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31. Lust For Life












Où c'est que j'suis ? J'étouffe. J'étouffe, j'ai trop chaud. Je tâte donc le terrain, histoire de savoir où est-ce que je me trouve. Mais je sens un torse. Enfin, la poitrine de quelqu'un par-dessus un vêtement. Quand j'ouvre les yeux – assez difficilement – je me rends compte que je suis allongée sur un Thomas Sleepy-Sangster.

Qu'est-ce qu'il fou dans mon lit ?

Je redresse la tête pour observer les environs, encore un peu assommée.

Rectification : qu'est-ce que JE fou dans SON lit ?

Je soupire, n'ayant pas la force de réfléchir à tout ça. En plus, Thomas était super confortable. Il avait un bras derrière sa tête, et l'autre dans mon dos. Trop agréable. Malgré ça, je décide de bouger et je remarque que je ne porte plus les mêmes vêtements que la veille. J'ai un t-shirt trop large, et un long short, tout aussi grand.

Oh, une seconde, ça me revient.

La soirée d'hier. On est tous rentré un peu éméché, et, comme une teubée, je n'ai pas voulu quitter Thomas alors je me suis retrouvée ici. Et comme je voulais pas dormir dans mes vêtements, il m'a filé les siens. Bien sûr, Bobbie, t'es la meilleure, tu t'es changée devant lui sans pression. Seigneur Dieu, il m'a vu en sous-vêtements.

Maudit soit la Pina Colada.

Je grogne et finis par rouler sur le côté pour m'allonger sur le matelas. Je réveille malencontreusement la belle au bois dormant au passage, qui fronce les sourcils.

- Mon bras, gémit-t-il en tirant sur le membre concerné.

- Hein ? Oh, oups, m'excusai-je en arquant mon dos pour le libérer.

Je vois qu'il fronce un peu plus les sourcils, et quand il ouvre ses yeux, il a l'air complètement confus.

- Bobbie ?

- Dans le milieu on m'appelle Jesus, mais Bobbie ça marche aussi, blaguai-je en me redressant sur un coude, le sourire aux lèvres.

Il semble toujours aussi perdu, encore plus quand il regarde autour de lui. Puis il semble se rappeler car il halète et finit par passer une main dans ses cheveux.

- Oh, c'est vrai hier soir, la fête, tout ça, finit-il par dire en baillant.

- Oui, et euh... Il est là Dylan ? demandai-je d'une voix plus basse cette fois.

- Si tu l'entends pas ronfler, c'est qu'il est pas là.

Je tends donc mon oreille, mais aucun son ressemblant à un quelconque ronflement ne me parvient. J'en conclu que l'autre zigoto n'est pas là. Où peut-il bien être ? Et Emma ? Et Olly ? Je ne sais même pas comment ça s'est passé pour eux.

Je finis par m'affaler dans le lit en grommelant. Quelle idée de se poser autant de question un lendemain de soirée ? Nous étions rentrée vers trois heures du matin, et à pied en plus. Je sais même pas comment on a fait pour pas se faire repérer. D'ailleurs, tant que j'étais là, mieux valait en profiter.

Je m'approche de Thomas et revint poser ma tête sur son torse tout en l'enlaçant par la taille. Je sens celui-ci se tendre de surprise, mais il finit par m'encercler de ses bras pour m'attirer un peu plus contre lui.

- Un petit câlin matinal ? murmura-t-il, le visage dans mes cheveux.

- Moui, si Dylan est pas là, autant en profiter, dis-je d'une voix ensommeillée.

Ma phrase sonnait un peu bizarrement, quand je redresse la tête, je remarque que les joues du blondinet ont pris une teinte rosé.

Ça y est, c'est sûr, il m'imagine toute nue là.

Je glousse, ce qui le gêne encore plus, et il se mord la lèvre en détournant le regard.

- Rigole pas, c'est ta phrase là... !

- C'est ça ouais, t'as surtout des idées de cochons.

Je ne pouvais pas plus le gêner. Le pauvre garçon ne savait plus où se mettre. Pour le détendre, je passe une main derrière sa nuque et le rapproche de moi afin de déposer un chaste baiser sur ses lèvres. Je le vois faire la moue, puis il cacha son visage dans mon cou.

- Tu te moques encore ! s'indigna-t-il alors que je sentis ses doigts me pincer la taille.

Je gémis, suivis d'un gloussement, et vins lui caresser le dos.

- J'aime bien te taquiner mon Toto. Fais moi un bisou.

- Non, tu m'as appelé Toto, bougonna-t-il d'une voix étouffée, la tête toujours dans mon cou.

- Mon Thomamour ? rectifiai-je.

Je vois qu'il redresse son visage, et il me sourit, satisfait. Après cela, il dépose un autre baiser sur mes lèvres qui me fait littéralement craquer.

- Oui, je préfère ça.

- Hmmm... Encore, quémandai-je en tendant mes lèvres vers lui.

Je le vois sourire, et il vint m'embrasser une nouvelle fois. Je souris contre ses lèvres et l'attire un peu plus contre moi. Il se positionne comme il peut sur le matelas, dégageant les couvertures qui le gênaient à l'aide de son pieds, pour pouvoir se placer au dessus de mon corps.

- Bobbie, murmura-t-il contre mes lèvres, alors que je le coupais avec les miennes pour l'embrasser encore une fois.

Il gémit faiblement et réponds à mon baiser, pendant que je fondais mon corps avec le siens.

- Bobbie, il faut que je te dise que... ( il n'a pas le temps de continuer que je l'attire une nouvelle fois contre ma bouche. ) Hmm, B-Bobbie-...

- Tais-toi un peu, et embrasse-moi, me plaignis-je en glissant mes bras dans son dos.

Un halètement s'échappe de sa gorge alors qu'il revient écraser ses lèvres contre les miennes. Je me colle à lui, frottant mon corps tout contre le siens. La fièvre m'emporte, j'ai tellement envie de le toucher, tellement envie qu'il me touche. J'avais véritablement envie de lui.

Mais t'as tout le temps envie de lui Bobbie.

OUI MAIS LA C'EST DIFFERENT.

Je l'entends alors gémir, ce qui m'octroie de délicieux frisson, alors que je roulai pour le faire passer en dessous de moi. Je ne cesse de coller nos corps et de l'embrasser, et je vins ensuite glisser mes lèvres le long de sa nuque pour y déposer des baisers mouillés et brulants.

- Oh, putain, souffle-t-il, haletant.

Je ne peux m'empêcher de sourire alors que je reviens embrasser fiévreusement ses lèvres. Je frotte tout doucement mon bassin contre le siens, et je sens ses mains glisser sous mon haut. Ses mains me semblent brulantes alors qu'elle caresse ma peau nue.

- B-Bobbie ! gémit-il en écartant sa tête, cherchant mon regard de ses yeux sombres.

- Laisse toi faire, soufflai-je en replongeant ma tête dans son cou pour le mordre.

Je le sens frissonner, laissant un soupire involontaire s'échapper de ses lèvres. Mais à mon plus grand regret, il se ressaisit en m'écartant de ses deux mains sur mes épaules.

- Bobbie, stop ! s'exclama-t-il, l'angoisse se lisant dans ses yeux.

- Quoi ? Mais pourquoi ? Je t'ai fait mal ? questionnai-je en fronçant un sourcil.

- N-non, répondit-il en défaisant petit à petit sa retenu sur mes épaules. C'est juste que, sérieux, encore un peu et... Et c'était parti...

Je plisse les yeux en l'observant, confuse.

- Quoi, éjaculateur précoce ?

- NON ! s'écria-t-il en secouant négativement la tête. Pas du tout, mais j'étais parti pour te sauter dessus !

- C'était le but... répondit-je en plissant les lèvres.

Je le vis cligner des yeux, l'air neutre, et ses mains se déplacèrent de mes épaules à mes hanches, alors que j'étais désormais assise sur son bassin.

- Sérieux ? demanda-t-il, étonné.

- Bah... Oui !

Son visage change du tout au tout, et je vois ses yeux se révulser pour finalement se fermer.

- Putain, grogna-t-il tout en rejetant la tête en arrière, la mâchoire serrée.

- Qu'est-ce qu'y a ? demandai-je alors que je posais mes mains sur son torse.

- Je savais pas... Je... Merde... J'ai pas de capote, bredouilla-t-il finalement en rouvrant les yeux, les joues rouges, et évitant mon regard.

Oh.

- Euh... Je t'avoue que j'avais pas pensé à ce détail, murmurai-je en gloussant.

Il sourit, et finit par se redresser en position assise, me callant entre ses jambes.

- Je vais pas faire ça et te foutre dans la merde, Bie. Toujours penser à ça !

- Oui, je sais, mais j'étais dans le feu de l'action ! m'exclamai-je en faisant la moue.

Son sourire ne s'efface pas, et il vint déposer un baiser sur ma joue, puis sur mes lèvres.

- J'avoue que j'aime bien quand t'es dans le feu de l'action, murmura-t-il contre mes lèvres.



Respire Bobbie. Ne lui saute pas dessus. Rappelle-toi, vous n'avez pas de capote.





BORDEL DE MERDE.







*



Sans capote, ce ne serait pas qu'un coup de foudre...
Mais aussi un coude de FOUTRE.

SORTEZ COUVERTS PTDR

Les lecteurs fantômes, n'hésitez pas à cocher la petite étoile si vous avez aimés.

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