🐖 Chapitre 8
"- Sérieux ? Une fête ? S'écrie mon fidèle ami. Mais c'est génial !
- Et tu lui as dit qu'on venait ? Ou bien on peut encore décliner cette généreuse invitation ?Grogne Victor.
- S'il te plaît Victor ! Pour fêter notre dernier jour... Le supplié-je.
- Si je dis oui, vous respecterez mes contraintes ?
- Oui ! Promis ! Annonçons Youenn et moi.
- Bien. Je vous les énoncerais à notre retour."
Victor nous quitta afin d'aller régler quelques dernières chose avec le chef du lycée. Youenn et moi continuons de papoter, entre nous, de la fête de ce soir. La sonnerie retentit, donc je quitte mon fidèle ami pour me diriger vers le gymnase. Oui, j'ai sport. Et non, je n'ai pas pris de sac. Courage à moi. Je disais donc, je me dirige vers le gymnase. Je vais chercher le professeur et lui annonce mon malheur.
"- Donc, tu me dis que tu n'as pas pris tes affaires de sport... Commence le professeur. Mais que vois-je ? Tu as déjà des baskets à tes pieds ! Tu vas gentiment demander à tes camarades si elles auraient par pur hasard quelques vêtements à te prêter. Sinon, tant pis pour toi ! Tu feras sport avec ces vêtements que tu portes."
Je baisse la tête et, lentement, je me rends au vestiaire. Je répète mon discours dans ma tête avant de capter le regard du public.
"- Oyé ! Oyé ! Braves gens. Comme vous le savez, je suis nouvelle. Débuté-je. Et je n'ai pas pris de vêtement de rechange pour le sport. J'aimerai obtenir, si vous en avez l'amabilité, un tee-shirt et un bas de sport. Avec tout le respect que je vous dois."
Vous êtes épaté par mon discours tellement bien formulé, hein ! Avouez... Bref, je suis restée planter devant le petit groupe de filles avant de recevoir, par la voie des airs, un débardeur bordeaux et un leggings gris. Bon bah, c'est mieux que rien !
Je remercie l'assemblée avant de me faufiler entre deux grandes, d'enfiler ces vêtements et de poser ma veste en jean, mon tee-shirt et mon pantalon sur le banc. Je sors du vestiaire et constate que les élèves sont rassemblés, assis en un tas. Je m'y incruste discrètement, et imite les autres lycéens c'est-à-dire, attendre. Attendre...
Le professeur arrive et commence son monologue.
"- Fanny est-elle là ? Est-elle habillée ? Oui. Parfait. Commence celui-ci alors que quelques élèves se retournent pour m'observer. Qui veut bien lui expliquer ce que l'on fait en ce moment, en E.P.S ? Méline, on t'écoute...
- Ah ! Euh... On est en cycle badminton. Lance la dénommée Méline.
- Bien. Au moins tu suis un minimum. Aller cinq minutes de course pour s'échauffer !"
Le professeur siffle le début des cinq minutes et le groupe se met à trottiner. Je fais de même. Nous, les métamorphes, nous ne sommes pas mauvais en sport. En même temps, tu me diras que nous n'avons pas grand chose d'autre à faire.
Les cinq minutes de course se terminent et les élèves se répartissent sur les terrains. Le professeur m'appelle donc je le rejoins.
"- Bon, Fanny. J'ai vu que tu cours bien, mais est-ce que tu sais jouer au badminton ?
- Euh... Honnêtement, monsieur, je n'y ai jamais joué. Avoué-je, bien que je ne saches même pas ce que c'est.
- Tiens, on va demander à Edwige si elle veut bien t'expliquer comment on y joue. Il se tourne vers un terrain où 4 filles sont en train de jouer avant de reprendre la parole. Edwige ! Viens là s'il te plaît !"
×××
"- C'est bien ! Et tu dis que c'est la première fois que tu y joue, Fanny !? Me félicite Edwige
- Oui ! Je suis plutôt fière de moi !"
Ava me sourit avant de lancer un autre match. Je perds à 3-7, mais c'est normal puisqu'elle fait partie des meilleurs. Le professeur siffle la fin du cours, j'aide les autres à ranger le matériel puis accompagne Edwige dans les vestiaires.
Elle se propose pour rendre les vêtements de sport au autres, ce que j'accepte évidemment. Je renfile mes habits et sort du gymnase pour rejoindre Youenn et Victor.
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NDA de l'auteur après des mois d'absence :
J'ai corrigé cette partie. J'ai presque été gênée en lisant ça. Les dialogues ne sont même pas réalistes ! bon, je ne vais pas continuer à me dénigrer seule mis je peux dire que mon style d'écriture a bien évolué dis-donc !
Bon, au revoir les lecteurs !(S'il en reste)
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