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dans cet automne qui m'envahissait,
l'été demeurait.
la nostalgie du soleil qui avait abreuvé ces feuilles, l'idée que peut-être, rien n'était si beau que l'été fleuri, ensoleillé. l'été jeunesse des rêves et des prouesses.
et écrite dans les nerves par terre, la certitude qu'aucun été n'égalerait jamais celui-ci.
peu importe, le temps qui passait, l'été avait marqué mon automne à jamais.
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