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Jean-Mathieu restait caché derrière une des grosses machines à laver la vaisselle. Il patienta quelques trop longues secondes en entendant les bruits de pas s'éloigner. Il avait sciemment omis de dire qu'il allait laisser Eddie courir derrière Hugo, mais il était certain que ce dernier comprendrait ses intentions.

D'ailleurs ses intentions étaient très simples, il voulait rejoindre Mademoiselle Namut et plus si affinité. L'idée de la fin du monde avait quelque chose de très érotique. En fait, la plupart des idées avaient quelque chose de très érotique. Il ne comprenait pas pourquoi, mais dans chaque situation de la vie de tous les jours, il ne pouvait jamais s'empêcher de penser à autre chose qu'au sexe.

Cela ne faisait pas longtemps que cette obsession avait débuté. En fait, tout avait commencé au moment où il s'était dépucelé. Depuis cette expérience qui dans son cas s'était couronné de succès, il ne pouvait jamais longtemps détourner son esprit de « la chose ».

Quelle que soit la fille, il y pensait au moins pendant quelques secondes : blonde, brune, rousse, grosse, maigre, vieille, jeune, moche, mignonne, aucune fille ne réussissait à le calmer sexuellement.

Hugo semblait avoir réussi à sortir du restaurant universitaire. De leur côté les monstres de la salle principale n'avaient pas vraiment compris qu'il n'y avait plus personne dans la cuisine.

Sans se presser, Jean-Mathieu se dirigea vers le bureau de la chef. Il sentait déjà une érection pointer le bout de sa queue. Il se voyait déjà en doggy style, avec la mademoiselle qui gémissait. Le pouvoir et l'autorité l'excitaient et en matière de pouvoir et d'autorité, Mademoiselle Namut n'était pas une dilettante.

Il arriva enfin devant la porte du bureau de la demoiselle. Il remonta le col de sa chemise et vérifia son haleine. La fête allait pouvoir commencer. Il tapa à la porte et sans attendre de réponse il entra. Il ne se posa à aucun moment la question de savoir pourquoi la porte était ouverte.

Mademoiselle Namut était de dos. Elle ne portait pas de jupe et Jean-Mathieu ne se gêna pas pour poser un regard insistant sur son slip rose. Cette fois-ci, son sexe se durcit totalement. Il ferma la porte. Il ne voulait pas que ces crétins de monstre entrent et lui gâchent la fête.

Elle devait certainement attendre de voir les performances d'un antillais avant de mourir. Autant ne pas mourir sans avoir vécu ce genre d'expérience. Jean-Mathieu n'avait pas de capote mais il se fichait complètement d'attraper un virus puisque le monde finissait.

Mademoiselle Namut se retourna, Jean-Mathieu resta coincé sur l'avant de son slip rose, bientôt il y mettrait une main, puis la langue, il finirait le feu d'artifice avec son membre préféré. À travers le tissu, il pouvait déjà apercevoir une épilation en ticket de métro. Il allait peut-être arracher sa culotte avec les dents, il n'avait jamais vraiment essayé mais ce devait être assez marrant.

Sans aucun mot, mademoiselle Namut l'enlaça en collant son corps contre celui du jeune antillais. Ce dernier répondit en lui caressant les fesses. La chef l'embrassa dans le cou.

Putain c'est bon...

La demoiselle lui mordillait le cou, elle devait être une vraie tigresse au lit, les prochaines heures seraient inoubliables. Jean-Mathieu allait prendre son pied comme jamais il n'avait osé le rêver.

Elle ne me mordille pas, elle me mord, bordel de merde !!!

Les dents de la demoiselle se plantèrent dans la jugulaire. Jean-Mathieu essaya de se dégager. Il repoussa la chef du resto u qui lui arracha un bout de peau avant de s'écrouler au sol. Le sang de Jean-Mathieu coulait sur les lèvres de la femme. En apercevant son visage, il comprit son erreur. Elle faisait partie des monstres, sa peau était pâle et ses yeux vitreux. Elle n'avait qu'une petite trace de morsure sur le bras. Pourquoi était-il resté bloqué sur son cul ?

Le sang du jeune homme gicla à grosses gouttes en tapissant de rouge le bureau de la DRH. Il sentit un froid s'abattre sur son corps, il n'avait même pas la force de lever son bras pour cesser l'hémorragie. Ses jambes tremblèrent et il chancela.

Il mourait et bientôt il reviendrait certainement à la vie. Une dernière pensée logique se forma dans son esprit : putain quelle paire de...

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