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4. Wait, I do, fuck

Pendant tout le long de la semaine, Jisung n'était pas rentré avant minuit, laissant Minho s'occuper de ses enfants à merveilles. L'ainée de la famille lui en voulait, elle avait espérée que quelque chose change enfin dans leur relation à tous grâce à l'arrivée de Minho, mais non. Il continuait de les voir seulement le matin lorsqu'il les emmenait à l'école, ils n'avaient presque aucuns autres contacts.

La nuit dernière, Minho était resté dormir chez eux. Jisung n'était pas rentré avant deux heures du matin et il lui avait envoyé un message pour savoir s'il pouvait rester plus longtemps. Minho avait accepté sans hésitation et avait même organisé une petite soirée clandestine entre lui et les deux adolescents, ils ne s'étaient pas couchés avant une heure du matin eux aussi, ayant préférés jouer à Call Of Duty une bonne partie de la soirée.

Minho s'était ensuite réveillé aux aurores, avait préparé le petit déjeuner pour toute la petite famille et avait réveillé les enfants chacun leur tour.

Votre père dort encore ?

Ouais, il s'est sûrement endormi dans son bureau alors qu'il travaillait.

Minho avait froncé les sourcils en demandant au jeune garçon d'aller le réveiller pour qu'ils ne soient pas en retard. L'homme était arrivé quelques minutes plus tard, toujours dans les vapes.

Minho profita du fait que les enfants soient remontés à l'étage pour lui adresser quelques mots.

Vous avez assez dormi ?

Sûrement pas. Avait tout de même rit Jisung. Mais je dois bien travailler pour nourrir toute cette petite tribu.

Vous faites des horaires énormes.

Je sais, mais je suis mieux payé.

Minho avait doucement acquiescé tout en touillant son café, ne sachant pas quoi répondre. C'était certain qu'il n'avait pas à se plaindre, il très bien payé à ne rien faire de l'après-midi, puis une fois la soirée venue il n'avait qu'à s'amuser avec des enfants sages et bien éduqués. Il était même logé s'il le voulait et nourrit à sa guise, il n'avait vraiment pas à se plaindre.

Vous voulez que j'emmène vos enfants à l'école ce matin ? Après tout c'est mon travail alors si ça peut vous laisser un petit peu plus de temps pour vous, je peux le faire.

Jisung avait relevé la tête étonné de la gentillesse de Minho, et après avoir réfléchi quelques minutes, il accepta.

Mais je dois te donner de l'argent, ils s'achètent de quoi manger le midi avec et je leur donne dans la voiture, je crois qu'ils ont essayé de m'arnaquer à maintes reprises.

Minho acquiesça en prenant l'argent que Jisung lui tendait.

Attendez... Ils ont 70 000 wons pour manger ?

Oui, ce n'est pas assez ?

C'est beaucoup trop voyons, pour seulement un enfant ça vous fait 350 000 wons par semaine, multiplié par deux pour vos deux enfants, 700 000 wons. Jisung l'écoutait attentivement alors que Minho réfléchissait. Si on enlève le week-end on enlève 200 000 wons mais le montant reste quand même très élevé, 500 000 wons par semaine c'est énorme monsieur.

Au fond, Jisung le savait. Mais il ne pouvait pas leur retirer cela, au moins ils avaient de quoi s'offrir ce qu'ils voulaient et c'était le plus important à ses yeux, qu'ils soient heureux.

Imaginons, Minho s'était assis à la table un style et une feuille en main. Chaque enfant, sans compter Lina, a le droit à 25 000 wons pour manger, ce qui est suffisant, vos dépenses baisseront immédiatement et vous n'auriez plus à travailler autant pour continuer de vivre comme aujourd'hui.

Jisung prenait en compte chaque petit détail des paroles de Minho, se rendant compte qu'il avait raison.

Papa, t'es encore en pyjama ? On va être en retard. »

Minho se releva en promettant à Jisung de lui reparler de tout cela lorsqu'il aura le temps.

C'est moi qui vous accompagne aujourd'hui.

Quoi ?!

La jeune femme s'était exclamée plus fort que d'habitude avant de lancer un regard paniquer à son père qui haussa les épaules.

Il y a un problème ? Avait demandé Minho, gêné de la situation avant que le jeune garçon ne prenne la parole.

C'est pas contre toi, allez on y va.

Il avait attrapé le poignet de ses sœurs avant de les forcer à monter dans la voiture dans une rue des plus glaciales, et lorsque Minho prit place au volant, l'adolescente ne pu empêcher un soupir quitter ses lèvres.

Tu m'étonnes que ça l'arrange que Minho soit là, encore une prétexte pour nous éviter.

Jisu...

Tu ne peux pas démentir, Beomgyu ! On le voyait à peine dix minutes par jour le temps qu'il nous emmenait et désormais même ça il ne le fait pas !

Calme-toi...

Je n'ai pas envie de me calmer ! S'était-elle énervée encore plus. J'ai simplement envie d'avoir un père qui s'occupe de nous, il le faisait très bien avant le décès de maman et maintenant ça fait cinq ans qu'on existe plus à ses yeux !

Minho écoutait la conversation, attristé de la situation.

Tu sais, ton père reste au travail très tard parce qu'il veut avoir de quoi vous élever aisément, je sais que ça ne remplace pas une présence mais ça ne veut pas dire qu'il ne vous aime pas, bien au contraire.

Le problème c'est qu'il ne nous élève pas, c'est nous qui nous nous occupons de Lina !

Je dois avouer qu'elle n'a pas tort. Nous on a eu la chance qu'il s'occupe de nous jusqu'à nos huit ans mais Lina en a sept et depuis ses deux ans elle est presque toute seule tout le temps.

Minho se sentait mal à l'aise de devoir écouter les problèmes familiaux de son patron, mais devait il vraiment rester à ne rien faire alors que tout le monde souffrait ?

Je peux lui en parler si vous souhaitez. J'ai peut-être une solution mais il va falloir que vous fassiez des efforts vous aussi. Il va falloir arrêter de l'arnaquer sur votre argent du midi, sur l'argent tout court, essayer de ne pas se disputer devant lui et de lui sourire, de lui montrer que vous l'aimez. Il faut faire ce genre de petites attentions.

Il en fait jamais lui...

Et je suis persuadé que ce n'est pas l'envie qui lui manque.

Loin de là, Jisung aurait tellement aimé passer la totalité de ses journées avec ses enfants, jouer avec eux et leur offrir la meilleure des enfances. Il aurait aimé être plus présent pour eux et malheureusement, il faisait déjà tout ce qui était en son pouvoir.

Ce n'était qu'une pauvre homme perdu après le décès de la femme qu'il aimait, devant élever trois enfants sans aucunes aides et aucunes ressources.

Et je compte bien l'aider à reprendre la situation en main, mais il va falloir que vous donniez du vôtre aussi. Voyant que les enfants n'étaient pas vraiment emballés, il transforma cette demande en mission. Agent Songie, agent Sonnie et agent Dori, la mission a démarré.

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