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Chapitre 1.2

Chacun une bouteille en main, nous nous remettons en marche pour continuer la fête chez les frères Wilson. Les rires et les cries reprennent de plus belle. Il y a une certaine satisfaction à contempler la joie sur les visages de mes amis. Les sourires, les regards plein de railleries, et les corps détendues. Rien ne peut me faire sortir de ma contemplation. Suis-je heureux? Des fois je me pose la question. Mais je pense que j'ai dépassé ce cap. Entouré comme je le suit, rien ne peut m'atteindre, alors oui je me sens heureux.

- Hé mec ! T'as entendu? me questionne ma copie.

Ne comprenant pas ce qu'il veut dire il me désigne le groupe de mecs devant nous. Ou veut-il en venir; il sait que avec quelques grammes d'alcool dans le sang, je suis bon à rien. Un vrai boulet se mec !

- Je crois avoir entendu Connor crier.

Je cherche le garçon des yeux. Rien. Il n'est pas là. Putain mais qu'est ce qu'il fou ?

- Je ne le vois pas. On avait bien attendu tout le monde avant de mettre les voiles.

Je regarde l'auteur de ses paroles troublantes. Je plonge mes yeux dans le regard inquiet d'Ethan. Il a peur, mais ne le montre pas au monde entier. Il sait pertinemment que le jeune fullback est de nature impulsif.

- Putain mais lâchez moi bande de bouffons.

Pas de doute sur la nature du crie, c'est bien Connor. Je ne sais pas ce qu'il c'est passé mais il doit avoir besoin d'aide. La plainte met fin à notre échange silencieux avec Ethan. Sans se consulter plus que ça, mon frère et mon meilleur ami partons dans le sens opposer de nos camarades. Droit vers notre coéquipier. On retourne sur nos pas. La boutique est toujours aussi lumineuse. Je me retourne du côté de nos camarades. Personne ne semble s'être rendu compte de notre absence. Même s'ils ne sont pas trop loin et qu'ils ne se déplace pas très vite dû à leur chamailleries, ils sont beaucoup trop absorber par leur conneries pour comprendre que un des notre à besoin de notre soutient.

Dans la rue perpendiculaire à la notre, des bruits de bagarre se font entendre. Des coups, des cries étouffés et des gémissement de douleur.

- Alors, tu compte nous les donner tes clopes, à moins que tu ne veuille plus de coups.

- Ça ne nous pose aucun soucis. C'est plutôt pour toi, tu me semble bien amocher.

- Trop dommage. Tu avait pourtant une belle petite gueule d'ange.

Arrivant au niveau de la ruelle nous pouvons apercevoir les silhouettes des hommes qui encerclaient une personne à terre. Ils ne nous ont pas entendu arrivé. Ils sont bien trop occupé à tabasser notre pote. Les visages dissimulés par des capuches, ces gars là sont lâche pour agir en bande. De vrai enflure. De vrai merde. Ces gens là me répugne.

La colère monte si rapidement en moi, que je ne peux me préparer à ses assauts doux amer. Je déteste l'injustice. Ça me vrille le cerveau. En plus, s'en prendre à mes potes c'est comme s'en prendre à la partie la mieux protégée de ma vie. Je tiens à eux comme à la prunelle de mes yeux. Le contrat, si important soit-il, est déjà vite oublié. On n'a pas commencé, juste continué le travail des trois délinquants. N'y tenant plus, je ne vois qu'une issue possible.

- Lâchez le, bande de fils de putes. Vous n'avez pas assez d'argent pour vous payer cette merde.

Dans l'unique but de les provoquer je brandie mon paquet que je n'ai jamais eu le courage de fumer. Les trois enflures me regard comme si je tenais le saint graale. Ils doivent être sérieusement en manque. Raison de plus pour ne pas commencer à fumer. Je ne voudrais surtout pas devenir un légume qui ne marche que grâce à ce poison mortelle.

Je sais qu'il ne faut pas que je me laisse envahir par mes pensées négatives, mais chaque souvenirs, si violent soit-il, ne peuvent être refoulés. Pas à pas je lutte contre mes émotions. Ethan jubile, tant ces trois sont pathétique.

Le plus grand et le plus musclé font un pas dans ma direction. ils doivent se sentir menacés car lorsque je recule d'un pas, un sourire carnassier se déroule sur ses lèvres entaillées.

- Regarder moi ça! Le petit chou a des amis. Mais mon pauvre, il semblent aussi faible que toi. Crache-t-il avec un tel dédain qu'il me fait débloquer.

Sa voix, ses paroles. Tout montrent son manque certain de nicotine. Si Yliesse n'avait pas mis son bras en travers de mon chemin, j'aurais fracasser sa petite gueule de dégénéré. Mon frère connais plus que tout mon trouble contre l'injustice. Il sait très bien que je vais me laisser envahir par la fièvre de la vengeance.

Le mec qui vient de parler lève sa main au niveau de sa bouche.

- Ho! Mais le garde du corps doit retenir la princesse pour ne pas qu'elle se dévergonde. raille-t-il.

Sa voix suintait le mépris, le dédain. Un voile de rouge se dépose sur mes yeux avec une douceur déconcertante. Plus de doute, je vais lui casse la gueule comme personne. Ça se voie comme le nez au milieu de la figure qu'il a trop de confiance. Il n'avait pas dû avoir assez de tartes dans sa vie. Heureusement pour moi, je connais bien les tartes et les leçons de vie. Si bien que je me laisse de temps en temps le droit d'en donner moi-même.

Ce mec est misérable, je vais en faire mon quatre heure. Il va voir qui est la princesse au garde du corps.

- Je te laisse faire à une seule condition... me chuchota mon meilleur ami

- Je sais, je sais. On ne frappe jamais la tête, si une personne s'écroule pendant que l'on se bat on ne s'acharne pas sur elle, et si on la voie tomber, on tente de la rattraper avant qu'elle ne s'explose la tête au sol.

Toujours la même phrase. Toujours la même condition pour ne pas avoir du sang sur les mains. Dans mon groupe de potes, nous avons la fâcheuse habitude de nous battre. Nous aspirons tous a une vie différente, et c'est pour ça que nous sommes si soudés. Tous comme le contrat que nous avions mis sur pied pour cette soirée, nous avons des règles pour éviter le monde de la criminalité. Yliesse me lance le regard qui veut tout dire. En tant que jumeau on marche beaucoup avec des échanges silencieux. Il veut que je fasse attention à moi, il ne veut pas que je me perde comme il m'est si souvent arrivé auparavant. De nous deux je suis l'orage et lui une douce brise d'été.

Je hoche la tête et Ethan retire son bras qui entravait mon torse. Enfin libre de casser la gueule à cette petite merde qui ose en plus s'en prendre à un de me pote.  

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