On les pense invisibles, on les pense inutiles.

Des modèles immobiles que l'on croit si futiles.

Mais elles sont là.

Elles, c'est ils, c'est la jeunesse qui se réinvente.

Elles, c'est ceux qui vivent à l'intérieur. C'est ceux qui souffrent qu'on les croit beaux et fiers de l'être à l'extérieur.

Elles, c'est ceux qui ont pour bagages la souffrance et la vie.

Elles, c'est ceux qui cachent leur vérité dans leurs sacs à dos.

Elles, c'est peut-être de nouvelles Victor Hugo.

Parce que maintenant on ne juge plus sur l'apparence. Parce que se ressembler ne veut pas dire avoir aucune différence. Parce que marcher en talons c'est pas marcher dans l'ignorance.

Faut continuer à observer, à essayer de percer les gens. Mais ne jamais s'arrêter dans un mi-chemin qui nous arrange. Aller jusqu'au bout, voir la personne derrière l'écran. Parce qu'on se cache tous, quoi qu'on fasse, derrière une vitre qui nous dépasse.

Ne pas oublier d'apprécier ce cadeau qu'est la vérité.

Voir grand.

Désolé pour mon absence de la semaine dernière, mais je reviens aujourd'hui avec un texte qui m'a été inspiré par une image (et une discussion) de Ganubish. Bonne lecture, et vivez-bien, avec espoir ! :)