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Chapitre 17 : Joyeux Noël à toi

Désormais, le froid ne fait que mordre leurs joues à chaque fois qu'ils mettent un pied dehors. Mais depuis plusieurs semaines, le froid est accompagné de lumières de toutes les couleurs qui illuminent les rues de leurs éclats féériques. Car Noël arrive et, durant cette période de l'année, les rues s'animent, même le soir quand le froid traverse toutes les couches de vêtements, y compris les plus épaisses.

Dans quelques heures sonnera le glas du 25 décembre. Alors, pour fêter le réveillon, Byakuya a proposé à son fils et à ses amis de venir passer la soirée dans son pavillon. Sur le coup, Senku a rechigné. Il connaît très bien son père ainsi que sa fâcheuse manie de le mettre dans l'embarras pour le divertir. Mais pour ses amis, c'est justement la raison pour laquelle ils ont tout de suite accepté sa proposition. Parce que Byakuya est drôle, encore très jeune dans sa tête et très agréable à vivre. Tout l'inverse de son fils, comme se plaît à rappeler Kohaku à chaque fois qu'ils évoquent le père du vert. Mais pour Gen, c'est aussi la première fois qu'il rencontrera le père de son petit-ami.

— T'as pas à stresser, lui avait dit Senku. Il va t'adorer tout de suite, j'en suis sûr. 

De temps en temps, Senku évoque son père durant leurs discussions. Après deux mois de relation, Senku a enfin sauté le pas et avoué à son père qu'il sortait avec un garçon. De ce que lui avait raconté le vert, Byakuya a explosé de rire, ajoutant que sa collègue allait lui devoir un sacré paquet d'argent. Car oui, depuis que Senku avait avoué à son père qu'il s'inquiétait pour son "ami", son père a de suite lancé les paris avec sa collègue de travail, également sa meilleure amie. Byakuya était persuadé qu'il ne faudrait que quelques semaines avant que la relation entre Gen et Senku ne se concrétise. Et il avait entièrement raison. 

Gen avait bien ri ce jour-là, au plus grand dam de Senku qui ne parvenait pas à cacher sa gêne. Mais pour le bicolore, cela voulait dire beaucoup. Dans un sens, cela signifiait que Byakuya n'était pas opposé à leur relation. Et ça, ça comptait beaucoup pour lui. 

Il est 18h quand les deux garçons arrivent à la demeure du vert. Mais même en sachant ce que Senku lui a dit sur son père, Gen ne peut s'empêcher de ressentir une pointe d'angoisse. Mais ça ne semble pas du tout être le cas de Senku qui, dans sa nonchalance habituelle, ne porte aucune importance à une telle commodité. 

— Je suis là le vieux ! braille-t-il en passant le pas de la porte. 

Gen se contente de rester en arrière, ne sachant pas vraiment quoi ajouter. Il reste silencieux, se contentant de détailler la décoration de la maison. 

Soudain, il voit un homme passer son visage par l'encadrement de la pièce juste non loin d'eux. Gen le reconnaît aussitôt et, pris au dépourvu, il se sent se redresser. 

— Ah parfait vous êtes là ! Tu tombes à pic fiston, tu vas pouvoir m'aider en cuisine. 

— T'es sûr de ton choix ? Je ne pensais pas que tu tenais si peu à ta cuisine. 

— Regardez ça. Un scientifique incapable de cuisiner. Faire à manger, c'est de la science tu sais ? 

— Ouais ça va, j'ai compris. 

Gen ne peut s'empêcher d'arborer un sourire amusé. Il a cru comprendre que leur relation était très bonne. Mais les voir à l'œuvre, ça a de quoi le faire sourire. Tout d'un coup, il comprend pourquoi les amis du vert l'apprécient à ce point. 

— Bonsoir Gen ! ajoute-t-il lorsque ses yeux se posent sur le garçon resté en retrait. Ravie d'enfin te voir en chair et en os ! 

— Bon... bonsoir monsieur Ishigami. 

Il prend l'initiative de s'avancer vers lui. Mais à cause de son angoisse, son approche ne semble pas naturelle. Une fois arrivé devant lui, il se penche légèrement en avant pour le saluer. Senku ne peut s'empêcher de pouffer légèrement en voyant la scène.

— Oh ne sois pas aussi cordial mon grand ! Tu es ici chez toi alors mets-toi à l'aise !

Gen acquiesce, tout en sachant pertinemment qu'il va avoir un peu de mal à s'y faire. 

— Bon, passe-moi ton manteau et ton sac, intervient Senku en revenant à ses côtés. Je vais aller les ranger dans ma chambre. 

Gen s'exécute, laissant le vert s'évader à l'étage pour ranger leurs affaires dans sa chambre. Le bicolore se retrouve donc seul, avec son père. 

— Bon, maintenant qu'il est parti, j'ai pu faire avancer le projet dont tu m'as parlé. 

Oui, parce que même s'il n'avait jamais rencontré Byakuya, ils se sont déjà parlés. Pourquoi ? Parce que nous sommes le 25 décembre. Autrement dit, dans une semaine et demie, ce sera l'anniversaire de Senku. 

— Désolé de vous embêter de la sorte, ajoute Gen en se penchant un peu en avant pas réflexe. Mais je me voyais mal organiser tout ça tout seul. 

— Ne t'en fais pas, c'est tout à fait normal. D'ailleurs, tu as eu une idée du tonnerre ! Celui que je lui ai acheté quand il avait dix ans commence à se faire vieux. Mais j'ai quand même pu le vendre et toucher un petit montant. Je pense qu'avec la contribution des autres, ça le fera amplement. 

Les yeux de Gen se mettent à pétiller. Cela fait un petit moment qu'il stresse à l'idée que Senku prenne connaissance du projet ou, pire, que cela ne puisse pas du tout se faire. Mais heureusement, Byakuya est réactif. Et d'après les retours de ses amis, il aura l'argent nécessaire pour son cadeau. 

Parfait, tout se profile bien ! 

Les marches de l'escalier se mettent à grincer, laissant apparaître la tignasse folle de Senku. 

— Bon, comment je peux t'aider ? 

— Avec les petits fours, je vais avoir besoin de mains ! 

— Je peux aider si vous voulez, ajoute le bicolore. 

— On ne va quand même pas faire travailler notre invité ! 

— Il cuisine bien mieux que moi, répond le vert.

Les yeux de Byakuya passent du vert à Gen. Puis, en quelques secondes, il accepte.

— Très bien, ça sera toujours mieux que Senku la calamité ambulante. 

— Je t'entends sale vieillard ! 

Encore une fois, Gen ne peut s'empêcher de sourire. Dès qu'il est entré dans la maison, il a ressenti une chaleur qu'il ne connaissait pas. Un foyer accueillant, aimant, tout ce qu'il n'a pas connu. Et voir le vert s'entendre si bien avec son père ne fait qu'accentuer cette impression.

Le temps défile à une vitesse folle. Pris par la cuisine, Gen n'a pas vu le temps passer. Il faut dire qu'entre ça et le spectacle qu'offraient Senku et son père, il y avait de quoi faire passer le temps. Tous les deux semblent prendre un malin plaisir à s'en prendre à l'autre sans arrêt. Mais chacun parvient à répondre à l'autre avec une répartie hors du commun. Il comprend donc de qui Senku tient son répondant à toute épreuve. 

Et puis, la sonnette n'a pas arrêté de retentir. Tous ensemble, ils ont accueilli les nouveaux arrivants qui n'ont fait qu'apporter encore plus de chaleur dans cette maison accueillante. L'ambiance est joyeuse, chacun s'est mis sur son trente-et-un pour la fête organisée par Byakuya. Les convives arrivent tous avec le sourire aux lèvres, accompagnés de sacs où des paquets cadeaux colorés dépassent. 

Très vite, le salon est rempli de leurs amis, et les rires et les discussions vont bon train. Déjà, Gen peut entendre Byakuya rire aux éclats avec Taiju qui a gentiment proposé son aide. Taiju étant le meilleur ami de Senku, Byakuya doit le connaître depuis de longues années déjà. 

— Ah Gen tu tombes bien. 

Le concerné se retourne, croisant le regard de Yuzuriha. La jeune fille attrape son sac à main avant d'en sortir une enveloppe.

— Il y a ma part et celle de Taiju dedans. 

Le bicolore comprend immédiatement de quoi il s'agit. Il attrape l'enveloppe, la dissimulant rapidement dans la manche de sa veste pour qu'elle passe inaperçue. 

— Merci Yuzuriha, ajoute Gen à la jeune fille. À ce rythme là je vais bientôt pouvoir l'acheter. 

— Tu nous enverras une photo, répond-elle. J'ai hâte de voir à quoi il ressemble. 

— Je vous enverrai une photo à tous ne t'en fais pas pour ça. 

Il jubile déjà à l'idée de pouvoir acheter son cadeau. Il sait que ça lui fera plaisir, il en est même certain. Il a certes dû piocher dans une partie de ses économies pour son achat mais cela en vaut la peine. 

Mais avant de tourner le dos pour aller ranger l'enveloppe, Gen ne peut s'empêcher de poser son regard sur la jeune brune. Ses yeux noisettes sont rivés sur le brun qui, avec Byakuya et Senku, ne cesse de faire des allers retours entre le salon et la cuisine. Puis, elle apporte rapidement son verre à ses lèvres avant de détourner les yeux. Aussitôt, Gen comprend qu'elle est stressée. Alors, il décide de rester un peu à côté d'elle. 

— Je vois que tu ne fais que reluquer Taiju depuis tout à l'heure, ajoute-il discrètement en se penchant vers elle. Vous avez enfin conclu ? 

— Qu... non ! Pas du tout. 

Ses joues rosissent sous son maquillage et ses yeux se font fuyant. À nouveau, Yuzuriha se hâte de porter son verre jusqu'à ses lèvres. 

— Aaaah j'ai compris, ajoute Gen. 

Ses yeux se tournent vers lui, interloqués.

— Tu comptes te confesser ce soir, je me trompe ? 

Ses yeux s'écarquillent mais, la seconde d'après, ils redeviennent normaux. Elle abaisse son verre, semblant se résigner à l'idée que Gen ait vu clair dans son jeu. 

— Ça se voit tant que ça ? demande-t-elle un brin anxieuse. 

— Pour un œil aguerri comme le mien, oui. Mais pour Taiju, je ne pense pas, la rassure-t-il. 

Elle déglutit lentement, comme si elle essayait de ravaler tout son stress. Mais c'est plus fort qu'elle, elle ne peut s'empêcher d'avoir les mains moites. Elle a décidé de le faire ce soir pour profiter de l'ambiance festive. Et aussi car se confesser un soir de Noël, ça a un côté magique.

— Ne t'en fais pas, il ne te repoussera pas. 

— Et si... 

— Il ne le fera pas, la coupe-t-il. Vos sentiments sont réciproques, ça se voit à des kilomètres à la ronde. 

Yuzuriha ne peut s'empêcher de sourire. On lui a souvent répété la chose, depuis longtemps. Mais malgré ça, elle stresse, et c'est tout à fait normal.

Déjà, Gen voit le vert revenir dans le salon. Puis, il voit Tsukasa s'approcher de lui. Profitant de ce petit temps de répit, il décide de passer à travers la foule pour aller à l'étage et cacher l'enveloppe dans ses affaires. Mais avant qu'il n'atteigne les escaliers, une autre personne l'interpelle. 

— Gen, j'ai l'argent. 

Le concerné se retourne et croise le regard océan de Kohaku. Il ne peut s'empêcher de pouffer de rire face à sa formulation. Dit comme ça, on dirait que le bicolore est en train d'organiser un trafic dans toute la maison.

— Il y a la part de Ruri, Chrome, Tsukasa et moi. 

Elle lui tend à son tour une enveloppe qu'il se hâte d'attraper pour la cacher dans sa manche. Au moins, il ne fera pas le voyage pour rien.

— Merci beaucoup ! Avec tout ça, je vais pouvoir y aller en début de semaine. 

— Je suis sûre qu'il va adorer. 

Elle lui offre un large sourire que Gen lui rend. Malgré tout, il sent que ce sourire est un peu pincé. Il faut dire que depuis leur dispute, Kohaku a du mal à agir normalement avec lui. Le lendemain de leur dispute, ils se sont tous les deux réunis à la fac pour discuter. La blonde s'est aussitôt perdue en excuses, versant même quelques larmes. Bien sûr, Gen a accepté de suite ses excuses tout en lui en offrant à son tour. Mais malgré tout, la blonde se sent toujours coupable et, malgré elle, ses interactions avec lui ne sont pas vraiment naturelles. 

Un léger silence s'installe entre eux. Mais au lieu de s'échapper vers l'étage, Gen choisit de lui offrir un autre sourire. 

— Sache que tu es magnifique ce soir, Kohaku. 

La concernée ne peut s'empêcher de piquer un fard face à son compliment. Mais cela réussit à lui redonner un sourire sincère. Enfin, Gen monte rapidement les escaliers. Il s'agirait de ne pas se faire prendre par le vert qui le prendrait — littéralement — la main dans le sac. 

Et puis, petit à petit, la soirée se poursuit. Durant toute la soirée, chacun rigole autour d'un repas absolument excellent. En goûtant les mets cuisinés par Byakuya, Gen n'a pu s'empêcher de demander au vert comment se fait-il qu'il n'ait pas hérité des talents en cuisine de son père. Ce dernier a râlé, mais Byakuya a ri aux éclats. 

— Je ne suis pas aussi mauvais cuisinier que ça, a-t-il ajouté. Tu aimes bien mon curry. 

— Je dois avouer que la seule recette que tu sais faire est plutôt réussie, mon petit Senku. 

Sa remarque a provoqué l'hilarité générale, surtout de la part de Kohaku. Cette dernière, pas en reste pour se moquer de Senku, en est allée de sa remarque cinglante. 

— Attends qu'il te cuisine des ramens instantanés du Konbini du coin ! Tu verras, c'est du génie culinaire.

Gen n'a pu retenir son rire tandis que Senku, comme à son habitude, a râlé, juste avant de trouver une réplique bien placée. 

Il en est allé de la sorte pendant tout le repas. Et, petit à petit, les verres se sont vidés tandis que l'alcool coulait à l'intérieur. C'est ainsi que Gen a découvert que Senku avait un petit penchant pour le vin blanc. 

Il a vu ses joues se teinter légèrement tandis que son rire se faisait plus facile et plus franc. Assis juste à côté de lui, Gen a pu observer son visage si enjoué en cette soirée animée. Il a alors découvert que Senku pouvait faire preuve de beaucoup d'humour et que son visage pouvait afficher un sourire des plus sincères. En clair, l'alcool l'a désinibé. Et voir cette partie de lui lui a vraiment fait plaisir. 

Et puis, minuit est arrivé. Après un concert de "joyeux Noël" offert à toute la tablée, l'heure est arrivée d'offrir les cadeaux. 

Quelques temps avant la soirée, chacun avait pioché un nom au hasard pour savoir à qui le cadeau allait revenir. Évidemment, aucun ne savait qui avait pioché son nom, ce qui rendait la chose bien plus amusante. Alors, un par un, les cadeaux ont commencé à être distribués. 

Senku avait pioché Kohaku. Quand ce dernier lui a tendu son paquet, elle n'a pu retenir un regard en croix. Vu la forme, elle ne savait pas à quoi s'attendre. Et ce qui l'inquiétait le plus, c'était son sourire narquois. 

— Je te jure que si tu m'as acheté un truc gênant je te le fais bouffer. 

Elle attrape le paquet et l'ouvre lentement, pas sûre de ce qu'elle y trouvera à l'intérieur. Et puis, ses gestes se figent. 

— Attends... un kit de crochet ? T'es sérieux ? 

— Il paraît que ce genre d'activité de grand-mère aide à se détendre. Du coup je me suis dit que ça t'aiderait à calmer ton tempérament de lionne. 

Heureusement que Ruri se trouve juste à côté de sa sœur. Comme ça, elle a pu calmer le monstre qui était sur le point de se jeter sur Senku. Gen ne put s'empêcher de rire bêtement. Une telle initiative, c'est du Senku tout craché. 

Quant à lui, il a pioché Taiju. Et heureusement pour lui, Senku avait pu l'aiguiller sur le cadeau qui pouvait lui plaire. Alors, Gen a opté... pour un livre de recettes pour les sportifs. Le bicolore n'était lui-même pas très convaincu de son cadeau mais, vu le budget imposé, il ne pouvait pas acheter mieux. Et comme l'avait prédit le vert, Taiju fut tout à fait ravi de son cadeau, peut-être un peu trop d'ailleurs...

Chacun a continué de distribuer ses cadeaux, tout ça dans la bonne humeur. Senku a reçu un livre de science de la part de Yuzuriha, Ruri a reçu un livre relié de son auteur préféré de la part de Tsukasa, Gen un livre sur la psychologie de la part de Chrome et ce dernier a reçu... 

— Attends... pourquoi tu m'offres un kit d'électricien pour les enfants ? demande le scientifique à Taiju.

— Senku m'a dit que tu avais des lacunes en physique. Et c'est la seule chose que j'ai trouvée qui soit dans notre budget. 

Chrome s'est de suite tourné vers Senku qui, dans son coin, jubilait de sa blague. Rien que pour voir la réaction de son acolyte, ça valait le coup. 

— Senku, sache que tu es le pire ami qu'un homme puisse avoir. 

— Ouais c'est ça. Et si t'essayais de faire briller la petite ampoule en branchant les bons fils en attendant ? 

Malgré l'agacement de Chrome, les autres ont plutôt bien rigolé. Mais tout ça, c'était sans compter sur l'intervention de Byakuya qui, voyant son fils prendre un peu trop ses aises, n'a pas manqué d'intervenir. Rapidement, il est arrivé avec un paquet cadeau qu'il a tendu à son fils.

— Tu ne pensais tout de même pas que ton papa préféré n'allait pas offrir de cadeau à son petit fiston d'amour ?

Gen voit le visage de Senku se décomposer tandis qu'il attrape le paquet cadeau. Ses yeux se posent sur le cadeau puis, après quelques secondes, il décide de le repousser.

— Pour des raisons évidentes, je l'ouvrirai plus tard. 

— Quoi ? Tu ne veux pas voir tous les boosters de cartes Pokémon que je t'ai achetés ? 

— ARRÊTE DE ME COLLER LA HONTE ! 

Ce fut là un spectacle parfait pour Chrome qui n'attendait qu'une chose : pouvoir se venger de son ami.

— Tiens, tu ne m'avais pas dit que tu aimais Pokémon, Senku, ajoute le scientifique avec un sourire carnassier. 

— Et encore, tu n'as pas vu tous les posters Doraemon dans sa chambre !

— BYAKUYA ! 

C'était l'effet qu'il voulait provoquer. Fier de lui, Byakuya, s'en va dans la cuisine en rigolant. Gen, qui a assisté à toute la scène, fait tout son possible pour ne pas exploser de rire, histoire de ne pas froisser le vert davantage. 

Finalement, et parce que ses amis ont beaucoup insisté, il a ouvert le paquet. Ce n'était pas des cartes Pokémon, mais des composants électroniques étranges dont personne n'a compris l'utilité. Évidemment, il n'y avait que Senku pour comprendre ce qu'il avait entre les mains. Ses yeux se sont illuminés l'espace d'un instant tandis qu'un sourire presque effrayant a pris place sur son visage.

— C'est exactement ce qu'il me manquait ! 

Encore une fois, seul lui pouvait comprendre de quoi il parlait. Alors les autres ont choisi de ne pas porter plus d'attention que ça. Après tout, à quoi bon essayer de comprendre quelle expérience bizarre le vert était en train de mettre en place ? 

Une fois les cadeaux donnés, l'ambiance a continué d'être au beau fixe. Mais déjà, Gen sentait la fatigue s'emparer de lui. Parce que la température n'a cessé de grimper dans la pièce, et aussi parce que ses cours ne lui ont pas laissé une minute de répit jusqu'aux vacances. Alors, il a été chercher son manteau, juste pour sortir quelques minutes et se rafraîchir l'esprit. 

Après avoir prévenu son escapade dans le jardin, Gen a passé la porte fenêtre. Aussitôt, un froid glacial vient lui fouetter le visage, contrastant avec la chaleur dans le salon. Il fait si froid qu'un hoquet de surprise lui a échappé alors qu'il s'avance dans le noir. À quelques mètres de là, il y a un petit banc dans le jardin. Il décide de s'y asseoir, laissant sa tête basculer en arrière. 

De là où il est, il a une vue parfaite sur les étoiles au-dessus de lui. Ce soir, le ciel est parfaitement dégagé. Et parce qu'ils sont éloignés de la ville, la pollution lumineuse ne vient pas entraver ces étoiles qui ne demandent qu'à briller. Il y a tant d'étoiles que Gen ne sait pas où poser les yeux. Et plus ses yeux se perdent dans cette immensité, plus il se sent détendu. Regarder le ciel de la sorte lui rappelle son enfance quand, parfois, il se rêvait à rejoindre ces astres brillants dans le ciel. Petit, il pensait que ce ciel était à portée de main. Mais maintenant, il sait que les choses sont bien plus compliquées que ça. 

— On voit bien les étoiles, ce soir. 

Gen se sent sursauter. Pris dans son observation, il n'a pas entendu le vert s'approcher de lui. Il l'entend ricaner tandis qu'une légère honte monte en lui. Mais ça n'empêche pas Gen de lui faire une place pour qu'il puisse s'asseoir juste à côté de lui. Aussitôt, il sent quelque chose recouvrir ses épaules, imposant une chaleur réconfortante à son corps engourdi par le froid. Gen ne peut que saluer son initiative. Il commençait réellement à avoir froid et, pour autant, il n'avait pas envie de rentrer à l'intérieur. 

— Et dire qu'un jour tu seras là-haut, ajoute le bicolore.

— Ce n'est pas encore fait mais j'espère de tout cœur. 

Il sent la main de Senku se frayer un chemin jusqu'à la sienne. Puis, Gen laisse sa tête se poser sur son épaule, savourant le confort de son manteau ajouté à celui du plaid qui les recouvre. 

Un léger silence s'installe entre eux durant lequel Gen savoure cet instant de tranquillité. Avec tout ce monde dans le salon, il ne pouvait pas agir comme il le voulait. Là, ils sont tranquilles, au moins pour un moment.

— Au fait, j'ai... j'ai pu voir avec mon professeur pour le concours d'entrée à Harvard.

Gen relève la tête, croisant son regard carmin posé sur lui. Il ne dit rien, attendant qu'il termine. 

— Il pense que je peux tenter le concours dès cette année.

— Oh mais c'est génial ça ! 

— Ouais enfin il va falloir que j'améliore mon anglais sinon ça risque d'être compliqué.

Don't worry darling, I can help you to improve your skills if you want

Senku se tourne vers lui, arborant un rictus à la fois amusé et surpris. C'est bien la première fois qu'il entend Gen parler anglais, qui plus est avec un accent plutôt bon. 

— Je ne savais pas que tu étais linguiste, monsieur le littéraire. 

— J'ai donné pas mal de cours durant mes premières années d'étude. 

— Des cours d'anglais ?

— Des cours d'anglais, de littérature classique, moderne et j'ai même donné des cours à des lycéens pour les aider avec l'expression orale, répond-il en comptant sur ses doigts.

— Eh bah. 

Il n'imaginait pas que Gen était si doué pour donner des cours. Quoiqu'en y réfléchissant, ça ne lui paraît pas si insensé que ça. Il est d'un naturel calme et patient. Tout compte fait, le rôle de professeur particulier lui va à ravir. 

— Ok, je veux bien t'engager pour me donner des cours particuliers d'anglais.

— Génial ! Je prends 7500 yens de l'heure, je te préviens. 

Gen le voit écarquiller les yeux et, la seconde d'après, un sourire joueur naît sur le visage du bicolore.

— Fais pas cette tête, je te charrie. Je te ferai un prix t'en fais pas. 

Senku aimerait rire avec lui, mais une part de lui n'y arrive pas. En fait, quelque chose le tourmente.

— Gen...

À sa voix, Gen devine qu'il y a quelque chose qui cloche. Il y a comme une pointe d'angoisse dans ses paroles.

— Qu'est-ce qui ne va pas ? 

— Hé bien... si je réussis le concours cet été, je pourrais entrer à Harvard dès septembre. 

— Mais c'est génial non ? C'est ce que tu voulais ! 

— Oui mais...

Mais il y a toi

Et ça, Senku ne l'avait pas prévu. Désormais, il a des attaches bien plus importantes au Japon. 

Gen regarde ces yeux qui le fuient. Aussitôt, il comprend où il veut en venir. 

— Senku, écoute bien ce que je vais te dire car je ne me répéterai pas. 

Gen se redresse, attirant de suite l'attention de Senku. Leurs iris se rencontrent, et Senku peut y lire toute la détermination du monde. 

— Ne te freine jamais pour moi. Tu dois faire passer tes études avant moi, et ce quoi qu'il arrive. 

— Mais...

— Harvard, c'est la chance de ta vie, continue-t-il. Je refuse que tu fasses une croix sur ton rêve juste pour rester à mes côtés au Japon. Ça, je ne le supporterai pas. 

Un silence s'installe durant lequel les yeux de Senku se figent sur l'horizon. 

— Les États-Unis et le Japon... deux pays littéralement à l'autre bout du monde. 

— Ça donne un peu le vertige quand on y pense, ajoute Gen.

— On sera loin, toi et moi. 

À nouveau, ses iris carmins viennent se poser sur lui. Et puis, il sent sa main se refermer davantage autour de la sienne. 

— On a encore le temps de savoir ce qu'on décidera, tu n'as pas à t'en faire pour ça. 

Maintenant que Senku lui a dit tout ça, Gen devra réfléchir à son tour. Est-ce qu'il sera prêt à vivre une relation à distance de la sorte ? Ou bien, pourrait-il envisager de le suivre à l'autre bout du monde alors qu'il a enfin retrouvé toutes les attaches qu'il a perdues ? 

Tant de questions sans réponses. Et tant de questions qu'il ne faut pas se poser un soir de Noël, là où on se réunit en famille et entre amis pour profiter de la présence de ses proches. 

— Allez, ne te fais pas de mouron pour tout ça. 

Il pose ses lèvres sur sa joue, espérant le rassurer. Juste après, son visage se tourne vers lui et leurs lèvres viennent se rencontrer. Gen a raison, il ne doit pas penser à tout ça maintenant. Ce soir, il est avec lui, et il doit profiter de sa présence. Pour le reste, il a encore le temps d'y penser. 

Soudain, Gen sent sa main quitter la sienne. Puis, il le voit fouiller dans la poche de son manteau. Il en sort un petit paquet carré, emballé dans une boîte très élégante. 

— Joyeux Noël, ajoute-il en lui tendant le paquet. 

Malgré la noirceur du soir, Senku a pu voir ses joues prendre des couleurs. Il attrape le paquet d'une main tremblante, incapable de savoir quoi dire. Ses yeux passent du paquet jusqu'à lui, avant de se concentrer sur ce cadeau. 

— Je... 

— Ouvre-le avant de me remercier. 

Pris par la surprise, Gen a comme oublié qu'il doit ouvrir le cadeau. Il s'empresse de retirer le ruban doré, lui permettant d'ouvrir la petite boîte. Il retire le couvercle, dévoilant son contenu à ses yeux émus. 

Dans la boîte, il voit un bijou composé d'une fine chaîne argentée. Mais surtout, ce qui attire son œil, c'est cette pierre parfaitement ronde imbriquée au milieu de la chaînette. Elle est lisse, et d'un violet absolument magnifique. 

Ses yeux se lèvent pour se poser sur Senku. Il a un large sourire qui lui fend le visage tandis qu'il est incapable de savoir quoi lui dire. Puis, ses yeux se posent à nouveau sur le bijou, n'en revenant pas de ce qu'il a devant les yeux. 

— Il... Il est super beau, Senku.

Le vert lui offre un sourire avant de doucement lui reprendre le cadeau. Il retire le bijou de sa boîte pour l'aider à le mettre. Il lui attrape doucement le poignet avant de glisser la chaîne dessus. Non sans mal à cause du froid, il parvient à ouvrir le petit fermoir et l'attacher. Aussitôt, les yeux de Gen se posent sur son poignet et ce bijou qu'il ne parvient pas à quitter des yeux. 

Et ce cadeau lui fait presque oublier qu'il a lui aussi quelque chose à lui offrir. 

Il plonge sa main dans sa poche, sortant à son tour le cadeau qu'il souhaitait lui offrir. Également décoré d'un ruban doré, Senku devine que c'est aussi un bijou qui se cache dans cette boîte rectangulaire. 

— Allez ouvre ! le presse le bicolore. 

Il se débarrasse du ruban avant d'ouvrir la boîte, dévoilant son contenu. À l'intérieur, il y voit également une chaîne, plus épaisse cette fois-ci. Elle aussi argentée, elle est cependant décorée de plusieurs petites pierres vertes incrustées dans les maillons. Cette décoration est discrète, mais tout bonnement magnifique. C'est au tour de Gen de savourer l'expression surprise de Senku qui, malgré les secondes, ne quitte pas le bijou des yeux. 

— Gen c'est...

— Attends, je vais te l'accrocher.

À son tour, il sort le bijou de sa boîte pour l'accrocher autour du cou de sa moitié. Senku se retourne, laissant les mains de Gen glisser autour de son cou pour y accrocher sa chaîne. Comme par réflexe, sa main vient se poser sur son bijou, passant la pulpe de ses doigts sur les maillons de la chaîne. 

— Joyeux Noël, ajoute le bicolore lorsque leurs yeux se croisent à nouveau. 

Senku sourit puis, la seconde d'après, il s'approche de lui pour sceller leurs lèvres ensemble. Et pendant qu'il l'embrasse, il sent les lèvres du bicolore s'étirer en un sourire heureux. Il ne peut pas s'en empêcher, c'est plus fort que lui. 

— Merci, articule le vert en se séparant de ses lèvres. 

Gen continue de sourire, incapable de l'effacer de ses lèvres. Puis, la seconde d'après, leurs lèvres se retrouvent, impatientes. Pas même le froid ne semble déranger leurs lèvres gelées. 

Et puis, leurs visages se reculent à nouveau, laissant leurs yeux amoureux se rencontrer. Gen a glissé sa main à l'arrière de la nuque du vert, tortillant une mèche de cheveux entre ses doigts. Ses yeux filent entre les siens et ses lèvres, se répétant à quel point il a de la chance de l'avoir avec lui. Il sent son cœur battre plus fort alors que sa respiration se calme. À nouveau, ses pensées formulent ce qu'il n'a pas été capable de lui dire. 

Je l'aime, je l'aime tellement. 

Il doit lui dire. Ce soir, alors qu'ils sont seuls l'un en face de l'autre, sans personne pour les déranger. Il doit prononcer ces mots, les matérialiser, lui montrer qu'il n'est pas juste une amourette pour lui.

Tu es bien plus que ça pour moi. 

— Senku. 

Sa voix n'est qu'un filet. Il sent ses joues s'échauffer tandis qu'il répète cette phrase dans sa tête. Ça ne peut pas être si compliqué de lui dire. 

Le vert redresse la tête, à l'écoute. Ses yeux carmins sont si intenses que Gen a l'impression qu'il pourrait se perdre dans son regard. Et tandis qu'il a l'impression que tout son être pourrait se noyer dans ses yeux, les mots franchissent enfin ses lèvres. 

— Je t'aime.

Il s'est approché de lui pour lui susurrer ces mots. Comme si quelqu'un pouvait les entendre. Mais inconsciemment, Gen voulait être sûr que personne à part lui ne puisse entendre ces mots. Et il recule, croisant à nouveau son regard magnifique.

Ses yeux sont écarquillés tandis que sa voix se meurt dans sa gorge. Il aimerait dire quelque chose, mais il n'y arrive pas. Il sent le rouge lui monter aux joues alors que le sourire du bicolore s'accentue. 

— C'est... c'est la première fois qu'on me dit ça, parvient-il à articuler. 

Une joie étrange se répand chez Gen, heureux d'être cette première personne. Il sait que cette joie est niaise, mais il ne peut pas s'en empêcher. C'est plus fort que lui. 

— Ah oui ? Ravi d'être cette personne alors. 

Gen a posé son coude sur le dossier du banc, calant sa tête dessus. Il regarde sa moitié se décomposer tandis que ses joues rougissent de plus en plus. Il n'imaginait pas que ces simples mots suffiraient à le déstabiliser à ce point. 

Mais après quelques instants de panique, Senku parvient à se reprendre. Il ne peut pas laisser ces mots sans réponse. Il s'approche à son tour de Gen, voulant lui aussi lui chuchoter ces mots emplis de magie. 

— Je t'aime aussi, Gen. 

Gen ne peut s'empêcher de rire face à ces mots. À nouveau, une bouffée de joie se répand dans son corps, réchauffant ses joues engourdies par le froid. N'y tenant plus, il prend son visage en coupe avant de déposer ses lèvres sur les siennes. Alors que leurs lèvres fusionnent, chacun a un sourire niais vissé sur le visage. Ils s'embrassent, avant de reculer puis de s'embrasser à nouveau. De multiples baisers, tous agrémentés de ces sourires que rien ne pourrait effacer. À l'écart à l'extérieur, ils sont seuls au monde. Plus rien n'existe à part eux et leurs lèvres ainsi que leurs sourires. Rien, ce soir, ne pourrait les déranger. Rien, sauf une personne. 

— Oh Senku ! 

Le concerné ne peut s'empêcher de grogner de mécontentement tandis qu'il se sépare des lèvres de Gen. Lasse, il se tourne vers la voix qui l'appelle. 

— Qu'est-ce que tu veux la lionne ? crie-t-il à la jeune blonde se trouvant à l'entrebâillement de la porte fenêtre. 

— Byakuya demande à ce que tu arrêtes de bécoter Gen pour l'aider à débarrasser. 

— Rah c'est pas vrai il peut rien faire tout seul ce vieux, maugré-t-il dans sa barbe. Dis-lui que j'arrive ! 

Puis, avec un sourire fier sur le visage, la blonde recule avant de fermer la porte. Sans aucune envie, Senku se lève du banc, quittant la chaleur de la couverture. 

— Bon, je rentre avant que le vieux me fasse une scène. 

— Pas de soucis, je te rejoins dans quelques minutes. 

Gen lui adresse un sourire d'encouragement juste avant qu'il ne lui tourne le dos. Il le regarde s'éloigner, restant sur ce banc tout en resserrant la couverture autour de ses épaules. Durant quelques minutes de plus, il profite de cette solitude agréable tandis que ses yeux retrouvent les étoiles juste au-dessus de sa tête. Il sent un sourire idiot sur ses lèvres, un sourire qu'il ne parvient pas à effacer. 

Et pourquoi je l'effacerais

C'est vrai, il n'a aucune envie de le faire disparaître. Après tout ce temps passé à ne plus savoir comment affronter le monde, il se rend compte à quel point il a avancé. Et tout ça, il le doit à lui-même, mais également à Senku. Et dire que la première fois qu'ils se sont rencontrés, il l'a insulté. 

Ça me paraît tellement loin, tout ça.

Ce jour-là, il ne ressentait que le stress, mais également une peur sourde qu'il ne parvenait pas à éteindre. Aujourd'hui, elle n'est plus qu'un lointain souvenir, perdue dans les contrées qu'il a quittées pour revenir ici. 

Il ferme les yeux, savourant une dernière fois ce froid repulpant. Puis, il se redresse, décidé à rentrer avant de geler sur place. Mais soudain, il sent son téléphone vibrer dans sa poche. Il l'attrape, voyant un numéro s'afficher. Un numéro qu'il ne connaît pas. Curieux, il décide de répondre. 

  — Allô ? 

Il ne sait pas vraiment pourquoi il répond. Après tout, il est tard et il a bien mieux à faire. Mais parce qu'il a pu partager un moment absolument exquis avec le vert, il se sent de bonne humeur. Et il sent surtout qu'il peut déplacer des montagnes. 

Au bout du fil, il n'y a pas de réponse.

— Bon, je ne sais pas qui est au bout du fil mais ce n'est pas grave. Peut-être est-ce une erreur de numéro mais c'est Noël aujourd'hui et je crois que je n'ai jamais été aussi heureux alors, joyeux Noël, monsieur l'inconnu.

Il se sent bête de dire ça et, en même temps, il n'en a rien à faire. Après tout, il n'entendra plus jamais cette personne. 

Mais alors qu'il était sur le point de raccrocher, une voix surgit du combiné. Trois mots, juste trois mots. 

— Joyeux Noël, Gen.

Puis, la personne raccroche. En entendant son prénom, Gen a senti son cœur rater un battement. Mais aussitôt, son cerveau a cherché à rationaliser. Peut-être s'agissait-il d'un ancien ami à lui dont il a perdu le numéro de téléphone ? Dans tous les cas, il n'a pas le temps de se prendre la tête pour ce détail. Il range son téléphone dans sa poche et se lève, décidé à rentrer dans la maison où tout le monde semble s'amuser. 

Jamais, au grand jamais, il n'aurait pu imaginer une seule seconde que ce répit durement trouvé prenait fin, et ce dès ce soir.  

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Un petit épisode plein de fluff ça faisait longtemps ! J'ai a-do-ré écrire ce chapitre. Ce petit moment entre Senku et Gen c'était vraiment incroyable à décrire. Toutes leurs émotions, leurs sentiments etc. Vraiment c'était incroyable 🥹. J'espère en tout cas qu'il vous aura plu !

De mon côté, j'arrive à la fin de l'écriture de la fic. Encore trois chapitres et j'en aurai fini ! Quand ça sera le cas, j'augmenterai le rythme de la publication des chapitres. Encore un peu de patience !

Sur ce, je vous dis à très bientôt pour la suite !

Ciao~

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