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Chapitre 14 : Les histoires d'amour finissent mal en général - Eurynome

Lucifer avait donné une mission à Eurynome. Elle lui avait précisé que d'autres suivraient – elle se croyait sans doute dans un film d'espionnage –, mais la première d'entre elles était donc de s'intéresser au lien possible entre Satan et les Anges. Baalberith s'était réclamé du Satanisme, alors l'addition n'était pas dure à faire...

Dans un premier temps, Eurynome avait pensé s'en charger lui-même. Une petite visite au Tartare ne pouvait pas faire de mal. Au pire, une petite insolation. Mais le Juge de l'Enfer avait vite abandonné l'idée pour une autre bien meilleure. Il allait utiliser Pan. Alors certes, d'aucun aurait dit que se servir de son meilleur ami n'était pas très gentil, mais bon, le Prince des Incubes s'en remettrait. Peut-être.

En réalité, Eurynome savait qu'il en entendrait parler pour les trois prochains millénaires. Toutefois, c'était une question de sécurité nationale, alors il pouvait bien supporter quelques cris et 'ouin ouin'. En plus, il avait une réserve de pots de glace dans son congélateur en cas de soirée thème 'auto-apitoiement'.

Eurynome avait déjà prévu un plan pour amener Pan à lui rendre ce menu service. Il l'avait invité à boire des verres le soir-même dans un bar branché du centre-ville de Lux. Il avait réservé un petit coin de l'établissement pour être tranquille. Sur la façade, on trouvait des lettres néon violacées à l'écriture graphique qui annonçaient : La Cerise du Diable. C'était le bar le plus vieux de l'Enfer mais il se renouvelait suffisamment régulièrement pour ne pas perdre sa réputation.

Aujourd'hui, le thème était visiblement aux sculptures de glace. Eurynome ne l'avait pas fait exprès – il n'était pas au courant de ces choses-là –, mais c'était agréable de voir cette reconstitution du Palais Impérial. La personne qui avait fait ça avait beaucoup de talent. Il se dirigea vers l'entrée de l'établissement. Une Démone l'accueillit avec un grand sourire. Une membre du cheptel de Lilith, à n'en pas douter.

« Seigneur Eurynome, votre réservation est prête. Voulez-vous attendre quelqu'un ou bien souhaitez-vous que je vous conduise dès maintenant à votre carré ?

- Eh bien... commença-t-il tout en dégainant son téléphone.

- Salut la compagnie ! lança quelqu'un dans le dos d'Eurynome. »

Ce dernier ne se retourna même pas lorsqu'un bras fut balancé négligemment autour de ses épaules. Il avait reconnu la voix. Par contre, la longue tignasse blonde qui lui chatouillait la joue. Ça, c'était nouveau. Il fronça les sourcils : qu'est-ce que c'était encore que cette fantaisie ?

« Des cheveux longs et un chiton ? ça fait un bail qu'on a quitté le style Grèce Antique pourtant...

- Fais attention, je vois venir ta jalousie, rit Pan avant de continuer à l'intention de la Démone. Pas besoin d'attendre plus longtemps : ce vieux rabat-joie est avec moi !

- Qui traites-tu de vieux ?

- T'as combien de plus que moi, au juste ? »

Eurynome secoua la tête avec amusement. Le sourire de triomphe que Pan lança ensuite à l'employée était si charmant qu'Eurynome ne put que lever les yeux au ciel. Le Prince des Incubes ne pouvait vraiment pas s'en empêcher.

« C'est plus fort que toi, hein ? ricana Eurynome en slalomant entre les tables.

- Je ne vois pas de quoi tu parles... »

Le Juge de l'Enfer s'assit sur un canapé particulièrement confortable et attrapa une des cartes sur la table basse. Après leur avoir précisé qu'ils avaient juste à utiliser la tablette à disposition s'ils souhaitaient commander quelque chose, elle s'éclipsa avec une petite courbette. Pan s'installa confortablement avant de déclarer :

« Je suis surpris que tu m'aies appelé. J'aurais pensé que tu passerais la nuit avec l'Impératrice...

- Comment sais-tu qu'elle est rentrée ?

- Tu sous-estimes ma capacité à dénicher des ragots.

- Pardonne-moi de ne pas avoir pensé à rendre grâce à tes talents... Enfin, pour répondre à ta question, non, je n'ai pas l'intention d'aller voir Lucifer ce soir.

- Il y a de l'eau dans le gaz ?

- Non.

- Alors pourquoi... oh, laisse-moi deviner. Tu as quelque chose à me demander ?

- Tu dis ça comme si je faisais tout le temps ça ! protesta Eurynome d'un ton faussement indigné.

- Bien sûr que non... mais je sais très bien que, en général, si tu dois choisir entre l'Impératrice et moi, je suis le perdant dans l'histoire. »

Eurynome soupira avec défaitisme. Il regarda la carte du bar avant de demander :

« Tu veux prendre quoi ?

- Un mojito, s'il-te-plaît.

- C'est noté. »

Le Juge de l'Enfer en commanda donc deux. Mais Pan ne perdit pas de temps et lança :

« Dis-moi, qu'est-ce que tu veux ? »

Eurynome prit une grande inspiration avant de lâcher la bombe :

« Je voudrais que tu ailles voir Satan. »

Pan blêmit sur l'instant.

« Non, répondit-il d'emblée.

- Ecoute, Pan...

- Ah non ! Ah non, non, non ! Je refuse ! s'écria-t-il. Non mais sérieusement, tu te fous de ma gueule là ?! »

Ce fut ce moment qu'un serveur choisit pour amener leurs verres. Il dut sentir qu'il n'était pas arrivé au bon instant parce qu'il fuit bien vite. De son côté, Pan semblait sur le point de renverser la table de frustration et d'irritation.

Eurynome n'était bien évidemment pas surpris. Il s'attendait à ça. Pour autant, il n'allait pas abandonner l'affaire. Certainement pas.

« Je comprends, Pan, crois-moi. Mais c'est vraiment important...

- Important ? Important ? C'est toi qui me dis ça ? Pendant combien de temps tu m'as dit de passer à autre chose ? De l'oublier ? Tu sais aussi bien que moi à quel point ça a été dur et tu veux je le revois ?! »

Deux milles ans plus tôt, Satan avait donc fait sa tentative de coup d'état. A l'époque, Pan était éperdument amoureux de lui et il avait continué pendant encore un millénaire et demi – enfin, c'était lui qui affirmait qu'il était passé à autre chose.

Lorsque Satan avait été arrêté, Pan avait été immédiatement soupçonné de complicité. En l'occurrence et contre toutes les apparences (et l'acharnement de Baal), il avait été jugé innocent. C'était encore aujourd'hui un mystère, la manière dont Satan avait réussi à cacher la situation à son amant. Mais il y était parvenu. Peut-être parce qu'il savait que Pan ne l'aurait pas suivi.

La trahison avait brisé le cœur de Pan. Et qui avait dû ramasser les morceaux ? Eurynome évidemment. Et la cruauté de Satan, qui avait annoncé de but en blanc qu'il l'avait juste utilisé depuis tout ce temps, n'avait pas aidé.

Pourtant, Pan s'était quand même jeté aux pieds de Lucifer pour sauver la vie de Satan. Il avait réussi à obtenir une grâce (avec l'aide d'Eurynome) mais Satan avait quand même pris un malin plaisir à tourmenter son ex ç chaque que celui-ci parvenait à lui rendre visite au Tartare.

C'était Eurynome qui avait finalement dit stop à ce cinéma et avait fait ressortir la tête de l'eau à Pan. Ce dernier avait résisté un peu beaucoup, mais Eurynome était quelqu'un de motivé et persévérant.

Tout le monde n'avait pas les moyens de forcer le Prince des Incubes à faire quoi que ce soit. Mais pas Eurynome. Lucifer avait détourné le regard sur toute cette histoire et au final, il avait réussi à sortir Pan de son trou – même s'il avait quand même perdu un peu de son mordant. Mais Eurynome préférait ça à une carpette.

Et là, il allait possiblement tout mettre par terre. Est-ce qu'il ressentait des remords ? Un peu, peut-être. Mais c'était un sacrifice qu'il était prêt à faire. Être le meilleur ami du Juge de l'Enfer pouvait être un peu compliqué, sachant que ce dernier était à sacrifier n'importe qui pour l'Empire.

« Pan... tu sais très bien que si j'avais une option différente, je la choisirais sans hésiter. C'est pour le bien de l'Enfer. Je sais que c'est difficile, mais...

- Comment tu peux me faire ça ? l'interrompit son interlocuteur qui ne l'écoutait déjà plus. Comment– okay, laisse tomber. Ça me gave. Je me casse. »

Eurynome le laissa partir. Il n'essaya pas de le retenir. Il se doutait que ça finirait comme ça. Mais ce n'était que le premier round. Il visait de gagner la guerre et non une bataille, après tout. Il soupira et prit une gorgée de son mojito. Pan n'avait pas bu le sien. Quel gâchis.

« Et dire qu'il prétend que son problème avec Satan est réglé. Tu parles. J'ai juste enlevé le pansement sur un putain de cancer... se parla-t-il à lui-même. »

Il sortir son portable et hésita pendant un instant à faire apparaître un paquet de cigarettes – mais il avait arrêté depuis un moment, pas la peine de retomber.

De : Moi

A : Lulu

Comme on s'y attendait, il l'a mal pris.

De : Lulu

A : Moi

S'il continue, je ne vais plus lui laisser le choix

De : Moi

A : Lulu

Laisse moi encore du temps. On savait bien que ça passerait mal. Je vais m'en occuper.

De : Lulu

A : Moi

Okay. Je te fais confiance sur ce coup

Pour le moment.

Enfin, il allait quand même falloir être un peu plus subtile que ça. Mais tout était prévu, il n'y avait rien à craindre. Ils auraient leurs informations rapidement. Après tout, Pan était le seul à faire ça. Jamais Eurynome n'en aurait pas été capable : Satan et lui ne s'entendaient pas très bien. Peut-être parce que leur caractère était trop semblable.

Pan parti, Eurynome n'avait plus rien à faire. Il pouvait donc rentrer chez lui. Demain serait le dernier jour avant le procès et il avait encore beaucoup de boulot : il devait prendre un peu d'avance pour ne pas prendre de retard. Ce n'était pas non plus la peine d'aller quémander auprès de Lucifer une place dans son lit : elle devait être à son appartement et vu le temps que Monsieur Moustache y pensait, il aurait une allergie en y mettant uniquement le bout de son nez. Ce chat était une véritable calamité.

N'ayant pas envie de rester tout seul au bar – parce qu'il ne voulait pas inciter les ragots à le peindre soit comme un dépressif, soit comme un alcoolique –, Eurynome s'apprêtait à payer la note sur la tablette (même celle de Pan) lorsqu'il fut interrompu par une nouvelle arrivée.

« Où est Pan ? Ils nous ont dit qu'il était avec toi, à l'accueil. »

Rencontrer Alastair dans un tel établissement était commun. Léonard ? Pas non plus choquant. Mais Astaroth ? Alors là, ça devait être une première sans son bras-droit disparu.

Il était amusant de voir comment la personnalité pouvait rendre des jumeaux si différents même physiquement. C'était pourtant le cas d'Astaroth et d'Alastair. Ils étaient des Anges à la base et avaient été créés à partir du même fragment de Son pouvoir. Voilà pourquoi ils étaient bien plus liés entre eux qu'avec les autres. Mais là où Astaroth était particulièrement calme et réservé, Alastair était l'exact opposé. Si Eurynome avait dû le décrire, il aurait dit qu'il était une version beauf et plus stupide de Baal. Sa fonction d'Exécuteur Impérial lui convenait parfaitement. Il avait une sacré soif de sang aussi, il fallait dire.

« Il est parti. Une urgence, répondit-il sans approfondir puisqu'ils n'avaient pas besoin de savoir les déboires du Prince des Incubes.

- Eh bah tant pis... ça en fera plus pour nous ! rit Alastair en prenant le verre de Pan encore rempli qui restait sur la table. »

Il s'écroula sans aucune gêne et mit les pieds sur la table. Typique. Eurynome avait d'ores et déjà compris avec qui il passerait le reste de la soirée. Le Juge de l'Enfer reprit sa place en demandant :

« Mais qu'est-ce que vous faites là au juste ?

- Je voulais remonter le moral de mon frangin. Regarde-le. Il fait encore plus le croque-mort que d'habitude. »

A ces mots, Astaroth leva les yeux au ciel mais Alastair l'ignora et continua :

« Et on est tombé sur Léonard alors je lui ai proposé de venir !

- Tu n'était pas censé rentrer demain ? fit Eurynome en se retournant vers l'intéressé. »

Léonard avec retiré son habituel postiche de longue barbe blanche que sa perruque du même ton. Il avait une véritable obsession du déguisement – notamment de Père Noël –, Eurynome soupçonnait que ce soit autant par jeu que pour gagner un peu d'anonymat. C'était peine perdue selon Eurynome et il n'en voyait pas l'intérêt, mais bon. Dans tous les cas, il avait retiré tous les artifices aujourd'hui et ce n'était pas plus mal. Et puis, de toute façon, Alastair attirait suffisamment l'attention à lui tout seul.

« C'est parce que j'ai entendu que l'Impératrice était rentrée en avances. Donc je ne voulais pas manquer la fête, tu imagines bien.

- Le fait que tout le monde soit déjà au courant, ça me tue.

- Tu es naïf si tu penses pouvoir garder un secret pareil ici...

- Oui, je sais, on me l'a déjà dit. Mais quand même. Enfin, quoi de neuf sinon chez toi ?

- Pas grand-chose. Je m'occupe de former mes nouveaux lutins.

- Passionnant ! se moqua Alastair. Mais on n'est pas là pour parler de tes conneries, Léo. Notre but c'est de trouver un bon coup à mon fréro !

- Pardon ? s'étonna Eurynome. Ce n'était pas juste pour lui remonter le moral ?

- Ne l'écoute pas, il ne dit que des absurdités, grinça Astaroth en recevant son verre de vodka. Si je l'ai laissé m'amener ici, c'était uniquement dans l'espoir qu'il se taise.

- Tu étais optimiste, sur ce coup.

- Je sais...

- Mais non, mais il faut bien qu'il passe à autre chose. Soit elle s'est barrée, soit elle a canné la Erise.

- Elle n'est pas morte, jura presque Astaroth. Mauvaise herbe croît toujours.

- Bah alors elle s'est cassée et t'a laissé en plan. C'est pas plus glorieux. Et toi, tu lui cours après comme un con.

- Merci pour ton avis, Alastair, cependant, je ne me souviens pas t'avoir jamais demandé ton avis.

- Parce que tu sais très bien que ce que je vais te dire va pas te plaire. La vérité blesse, c'est bien connu.

- Et puis tu connais la rengaine, intervint Léonard. Une de perdue, dix de retrouvées.

- Oui, alors, vu que tes gamins ont fait un gosse ensemble, je pense que les conseils de n'importe qui valent plus que les tiens, lança Eurynome d'un ton sarcastique.

- Mais ça n'a rien à voir ! protesta le concerné. Ce n'est pas de ma faute !

- Le fait que tu n'aies pas tenté de les en empêcher en dit beaucoup sur ton caractère, trancha Astaroth.

- On est des Démons, pas des enfants de chœur ! C'est quoi ce sursaut de moralité ? En plus, regardez-le, à essayer de détourner la conversation vers moi ! »

Les Démons étaient stériles. A l'inverse des Anges (maintenant déchus) qui arrivaient au moins à se reproduire avec les Humains – à défaut de pouvoir le faire entre eux –, les Démons devaient se contenter des joies du sexe récréatif – et corrupteur dixit le Paradis. Toutefois, il y avait eu deux exceptions à ça : les enfants que Léonard avait eu avec deux humaines différentes à quelques deux milles ans d'écart.

Bien sûr, c'était à coup d'expériences plus ou moins louches et Lucifer avait fini par lui interdire de recommencer quand sa petite dernière avait fait de la nécromancie en public « par accident ». Cependant, c'était bien la romance entre les deux qui avaient fini d'achever les membres du Grand Conseil par peur d'un hasard génétique – même s'ils en riaient bien volontiers aujourd'hui puisque l'enfant était tout ce qu'il y avait de plus niais et humain.

« De toute façon, je n'ai jamais compris ce que tu pouvais lui trouver à Erise, continua-t-il. Vous êtes le jour et la nuit. Il lui manque clairement une case et elle est d'une avidité sans nom.

- Ça la rend extrêmement compétente dans son domaine.

- Mais puisqu'elle n'a pas disparu avec une livraison d'âmes, l'Impératrice ne verra aucun intérêt à se mobiliser pour qu'on la retrouve, observa Eurynome d'un ton pragmatique. En plus, elle était humaine avant alors ça n'aide pas non plus. Imagine la réaction de Baal si on utilisait du budget pour une ancienne mortelle sans réelle bonne raison.

- Même si elle est en possession d'informations sensibles ? Si c'était les Anges ?

- Elle serait déjà morte. Et tu sous-entends qu'elle pourrait nous trahir ? Parce que si c'est le cas, je n'aurais aucun mal à convaincre l'Impératrice de poursuivre les recherches. Par contre, je ne te promets pas de l'était dans laquelle tu la récupéreras. »

Cela ne fit absolument pas rire Astaroth qui se contenta de la fixer d'un air impassible. Il savait très bien qu'Eurynome disait la vérité et que c'était mieux ainsi, qu'il serait plus efficace dans sa quête tout seul. Le Juge de l'Enfer le classait en ce moment dans la même catégorie d'imbéciles que Pan. Même si lui-même n'était pas exempte de fautes dans le domaine. C'est peut-être pour ça qu'il tapota l'épaule d'Astaroth avant de déclarer :

« Ne t'inquiète donc pas... Tu la connais. Elle réapparaîtra quand elle le voudra. C'est Erise après tout. »

Astaroth ferma les yeux avant de les ouvrir de nouveau. Il se leva d'un pas raide. Il regarda un à un ses compères avec des yeux impassibles avant de déclarer :

« Peu m'importe que vous ne me croyiez pas. Ça n'a aucune importance. Si vous, vous êtes capables d'abandonner les personnes que vous aimez, c'est votre problème. Je ne suis pas tombé du Paradis pour subir la même chose ici. Maintenant, excusez-moi, rester une minute de plus ici ne présente aucun intérêt pour moi. »


Publié le 08/09/2020.

Contemplez donc ce magnifique dessin fait par Hephaestine, encore une fois. 

Le blond, c'est Pan et celui avec les lunettes c'est Satan. Pour la petite histoire intra-diégétique, Eurynome a trouvé ce fanart en lisant de la fanfiction sur l'Enfernet (le fandom infernal est très actif). Il a beaucoup ri et l'a évidemment montré à Pan qui a pleuré, puis qui l'a imprimé en forme de marque-page (il avait dû rogner une bonne partie du dessin). Et en ce qui concerne la destiné du Démon qui avait eu la bonne idée de créer ça, ce sera pour une autre fois !

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