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<<lui>>


(âmes sensibles s'abstenir présence de choses pouvant choquer les plus susceptibles. Gardez bien cela en tête tout le long du livre je ne le répèterai peut-être pas à chaque fois. 

Je ne suis pas responsable de ce que vous lisez merci.)

Alors que nos trois amis enfermés ensemble dans cette macabre pièce reprenaient leurs esprits après avoir trouvé une trappe de sortie, de l'autre côté de ce couloir infini se trouvait un couple effrayé par la tournure des évènements se déroulant sous leurs yeux. 

Eux aussi s'étaient réveillé dans une pièce inconnue à l'ambiance des plus sombres sans savoir ce qu'ils faisaient là. 

Sakusa Kiyoomi avait du mal à respirer. Entre crise de panique à la vue du sang et des microbes, et course poursuite avec un fou, ils n'avaient pas arrêtés de courir Sam et lui. 

-A...attends. 

Il se plia en deux, les mains sur ses genoux. Il avait beau être un sportif de grand niveau, les crises lui avaient déjà fait perdre pas mal de souffle.

Osamu se tourna vers lui et le prit dans ses bras un instant, sachant que là où ils étaient le fou ne pourrait pas les atteindre si facilement. Ils entendraient de toute façon si quelqu'un approchait de vous.

-Ça va aller... On va trouver un moyen de s'en aller. Et de faire payer à l'instigateur de tout ça. 

-Il y a quelque chose que j'ai du mal à comprendre... Tu crois réellement que c'est lui

-Je... Je n'en sais rien. Je suis un peu perdu. Je ne vois pas pourquoi il ferait ça. Cependant, nous devons nous méfier de tout le monde en ce moment d'accord ? Ne comptons sur personne à part nous. Comme nous en avions discuté tantôt avec les autres, on ne sait peut-être pas de quoi il est capable.

-je suis tout aussi perdu. Pourquoi est-ce qu'il aurait fait ça ? Je ne peux pas y croire, je ne peux pas. Ca fait tellement longtemps qu'on se connait...

Le couple souffla un grand coup, n'arrivant pas à réfléchir, avant d'entendre un coup de feu très proche d'eux. 

-Osamu on se casse ! 

Les deux tourtereaux sortirent de là où ils étaient, se faisant canarder. 

Deux hommes vêtus de noirs de la tête au pied marchaient à un rythme calme, leurs chaussures de militaires tapant sur le sol à chaque seconde. 

L'un tenait dans sa main couverte de cicatrices un fusil digne d'un sniper. L'homme avait le regard vide, une expression cependant elle déterminée sur le visage. Il avait une mission à accomplir et il n'allait pas abandonner. Les hommes avaient été grassement payé en plus de cela.

Osamu et Kiyoomi trouvèrent refuge dans une salle non loin de là, accessible uniquement par une sorte de porte secrète derrière un vieux meuble datant certainement d'avant la belle époque au vingtième siècle. Ils avaient eu de la chance d'avoir eu cette idée de pousser certains meubles pour voir s'ils ne cachaient pas quelque chose.

Une odeur peut attirante commença à agresser leurs narines, et l'un deux alluma une faible lumière pour voir d'où provenait cette odeur de presque putréfaction.

Stupéfaction. Dégout.

Un homme était pendu dans cette salle. Par n'importe quel homme. 

Kiyoomi dû mettre sa main sur la bouche de son fiancé pour éviter qu'il ne produise le moindre cri pouvant alerter les deux hommes armés toujours à leur recherche et signaler leur présence ici. 

Le jeune homme pendu à l'un des néons surplombant la salle n'était autre que Kuroo Tetsuro

Il avait sur le visage une marque, une lettre faite avec du sang qui avait eu le temps de sécher depuis sa mort. Sous son haut le couple pouvait apercevoir une macabre mise en scène. 

Son torse avait été ouvert minutieusement pour laisser entrevoir une partie de ses boyaux et intestins pendre. C'est à ce moment précis que le couple remarque avec effroi que leur ami était pendu avec ses propres boyaux à ce néon qui n'était plus alimenté par le courant depuis un bon nombre d'années. 

Sakusa crut tourner de l'œil à la vue de son ami. Les larmes coulaient en silence sur ses joues rosées par la course effrénée, tandis qu'il enlevait avec douceur sa main de la bouche de son partenaire. Il n'était même plus question de paniquer à cause du dégout ou de la mort de leur ami. Ils devaient sortir.

-Osamu... Dis moi que ce n'est qu'un mauvais rêve... Que tout ça n'est pas entrain d'arriver... Que Kuroo est... En vie quelque part à demander à Kenma s'il veut une tarte aux pommes et à rire avec son affreux rire de hyène enragée. 

Le chef d'Onigiri Miya scruta du regard les larmes de son compagnon. Il ne pouvait pas le rassurer et lui dire à présent que tout allait bien. Il aurait pourtant tant aimer le faire. 

Tous les deux le savaient à présent, le jeu avait bel et bien commencé. Et ils n'étaient qu'au début de ce jeu.

-C'est une chasse à l'homme. Nous sommes des pions au milieu du jeu d'un détraqué qui très certainement nous regarde depuis une salle de contrôle. 

-Si tu as raison, alors il doit sûrement y avoir de quoi se défendre. Un jeu d'horreur comme celui-ci n'est pas réussi sans résistance. 

-Je ne te suis pas Kiyoomi. 

-Si l'homme derrière tout ça a voulu recréé un jeu d'horreur, alors ce n'est pas drôle pour lui si nous mourrons facilement les uns après les autres, ça n'aurait aucun intérêt tu vois. Les deux hommes auraient pu nous tuer beaucoup plus facilement que ça ne nous voilons pas la face Osamu, nous sommes de bons sportifs mais face à des militaires armés jusqu'aux dents, nous ne sommes rien. Il prend un malin plaisir à nous voir souffrir c'est tout. 

-Je ne pense pas que cela soit son but premier. Tu as entendu Kenma non ? 

Kiyoomi haussa les épaules 

-ça n'a pas d'importance. Que ce soit lui ou quelqu'un d'autre, quoi qu'en pense Kenma, il n'a rien laissé au hasard. Nous devons trouver de quoi nous défendre et retrouver les autres. On doit laisser de côté ce que pense Kenma pour le moment. Nous avons déjà perdu l'un des nôtres, ça ne peut plus continuer d'accord ?

-Tu as raison. On devrait essayer de trouver les autres.

Ils hochent la tête d'un commun accord et se mettent en quête d'une sortie différente de là ils où ils étaient entré dans la pièce un peu plus tôt.

Mais alors qu'ils pensaient être saufs , une voix retentit dans les haut-parleurs juste à côté d'eux.

-Attention~

-Oh non encore lui

Murmura le chef du plus populaire des restaurants de la capitale. Kiyoomi et lui s'échangèrent un regard effrayé avant d'écouter la suite de la conversation. Le plus terrible dans tout cela était qu'ils étaient toujours en compagnie du corps mort de leur ami de toujours.

-il prend un malin plaisir à nous faire passer ces putains de messages en plus

-Mes chers amis ~ je suis heureux de vous annoncer qu'un de vos camarades a su trouver la sortie.

 Osamu se tourna vers l'attaquant en se rendant compte qu'il parlait sans doute de Kuroo. Les deux jeunes détournèrent rapidement le regard quant un spot lumineux brillant presque aussi fort qu'un soleil en plein jour, s'alluma et pointa le corps sanguinolant de l'ancien joueur de volley.

Cette fois-ci , cela fut de trop et les deux amants remirent tout ce qu'ils avaient mangés les dernières heures. Le dégout les consumait de plus en plus, sans parler de la prise de consciecne désormais effective d'avoir perdu leur ami à tout jamais.

Un goutte à goutte terrible pouvait se faire entendre entre deux grésillements de haut-parleur.

-La sortie du monde réel.

-je vais jamais tenir...

-Que son âme repose... En paix.

 Mais au delà de tout ça, le couple comprit quelque chose qui allait pouvoir les aider.

-s'il perd son temps à parler dans des haut-parleurs d'une pièce spécifique à chaque fois, c'est qu'il sait où l'on se trouve premièrement, mais surtout, c'est qu'on ne doit pas être loin les uns des autres.

-on pourrait très bien être dans des bâtiments séparés avec un système de haut-parleurs reliant les bâtiments Osamu...

-Non non. le bâtiment est vétuste au possible. Les haut-parleurs ne fonctionnent qu'un en seul bloc, selon les méthodes pour l'installation d'avant. Notre chance est donc d'être certainement tous dans un seul et même bâtiment. Alors dépêchons nous. Le temps est compté.

D'un accord silencieux, ils regardèrent droit dans la direction de la caméra qui les filmait.

-on t'aura, tu ne nous fais plus peur.

En synchronisation, ils disent haut et fort le prénom de l'instigateur de ce jeu macabre, qui prenait peu à peu conscience qu'il avait déjà perdu.


++++

Coucouuu

je suis désolée d'avoir fait mourir peut-être votre préféré, ça m'a fait mal aussi sachez le !

En attendant vos retours, 

Byyyye

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