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10. Cloud 9







- Bobbiiiiiie !

- Ollyyyyyy ?

- Ils ont fait sauter la limite des dix kilomètres ! s'exclama Olly qui venait de débarquer dans ma chambre.

Je me lève soudainement de mon lit en faisant les gros yeux à l'entente de cette nouvelle.

- Ça veut dire que...

- WEEK-END A LA MER ! hurla-t-il en levant les poings en l'air.

S'en suivis alors notre danse habituelle en ce genre d'occasion. Nous faisions des pas rapides et saccadés sur la pointe de nos pieds, la tête baissée et les mains en l'air. Et ainsi, nous nous tournions autour en entendant pour seul son le bruit de nos pas sur le sol.

La grand-mère d'Oliver possédait une toute petite maison au bord de l'eau, au sud de l'Angleterre, à Brighton. Généralement, ils y allaient pour l'été. Et quand ce n'était pas la saison, Olly et moi avions l'habitude d'y séjourner avec Emma. Cela faisait longtemps que nous n'y étions pas retournés, c'était l'occasion. J'avais tellement hâte, même s'il ne faisait pas forcément très chaud.

- T'as prévenu les gonz ? demandai-je alors que j'avais déjà sorti un sac pour y mettre mes affaires.

- Je vais le faire de suite ! s'extasia le bouclé qui était déjà sur son téléphone.

Et le week-end fut bien vite organisé. Nous étions vendredi, et j'avais pris de quoi partir le samedi et le dimanche. Maillot de bain, robe longue, jogging et pull pour le soir, et veste évidemment. Sans oublier le maquillage et le nécessaire de toilette.

A notre grand bonheur, Dylan et Thomas avait accepté l'invitation avec plaisir, et c'était Dylan qui allait nous y conduire.

- Bobbie, dépêche-toi de descendr-... Mais qu'est-ce que tu fais ? me questionna mon ami qui venait de m'apercevoir, à genoux, les coudes sur le bord de mon lit.

- Je prie tous les dieux qu'il y ait du soleil pour pouvoir voir Thomas torse nu, lui répondis-je, les yeux fermés et le front contre mes mains.

Il ne dit rien, me dévisage encore pendant quelques secondes, avant de lâcher ses sacs et de venir me rejoindre dans ma prière.

- Jesus, montre-nous les beaux torses de Dylan et Thomas pendant ce court séjour s'il te plait, murmura-t-il, les yeux fermés. Et même plus si tu le souhaites on n'est pas contre.

- Amen.

Sur ces mots saints, nous nous levons pour prendre nos affaires et descendre de l'appartement. Il était dix-sept heure, et nous préférions partir assez tôt pour ne pas être embêté avec le couvre-feu. Ce n'était qu'à une heure de route, en espérant ne pas avoir de bouchon.

- Vous en avez mis du temps à descendre ! gloussa Dylan qui attrapait le sac d'Oliver pour le mettre dans son coffre.

- C'est Bobbie, elle met toujours quarante ans pour faire caca, répondit le bouclé sans me regarder.

L'enfoiré. Je n'allais pas dire que c'était parce qu'on était en pleine prière, alors je roulais des yeux en filant mon sac au brun qui, à l'entendre, était mort de rire. Je monte à l'arrière de la Jeep noire avec Olly, et j'en profite pour lui mettre une tape derrière la tête, ce qui le fait glousser.

Mon meilleur ami prend l'iPhone de Thomas pour entrer l'adresse sur le GPS de celui-ci. Le blond est donc tourné vers moi, et nos regards se croisent. Il m'offre un de ses sourires les plus doux, qui me fait malencontreusement rougir. Je lui réponds par la même, mon cœur se réchauffe instantanément.

Nous n'avons pas besoin de mots pour communiquer. Nous ne nous étions pas revus depuis l'épisode du cauchemar. Ça ne faisait que deux jours, mais ça m'avait parue être une éternité. Je m'étais endormie dans ses bras, et il était parti sans me réveiller. Je m'étais retrouvée avec un grand vide, sa présence m'avait tellement manquée. Alors le revoir, sans que je ne sache trop pourquoi, me rendait toute chose.

- C'est parti mon kikiiii ! s'exclama Dylan en prenant la route.

A cette phrase, je me tourne vers Olly qui était en train d'observer le profil du brun avec un grand sourire, une lueur spéciale dans le regard. Ah ça, il avait bien envie de le voir en marche, ce kiki là.

Vilain Olly.

- C'est qui qui gère la musique ? demandai-je en observant les téléphones de tout le monde.

- Je peux pas, j'ai le GPS, répondit Thomas en me montrant son portable.

- Alors c'est moi qui prends ! m'exclamai-je, toute sourire.

Un petit coup de Bluetooth, et voilà que j'inonde la Jeep de The Weeknd.

- Putain Bobbie, tu sais très bien que c'est des musiques pour ken tu peux pas mettre ça ! s'indigna Oliver.

- Si, justement ! rétorquai-je tout bas en lui faisant les gros yeux.

Il comprend rapidement, et se mets à rire. Si on voulait du torse, fallait chauffer la salle ! Nous étions deux à nous ambiancer à l'arrière, chantant comme des mouettes, alors que Thomas bougeait simplement la tête au rythme de la musique. Dylan semblait également chantonner la chanson en secouant les épaules.

Bon, au moins, on avait réussi à en chauffer un.

La route ne fut pas très longue, une heure et demi de temps, Dylan s'était perdu dans les petites ruelles avant de trouver la maison plain-pied paumée au bord de la mer. Descendant de la voiture, on se précipite à l'intérieur de l'habitation, mais nous sommes surpris par une odeur de vieux qui nous frappe le nez.

- Oh putain, toussa Oliver en allumant la lumière. Ça fait une éternité que personne est venu ou quoi ?

- Visiblement, confirmai-je en avançant jusqu'à l'entrée de la cuisine.

C'est alors qu'une toile d'araignée me chatouille le visage et je me mets à gémir en tentant de la retirer.

- J'ai une toile sur la gueule ! geignis-je en me frottant la figure.

- Attends un peu que je te la retire, glousse Thomas en s'approchant de moi.

Je me tourne alors vers lui, et il s'approche pour observer ma peau. Seigneur, il est tellement prêt que je peux sentir son souffle sur mes joues. Il a pris un chewing-gum à la menthe, c'est frais. Ses yeux presque noirs sonde mon visage, et enfin, il trouve la peste qui me chatouille.

Putain, il va voir tous mes pores dégueulasses dégoulinants de maquillage, FAIT CHIER.

Son pouce et son index viennent pincer le fil fin pour le retirer de ma figure, et je crois qu'à ce stade, je dois être aussi rouge qu'un poivron. Quand il eut fini, il sembla se rendre compte de notre proximité, et, gêné, il se recula.

- Je l'ai eu, finit-il par me dire en souriant faiblement.

- Merci, répondis-je sans bégayer malgré mon état.

Derrière-nous, Oliver nous observait d'un air rêveur, la bouche entrouverte.

- AH ! hurla soudainement Dylan, qui venait d'entrer dans l'une des chambres de la maison. Moi aussi j'ai une putain de toile sur la tronche !

Le regard du bouclé s'illumina, et un grand sourire se dessina sur son visage.

- Attends un peu que je te la retire ! s'exclama-t-il en se dirigeant vers lui, presque sautillant.



Je ne peux m'empêcher de rire en l'observant après avoir imiter Thomas. Ce séjour promet d'être amusant. Mais est-ce que mon petit cœur pouvait-il arrêter de s'affoler au moindre rapprochement de Thomas Mentholé-Sangster ? Ce serait cool, merci.






*

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Potit chapitre pepouze.
Normalement je devais commencer l'instant drame du livre mais au final j'ai décidé de le repousser un peu le temps d'un séjour à la mer hihihihihi.

❣️ L.O.V.E. ❣️

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