Chào các bạn! Vì nhiều lý do từ nay Truyen2U chính thức đổi tên là Truyen247.Pro. Mong các bạn tiếp tục ủng hộ truy cập tên miền mới này nhé! Mãi yêu... ♥

Chapitre 42

Point de vue de JunHo.

J'entends la porte de la maison claquer. Les sœurs et la mère de Fanny viennent de partir. Il y a quelques instants, les triplées me forçaient à jouer avec elles à un jeu étrange puis leur mère est venue les chercher en prétextant que Fanny aurait aperçu un nuage d'humains venant vers le village. J'imagine que c'est halmeoni qui a prévenu les autorités...

D'ailleurs je me demande où ils sont partis. Cependant je n'arrive pas à croire que Fanny et le renard soient une seule et même personne... Fanny savait qu'elle me manquait mais préférait rester sous forme renard ! Je lui ai tout raconté et j'ai failli l'adopter en tant qu'animal de compagnie si l'autre gars n'aurait pas été là. Elle me manquait, je n'avais même pas la certification qu'elle était encore en vie et elle, elle profitait de moi !

Bon, et si je sortais de cette maison ? Mais les autres "hommes-animaux" pourrait m'attraper et me renfermer dans cette chambre avec l'autre folle de Sybille... Sinon, je pourrais rester simplement dans ce logis pour l'explorer en attendant que les autorités viennent me sortir de là. Oui, je vais faire ça !

Je me lève observe l'endroit dans lequel je suis. La chambre de ces triplées possède une superficie plus grande celle de la chambre de ma Fanny. Et oui, elle est toujours ma Fanny : on est maintenant ensemble et nous n'avons pas rompu. Il me faut juste le temps de m'adapter au fait que je suis en couple avec une presque renarde.

Je sais que je ne pourrais pas vivre sans elle, je ne l'ai pas oubliée en trois mois donc ce n'est pas parce que j'ai découvert qu'elle n'est pas comme moi que je vais la supprimer de mon esprit. Et puis, cela peut être un plus, non ? Je n'ai qu'à appliquer le proverbe disant "les contraires s'attirent".

C'est décidé, quand je la reverrai je ferais en sorte qu'elle me pardonne et nous pourrons vivre ensemble ! Après tout, Edwige est dans la même situation que moi, je crois, puisqu'elle aussi était une renarde avant de redevenir elle-même.

Revenons à la chambre des triplées. Contrairement à la chambre de leur sœur ayant un mur bleu, la leur possède un mur rose bonbon. Trois lits superposés ainsi que tous les meubles nécessaires pour une chambre à coucher sont disposés ici.

Je quitte la pièce pour entrer dans une coursive.  Je descends les marches et atterrit dans un salon. En face de moi, une fenêtre me laisse admirer la verdure extérieur. Bizarrement, le chemin est désert. Je tourne la tête vers l'intérieur du bâtiment.

Une mallette attire mon regard : elle est rectangulaire et dans un métal que je ne peux pas définir. Je m'approche. Oh non ! Pour ouvrir cet objet, il faut une clé ! Bon, je vais partir à la recherche de cette dernière !

Une détonation cessa mes geste. Des cris retentissèrent à l'extérieur. Je fonce vers le fenêtre, l'ouvre et sort ma tête pour détailler l'extérieur. Une seconde détonation tortura mes tympans. De la fumée s'échappe des arbres à la lisière du village.

Et si j'allais voir ?

Je sors de la bâtisse rapidement et me dirige vers l'origine des détonations. Personne ne déambule entre les maisons, donc personne ne me remarque. J'arrive à destination. Je m'enfouis derrière un buisson et joue les espions. Beaucoup de silhouette se dressent sous mes yeux.

Des personnes portant l'uniforme de la police tel que je connais tiennent des revolvers entre leurs mains. Un frisson me parcours la colonne vertébrale à cette vue. Les "hommes-animaux" sont habillé de la même façon que le gars qui était venu chez moi.

J'aperçois ma grand-mère derrière cet amas de personnes.

"- Halmeoni ! Lachai-je sans m'en rendre compte."

Plusieurs personnes détournèrent leurs regards vers ma personne. Ma grand-mère fit de même.

"- JunHo ! Tu es là ! S'écrit-elle en courant en ma direction."

Je quittai mon buisson et cours plus rapidement vers elle pour l'empêcher de courir une trop grande distance. C'est une personne âgée tout de même ! Les hommes-animaux me dévisagent en me lançant des regards noirs, se demandant surement où est-ce que j'étais caché...

Je les ignore et cours enlacer ma grand-mère.

"- Alors comme ça, ce n'est pas vous qui détenez les disparus... Ricane méchamment l'un des policiers.

- Lui est venu de son plein gré ! Les autres font parti de ce village, ils ont seulement eu l'envie de découvrir votre ville ! Riposte un vieil homme qui je devine être un homme-animal.

- Alors expliquez-moi pourquoi il a voulu venir ici ! Et pourquoi ne niez-vous connaitre l'emplacement de ces personnes que nous recherchons ?! Cris le commandant à qui j'avais demandé de l'aide plus tôt.

- Nous ne suivons pas à la trace les déplacements de nos concitoyens ! Argumente le chef de cet endroit."

J'éloigne ma grand-mère de cette querelle. Soudain, quelqu'un agrippa mes épaules puis me balança à l'opposé de mon aïeule. je lâche un cris de surprise, une détonation me brisa les tympans puis un horrible cris de douleur féminin s'en suivit. Je lève la tête et aperçois la Sybille à terre en train de se tenir la jambe. Je me surprends à penser qu'elle le méritais.

"- Ne les touchez en aucun cas ! Sinon vous subirez la même chose que cette femme ! Menace un policier armé.

- Comment osez-vous ?! Dit Roméo, que je n'avais pas remarqué, choqué."

Je retourne auprès de halmeoni et la fait reculer. Elle se plaint que je la protège trop mais je l'ignore.

Soudain, Youenn apparu au milieu du tas de personnes. Il m'a l'air paniqué.

"- Fanny a disparu ! Leiv l'aurait kidnappé ! Je n'ai pas réussi à les retrouver ! Il a dû dissimuler son odeur... Et Fanny est devenue injoignable ! Hurle-t-il au chef. D'ailleurs, où est sa famille ? Je vais les contacter...

- J'aurai dû m'en douter ! Je n'aurai jamais dû le réintégrer dans le village, il est aussi rancunier que son père ! Marmonne le concerné.

- Réintégrer ? J'entends la voix de Youenn."

Leiv ? Réintégrer ? Qui est ce Leiv déjà ? Et que veut-il à ma Fanny ?

"- Fanny ? Fanny est le prénom d'une des disparus... Qui est ce Leiv ? Il est interdis de kidnapper une quelconque personne. Rappelle le commandant."

- Dans votre ville, Leiv est connu sous le nom de Léon. Affirme le chef."

Que... Quoi ?? Léon ? C'est Léon qui veut du mal à ma Fanny ?! Il fait parti de leur village ! D'ailleurs, pourquoi l'appellent-ils Leiv ??

"- Léon est est un des disparus, mon commandant ! Rappelle un inspecteur.

- Je le sais, enfin ! Pour qui me prends-tu ?"

Je savais qu'il n'était pas fiable !

"- Toi, par contre tu vas venir avec nous en ville ! Annonce le commandant en désignant Youenn. Tu es venu en ville, tu fais parti des disparus donc il est de notre devoir de te ramener.

- Que... Quoi ?? Mais je ne veux pas !

- Youenn fait parti des nôtres, il n'ira nulle part en votre compagnie ! Annonce le chef.

- Je ne me rappelle pas avoir demandé votre avis ! Ricane l'humain. Fléchettes..."

Je vois quelques personnes visées Youenn. J'ai envie de le prévenir mais je n'ai pas le temps : les fléchettes sont déjà en train de voler. Plusieurs viennent se loger dans le corps du visé néanmoins quelques autres habitants à proximité sont également touchés.

"- Youenn ! Que lui avez-vous fait ! Hurle un homme après avoir vu Youenn tomber au sol. Il vient s'agenouiller auprès de son corps.

- Calmez-vous. Il est simplement endormi. Il pourrait nous être utile donc nous allons l'embarquer."

Cinq hommes s'approche de l'endormi, repoussant et blessant à sang les hommes-animaux s'interposant. J'ai de la peine pour eux, eux qui sont tellement solidaire entre-eux. Un homme assez baraqué frappe le nez de l'autre essayant de reprendre Youenn, il riposte en donnant un coup de pied dans le crâne. Provoquant une coulée de sang. Deux policiers maintiennent maintenant l'homme dont les yeux se sont mis à briller. Un loup roux sortit du buisson et mordit un détective. Un autre noir et blanc vint blesser un inspecteur.

Un véritable combat débuta entre les humains et ces bêtes. Du sang tacha le paysage verdoyant. Des cris horrible envahit le chant des oiseaux. Cet horreur digne des enfer, tuant toute preuve de paix et d'innocence, ne dura pas moins d'une demi-heure.

Après un certain nombre de blessés, le commandant décida de rebrousser chemin pour retourner à la ville, emportant l'homme-animal qu'ils ont endormis. Le nuage de personne dans le quel je me trouve fit demi-tout et partit en direction du nord.

Je crois que cela fait un bon quart d'heure que nous marchons. Ma grand-mère ne veut pas me lâcher, elle qui me reprochai d'être trop protecteur avec elle il y a quelques instants.

"- Hé ! mademoiselle ! Entendis-je."

Une personne galère peut-être à suivre le groupe. 

  "- Oh ! Mais vous êtes l'une des disparus ! Venez, on va vous ramener au chaud !" 

Une des disparus ? A ces mots, je relève la tête.

Je croise le regard de ma Fanny. J'essaie un discret sourire. Mais ce sourire disparait quand mes pupilles distinguent ses joues humides. Elle a pleurée. Je suis certain que c'est la faute de ce Léon-Leiv.

"- Tout va bien mademoiselle ? Vous m'avez l'air fatiguée.

- Hein ? Euh... Oui, oui !"

Fanny grimace avant de perdre connaissance. Elle doit être beaucoup trop fatiguée ou encore choquée...

Fin du point de vue de JunHo.  

____________________________________Merci de votre lecture et au revoir !  

Bạn đang đọc truyện trên: Truyen247.Pro