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Bonus : Chasse aux œufs

C'était Pâques.
Les parents de Pierrick avaient invité leur beau-fils, ou du moins officieusement, chez eux pour le week-end, histoire de faire plus ample connaisaance tout en fêtant en famille cette fête importante pour les Grobier.

-J'ai fini !
C'était déjà la fin de l'après-midi mais la famille tenait à cette chasse. Le père laissa alors sa femme chercher les œufs qu'il venait de camoufler dans le jardin, ou du moins la petite partie verte dans le parc qui leur était accordées. Pierrick ne pensait pas voir sa mère, si distinguée, élégante et raffinée, presque trop parfois, à genoux dans l'herbe en train de chercher des petits œufs en sucre ou en chocolat achetés pour l'occasion.
Finalement, quand les adultes eurent fini, ils retournèrent dans la cuisine pour partager ces petites sucreries en tête-à-tête en laissant le reste du paquet aux deux jeunes garçons. Matei regarda Pierrick, lui chipa le paquet ouvert des mains et lui dit en riant :
-Ne regarde pas, je vais les cacher !
Pierrick ne dit rien et se contenta de sourire en se retournant pour ne pas voir les cachettes secrètes des œufs qu'il aurait à trouver.

-C'est bon.
Matei s'assit sur une chaise du jardin et regarda alors son petit ami s'affairer dans l'herbe et les buissons pour chercher les œufs qu'il avait cachés.
Après plusieurs minutes, Pierrick finit par trouver toutes les cachettes de Matei et retourna vers lui, panier à la main.
-Bravo ! lui fit le plus jeune avec un sourire radieux.
Pierrick s'assit sur la chaise à côté de son petit ami. Il piocha dans le panier un œuf en sucre au hasard et le tendit à Matei, montant sa main jusqu'à la bouche désirable de ce dernier. Les joues du garçon rougirent d'un seul coup et il attrapa alors sans un mot la sucrerie entre ses dents avant de l'avaler.
Pierrick sourit avec une douceur inimitable et il caressa la joue de Matei avec sa paume et son pouce. Le brun se laissa aller dans ce geste tendre et il murmura :
-À mon tour. Donne-moi le panier...
Leurs visages étaient très proches, les deux partis aimant cette proximité intime.

Matei réprima alors un soudain gémissement.
Pierrick venait de descendre sa main au niveau de son entrejambe et enveloppait ce dernier avec sa paume et ses doigts. Il bougeait très légèrement sa main sur le pantalon de Matei qui se tendair de plus en plus à son contact.
-Pierrick...essaya de protester le plus jeune, les yeux mi-clos.
-Moi, j'aimerais d'autres œufs, Matei...lui susurra Pierrick à l'oreille, presque involontairement sensuel, se rapprochant encore plus de son amoureux.
-Pierrick ! protesta Matei avec plus de vigueur.

-Les garçons ?
Pierrick, ou plutôt sa main, délaissa aussitôt l'entrejambe de son petit ami et il se détacha légèrement de lui.
-Oui, Maman ?
-Ton père et moi, on sort pour fêter Pâques. On vous laisse veiller sur la maison. À ce soir !
-À tout à l'heure, Maman ! sourit Pierrick.
-Au revoir, fit Matei sur un ton poli.

Dès que la porte fut refermée, Pierrick jeta un regard en biais à son petit ami avec un sourire taquin.
-Quoi ? finit par lâcher le brun avec un air un peu paniqué devant le silence oppressant de son copain.
-J'ai faim, fit subitement ce dernier avec un ton guilleret et plus pour le moins du monde sous-entendu d'une quelconque manière.
Matei soupira en même temps qu'il souriait.
-Incorrigible...murmura-t-il alors en suivant le barbu dans la cuisine

Ils y préparèrent leur repas du soir en faisant cuire des œufs pour les manger avec des pâtes qu'ils venaient d'égoutter.
Pendant le repas, Matei n'avait de cesse de regarder Pierrick manger avec soin ses œufs. Lui les aimait au plat et Matei brouillés, ou sinon durs. Pierrick mangeait consciencieusement le blanc avant le jaune qui coulait avec ses reflets appétissants.
Quand le barbu vit que Matei le fixait depuis plusieurs minutes tout en mangeant petit bout par petit bout ses œufs brouillés, il rougit.
Les deux garçons terminèrent leurs pâtes en même temps et firent rapidement la vaisselle pour ne pas à avoir à la faire après ou la faire faire aux parents de Pierrick quand ils rentreraient, probablement tard, du restaurant.

Quand Pierrick retira son haut pour se coucher sur son lit, Matei suivit le geste et rejoignit alors son petit ami sur les draps encore froids. Pierrick le regarda se dénuder, sans un mot, les bras derrière la tête.
Quand la peau nue du torse imberbe de Matei toucha la sienne, le barbu sentit ses poils se hérisser de désir et son entrejambe se tendre de tentation. Il se fit violence pour ne pas sauter sur Matei à la seconde et se contenta de continuer à sourire gentiment.
Le sourire que le jeune brun lui rendit fit fondre son cœur et il attrapa son menton pour faire disparaître immédiatement les quelques centimètres qui séparaient encore leurs deux bouches si désireuses qui s'attiraient pourtant comme des aimants amants. Il embrassa alors doucement Matei, qui ne fut guère surpris du geste bien qu'il en reste tout aussi heureux que friand...

Leurs muscles rosés et humides se trouvèrent plus que rapidement pour se lancer dans un balet endiablé et rempli d'une intense luxure qu'il y a encore quelques mois, ni Matei ni Pierrick n'auraient pensé atteindre...Le plus âgé tira alors son copain sur son torse, mêlant leurs longues jambes et faisant se rencontrer leurs entrejambes déjà bien sollicités encore enfermés sous une ceinture de cuir.
Alors qu'ils s'embrassaient encore en faisant jouer leurs mains autour de leur tête, leur cou et leur torse, Matei prit les devants en descendant ses mains douces sur le ventre taillé de son petit ami puis en défaisant lentement mais sûrement la boucle de la ceinture du barbu qui tressauta en sentant ses doigts frôler son sous-vêtement.
Matei retira son pantalon entièrement et se leva pour faire de même tout seul, sous le regard hébété de Pierrick. Ce dernier finit par sourire sous son épaisse barbe noire de poils drus et attrapa Matei encore debout en boxer par le bras pour le remettre sur son torse.
Leurs entrejambes se sentaient mutuellement nettement mieux, à présent, faisant plus ample connaissance alors qu'ils se connaissaient déjà passablement bien...

Finalement, Pierrick se ravisa et poussa Matei pour le retourner sur le dos et avoir ainsi accès à tous ses points sensibles en même temps...
Il commença à masser de sa main la bosse sous le boxer de son copain qui commença à se tortiller dans tous les sens. Son visage se crispa de plaisir, arrachant par la même occasion un sourire taquin au noiraud.
Il prit le bassin de Matei pour le poser sur ses deux jambes légèrement écartées, du coup agenouillé sous le postérieur de son copain maintenant surélevé.
Avec sa main libre, celle qui ne caressait pas doucement les parties du jeune brun, il empoigna une des fesses de Matei qui gémit encore et resserra sa prise sur les draps en-dessous de lui. Pierrick continua de masser les deux parties de corps de son petit ami avec ses deux mains et tous ses doigts habiles.
Matei haletait bien malgré lui et ses sourcils remontés en leur côté interne commençaient à malmener les muscles tendus de ses arcades sourcilières. Ses dents étaient entrouvertes, de manière à ce que tout l'oxygène nécessaire à Matei en ce moment puisse passer le plis facilement possible.

-Pierrick...
Le noiraud finit par rapidement retirer son caleçon et le boxer de Matei en même temps. Le brun gémissait alors que les mains de son copain s'activaient sur le corps de son cadet. Toujours dans la même position, il se pencha vers l'avant pour embrasser le ventre plat et presque sans poils de Matei.
Ce dernier se cambra au doux contact des lèvres charnues de Pierrick contre sa peau sensible. Le noiraud laissa ses lèvres se balader un peu sur le torse laiteux de Matei alors que ses grosses mains continuaient à malmener son arrière-train et son entrejambe toujours légèrement en hauteur.
Il mordilla un peu la peau lisse de son copain avant de lécher aussi langoureusement qu'amoureusement cette peau de pêche que Matei possédait comme aucun autre garçon sur Terre.

Ses mains finirent par lâcher les buttes de chair qu'elles tenaient et malaxaient respectivement pour venir pincer les deux pointes rosées sur le torse sans aspérité ni défaut de Matei qui se cambra en poussant une longue plainte alors que Pierrick baissait de plus en plus son visage vers sa dureté.
En continuant ses pincements et ses caresses en haut du torse de Matei, le barbu réussi tant bien que mal à prendre ce qu'il fallait entre ses lèvres roses et dès la première succion, Matei lâcha un cri de plaisir sans aucune retenue.
Pierrick passa sa langue, à vraiment tous les endroits possibles, dans la longueur, en travers, dans la largeur, en biais, tout autour...Il faisait vraiment jouer son muscle humide autour du membre lui aussi de plus en plus humide de Matei.

Pierrick finit par lâcher ses souffres-douleurs, faisant lentement descendre ses mains aux doigts agiles sur le torse puis le bassin de son amant. Il finit par se retrouver avec les mains à la hauteur de sa bouche.
Alors que celle-ci s'affairait à tout autre chose, une de ses grandes mains agrippa le début de la hampe de Matei avant d'y imprimer des gestes mécaniquement libidineux puis, avec sa seconde main, il profita pour masser entre ses gros doigts les deux bourses remplies de Matei en espérant les détrousser un peu...

-Pierrick...bafouilla Matei entre deux halètements désireux.
-Je t'avais dit que je voulais des œufs...susurra Pierrick entre deux coups de langue.
-Pierrick...répéta Matei mais avec un ton moins hésitant et encore plus avide de son copain.
-Mais aide-moi...Comment tu veux que je les cuisine cette fois ?
Matei, l'esprit occupé par bien autre chose, comme par exemple les mains de son petit ami sur ses bourses ou sa langue autour de son membre, peina à répondre quelque chose de cohérent.
-Au plat...finit-il par dire.

Pierrick appuya alors doucement mais fermement, pinçant entre ses gros doigts musculeux la peau de Matei qui se cambra. Ce cocktail de plaisir lui montait à la tête, il ne pouvait que gémir de plaisir en le savourant avec joie et lenteur.
-Et maintenant ? lui murmura le noiraud.
-Brouillés...fit Matei, en fait curieux de voir ce que Pierrick ferait de ses membres à chaque nouvelle appelation des nombreuses façons de faire un œuf.
Pierrick malaxa alors vivement entre ses doigts habiles les deux membres pendants de Matei qui cria de surprise. Il ne s'attendait pas à un tel acharnement sur son corps et les cellules de contact et de plaisir de ce dernier lui signalaient par tous les moyens ce que Pierrick était en train de lui faire subir.
-Final...Finalement, je les veux à la coque...murmura Matei entre deux forts halètements.
-Entendu...susurra Pierrick juste après un râle viril.

Pierrick s'activa de son muscle rosé sur la longueur toujours plus tendue de Matei qui se cabra presque sur le lit, se mordant la lèvre inférieure dans un gémissement étouffé comme il le pouvait. Les mains de Pierrick caressaient doucement ses deux souffres-douleurs avant de se remettre à les malaxer vigoureusement, et ce mélange imprévisible de saveurs diverses plut à Matei au-delà de ce qu'il avait pu imaginer dans ses rêves les plus bouillants...
Soudain, sans que Matei ne puisse articuler quoi que ce soit, Pierrick réussit à le terminer sans un mot.
-Mince...sourit le sportif sous son épaisse barbe. Je l'ai ma ouvert, ça m'a giclé...
Sa large main osseuse était recouverte d'un fameux blanc d'œuf encore peu cuit et Matei sourit en constatant la métaphore que venait de faire son petit ami avec malice.

Pierrick s'essuya la main, puis Matei avec bien plus de soin quand ce dernier sauta au cou de son copain et l'embrassa fougueusement avant de lui dire :
-Moi aussi, je veux mes œufs, maintenant !

******
Voilà, c'est déjà fini ! Merci d'avoir lu jusqu'à la fin et j'espère que vous avez aimé ! 😄😁
N'hésitez pas à me dire dans les commentaires ce que vous en pensez ou même des réactions de fangirls ou de fanboys...😏😂

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