Aveux
Avant propos : Je tiens à remercier mes très chers lecteurs pour les 1k de vue sur cette fanfic ( J'en suis toujours pas remise ). Donc merci à tous, et bonne lecture :,)
( Désolé pour les fautes d'avance ).
Avant de te raconter son passé, il demande à aller donner les serviettes à Hanji avant tout. Vous vous dirigez donc jusqu'à l'extérieur, la brise fraîche calmant vos deux esprits agités. Hanji vous accueille en souriant et elle vous assène de questions :
" Vous avez vu la transformation d'Eren non ? Elle est pas superbe ? - Elle se stoppe un instant - OH ! DONNEZ MOI LES SERVIETTES, JE VEUX PAS VOUS DERANGER TROP LONGTEMPS ! Merziiiiiiiii ! "
Elle repart alors vers le corps fumant du titan d'Eren, toute excitée et impatiente. Ca te fait soupirer, on aurait dit une enfant ! Elle a l'air de n'avoir jamais perdue son âme de petite fille...
Tu entends Armin toussoter derrière toi, il fait balancer son regard vers un long muret caché à l'ombre d'un saule pleureur. Tu comprends qu'il veut être posé calmement pour parler de son passé. Tu le suis alors vers la pénombre du vaste jardin, le muret engloutissant les frêles rayons du soleil parsemant vos ombres sur le sol frais. Vous vous asseyez tous les deux, il se recroqueville un peu et parle doucement :
" Je n'ai connu que très peu mes parents...Ils étaient de grands génies, et leur rêve était d'aller plus loin que les murs d'une manière à ne pas croiser de titans. "
Tu hoches ta tête, comprenant la douleur d'Armin. Les voir partir à du être très dur, tu lances alors :
" Et ils ne sont jamais revenus ? "
Armin secoue la tête et ses yeux s'embuaient petit à petit, il tremblait même. Tu essayais de lui sourire pour lui remonter le moral, mais ses maux de cœur te brisaient en silence. Il continuait :
" Bien sûr qu'ils ne sont jamais revenu à la maison. Mais ce n'est pas qu'ils sont partit et ont crashés, non. Ils n'ont même pas quittés l'enceinte des murs. Je ne me rappelle même plus si le ballon à pu décoller une seule seconde... - Il se met à sérieusement pleurer - Ils sont mort pour rien ! Les agents de polices...ils les ont eut avant ! "
Il ne s'arrête plus et étale tout, juste devant toi, en enfouissant sa tête dans ton épaule. Il est complétement détruit. Il ajoute même :
" Je ne sais même plus quoi penser, - Il renifle en se passant la manche sur les yeux - ils savaient bien qu'ils allaient mourir de toute façon. J'ai entendu une de leurs conversations - Il se met à imiter leurs voix encore inscrite dans sa mémoire -
" Tu es sûre de vouloir l'abandonner pour ce rêve ? On n'en ressortira certainement pas vivant "
" Oui, mais nous le faisons pour le bien de l'humanité ! N'aie pas peur ! " "
Tu le serres fort contre toi, et essaye d'encaisser ses malheurs qui te fond tout aussi mal. Il n'a malheureusement pas fini :
" Je les déteste tout autant que je les admire. Ils ont tout quittés mais étaient les personnes les plus courageuse que je connaisse. Et moi, parfois, j'ai l'impression de n'être qu'un trouillard. De n'être capable de rien. Je- "
Cette fois s'en est trop, et par un geste mal venu, tu le gifles violemment et te mets à presque crier :
" NE DIS PAS CA ! Qui c'est qui a su tenir tête à ses harceleurs, qui m'a porté jusqu'au bateau d'embarquement, qui n'a même pas froid au yeux devant une putain d'entité et qui a réussi à se protéger d'un chien en furie et d'un titan monstrueux ? Alors ? QUI ? "
Il se porte la main à la joue, et contre toute attente, sourit. Il reprend d'une voix douce et attentionnée :
" Tu ne m'as pas laissé finir. Je voulais dire " Je me sens nul des fois T/p, mais pourtant, il y a encore des choses qui me permettent de me battre. Mon rêve, mon but ultime ; Mikasa et Eren, Mes deux fidèles amis ; Et toi T/p, surtout toi, parce que je t'aime. "
Tu restes muette un instant, tétanisée, puis rigole un peu :
" Eh ben tu passes rapidement du coq à l'âne toi ! Néanmoins, on peut vraiment dire que tu as dis TOUT ce que tu as sur le cœur. "
" Ne me cache rien s'il te plait. "
Pour aucune raison valable, cette phrase te fait l'effet d'une massue, et d'un ressort. Pendant tout ce temps tu ne t'étais jamais vraiment dis que tu pouvais l'aimer, mais là, d'un coup, après plusieurs années, c'est à ce moment que survient, le coup de foudre.
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