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Les cadavres pendent au plafond

Les cadavres pendent au plafond.

Je ne sais pas pourquoi j'écris cette phrase.

Les cadavres pendent au plafond, leur sang dégouline sur le parquet.

Non, vraiment, je me suis juste mise devant mon ordi et elle venue comme ça.

Les cadavres pendent au plafond, leur sang dégouline sur le parquet. Il est onze heures vingt-trois.

On pourrait croire que je suis d'humeur macabre, mais pas du tout.

Les cadavres pendent au plafond, leur sang dégouline sur le parquet. Il est onze heures vingt-trois et il flotte une odeur de mort.

Bon, et bien, je n'ai qu'à continuer.

Les cadavres pendent au plafond, leur sang dégouline sur le parquet. Il est onze heures vingt-trois et il flottent une odeur de mort. Le macchabée du milieu à la tête à demi tranchée.

Devinez quoi ? Je suis en train d'écouter la playlist « Feel Good » de deezer.

Les cadavres pendent au plafond, leur sang dégouline sur le parquet. Il est onze heures vingt-trois et il flotte une odeur de mort. Le macchabée du milieu à la tête à demi tranchée. Celui de droite a les ongles arrachés.

Les titres sont d'ailleurs assez mauvais.

Les cadavres pendent au plafond, leur sang dégouline sur le parquet. Il est onze heures vingt-trois et il flotte une odeur de mort. Le macchabée du milieu a la tête à demi tranchée. Celui de droite a les ongles arrachés. Les entrailles de celui de gauche sont en train de se vider sur le sol.

Je crois que je vais arrêter la musique, c'est vraiment à chier.

Les cadavres pendent au plafond, leur sang dégouline sur le parquet. Il est onze heures vingt-trois et il flotte une odeur de mort. Le macchabée du milieu a la tête à demi tranchée. Celui de droite a les ongles arrachés. Les entrailles de celui de gauche sont en train de se vider sur le sol. Le dernier cri de mon fils résonne encore dans la pièce.

Voilà, j'ai mis Ludovico Einaudi à la place.

Les cadavres pendent au plafond, leur sang dégouline sur le parquet. Il est onze heures vingt-trois et il flotte une odeur de mort. Le macchabée du milieu a la tête à demi tranchée. Celui de droite a les ongles arrachés. Les entrailles de celui de gauche sont en train de se vider sur le sol. Le dernier cri de mon fils résonne encore dans la pièce. C'est le cadavre au centre, celui qui a la tête tranchée.

C'est mieux. Pas beaucoup plus dans le contexte, mais au moins, c'est beau.

Les cadavres pendent au plafond, leur sang dégouline sur le parquet. Il est onze heures vingt-trois et il flotte une odeur de mort. Le macchabée du milieu a la tête à demi tranchée. Celui de droite a les ongles arrachés. Les entrailles de celui de gauche sont en train de se vider sur le sol. Le dernier cri de mon fils résonne encore dans la pièce. C'est le cadavre au centre, celui qui a la tête tranchée. C'est mon père qui a fait ça.

Je me demande ce qui me prend, d'écrire un truc pareil.

Les cadavres pendent au plafond, leur sang dégouline sur le parquet. Il est onze heures vingt-trois et il flotte une odeur de mort. Le macchabée du milieu a la tête à demi tranchée. Celui de droite a les ongles arrachés. Les entrailles de celui de gauche sont en train de se vider sur le sol. Le dernier cri de mon fils résonne encore dans la pièce. C'est le cadavre au centre, celui qui a la tête tranchée. C'est mon père qui a fait ça, parce que mon fils avait tué ma sœur.

Je me sens toute drôle ; comme tiraillée entre deux émotions.

Les cadavres pendent au plafond, leur sang dégouline sur le parquet. Il est onze heures vingt-trois et il flotte une odeur de mort. Le macchabée du milieu a la tête à demi tranchée. Celui de droite a les ongles arrachés. Les entrailles de celui de gauche sont en train de se vider sur le sol. Le dernier cri de mon fils résonne encore dans la pièce. C'est le cadavre au centre, celui qui a la tête tranchée. C'est mon père qui a fait ça, parce que mon fils avait tué ma sœur. Ma sœur, elle, c'est le cadavre de droite.

D'un côté, j'ai envie de me laisser importer par mon texte, et de l'autre, je sens qu'il faut que je reste pour faire ces phrases sans intérêt.

Les cadavres pendent au plafond, leur sang dégouline sur le parquet. Il est onze heures vingt-trois et il flotte une odeur de mort. Le macchabée du milieu a la tête à demi tranchée. Celui de droite a les ongles arrachés. Les entrailles de celui de gauche sont en train de se vider sur le sol. Le dernier cri de mon fils résonne encore dans la pièce. C'est le cadavre au centre, celui qui a la tête tranchée. C'est mon père qui a fait ça, parce que mon fils avait tué ma sœur pour récupérer ses ongles. Ma sœur, elle, c'est le cadavre de droite. Bref, du coup, j'ai tué mon père.

La musique me perturbe, mais je ne veux pas l'arrêter.

Les cadavres pendent au plafond, leur sang dégouline sur le parquet. Il est onze heures vingt-trois et il flotte une odeur de mort. Le macchabée du milieu a la tête à demi tranchée. Celui de droite a les ongles arrachés. Les entrailles de celui de gauche sont en train de se vider sur le sol. Le dernier cri de mon fils résonne encore dans la pièce. C'est le cadavre au centre, celui qui a la tête tranchée. C'est mon père qui a fait ça, parce que mon fils avait tué ma sœur pour récupérer ses ongles. Ma sœur, elle, c'est le cadavre de droite. Bref, du coup, j'ai tué mon père. C'est moi qui ai accroché les cadavres au plafond de la cuisine.

C'est un des trucs les plus étranges que j'ai jamais écrit.

Les cadavres pendent au plafond, leur sang dégouline sur le parquet. Il est onze heures vingt-trois et il flotte une odeur de mort. Le macchabée du milieu a la tête à demi tranchée. Celui de droite a les ongles arrachés. Les entrailles de celui de gauche sont en train de se vider sur le sol. Le dernier cri de mon fils résonne encore dans la pièce. C'est le cadavre au centre, celui qui a la tête tranchée. C'est mon père qui a fait ça, parce que mon fils avait tué ma sœur pour récupérer ses ongles. Ma sœur, elle, c'est le cadavre de droite. Bref, du coup, j'ai tué mon père. C'est moi qui ai accroché les cadavres au plafond de la cuisine. Si un jour j'ai faim, je les mangerai.

Je me donne envie de vomir.

Les cadavres pendent au plafond, leur sang dégouline sur le parquet. Il est onze heures vingt-trois et il flotte une odeur de mort. Le macchabée du milieu a la tête à demi tranchée. Celui de droite a les ongles arrachés. Les entrailles de celui de gauche sont en train de se vider sur le sol. Le dernier cri de mon fils résonne encore dans la pièce. C'est le cadavre au centre, celui qui a la tête tranchée. C'est mon père qui a fait ça, parce que mon fils avait tué ma sœur pour récupérer ses ongles. Ma sœur, elle, c'est le cadavre de droite. Bref, du coup, j'ai tué mon père. C'est moi qui ai accroché les cadavres au plafond de la cuisine. Si un jour j'ai faim, je les mangerai. Mais il faut nous comprendre : c'est la fin du monde.

Pour moi, c'est la fin de la journée et j'ai mal à la tête.

Les cadavres pendent au plafond, leur sang dégouline sur le parquet. Il est onze heures vingt-trois et il flotte une odeur de mort. Le macchabée du milieu a la tête à demi tranchée. Celui de droite a les ongles arrachés. Les entrailles de celui de gauche sont en train de se vider sur le sol. Le dernier cri de mon fils résonne encore dans la pièce. C'est le cadavre au centre, celui qui a la tête tranchée. C'est mon père qui a fait ça, parce que mon fils avait tué ma sœur pour récupérer ses ongles. Ma sœur, elle, c'est le cadavre de droite. Bref, du coup, j'ai tué mon père. C'est moi qui ai accroché les cadavres au plafond de la cuisine. Si un jour j'ai faim, je les mangerai. Mais il faut nous comprendre : c'est la fin du monde. Au revoir.

Au revoir.

Bon je pense que je vous dois quelques explications sur ce texte assez... étrange. Déjà je pense qu'il ne va pas rester ici indéfiniment, car je le considère plus comme un exercice que comme un texte à part entière. Et concernant l'exercice en lui-même ? Et bien j'ai un peu de mal à expliquer mais disons que j'essayais de sortir de mon texte puis d'y re rentrer, c'est-à-dire essayer de ne pas me laisser trop submerger par mon écrit. Et aussi de me détacher de la musique que j'écoutais (ce qui m'a donné un gros mal de crane mais bon)

Bref après mes explications pas claires, je vous souhaite une bonne soirée !



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