ada, vince et gil
Au mots de livaï, les trois concerné ouvrir de grand yeux. Puis la fille, ada donc, se tourna paniqué vers le blond qui se tenait toujours face à moi, celui-ci lui souris. Je leurs lançait un regard noir tandis que le brun s'approchait à son tour de livaï:
-incroyable tu t'en souvient! Enfin, ça ne change rien... Il se tourna vers l'autre garçon.
Puis livaï hurla. Il hurla mais cette fois ce n'était pas de douleur, non, il criait mon nom.
Pourquoi?
Et pourquoi avait-il cette air paniqué? Inquiet?
Que lui arrivait t-il?
La réponse me tomba dessus d'un seul coup, tandis que le sang se répandait sur ma manche, là où les ciseaux du blond s'était enfoncé dans ma chair. Je fermais les yeux, ignorant la douleur du mieux que je pouvais. Je ne pus retenir une larme au moment où il enleva ses ciseaux. Puis il se redressa:
- Gil, ce qui va suivre ne te concerne pas. Sors s'il te plait.
Le brun s'apprêtait à protester mais décida finalement qu'il valait mieux ne rien dire et sorti donc sans bruit emmenant avec lui les 6 buveurs de thé.
Le blond était donc Vince...
Ada s'éloigna de livaï pour venir vers moi et Vince alla vers livaï. Je ne pus entendre ce que le blond lui disait. Ada cachait désormais mon champ de vision et son sourire qui, jusqu'à présent, était le plus tendre et amical, était devenue un rictus sadique:
- Tu es retourné le voir, tu as de nouveaux passé du temps avec lui alors que je t'avais dit de ne plus l'approcher!
Je savais que la peur se lisait dans mes yeux mais je parvins à articuler ces quelque mots:
- je ne vois pas de qui tu parles...
La douleur m'empêchait de trop parler et je ne pouvait que serrer les dents
- ne fais pas l'innocente! Il ne peux y avoir qu'une seul personne digne d'un quelconque intérêt dans cette armée!
Je ne lui répondit pas. Je réfléchissait. Qui étaient-ils? Ada, Vince et Gil... Ça me disait quelque chose.
Derrière elle, livaï était sans doute dans la même situation que moi...
Pdv: livaï!
Le blond s'approcha lentement et s'accroupit face à moi. Son sourire s'effaça pour laisser place à un visage menaçant:
- Livaï Ackerman, connue comme le plus grand soldat de l'humanité alors qu'il ne fait qu'un mètre 60... J'ai toujours trouvé cela ridicule.
Je fis de mon mieux pour ne pas lui éclater le front contre le sol.
Pourquoi? Mais tous simplement par ce que c'est le sort que je réserve à tous ceux qui se moque de ma taille!
Oui je suis susceptible.
Pendant ce temps l'autre idiot continuais de parler:
- je t'avais prévenue et pourtant tu es allé la voir...
Je levait un sourcil,soudainement intrigué par ce qu'il disait
- ça tombe bien, j'avais une grande envie de torturer quelqu'un en ce moment.
Il sorti ses ciseaux. Je ne lâchait pas son regard, même au moment ou les lames s'enfoncèrent dans une de mes plaie. Je serai les dents. Au moins j'étais encore en état de réfléchir, il me fallait un plan.
Livaï avait bien réfléchie, il en était sur. Il n'avait aucun plan. Mais parfois l'impro peut être un bon plan...
Depuis une dizaine de minutes Vince abîmait livaï, celui-ci s'en fichait depuis 4min. Le blond commençait à s'ennuyer de voir sa proie aussi blazé que d'habitude et s'enquit alors de se que faisait Ada, livaï sauta sur l'occasion:
Il se redressa tan bien que mal, mais comme c'est lui ça ne lui pris que quelques secondes, et bouscula Vince, celui-ci fut tellement surpris qu'il en tomba à la renverse. Le caporal prit alors connaissance de l'environnement :
La pièce était plutôt grande, faite de pierre grise qui la rendait froide et n'avait pour seul meuble qu'une table en fer dans un coin. À l'opposé, la porte en bois sombre par laquelle il était entré. À quelque pas de lui se trouvait un jeu de carte: livaï reconnu la bataille corse. Milo perdait et Mars gagnait. Il n'y avait aucune fenêtre et seule une petite lampe de bureau éclairait de sa lumière tremblante toute la pièce. Dos à lui, Ada commençait à se retourner. Pour le brun, la scène se déroulait à une lenteur incroyable. Le coup qu'il mit à la blonde fut par contre d'une rapidité hors norme. Elle s'écroula dans une mare de sang. Pas son sang, mais celui de la rouquine. Derrière lui, le blond commençait à se relever. Livaï ne bougea pas. Face à lui, alaïce levait lentement les yeux vers le caporal et malgrès la douleur qu'elle éprouvait, elle lui sourit. L'homme aux yeux acier tandis la main vers celle aux yeux émeraude:
-lève toi.
-tss.
Elle ne prit pas la main tendu de livaï, préférant se relever seule.
Enfin c'est ce que le brun croyait mais il compris quand la jeune fille lui montra ses mains noué. Il les défit, la libéra de ses liens pour qu'elle puisse enfin se battre à ses côtés. Ils étaient tous les deux dans un sale état, les deux blonds s'étaient relevé et s'avançaient vers eux, la rouquine et le brun échangèrent un regard décidé avant de s'élancer vers les deux autres.
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