Chapitre 3.3
J'ai fini mon repas en quatrième vitesse et je suis partie à la recherche de mon père. Kendall m'a vendu sa position contre un paquet de chips quelle n'a pas le droit de manger. La faute à ma mère et ses régime stricte. Il a passé sa journée à la maison à cause d'un mal de tête. Autant dire qu'il ne voulais simplement pas voir ses collègues et donc qu'il prépare un mauvais coups. Je ne suis même plus choquée de ses agissements. Et pourtant ce n'est pas normal. Je ne comprend pas pourquoi il se sens obliger de se trouver dans l'illégalité.
Je déambule dans les couloirs à la recherche de mes repères. Au fil de mes pas je tombe devant la porte de son bureau. Sans même toquer je rentre comme si c'était chez moi. Mais attendez c'est encore chez moi. La porte en bois reste assez lourd pour mes petits bras. J'arrive tous de même à donner l'illusion que j'y arrive sans mal.
Je trouve mon père affalé dans son siège de bureau en cuir. Il sirote une grande tasse de café. La chemise légèrement ouverte, la cravate sur la table. Pas de doute il a bien passé sa journée dans cette pièce à se gave de café.
Les pieds posé sur la table et le portable dans une main, il papote sans pression avec son interlocuteur. Dés que son regard se pose sur moi il se coupe en plein milieu d'une phrase. Apparemment je ne suis pas la bienvenue à cette instant précis. Pourtant il devait se douter que je n'attendrais pas des heures pour une simple discussion avec lui.
– Je te laisse, je doit régler une affaire plus importante. Fais moi ton rapport dans une trentaine de minutes max. Et demande à notre expert de le faire taire au plus vite.
Son ton froid et sans équivoque me prouve que je tombe vraiment au mauvais moment. C'est fou ce qu'il ne m'avait pas manqué. Lorsqu'il pose le téléphone sur la table, je ne sais pas si je dois être flattée ou énervée d'être traitée comme une « affaire importante ».
- Bonjour père. Je pars dans moins de deux heures. Je crois que tu voulais me voir. Alors fait vite s'il te plaît.
- Je me demandais quand est ce que daignerai venir voir ton père. Je suis rester a la maison pour ça.
Il utilise le même ton que moi, froid et calculateur. Je sais ou il veut en venir. Il veut simplement savoir si j'ai vendu la mèche ou pas. Sans relever je déclare.
- Marc m'a dis que tu ne me recevrai pas avant ce soir.
- Et depuis quand est ce que tu écoute les autres, ou encore mieux, Marc. Tu m'a habituer à mieux. Maintenant fais ton rapport. J'ai quelque question à te poser.
- Je suis aller à ma soirée à l'heure que tu avais convenu. Je suis rentrée à l aide de l'invitation, puis je suis aller retrouver ton expert. Nous nous sommes échanger les lettres ainsi qu les clés, comme convenu puis je suis restée pour vendre ton projet pour que m'a position ne sois pas suspect. Tous ce déroulait bien jusqu'à ce que un de tes collègues me rapporte un verre de Champagne. Il y avait de la drogue et je ne l'ai pas venu venir. Je suis tomber des les vapes et puis la suite tu la connais. Je me suis réveiller dans cette entrepôt.
– Tu sera heureuse de savoir que le type qui t'as enlevé, a été retrouvé mort il y a trois jours. Nous avons réussie à le relier à plusieurs trafic. Nous avons donc gagné facilement le procès. Mais il me reste une question. Pourquoi toi. Le public ne connais ton visage que depuis deux mois tout au plus. Pourquoi t'avoir enlevé ?
– Il voulais des informations sur toi, ta carrière, ta campagne. Rien de bien intéressant.
Mon père tape du point, le visage rouge de colère. Je vous avouerais que je ne comprends pas vraiment sa réaction.
– Cela n'a peut être aucune importance pour toi. Mais pour moi c'est mon équité qui est en jeu. On m'a humilié. Maintenant on sait que l'on peut s'en prendre à ma famille. J'espère au moins pour toi que tu ne lui a rien donner à cogiter.
– Tu voulais que je dise quoi ? Que mes parents ne sont même pas capable de protéger leur famille parce qu'ils sont trop égoïste. Je ne sais rien de tes agissements. Je ne sais même pas pourquoi mon identité à fuité dans la presse. J'étais censé rester dans l'ombre.
– Ne me parle pas comme ça jeune fille. Tu n'a pas besoin de savoir toutes ces choses.
– Il faudra bien me dise un jour pourquoi j'ai du fais ça pour toi. Tous est de votre faute. Vous ne pouvez pas agir comme des être normal pour une fois. Quand ça me concerne, j'ai le droit de savoir. Je ne devrait même pas à demander.
Sans demander mon reste, je me tourne et commence à partir. Cette conversation ne rime à rien. Je n'ai plus de temps à perdre dans cette maison.
– Avrile reste tu ne m'a pas tous dis, j'ai encore des questions.
– Tu sais quoi, je retourne à New York maintenant. Je n'ai plus rien à vous dire. Pourquoi rester une minute de plus ici. Vous ne pensez qu'à vos carrière et ps à vos enfant. Et au passage remercie maman pour le tri qu'elle a fais dans ma chambre. Sachant qu'elle a tous virer, pas la peine de revenir déménager mes affaires.
Son regard attrister ne m'atteint pas, sûrement un coups pour m'attendrir. Je ne tomberai plus dans le panneau. Alors je continue ma route.
– Je t'interdit de passer cette porte Avrile.
– Bonne continuation. Crache-je par dessus mon épaule.
Je sort de son bureau et me rue vers ma chambre. Honey m'y attend avec le sac de sport. A peine suis-je apparue qu'elle a compris qu'il fallait y aller. Si je veux me reconstruire après cette épreuve, ma famille sera qu'un éternel frein à mon bonheur.
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