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Chapitre 49 - Chaleur torride

Vendredi 22 Avril

19h00

Assis sur le bassin de mon homme, je le quitte quelques secondes des yeux, tandis que je me débarrasse de mon pull et de mon t-shirt. Je n'en ai pas encore sorti la tête que je sens déjà ses lèvres venir embrasser mon torse. Elles remontent le long de mon buste, s'attarde sur mes pointes de chair rosées, puis atteignent rapidement ma nuque. Je jette mes vêtements au sol et pousse un soupir d'aise, sa langue glissant, sensuellement contre ma pomme d'Adam.

Ses mains caressent mon dos, descendant sur ma chute de reins, puis s'arrête sur mes fesses encore enfermé dans leur écrin de tissu. Ils les empoigne fermement, tandis que sa bouche baise la peau fine de mon cou. Je renverse la tête en arrière pour lui donner encore plus d'accès et il dévore avidement l'épiderme à sa portée. Je frissonne délicieusement, ses assauts se répercutant vers mon bas ventre que je sens, prendre la vigueur à chaque seconde. Et il n'y a pas que le mien, je devine l'érection de mon chéri, contre mon fessier. Je me déhanche sur celle-ci et un gémissement parvient à mon oreille. Je recommence et une nouvelle plainte s'échappe de ses lippes.

- Je vois qu'on est déjà hypersensible.

- C'est parce que tu m'excite comme t'as pas idée Honey...

- C'est l'idée de me posséder, sans entrave entre nos chairs, qui t'excite ?

- Mon corps à terriblement envie de t'exprimer sa passion. Je ne vais pas me tenir si tu m'allume comme ça.

- Alors ne te tiens pas... Je te veux mon amour, là, tout de suite. Je veux te sentir au creux de mes reins. Je veux offrir cette proximité à l'homme de ma vie sans plus attendre.

- Visiblement, je ne suis pas le seul à être très excité...Me répond-il en s'éloignant de ma nuque pour me regarder.

- J'ai pensé à ça toute la soirée, j'en peux plus...

- Alors je vais m'occuper de toi sans perdre une seconde...

Je souris contre ses lèvres qui viennent m'embrasser et glisse ma langue entre elles. Pendant ce temps, ses doigts, déboucle ma ceinture, détache mon bouton et baisse ma braguette. Impatient, je me détache de ses lippes et quitte son bassin pour me lever. Je me déshabille rapidement et il fait de même. Une fois nu, je l'aide à finir de se débarrasser de son pantalon et de son boxer, d'un geste vif. Je remonte dans le lit, m'étendant contre son corps et ma main gauche s'empare instantanément de l'objet de mes désirs. Je masse tendrement sa verge et baise sa nuque, tandis qu'à tâtons, il cherche le lubrifiant dans le tiroir de la table de nuit.

Je lui arrache quelques soupirs avant qu'il ne se tourne vers moi, me faisant basculer sur le côté. Il regagne mes lèvres et faufile une main entre mes cuisses. Je relève ma jambe à hauteur de ses hanches et frémit au contact du gel frais. Cette sensation disparaît vite, laissant place à une douce chaleur, alors que la pulpe de ses doigts, m'attise. Il les presse contre mon gouffre et je m'ouvre à eux. Je gémis délicieusement contre sa bouche, me régalant de la présence de ses doigts qui se mouvent en moi. Allant et venant, ils me préparent à recevoir la virilité de mon homme. Je la sens contre ma cuisse, gorgée de désir.

Nos lippes se séparent, et ses yeux se plongent dans les miens. D'un seul regard, on se comprends. Le moment de ne faire qu'un, vraiment qu'un est arrivé. Il me libère et je prends place sur ses cuisses, alors qu'il se rallonge sur le dos.

Délicatement et avec amour, j'enduit sa verge de lubrifiant. Une odeur mentholée que je n'avais pas sentie jusque-là me parvient au nez et je souris, amusé.

- Vraiment ? Parfumé ? À la menthe ?

- La dernière fois qu'on s'était vu j'avais terminé l'ancien, puis celui-là me semblait sympa à essayer. Il est glacé puis chauffe après, sans oublier qu'il est comestible.

- Hum intéressant, on va expérimenter cette nuit... En attendant, faisons monter la température...

Je me surélève au-dessus de son sexe, et le place à mon entrée. Lentement, je le laisse s'engloutir au creux de moi. Tout ceci sans lâcher du regard, le bel homme qui est mien. Unis à lui, je me penche vers son visage, l'observant et commence à me déhancher. J'ondule sur son bassin, m'éloignant, et le reprenant profondément entre mes chairs, nous arrachant de nombreux soupirs.

Ses mains qui empoignaient mon fessier jusque-ici, grimpent le long de mon dos, glissent sur mes flancs avant de venir s'agripper à ma nuque. Il m'attire à ses lèvres et nos baisers reprennent de plus belles. Je tente de contrôler le ballet de nos langues et de mes hanches, mais très vite je fatigue. Mon amour semble le sentir puisqu'il prend le relais hissant son bas-ventre contre mes fesses. Je quitte ses lippes pour pousser une longue plainte et découvre le sourire satisfait de mon amant. Il s'évertue à me faire gémir, à chaque remontée et ça marche rudement bien. La tension commence à nous saisir, je le lis sur son visage et je le sens dans mon corps. La jouissance est proche, je la perçois, elle gronde entre mes jambes. Mes mains se crispent dans l'oreiller de part et d'autre de sa tête. Je vais venir.

Soudainement tout s'arrête. Seulement l'espace d'un instant. Rowan quitte mon antre et me fais rouler sur le dos. Il se replace vite entre mes cuisses, et s'engouffre à nouveau au creux de moi. Il me donne un tendre baiser avant de nicher sa tête dans ma nuque. Les déhanchements reprennent, lent dans un premier temps, puis très vite, vigoureux. J'entoure mes bras autour de sa taille, le serrant contre moi et geint bruyamment au rythme de ses coups de rein.

Essoufflé, en proie à un plaisir vorace, mon homme pousse de fortes plaintes. Ses cordes vocales m'offrent toute leur puissance alors que je sens tout son être se tendre. Une énième rencontre entre nos corps me fait vriller. Tandis que son orgasme se termine dans un soupir des plus sexy, le mien me traverse. Mes muscles se contractent et je viens sans retenue, ponctuant mon plaisir de grondements généreux.

Un sourire se dessine sur mon visage alors que je redescends de l'extase. Rowan se redresse, le temps de nous séparer puis s'étend à nouveau contre moi. Il pose sa tête sur mon torse, et je viens aussitôt câliner ses mèches rousses.

- Cette journée était parfaite, souffle-t-il.

- Je trouve aussi et elle se finit en apothéose.

- C'est le cas de le dire. Je ne sais pas pour toi mais pour moi, cette nouvelle proximité qu'on vient de partager, ça marque un cap dans notre couple. C'est comme si ça devenait officiellement très sérieux, même si ça l'était déjà avant.

- Je comprends ce que tu veux dire, pour moi aussi, ça représente beaucoup. La bague que tu m'as offerte, les mots que tu m'as dit et ce moment intimité pure, attestent définitivement que j'ai refait ma vie et que je ne finirais pas seul. Je suis heureux à un point tu ne peux pas savoir...

- A ma façon, je sais ce que c'est que de croire qu'on ne trouvera jamais personne. Puis je suis tombé sur toi, et aujourd'hui mon bonheur est immense. Dire que je suis heureux est un euphémisme.

- Malgré les difficultés ?

- Je dirais grâce à elles, elles m'ont montré, que le bon je l'avais enfin trouvé. Je ne m'inquiète plus, ta fille je finirais par la charmer.

- Je te sens rebooster, c'est moi qui te fait cet effet-là ?

- Toi, l'amour qu'on se porte. Je suis déterminé à ne plus me laisser faire, mais on verra ça plus tard. Pour l'instant, on est tous les deux et la nuit nous appartient...

Il glisse une main dans ma nuque et m'attire à ses lèvres. Un tendre baiser et il me murmure tout bas :

- Je t'aime.

Je souris et répond contre sa bouche

- Je t'aime encore plus mon amour.

********

Le lendemain matin (Samedi 23 Avril)

8h00

Ce matin, je ne suis pas vraiment décidé à sortir du sommeil, beaucoup trop confortable, en cuillère dans les bras de mon homme. Ses douces lèvres embrassent ma nuque et sa main caresse ma hanche.

- Honey, il faut se lever. On passe la matinée avec tes filles aujourd'hui.

- Mmm, mais je suis trop bien là...

- Fatigué ?

- Hum.

- Quel idée aussi de passer la nuit à faire des folies de son corps...

- Un beau rouquin m'a proposé une douche brûlante, puis on s'est fait plaisir avec un gel comestible... c'était tellement bon.

- Ce mec est vraiment pas sérieux...t'empêcher de dormir alors que vous devez vous levez tôt le lendemain...

- J'ai été aussi peu sérieux que lui et j'adore ça.

Je me tourne me mettant sur le dos et accueille avec bonheur le petit bisou du matin.

- Réveille-toi gentiment, je vais préparer le petit déjeuner.

- J'arrive très vite.

**********************

Quelques minutes plus tard, assis en face de Rowan, je déguste mon petit déjeuner.

- Mon amour, je voudrais qu'on parle un peu d'Eva.

- Oui. Je t'écoute.

- J'aimerais que tu me dises ce que tu attends précisément d'elle après ce qu'elle a fait, mais aussi en général. Ne te censure pas, dis-moi tout ce que tu penses. Dis-moi aussi ce que tu attends de moi.

- De toi, j'attends que tu sois très ferme avec elle, que tu continues à lui faire clairement comprendre que je fais partie de ta vie peu importe ce qu'elle en pense. De moi, j'attends une certaine solidité, une force face à ses attaques, que je suis sûr d'avoir trouvé maintenant. Et de nous, j'attends qu'on soit inébranlable, un roc. De ta fille, j'attends des excuses sincères, qu'elle nous demande pardon à toi et à moi pour nous avoir fait du mal et qu'elle respecte enfin le fait que je sois la personne qui partage ta vie. J'attends aussi qu'elle m'accepte et qu'elle intègre que je fais partie de votre famille. Ça fait beaucoup de chose...

- Non, c'est normal. Tout ce que tu attends c'est légitime. Moi je voudrais une seule chose, quoi qu'il arrive, même si ça te semble être pas grand-chose, tu m'en parles.

- Je te le promets. Je la laisserais plus prendre le dessus sur notre amour.

- Sur ces bonnes paroles, allons nous habiller et descendons les rejoindre.

On débarrasse vaguement la table puis regagnons dans la chambre.

- Il fait assez frais aujourd'hui, il va falloir mettre une couche de vêtements supplémentaire. M'informe - t-il

- Couvre toi bien alors, je me ferais un plaisir de tout te retirer ce soir...

- Compte sur moi.

****

Un brin de toilette plus tard, chaudement habillé, nous quittons son appartement. J'ai hâte de voir ce que va donner cette matinée.


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