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Chapitre 1 : Paperasse de 💩

Ah, l'université ! Le lieu où l'on côtoie des esprits brillants, des livres poussiéreux et, bien sûr, des cauchemars administratifs. Je me retrouve dans ce temple du savoir, les étagères des bibliothèques rivalisant avec les buildings du quartier de Westminster avec un cappuccino froid à la main. Mais contrairement aux autres étudiants, je ne suis pas ici pour décrocher la lune qui me permettra de devenir riche — donc heureuse d'après eux —.

Non, moi, Ève, je suis là pour récupérer des papiers à l'administration, histoire de m'assurer que mon existence modeste est bien reconnue. Je pénètre dans le bureau, les étoiles en métal sur la porte clinquettent dans un bruit féerique à vous faire vomir un arc en ciel. Une secrétaire, aussi souriante qu'une porte de prison, m'accueille avec un thé fumant et un magazine people, le Zod', dans l'autre.

— On ferme dans cinq minutes.

— Il est neuf heures, je lui fais remarquer en désignant l'horloge au dessus de sa tête.

La secrétaire mâche son chewing-gum tout en regardant son smartphone. Elle souffle bruyamment en levant les yeux au ciel et pose son magazine.

— La pause clope, ma grande. Quand tu auras une tonne de papiers à traiter dans la journée, tu verras que c'est vital. Allez, dis-moi ce que tu veux.

Et si on s'amusait vous et moi ? Histoire de faire plus ample connaissance étant donné que l'on va passer un long moment ensemble. Qu'est-ce qu'il la rend aussi aigrie à votre avis ? Le fait qu'elle soit une secrétaire sous payée à l'université, qu'elle soit mal baisée par son mari ou qu'elle soit Bélier ? À mon avis, un peu des trois, et vous ?

Je lui explique ma venue, en expliquant que l'administration m'a inscrite dans le mauvais cours. Elle me tend les documents, et là, quelque chose attire mon attention : au lieu de voir ma date de naissance, mon signe du zodiaque trône honteusement sur le papier.

— "Verseau", lit-elle à voix haute.

Elle me sourit, mais c'est ce sourire hautain que je connais trop bien et qui me titille le trombone, pour rester polie.

—  Il n'y a pas eu d'erreur, tu t'es juste trompée en remplissant les colonnes sur ton ordinateur. Tu connais le glisser-déposer ?

— Oui, je sais me servir d'un ordinateur, merci.

— Apparemment, non, me répond-t-elle du tac au tac. Vous les Verseaux, vous êtes un peu tête en l'air, non ? Vous voulez vous débrouiller tout seul sans demander rien à personne. Et bien voilà pourquoi vous vous plantez toujours au final.

Je respire calmement alors que son rire similaire à un crissement de pneu fait écho dans les bureaux. Cette femme est un Bélier, j'en suis sûre, alors ça ne sert à rien de débattre de quoi que ce soit avec elle. Non en fait, ce qui m'énerve, c'est moi-même. Je me force à essayer de ne pas juger les gens à leur signe comme on l'a fait avec moi toute ma vie, mais depuis que je suis dans la capitale, je fais tout le contraire !

— Est-ce que vous pouvez changer mon cours d'histoire moderne et le remplacer par celui d'histoire contemporaine ?

— Bien sûr, mais il faudra faire une demande depuis ton espace personnel. Ensuite, une fois que la demande sera traitée, d'ici...réfléchit-elle en regardant le plafond, d'ici un mois environ, nous étudierons ta demande. Puis nous la validerons, et...

— Un mois ? répété-je en me décrochant la mâchoire. Mais je n'aurais jamais le temps de rattraper mon retard si je suis obligée d'assister à un autre cours.  

La secrétaire hausse les épaules.

— Tu te crois où ? À Diafosa ? Tu fréquentes le directeur de l'école pour qu'il te fasse tout dans un claquement de doigts ? On n'est pas dans un roman à l'eau de rose ma grande où tout se passe comme on le veut, ce sont les délais. Malheureusement, je ne peux pas y faire grand chose.

Oh ça, je l'ai très bien compris à la seconde où je t'ai vu.

— Vous pourriez au moins rester respectueuse, m'offusqué-je en fronçant les sourcils.

— Je suis Bélier, pas Cancer, d'accord ?

Je décide de ne pas perdre plus de temps et me résout à suivre un cours dont je n'ai aucune connaissance. J'essayerai de limiter la casse en passant mes soirées à bosser comme une acharnée si je peux éviter de retaper la matière pendant les rattrapages.

— Au fait, au cas où tu ne l'aurais pas remarqué, il faut que tu trouves un stage pour ce semestre. Je vois que la case est vide, alors prends tes précautions et commence à chercher dès maintenant.

Je ne remercie pas la secrétaire qui se contente de reprendre son magazine où l'horoscope du jour est inscrit sur la première couverture. Elle prend son sac qui était posé à ses pieds, et en sort un paquet de cigarette avant de fourrer le magazine à l'intérieur. Je lève les yeux au ciel lorsqu'une flamme apparaît au bout de son doigt pour allumer ce cylindre de papier qui la tue à petit feu. Si seulement les signes du zodiaque n'existaient pas, ma vie serait bien meilleure.

Je marche dans les couloirs de l'université pour rejoindre mon dortoir lorsque mon téléphone vibre dans ma poche. Ma mère m'a appelé une bonne centaine de fois depuis mon arrivée. Devinez depuis combien de temps je suis à Londres ? Deux jours, et j'ai l'impression d'être partie depuis trois ans. 

— Enfin, tu décroches ! Tu aurais pu nous appeler quand même, Ève !

Le bruit du tracteur m'empêche d'entendre mon petit frère à ses côtés.

— Bon alors, comment c'est là-bas ? Fais attention à ce qu'on ne vole pas ton porte-monnaie, hein ? Tu n'es plus dans la campagne, les gens de la ville sont malfaisants !

Un sourire m'échappe, mais ma mère a raison. La ville n'a rien avoir avec ma campagne tranquille. Regardez cette pauvre fille à qui j'ai eu affaire. Ici, les gens vous poussent dès que vous traînez dans la rue, vous gueulent dessus si vous mettez plus de trois secondes à choisir votre boisson dans un café, et vous interpellent avec le nez rouge dans le métro pour vous demander des pièces ou du whisky.  Mais ce n'est pas le pire. À Londres, les signes du zodiaque sont au coeur de l'attention de tous. Ils déterminent avec qui vous devez traîner en fonction de votre compatibilité, au contraire ceux que vous devez éviter, et ces maudits horoscopes sont affichés partout dans les kiosques. Mais pour rien au monde je ne retournerai vivre dans cette maudite campagne où les vaches font plus de bruit que les lattes de mon lit. C'est ce que j'avais toujours voulu, prendre mon indépendance et découvrir de nouveaux horizons. Londres n'était peut-être pas mon premier choix, mais l'université d'Islington demeurait la meilleure et la plus abordable avec nos minces économies.

— J'ai visité le coeur de Londres, plutôt chouette si on enlève les milliers de personnes qui vous foncent dedans et vous crient dans les oreilles. J'aimerais visiter les villes voisines comme Bristol et goûter tous les plats locaux d'ici la fin de l'année, je m'exclame en sortant mon carnet de mon sac.

C'est là-dedans que je note le moindre lieu et y établit un classement. Pourquoi rester chaque année au même endroit lorsqu'il existe des milliers de villes différentes ? Oui, je sais, il y a l'argent, c'est d'ailleurs ce qui m'a bloqué jusqu'à maintenant et la raison qui explique pourquoi je n'ai pas d'amis. J'ai passé l'essentiel de ma vie à bosser dans des petits boui-boui aux salaires médiocres, et il n'y avait pas beaucoup d'enfants de mon âge dans mon village non plus.

— Tu as tout visité seule ? me demande ma mère.

Je reconnais parfaitement son ton accusateur qui indique qu'elle va péter une durite si je lui dis oui. J'aimerais pouvoir lui mentir, mais ma mère a un véritable don pour le savoir.

— Ça fait que quelques jours que j'y suis, je ne peux pas me faire des amis en...

— Ève Evans Sanchez, me coupe-t-elle. D'ici la fin de la semaine, je veux que tu m'envoies une photo de toi et d'une amie en train de t'amuser. Je me moque que cette personne soit une enfant ou une vieille, qu'elle ait un bras en moins ou même qu'elle se drogue, tu m'entends ? Je veux que ma fille s'amuse comme une personne de son âge et non comme une Verseau solitaire. Tu sais que le réseau est important, pas vrai ? C'est toi qui voulais réussir dans la ville, mais tu ne fais aucun effort pour t'intégrer. Si je n'ai pas cette photo, tu reviendras à la maison.

Je me retiens de frapper les poubelles du trottoir avec mon pied et plante mes ongles dans mon jean à la place.

— Quand est-ce que tu comprendras que j'aime être seule ? hurlé-je. C'est peut-être parce que tu me colles h24 aux baskets que je suis comme ça !

Je ne lui laisse pas le temps de répondre et raccroche sous le regard amusé d'une étudiante aux cheveux violets.

— Qu'est-ce que tu regardes, toi ?

Je ne suis pas aussi violente d'habitude, mais là tout de suite, personne n'a intérêt à me chercher.

— Je regarde une fille qui me ressemble, me répond-t-elle en haussant les épaules. Mia, enchantée. On est dans le même cours de littérature anglaise, je t'ai vu coller ton chewing-gum sous le bureau quand M. Ledwig t'a regardé de travers.

Elle me tend sa main que je serre avec force.

— C'est bien toi qui a déposé l'annonce dans le hall ? Tu cherches une colocataire ?

Oh, mince ! J'ai complètement oublié.

— Oui, c'est bien moi.

La jeune femme se gratte la tête et regarde ses chaussures dont les lacets sont colorés et à peine serrés. Ses vêtements sont beaucoup trop grands pour elle et sa mine penaude me fait penser qu'elle vit sous un pont.

— Écoute... Je ne suis pas d'ici, et j'ai vraiment besoin d'un pieux. Je dors dans un Airbnb et je n'aurais plus d'argent avant la fin du mois si je continue.

Je pose la main sur mon menton et soupire. Oui, il me faut une colocataire pour réduire les frais. J'ai dégoté un bête d'appart juste à côté de l'école par miracle, mais je ne pourrais pas non plus espérer faire des économies si je continue à rester seule là-bas. Sauf que je ne la connais pas, et il est hors de question d'accepter si ma tranquilité est en jeu.

— Je suis Capricorne au fait, alors j'aime avoir des moments seule. En fait, je préfère même être seule tout court. Enfin, tout ça pour dire que je ne t'embêterai pas. Puis... on peut faire semblant d'être amie pour faire plaisir à ta mère, non ?

Un sourire m'échappe qu'elle me renvoie aussitôt. Ses yeux bleus pétillent alors d'espoir.

— Tu sais où est-ce que je pourrais prendre une photo, alors ? Ma mère veut carrément une preuve.

Mia éclate de rire avant de réajuster la lanière de son sac qui a glissé de son épaule.

— Bien sûr ! Il y a la fête d'intégration ce jeudi. Tu pourras prendre des photos avec un max de monde, ils seront tous bourrés et s'en rappèleront même pas.

Beurk, une fête avec des êtres humains qui se trémoussent les uns contre les autres.

— Il n'y a pas quelque chose de plus... calme ?

— Je ne vois rien d'autre, finit-elle par me dire en triturant ses cheveux platines. Après la semaine d'inté', tout le monde va bûcher sur les cours. Les débuts de semestre sont assez compliqués dans cette université.

Elle a raison. L'école est réputée pour avoir des partiels niveau master pour des premières années, et encore, je suis gentille.

— Bon, soupiré-je. Je suppose que je n'ai pas vraiment le choix. Tiens mon numéro, on discutera des modalités de l'appart après les cours.

— Oh merci beaucoup ! s'exclame-t-elle en sortant son smartphone de sa poche.

— Je n'ai pas encore accepté, hein. On voit ce que ça peut donner pendant un mois d'abord, et ensuite, on avisera.

Elle hoche vigoureusement la tête.

— Promis, je ne te décevrais pas !

Le reste de l'après-midi s'est passé sans encombre. Je suis soulagée et reconnaissante d'avoir rencontré cette fille au bon moment. Non seulement elle m'aide avec la colocation, mais en plus elle règle par la même occasion le problème avec ma mère. D'accord, je vais devoir faire un gros effort pour me pointer à ce genre de fête que j'ai en horreur, mais je serai tranquille tout le reste de l'année après ça. Maintenant, il ne me manque plus qu'à trouver un stage, et pour ça, je pense avoir une idée.

Le bureau des étudiants est situé derrière le campus. Allez savoir pourquoi est-ce qu'il faut parcourir autant de kilomètres pour des informations, mais j'ai au moins la satisfaction d'avoir fait mon nombre de pas journalier. Le bureau se distingue par ses grandes baies vitrées qui laissent pénétrer la lumière naturelle. À l'intérieur, l'espace est aménagé d'une décoration moderne, avec des zones ouvertes favorisant les rencontres spontanées et les échanges entre les étudiants. Des canapés colorés et des tables basses disposées stratégiquement créent des espaces propices à la détente et à la discussion. Les murs sont tapissés d'affiches colorées annonçant des événements, des clubs et des initiatives estudiantines. Des panneaux d'affichage interactifs diffusent des informations importantes, des nouvelles du campus, et des invitations à participer à diverses activités. Mon regard cynique se pose sur la grande photo d'un garçon blond avec une posture majestueuse, arborant une crinière resplendissante et une aura digne d'une superproduction hollywoodienne. Il y figure "fête d'intégration du jeudi soir". Je m'y approche et lis de plus près les informations mentionnées.

Peu importe votre signe, venez faire de nouvelles rencontres lors d'une soirée dont vous vous souviendrez toute votre vie ! Au programme : jeux alcoolisés, pool party, jeux gonflables et ... l'Émissaire du Lion !

Je grimace, alors qu'un autre étudiant prend un des prospectus de la fête.

— Un Émissaire, mon gars ! s'étonne-t-il en pointant son doigt dessus tout en le montrant à son ami.

— L'Émissaire du Lion... j'aurais largement préféré un autre émissaire plutôt que ce narcissique.

— Oh ça va, c'est pas tous les jours qu'on peut les voir d'aussi près. Tu viendras avec moi, pas vrai ?

Les Émissaires occupent une place centrale dans notre société, qui fonctionne selon les signes astrologiques. Chaque Émissaire représente un signe du zodiaque et incarne ses caractéristiques uniques. Ces individus aussi extraordinaires que détestables, sont choisis par des forces mystérieuses liées aux astres, ce qui leur confère une connexion spéciale avec les pouvoirs astraux de leur signe. Bon, je n'y ai jamais rien compris et ça ne m'a jamais intéressé, mais ils sont l'équivalent d'une famille royale. Le rôle principal des Émissaires est de guider et de protéger les personnes nées sous leur signe, tout en maintenant l'harmonie générale entre les différents signes. Bref, ces types incarnent tout ce que je déteste. C'est aussi en partie à cause de leur existence que notre société est autant régie par les signes. Et là, j'ai la nausée parce que je viens de répéter le mot signe trois fois en l'espace de deux phrases.

— Mademoiselle ? C'est à votre tour.

Je m'avance vers la secrétaire qui a l'air beaucoup plus agréable que l'autre. C'est une étudiante, comme moi, qui a sûrement accepté ce petit boulot pour un revenu supplémentaire.

— Tu peux me tutoyer, lui dis-je. Je cherche des annonces pour un stage.

La jeune fille hoche la tête et se décale pour me montrer le mur derrière elle.

— Ce sont toutes nos offres. Il n'y en a plus trop vu que l'année a commencé, mais celles qui restent sont quand même intéressantes. Tiens, regarde. Il y a le journal Zod' par exemple qui cherche encore deux stagiaires.

Elle se retourne et arrache le papier du mur avant de me le tendre. L'annonce a clairement l'air alléchante. Le Zod' est plus un magazine qu'un journal. Enfin, disons qu'ils étaient à la base un journal respectable et qu'ils sont partis en cacahuète en diffusant des news de célébrité inutiles ces derniers temps. Travailler pour une telle entreprise serait incroyable pour ma future carrière ! Le salaire est minable pour ce que c'est, mais les étudiants postulent plus pour le rayonnement international de l'entreprise qu'autre chose. Je m'empresse de noter le numéro sur mon smartphone avant de remercier l'étudiante.

— Attends ! On vient également de recevoir une autre offre de stage ce matin. Bon, il y a foule pour celui-ci, mais tu pourrais quand même tenter ta chance. Le salaire est très attractif et les avantages salariaux aussi. Tickets restaurants, voiture de fonction... énumère-t-elle sur ses doigts peints en rose.

— Wow, tout ça pour un stagiaire ?

— Oh tu sais, ce n'est pas pour n'importe quelle offre. Assistant de l'Émissaire du Scorpion, rien que ça ! Tous les autres Émissaires ont choisi leur assistant, sauf lui, alors ça fait jazzer. Tu sais ce qu'on dit sur lui, il fait tomber les nana à la pelle. Pas étonnant vu son physique ravageur, mais franchement, il a un sale caractère. Tu l'accompagneras au quotidien dans la gestion...

—  Non merci, la coupé-je. Je préfère quelque chose de plus tranquille, qui attire moins l'attention, tu vois ? Le Zod' serait parfait dans mon cas.

Elle me sourit avant de me lancer avec un clin d'oeil :

— Tu dois être Capricorne.

Je ne lui réponds rien et hausse les épaules. Les Capricornes sont appréciés pour leur persévérance et leur calme. Quand ils ont un objectif, impossible de les en détourner. Elle me donne un exemplaire de l'offre en m'indiquant le lieu de l'entretien. Comme le magazine passe directement par notre école — merci les partenariats — tous les étudiants décrochent plus facilement une rencontre avec la RH de l'entreprise. Cette journée a plutôt mal commencé et voilà qu'elle se termine sur deux excellentes nouvelles. À moi la vie d'étudiante indépendante !

____

Salut !

C'est Kida, si tu ne me connais pas encore, j'écris sur Wattpad depuis 6 ans.

J'ai sorti God's Return qui va être adapté en papier (à la base j'avais été approchée pour qu'il sorte en film 🤩).

J'avais envie d'écrire un nouveau roman, original, frais, où tu pourras pas t'empêcher d'avoir envie de lire la suite.

Du coup j'ai mis énormément de temps à écrire ce nouveau bébé, qui j'espère te plaira.

Je me permets de te demander ton soutien si ca te plaît en :

• likant le chapitre,
• en ajoutant le livre à ta liste de lecture (comme ça tu sauras quand un nouveau chapitre sort),
• en me donnant ton avis en commentaire (la moitié du temps vous me tuez de rire donc j'adore vous lire 😂),
• en t'amusant !

À mercredi prochain 😏

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