Chapitre 8
Levillage était un méandre de petite maison. Les rues étaientétroites, pavés et éclairés par des feufollet oranges enlévitation dans des bulles de verres. Les maison était petite, etavaient des balcons aux rebords décorer de pots de fleurs colorés.
Lamaison de Tante Sarah était impressionnante. Elle se trouvait C'était comme si une multitude de cabane grimpaient ets'accrochaient le long d'un tronc de pin. Ce pin était d'ailleursénorme et dépassait largement les autres.
Lescabanes étaient en bois, et étaient relié par de petits ponts encorde ou de passerelle.
Azilyspassa passa avant Arthemis, qui fut soulagé de voire que l'échelleétait beaucoup plus courte que celle de « L'Antre desquatre ». Drôle de nom d'ailleurs pour une cabane ou ilsétaient trois a connaître l'existence. Azilys, Loïs et Mishiko .Peut-être avais-t-il quelqu'un d'autre ? A moins que ça n'airien a voire avec eux.
Azilystoqua doucement à la porte. Elle attendis quelque secondes, maiscomme aucun bruits de provenait de l'interieur de la cabane, elleentra doucement. La pièce était en bois elle aussi, ainsi que toutles meubles à l'intérieur, mis a par un canapé bordeaux ou étaitinstallé une vieille femme. Pas si vieille, mais elle avait lescheveux gris attaché en un petit chignon en haut de sa tête . Sespetits yeux étaient clos et elle souriait. Elle devait sans doutedormir et faire un très beau rêve. Un ourson dormait aussi dans sesbras. La scène était tellement mignonne.
- « TanteSarah vas s'inquiété », répéta Azilys en chuchotant. Elledort !
Arthgemislui adressa un sourire et la suivit. Elles ouvrir une autre porte quimenait a un autre échelle qui parvenait a une plateforme pour finira une autre cabane, petite, mais élégante. C'était la chambred'Azilys. Un grand lit en baldaquin était calé au fond de la pièce.Le sol était couvert de moquette... a moins que ce soit de la vraieherbe très douce. Il y avait aussi un bureau remplit de gros livrepoussiéreux et fouré de note et de marques pages. Un grande fenêtre trouait le mur vers l'exterieur. Arthemis s'y pencha. Lesétoiles était maintenant présente et brillait comme un millions depetit diamand dans le ciel. La seule trace du soleil était la teinterosé que prenait le ciel. En bas, il y avait une branche où elleaurait pue sauté facilement et où pendait une balançoire.
Azilysalluma la lumière. C'était un balle transparente accroché par defines liane au plafond, remplit de luciole.
-Tadaaaaaa !Dit-elle les bras ouvert et le visage barré d'un large sourire.
-C'estmagnifique, lacha Arthemis. Quand je compare avec quoi moi j'avais...
-J'imagine !Nous avons travaillé tout un trimestre le monde des forges. La vie yest très durs. Le système est très complexe car ils ont voulueêtre indépendant de nos autres mondes. Mais tu dois le savoir non ?
Arthemisaussa les épaules.
-Pasvraiment. Je savais a peine si il y avait d'autre endroit que lemonde des forges. Mais attend... Vous l'avez travaillé ? Tuveux dire appris ? Mais où ca ? Un « trimestre » ?
Azilysparue interloqué. Elle s'avanca vers elle.
-Et bien, au collège, à l'école si tu veux.
Ah !La fameuse « école ».
-L'endroitoù tu doit écouté un « professeur » parlé toute lajournée tu veux dire ? Demanda Arthemis. ?
-Enquelque sorte ! Mais c'est bien plus amusant que ça ! Maistu ne savais pas ce que c'était ?!
-J'enai déjà entendue parlé. Les enfants d'ingenieurs y allait. Mais jen'y suis jamais allé. Ca sert a quoi d'ailleurs ?
Lesyeux Azilys s'agrandire comme des ballons que l'ont auraient gonfléa toute vitesse.
-Aapprendre ! C'est obligatoire ici . Sinon tu ne réussiraspas ta vie.
Arthemisavait l'impression d'un coup de ne rien savoir. Elle avait lhorribleimpression d'avoir gaché ses 14 dernières années. Elle étaitignorante, elle ne savait rien.
-Cavas ? Demanda Azilys devant la grimace d'Arthemis.
-Oui,mais, c'est que je ne connait rien ici. Est-ce que je vais m'ensortir.
Azilysl'invita a s'asoir sur son lit avec elle.
-Net'inquiète pas, au collège c'est vraiment super. Enfin pour moi. Tuvas apprendre vite j'en suis sûr. Et je t'aiderais ! Et puis,Brainup est magnifique.
Ellese leva et alla au bord de la fenêtre. Elle pointait quelque chosedu doigt. En s'approchant, elle se rendit compte qu'elle montraitle gros squelette au milieu du lac.
-C'est ça notre école. Elle est encore plus impressionnante del'intérieur que de l'extérieur. Il y a des escalierspartout, des tunnelles, de grandes salle. Et tous ça sculptédans l'os de ce Dragon mort il y a bien longtemps. Nous avons desupers professeurs, plein de matières.
Arthemisn'arrivait pas a imaginé.
-D'ailleurs,il faudrait t'inscrire ! S'écria Azilys.
Ellecourue vers une espèce de cloche en verre posé sur son bureau. Ellepassa sa main au dessus et dit.
-Envoiece message à Brainup secrétaria.
Elles'éclaircit la george :
-BonjourMme. Jeograis La Secrétaire. Ma cousine Arthemis Léona AMATRACIAviens d'arrivée chez moi de Pim Pom. Je voudrait l'inscrire a cecollège car elle vas habité avec moi pendant longtemps. C'étaitpour vous prévenir qu'il y aura donc quelqu'un d'autre en classe àprésent, si bien sûr elle pouvait venir dans ma classe. Mercid'avance Madame.
Etelle repassa la main par dessus la coupole.
-Voilà !Message envoyé ! Normalement nous devrions avoir la réponsebientôt. Ils sont très efficace.
Arthemisrestait sceptique. Azilys venait de parlé a une cloche enverre?Normalement ce n'est pas pour recouvrir quelque chose ?Après tous, elle ne savais rien de ce monde.
L'ailése tourna vers Arthemis.
-Nousdevrions allé expliqué à Tante Sarah comment tu es arrivé ici. Jesens qu'elle ne vas pas être contente... Mais avant, il faudrait techangé.
C'estvraie. Elle portait toujours sa tenue d'ouvrière toute salle et sescheveux était décoiffé comme pas possible.
Azilysalla vers une grande armoire. A l'interieur, Arthemis découvrit unetonne de vêtement. Robe, tunique, chemise, sophistiqué ou non. Afroufrou ou simple. Anisi qu'une tonne de chaussure et d'accesoire entous genre.
-Ouica fait beaucoup, je sais. Mais je l'ai hérité d'une de mescousine, qui est mortes il y a quelques années.
Elleavait dit ça comme si c'était normal. Peu être nous voulait-ellepas en parlé maintenant, ce pourquoi elle cachait ses émotions.Mais si elle lui avait dit, c'est peut-être car elle avait besoind'en parlé ?
Arthemispréféra ne pas poser de questions las dessus. Après tous ellevenait juste de se rencontrer.
Unsilence de mort s'abatit alors sur les deux jeunes filles. Arthemisregrêtta son choix car elle était toutes les deux gênée aprésent.
Heureusement,Azilys lui tendit des habits.
-Tiens,ça devrait t'allée a merveille ! Tu es un peu plus petite quemoi et ces habits me sont trop courts. Je te les donnes si tu veux.
Arthemisles attrapa, et alla les enfilé dernière un paravents, dans uncoins de la pièce. Elle fut heureuse d'enlaivé ses affreux habitsd'ouvrières.
Devantla glace, Arthemis fut stupéfaite : jamais elle n'avait porté des habit qui lui allait aussi bien. C'était comme si sa chemis eample de couleur blanche avait été créé pour elle. Ainsi que sajupe lourde en laine verte profonde qui lui cachait les jembes jusqu'au genou. Sa taille était entouré d'une ceinture en marron,ses pieds chaussés de hautte botte en cuire.
-Je te les donne ! Il te vont très bien, s'exclama Azilys.Maintenant, tu es paré pour allé voire Tante Sarah... et que je luiexplique tous ce qu'il s'est passé pour que tu arrive ici.
---------------------------------------------------------------------------------------------------------------------
Je suis désolée ! Wattpad bug, donc si des mots ont des fautes d'orthographes bizarres ou sont accrochés, c'est a cause de ça ... Déso ! :'(
Bạn đang đọc truyện trên: Truyen247.Pro