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| 1 | Un temps gris


Depuis mon enfance j'ai toujours été attiré par la mort. Du plus loin que je m'en souvienne j'ai toujours eu des jouets pas comme les autres.

Mes parents m'achetaient des têtes de mort, des poupées à disséquer, des armes, des livres sur le poison et pleins d'autres encore.

J'adorais ça, à chaque fois que je faisais quelque chose de mes mains je me sentais vivante. Comme si,on fond la seule chose que je voulais c'était faire plaisir à mes parents.

Inconsciemment j'ai commencé à prendre goût au meurtre.

Puis à partir d'un certain âge cela c'est concrétisé par le découpage d'insecte, d'animaux puis d'humains.

Je voyais dans le regard de mes parents que je les dégoûtais, alors j'essayais de me tuer plus profondemment à la tâche en croyant leurs faire plaisir. Mon âme s'assonbrissait de plus en plus jusqu'à devenir d'un noir parfait.

Un jour je me suis ramenée avec un doigt humain de la voisine. Elle m'avait invité à cuisiner un gâteau avec sa fille, je n'ai pas pû m'empêcher de lui couper un doigt. Je voulais voir ce que ça faisait et si elle serait toujours souriante avec moi. Elle a crié et c'est évanouie. Son mari est arrivé et à appeler l'ambulance, j'en ai profité pour déguerpir en prenant le doigt. Dans mes souvenirs si sa fille m'avait vu prendre le doigt mais je sais en tout cas qu'elle fixait l'endroit où était le doigt même quand je suis partie. Quand je suis rentrée ma mère m'a giflé en pleurant de joie.

Sur le coup, je n'avais pas compris pourquoi elle m'avait giflé si elle était si contente.

Puis au fil des années, le voile est tombé.

Un long cycle, dont le seul but finale était que je devienne un monstre. Un démon apprivoisé, un Assassin. Le problème était que mes parents avaient décidé de mon avenir sans me laisser une chance de faire ce que je voulais. Ils avaient crée un démon qu'il ne maitrisait pas mais peu leur importer car à l'âge où je pouvais aller à l'école il ne me verrait plus.

Une école existe plus connu sous le nom de l'APG (Assassins - Professionnel - Gouvernemental). Dans cette école, les élites y sont formés et bien sur qu'une poignée de la population parvient à y rentrer.

Être capable de tuer et aimer tuer, voilà les deux concept clé de l'école.
Les regrets ne faisait pas parti du vocabulaire.

Les cas possédant c'est deux qualités sont admis après un test d'entrée. Certains ne tue pas par plaisir mais par devoirs, objectifs ou encore pour quelqu'un et d'autres ne sont capables de tuer que s'ils sont poussé à bout. C'est des dérivations de la mort mais cela reste le même objectifs que tous ceux de l'école.
Si cette école existe c'est bien parce que des monstres comme moi ont vu le jour, et certains comme dans mon cas c'est à cause de parents avide d'argents.

Je me demande toujours si les vrais monstres ne sont pas ceux qui m'ont rendu comme ça.

Beaucoup de parents comme les miens choisisent cette voix pour leurs enfants mais peu y parviennent. Après tout il faut être décalé d'esprit pour souhaiter à ta progéniture de tuer. C'est pour ça qu'il faut se préparer d'avance à dénigrer l'enfant en question. Si il n'y a pas d'amour, il n'y a pas de peine de le perdre, il n'y a pas de regret de lui faire subir ça. C'est un futur portefeuille ambulant diront certains.
Pourtant des sources sures prouvent que de plus en plus de parents choisissent cette voix pour leurs enfants.

Il y a aussi des cas speciales où les parents sont eux même des assassins. Le plus souvent c'est un rite de famille prestigieuse dans le milieu  qu'on transmet de génération en génération.

Et il y a cette petite catégorie d'enfant orphelin ou aimer de leurs parents. Ici c'est plutôt qu'ils avaient ça dans le sang. Au dépend de leurs famille.

Le concept est farfelu mais étonnamment populaire. On fait payer les parents tout les mois avec l'argent que gagnera leurs enfant s'ils arrivent à les faire rentrer dans l'ASG.
Et on promet au parents qu'il ne reverront plus leurs enfants.

Voilà comment j'ai perdu mes parents à l'âge de 12 ans.

Est-ce que je vieillis ?

Non mais parce que je me remémore ma vie en marchant dans le couloir de mon nouveau lieu de travail.
Comme les vieux pépé séniles.

Je me masse l'arrête du nez.

Il faut que je me reprenne. Ça ne sert à rien de remuer le passé. Place au présent !

- JASMINE !

Je me retourne à l'entente de mon prénom.

Je me prend un être humain en pleine gueule et tombe sur les fesses.

- Mais ça fait mal non d'un dieu qui est assez con pour...

Mieux vaut pour moi que je ne finisse pas ma phrase.

- Non mais vas-y fini ta phrase tu voulais dire quoi ? Railla Mickaël.

Je me relève crispé et lève les yeux vers lui en rapprochant mes mains de ma poitrine. Mon geste de défense et pitoyable je sais.

- Non non rien ! C'est....C'est un malentendu. Beguayais-je.

Il se rapproche de moi et je recule mais je touche le mur.
Il s'avance jusqu'à être à 10 millimètres de mon visage.

Je ferme les yeux instinctivement.

Je sens son souffle dans mon cou et me crispe.

- Fais attention la prochaine fois.

J'ouvre soudain les yeux mais il n'est déjà plus là.

Note à moi-même : Ne plus se prendre un mec costaud dans la poire.

Je pose une main sur mon coeur et souffle de soulagement.

Je suis toujours en vie.

- euh....Jasmine ?

Je tourne la tête surprise et vois Théodore avec plus de carton que ses bras frêles pourrait porter. C'est moi où j'ai l'impression qu'il tangue ?

Je vais pour l'aider mais il les dépose avant que j'arrive. Il se gratte l'arrière de la tête gêné.

- Pardon je t'ai créer des ennuies.

- De ? Dis-je dans l'incompréhension.

Il regarde le sol et s'emmêlent les doigts avant de continuer.

- Eh bien.. ! Tu t'es pris Mick par ma faute.

Mick ? Ah Mickael !

Je lui souris en agitant les mains.

- Ne t'en fais pas pour ça c'est oublier.

- Le chef t'appelle ! Affirme-t-il avant de partir en fusée.

Qu'est-ce qu'il lui arrive ? Il est parti avec le visage tout rouge.

Il est peut-être malade.

Je vois les cartons qu'il portait tout à l'heure à mes pieds.

Il les a oublié.

Je me faufile dans l'ascenseur avant que celui-ci ne se ferme.

Je laisse les cartons là-bas, c'est plus urgent d'aller voir mon nouveau patron.

Je clique sue le bouton du dernier étage et attend que l'ascenseur m'y conduise.

Bon j'espère que ce n'est rien de grave, je ne pourrais pas faire pire que ce pauvre Théodore qui est voué à être le secrétaire de tout le monde le restant de sa vie.

Mais je ne le plains pas, il a un don pour mettre tout le monde de son côté. Il est peut-être très jeune mais il est joyeux et toujours positif mais n'oublions pas qu'il a deux personnalités opposés.

Enfin, on a tous des personnalités bien particulière donc ce n'est pas si choquant.

Il est même proche de Mickaël. Je crois que c'est bien le seul qui n'a pas peur de lui. Je ne sais pas comment il a fait mais ils ont l'air de se respecter mutuellement. Son autre facette y a sûrement joué pour quelque chose.

Les ascenseurs s'ouvrent sur un long couloir amenant au secrétariat.

Il fait toujours aussi sombre ici.

Je marche en direction de l'accueil assez hésitante.

Cette endroit me fait froid dans le dos.

Aller courage ! Resaisis-toi ! Il ne va pas te tuer....ou pas..

Ouah ! Je me désespère moi-même.

Je m'avance et atteins le bureau de sa secrétaire.

Celle-ci me lance un court regard avant d'affirmer qu'il m'attend.

Je longe les couloirs puis arrive devant sa porte.

Mon dieu je ne pensais pas avoir autant de mal pour toquer à une porte.

J'ai l'impression que mon coeur va exploser.

Je prend mon courage à demain et pousse la porte.

- Bonjour Monsieur. Exclamais-je avec un courage qui m'étonne.

Je referme la porte derrière moi et attend patiemment les mains derrière le dos.

Le patron est assis sur son fauteuil, dos à moi, regardant l'extérieur par sa baie vitrée. On peut voir les sommets de la ville de là où on est.

Je reste figé sur place, attendant qu'il me dise ce qu'il souhaite.

On reste comme ça un long moment.

Je vais rester planté là combien de temps ?

Il n'y a aucune lumière dans la pièce à par le mur naturel qui nous sépare de la ville par une épaisse couche de verre.
Le temps est gris.

- Assis-toi ! Souffle-t-il d'une voix grave après de grande minutes de silence.

J'ai cru que ce moment n'arriverait jamais. Il pourrait au moins dire bonjour.

Je m'avance et m'assois devant son bureau. Je ne le vois pas mais au moins je peux contempler les sommets de la ville de plus près.

On va rester longtemps comme ça ?

Un silence pesant règne dans la pièce. Je n'ose pas faire le moindre bruit. J'espère qu'il n'entend pas mon coeur battre tel une tronçonneuse, en ce moment même.

Je peux sentir à des kilomètres sa soif de sang.

Finalement c'est pas si grave si il ne dit pas bonjour je vais le laisser grognon. Mieux en vaut pour ma vie et puis de tout manière je ne comptais pas lui faire de reproche.

Je ne suis pas suicidaire à ce point.

Il finit par se tourner vers moi.

Quand je croise son regard perçants j'ai l'impression que mon subconscient va lâcher.

J'ai peur et en même temps je ne peux pas éviter son regard. Il est envoûtant.

Ses yeux noirs son avide de sang et de désespoir, il porte une cicatrice verticale sur son oeil droit et ses cheveux noirs. Mon dieu qu'il est beau.

Cette homme est plus que séduisant.

Quand on le voit on pense directement à un démon, c'est le mal incarné.

Faite exprès je suis attiré par le mal.

Je suis bien contente de l'avoir comme allié et non comme ennemi.

Il me jauge de ses yeux perçants. Je fini par éviter son regard qui me perturbe au plus au point.

Il va me faire rougir s'il continue à me fixer !

S'il était pas du genre à rester dans l'ombre, je pense fortement qui serait l'une des vedettes de presse et de télé.

Finalement je le vois prendre un dossier de son tiroir. Il l'ouvre et lit :

- Mayrow Jasmine, 21 ans, née en France, parent normaux.

Il définit quoi par normaux ? Qu'ils ne sont pas comme nous ?

Il continue.

- Diplôme à l'ASG en tant qu'assassin professionnelle.

Il me jette un coup d'oeil avant de continuer.

L'air de dire que si ce n'était pas écrit il ne le croirait pas.

Et puis d'ailleurs pourquoi il me lit mon dossier ? Il ne peut pas le faire lui même ?

- Une petite soeur et un petit frère normaux aussi. Échec de test d'entrée à l'ASG pour le cadet. Trois missions réussis et une échoué, cause de l'échec : décès du client et du coéquipier. Grande capacité à fuir.

Il y a vraiment marqué ça ?

- Peut parler 8 langues, français, anglais, japonais, belge, américain, russe, italien et espagnol. Ouverte à la culture d'art. Joue de plusieurs instruments : piano, flûte, violon, harpe, batterie,

Comment 21 ans d'existence résumé en une vie. Non mais je rêve.

- Hum... Il n'y a rien de bien d'interessant.

Je le regardais la bouche ouverte.

Quoi ?

Je me repris vite et toussotai légèrement.

Il continua de lire :

- Ses particularités : à un grand sens des devoirs, grande souplesse, maniement de l'arc, l'épée, le poison, le couteau et les armes à feu.

Il ferma le dossier d'un coup sec.

- Oui bon c'est bien jolie de savoir faire plein de choses mais tu n'as rien de bien spécial ! Quelle est ta VRAI capacité spécial ? Me demanda ce dernier le regard déstabilisant.

- heu...la diversité !

Il m'icendia en quelques minutes.

Je me désespère.

Je ne pensais pas qu'on pouvait avoir des yeux aussi noirs !

Il s'appuya sur son siège, la tête en arrière en se massant l'arête du nez.

Je suis sûre qu'il est en train de se dire " Mais qu'est-ce elle est cruche ! Qui m'a foutu cette gamine ici" ou alors il est en train de réfléchir à son dîner de ce soir. J'arrive pas trop à savoir. Il est vraiment fermé comme type.

- Tu es bien simple ! Je ne pensais pas que l'ASG c'était autant dégradé.

Je voudrais bien lui dire ses quatres vérités à ce type mais je pense que je vais m'abstenir.

Je tiens un temps soit peu à ma vie. Il pourrait me tuer d'un simple regard.

- Je te propose un marché !

Je levé les yeux vers lui, surprise.

- Je vais te confier une mission de rang A. Si tu l'as réussi je ne te vire pas.

En gros c'est : tu meurs dans la mission A ou je te vire et je deviens SDF et sans réputation. Et dieu sait que la réputation est importante dans le milieu. Plus tu es performant, plus on t'embauche.

Ok merci de me prendre au sérieux ! Je vois que je me sens utile.

Non mais parce que vu comment il a réagi à mon dossier il ne me croit pas du tout capable de réussir cette mission.

Cette homme me prend à la légère.

Mais j'ai besoin d'argent, je ne peux pas me permettre de rater cette occasion. Et puis je vais prouver à tout le monde que c'est très avantageux d'avoir plusieurs atouts dans sa manche.

- J'accepte. Soufflais-je en évitant de croiser ses putain de beaux yeux.

Je n'ai pas le choix et puis qui sait peut-être les missions A sont moins dur que ce que l'on en dit.

- Ma secrétaire te donnera les détails tu peux disposer.

Je me lève et sors de la pièce sans demander mon reste

Ça fait une semaine que je suis ici et j'ai déjà effleuré le renvoie.

Je ferme la porte derrière moi.

Il a oublier de rajouter dans son dossier que j'ai la poisse.

Bon positivons ma situation ne peut plus empirer. Sauf si je meurs, je perdrais toutes mes chances d'avoir une carrière.

J'allais partir mais j'entends une phrase qui me laissa quelques instants de choc.

- Elle va mourir ! Je ne comprends pas pourquoi tu me l'as envoyé. Dit le patron d'un voix soucieuse.

Je m'avancais dans le couloir pour m'éloigner de la porte.

J'aurais préféré être sourde.

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2464 mots.

Gros bisous à vous.

Comment trouvez-vous ce premier chapitre ?

<3

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