince ce penche vers Ouhemibrê et lui parle à voie basse durant quelques minutes. Mon mari reste impassible, et je ne peux voire le visage du prince cacher par l'ombre de sa capuche. Puis il ce redresse et salut le grand homme avant d'approcher. Je respire profondément. A la lumière de ma lune, je voie les traits du prince. Une machoir oval marquer et légèrement anguleuse, un nez droit et de beaux yeux brun dans la nuit. Ses cheveux légèrement blond mi-long encadre son visage. Il a une carrure athlétique, sûrement du à son entrenement pour devenir soldat. Il tend vers moi sa main, et je pose la mienne au creux de celle-ci. Il ce penche pour venir l'embrasser.
-Je suis enchanté d'avoir fais votre connaissance, Azhaar. Je vous souhaite une longue et heureuse vie, ainsi que fertilité et richesse. J'espère vous revoir très prochainement, en attendant, je vous prie de prendre soin de mon ami.
Je retiens sa main, et le fixe droit dans les yeux. Ca le surprend, il hausse les sourcils mais ne fait rien.
-Vous rencontrez a été un honneur pour moi, mon prince. Je vous souhaite bon voyage, et que vous sortiez vainqueur de chacunes de vos batailles, avec ma bénédiction et celle des Dieux. Je souhaite une longue vie à sa majesté, ainsi que la prospérité de l'Empire, dis-je avec toute la sincérité dont j'étais capable.
Je me penche alors vers lui, sur le pointe des pieds, et lui dis :
-Je sais que la guerre contre l'Empire d'Egève ne dureras pas. Ce n'est qu'une question de temps avant que leurs troupent ne s'efface, leurs généraux ne savent pas comment prendre le désert à leur avantage, et les soldats connaissent la vériter sur leurs dirigeants ; cet guerre n'est qu'une façade pour forcer l'Emperreur à épouser la fille de notre Majesté malgré son amour pour la princesse d'Hugrite et ainsi instauré une fausse paix entre nos deux Empire, et remplire les caisses d'Egève.
Je me repose sur mes deux talons, et lâche la main du prince. Je m'écarte de sa monture d'ébène et me penche en signe de respect.
-Faîte bonne route, mon prince, dis-je d'une voix remplie de respect.
Je me redresse et sent son regard poser sur moi. Il me fixe avec de grand yeux. Il chuchote quelque chose que je n'entend pas, puis rejoins ses gardes. Il fait un derniers signe à Ouhemibrê, et avant de s'elancer dit d'une voie forte :
- La prochaine fois que tu viendras à mon palais, prend là avec toi !
Puis ils disparaissent dans la nuit, à travers les maisons d'argiles. Je reste là à les regarder partire. Le silence s'installe doucement dans la nuit.
- J'étais sûr que vous plairiez au prince, dit Ouhemibrê.
- Vous ne me reprocher pas mon insolence ? demandais-je les dents serrer.
De nouveau le silence. Je me suis tourner vers mon mari, et nous nous sommes longuement regarder. J'attendait, qu'il dise quelque chose, mais rien. D'ici, on entendait rien du banquet qui ce déroulait quelque part dans cette immense demeure. C'était calme, étrange contraste.
Ouhemibrê me tendit sa main. Je n'avais bien sûr pas le droit de lui refuser la mienne, mais j'ai fais attention à la lui tendre le plus lentement possible. Nous somme retourner dans les couloirs éclairer par des torches. Nous croisions de temps en temps un garde en vadrouille, ou un serviteurs avec un pichet de vin.
- Voulez-vous retourner à la fête, Azhaar ? demande mon mari.
Etait-ce un signal ? Je me suis contenter de serrer les dents, retenant mon crie de refus. Suis-je prête ? De toute façon la question ne ce pose pas, cela fais partie de mon devoir désormais. Mais l'on m'a raconter tant de choses... La douleurs, entre autre. Le moment semble si près d'arriver, je ressens des frissons me parcourir. Et ce ne sont pas des frissons d'excitation. Je n'ai pas été initier aux "plaisirs de la couche", saurais-je faire ?
Mais ais-je le choix ?
- Non, dis-je simplement, la voix tendue.
Nous continuons à marcher dans les couloirs. Finallement, Ouhemibrê nous arrêtes devant une porte carré, sculpté dans le bronze. Des formes travailler la décore, ainsi qu'une sublime tapisserie. Ouhemibrê me lache la main et ouvre la porte, avant de me laisser passer devant lui. Mon coeur rate un bon en voyant la chambre. Dépourvus d'effet personnelle, elle n'est qu'une simple chambre avec une immense fenêtre grillager. Le sol est en pierre, tout comme les murs. Il y a un lit recouvert de plusieurs couverture et tissus doux, des coussins et dans la pièce ce balade une délicieuse odeur. Coller à un mur, un bureau simple et un tabouret. La lumière de la lune projète l'ombre du grillage sur le sol.
Je m'avance dans la pièce le pas hésitant, la tête basse. Je reste un moment sans bouger, puis je sens deux mains immense et fine ce poser sur mes épaules et me guider jusqu'au lit. Devant celui-ci, je reste tétaniser une seconde puis la pression sur mes épaules s'enlève. Je ravale ma salive, me remémorant ce que mon père m'a appris. Je dois dire quelque chose.
- Mon corps est pure, je le jure, dis-je mécaniquement en tentant de me souvenir des paroles. Je suis vierge de toutes carresses, et seul vous, mon époux, aurez le privilège de poser vos lèvres sur ma peau.
Il y avait autre chose, j'en suis sûr. Une prière je crois. Ces paroles, ce sont l'emblême de ma famille. Une famille où les filles sont élever dans l'objectif d'être marier aux meilleurs, faisant d'elles des épouses honorable malgré leur statu peu élever dans la haute société, et où les fils grimpent les échellons de celles-ci, servant loyalement le roi. Sauf l'aîné, qui perpétuera la tradition.
Pourtant ses mots que je devrais prononcer avec fierté m'écorche la langue.
- Savez-vous pourquoi j'ai demander votre main, et pas celle d'une autre ? demande Ouhemibrê dans mon dos.
- A cause de la réputation de ma famille, dis-je amèrement.
- J'ai effectivement entendu cela. Comme quoi votre famille éleverais les meilleures filles à marier, malgré leur bas statut. Des enfants vouer à l'ambition de leur père. Je trouvais ça répugnant.
J'ai redresser les épaules en l'entendant parler ainsi de ma famille. J'ai serrer discrètement les poings, en colère.
- Mais l'un de mes amis m'a présenter à ton père, et celui-ci essayait veinement de me vendre l'une de ses filles. Un an plus tard, je l'ai revus, et il fit la même chose. Sauf que cette fois, il me parla de vous, Azhaar. Il m'a dit qu'il avait peur pour l'une de ses filles, indisciplinée, qui agissait parfois comme un homme et voulais recevoir la même éducation que ses frères ; une enfant indomptable qui ne pouvait s'empêcher de répondre et passais son temps à tenter de s'enfuire ; qu'aucunes réprimandations ne la faisait abandonner. Une enfant qui voulait trop en savoir sur tout, ce mêlant de tout.
J'ai du déglutire plusieurs fois. Mon père avait toujours peur de ne pas pouvoir me marier à un homme haut placé, au vu de mon caractère peu attirant pour les hommes. Iah me le disait souvent, d'ailleur. Il disait aussi que c'était pour cela que j'étais sa soeur préférer.
La main d'Ouhemibrê s'est poser sur mon épaule pour me retourner vers lui. J'ai dus lever la tête pour le regarder dans les yeux.
- C'est là que je lui ai dis que je vous épouserais, lorsque vous seriez devenus une femme, et que le moment serais venus.
- Et nous voilà, aujourd'hui, sur le point de consomer ce mariage que vous avez voulu, dis-je d'un ton sec.
Ouhemibrê m'a dévisager un bon moment. Sa main à quitter mon épaule, et il a reculé de quelques pas.
- Azhaar, je vous estime beaucoup, et il n'est pas dans ma nature de soumettre une femme pour faire d'elle un pantin. Une femme sans avis ne m'interresse pas. Vous serez libre de vos mouvements, d'être contre mon avis, je vous laisserez le plus de libertés que je pourrais vous en offrire. Seulement, je veux absolument un enfant.
Que veux dire ce discour ? Je n'en n'ai aucunes idées. Mais j'ai au moins compris ses intentions pour cette nuit.
- Je repasserais plus tard, je vous laisse vous préparer... ma femme, dit-il en s'éloignant.
Il me regarda une dernière fois avant de refermer la porte.
Je suis rester un instant immobile dans la peine-ombre. Il va revenir, et demain matin, je ne serais plus vierge. Cette simple penser format une boule dans ma gorge et dans mon ventre. Je dus retenir mes larmes. Au lieu de cela, j'ai commencer à me déshabiller. Le tissu qui glissait sur ma peau était follement agréable. Puis j'ai humé l'aire et son parfin alléchant, on aurait dit des fruits des bois. Finallement, sous la lumière de la lune, je me suis allonger sous les couvertures de sois et ai attendu que mon sort, mon destin soient sceller.
Bạn đang đọc truyện trên: Truyen247.Pro