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Partie Unique

« Je retrouve une tête inclinée sous une chevelure nocturne, des yeux que l'allongement des paupières faisait paraître obliques, un jeune visage large et comme couché »



La véritable beauté est celle du coeur et de l'âme. Une pomme pourra être aussi rouge que le sang et aussi ronde que le soleil, si à l'intérieur sa chair est gâtée personne ne voudra la manger. Peut être la toucher, mais jamais la savourer, la déguster et l'apprécier à sa juste valeur. Aussi exquise créature que puissent être les hommes, peu d'entre eux le sont tout autant intérieurement. Luhan était beau. Il était magnifique même. Une peau douce et laiteuse et un sourire d'ange éclatant. Des traits fins et gracieux et des yeux noirs qui brillaient comme le ciel étoilé. Il était semblable à une divinité descendue du ciel. Et si à l'extérieur la peau était rouge vive et la forme bien ronde, l'intérieur était encore plus exquis. Il avait hérité des plus belles qualités que l'homme puisse recevoir et ses défauts étaient comptés sur les doigts d'une main. Il était un jeune homme doux et souriant, serviable et attentionné. Il aidait son prochain et le sourire des autres faisait son bonheur. Il était un ange tombé du ciel mais heureux de vivre dans le commun des mortels. Il était parfait. Sa seule imperfection fut d'être né d'une mère d'esclave et d'un père inconnu. La seule raison pour laquelle il était insulté et maltraité par ses « maîtres ». Mais malgré tout, Luhan souriait et était heureux d vivre. Quoi de plus beau que de vivre à fond l'opportunité que le ciel nous a donné ? Sehun aussi était beau. Une beauté plus viril et intimidante. Une mâchoire saillante et de grands sourcils foncés. Et une musculature finement dessinée. Une bouche plus fine et des yeux rieurs. Intérieurement, la perfection était moins forte. Il avait certes de nombreuses qualités mais les défauts qui allaient avec. Il était néanmoins très bon et surtout respecté. Car Sehun était l'empereur. Pouvoir dont il avait hérité à la mort de son oncle qui l'avait adopté n'ayant de fils héritier. À 17 ans, à peine il fut proclamé empereur et très vite le peuple l'avait apprécié. Il était bon et droit et entreprenait de grandes choses pour l'empire. Sehun aimait beaucoup voyager. Ainsi, il parcourut l'empire, passant dans ses moindres recoins. C'est comme cela qu'il rencontra Luhan. Il venait alors d'avoir 18 ans tandis que l'esclave en avait 25. Sehun était tout de suite tombé sous le charme du beau visage de Luhan sans doute à cause de sa préférence pour les hommes. La première fois que son regard croisa le sien, il crut sentir le sol se dérober sous ses pieds et une pluie d'étoile s'abattre sur sa tête tellement il fut frappé par la perfection du plus petit malgré les quelques blessures et plaies recouvrant sa peau de porcelaine. Il était tout de suite tombé pour ses beaux yeux foncés et son doux visage angélique. Tout de suite touché par cette sensibilité et cette candeur, pris de compassion pour ce petit être fragile, il pris la décision de le prendre sous son aile même si ce dernier était plus vieux que lui.


« Il était peu lettré, ignorant de presque tout, réfléchi, crédule »


Luhan constatait bien les regards de son maître sur lui, ils étaient insistants et rendaient le plus petit mal à l'aise. Il ne doutait pas de l'attirance que ressentait le plus jeune envers lui. Ses yeux brûlants de désir le transcendaient et parcouraient les moindres parcelles de son corps en espérant être remplacés par ses mains. Ces dernières aimaient taquiner les hanches ou le bas du dos du jeune esclave, le faisant frissonner savoureusement. Sehun le convoitait avec avidité et n'attendait patiemment qu'une chose: qu'il cède à ses avances implicites. Luhan, lui, ne comprenait pas tous ces regards et ces frôlements, il vivait juste innocemment, même si au fond de lui le grand brun ne le laissait pas indifférent. Lui aussi était irrémédiablement attiré par ce dernier, il avait constamment besoin d'être près de lui, de lui parler, de toujours lui demander s'il avait besoin de quelque chose et il ne supportait pas de voir cette femme à ses côtés, celle que le plus jeune avait épousé. Au fond de lui, il savait qu'il le désirait et qu'il était désiré mais sa position et cette femme l'empêchait d'oser le moindre pas. Alors il attendait. Il attendait que le plus grand s'occupe de tout, tel était selon lui son rôle.


« L'illumination de l'aurore fut peu de chose à côté du sourire qui se leva sur ce visage bouleversé »


La première fois qu'il goûta à ses lèvres, une explosion de saveur l'assaillit. Ses lèvres, tout aussi douce que sa peau se mouvaient à la perfection contre les siennes et son corps se combinait pleinement avec le sien. Ses mains si avides de cette peau immaculée qu'aucun autre n'avait touché dans ces intentions, la parcouraient et la découvraient. La sensation que lui procurait les frissons du plus petit l'exaltait et le couinement qui s'échappa d'entre les lèvres rougies de ce dernier quand il passa sa langue sur ses lèvres le fit grogner. Et quand à bout de souffle, les deux durent se séparer et que le plus petit rougit adorablement de gêne, un sourire en coin apparut au coin de ses lèvres. Il aimait cette aura de soumission émanant du petit brun, il aimait se sentir supérieur mais jamais il n'aurait osé le montrer par des gestes violents. Il aimait trop son petit esclave pour lui faire du mal. Il le regardait de ses yeux brillants d'amour et brûlants de désir, il n'avait jamais éprouvé de telles sensations à l'encontre de quelqu'un. Jamais un homme ne l'avait fait se sentir aussi léger mais en même temps aussi plein. Il l'aimait comme il n'avait jamais aimé, il le désirait comme il n'avait jamais désiré et plus que tout il était heureux comme il ne l'avait jamais été. Son petit esclave le comblait parfaitement. Ils ne s'échangèrent pas un mot concernant leurs sentiments, les gestes et les regards suffisaient amplement. Ils restèrent simplement là, les mains liées, à se fixer intensément sans jamais briser le doux silence qui s'était imposé à eux. Luhan n'osait y croire, il n'était qu'un simple esclave dont la nature avait accordée une beauté sans nom. Il se questionnait encore sur l'authenticité des sentiments du plus grand, s'ils n'étaient en réalité nourris que par l'apparence enjôleuse du plus vieux. Il était définitivement assaillis de milliers de questions fâcheuses dont il aurait du mal à se débarrasser. Il avait bien sur confiance en son bel empereur, là n'était pas la question mais il redoutait tout de même que ce dernier ne se lasse de sa personne quand les grains du sabliers seront bien écoulés. Le temps n'épargne personne, pas même les créatures les plus sublimes. Le futur ne nous épargne pas les cicatrices de l'âge mur et la perdition de notre jeunesse éclatante. Luhan savait pertinemment qu'il y passerait comme tant de monde avant lui. Il savait tout aussi bien que le jour où son visage perdrait de sa tonicité, où son corps perdrait de sa rigueur et où tout son être fanerait, il se retrouverait seul, remplacé par un autre dont la beauté aura séduit son grand brun qu'il aimait tant. Son angoisse n'en était que plus forte en songeant à cette dure réalité mais ses pensées furent interrompues par les lèvres douces et bonnes de son nouvel amant....


 « Un être épouvanté de déchoir, c'est-à-dire de vieillir, avait dû se promettre depuis longtemps de mourir au premier signe de déclin, ou bien bien avant »


Le temps passe vite. Les heures nous paraissent des secondes, les mois des jours. Les enfants grandissent et les adultes vieillissent. Ainsi va le cours de la vie, les années défilent aussi vite et à peine a-t-on le temps de voir les hivers passer que les printemps font déjà mûrir les premiers bourgeons. Ainsi, deux années passèrent aussi rapidement q'un printemps et Sehun, à l'aube de ses 20 ans était toujours autant épris de son amant qu'il avait fini par affranchir. Durant ces années, tous deux voyagèrent à travers le monde, loin de la femme de l'empereur, vivant tranquillement et passionnément leur idylle. Malgré tout, le temps passant, l'affranchi approchait dangereusement la trentaine et sa crainte de vieillir n'avait pu que s'amplifier. Il ne voulait cela et voir sa beauté faner progressivement mais si promptement. Ce dont il avait le plus peur était de voir un jour le regard compatissant et le sourire crispé de l'homme qu'il aimait quand il le regarderait. Il ne voulait pas que Sehun ait pitié de lui et de sa vieillesse, qu'il ne l'aime plus car sa beauté aurait disparue. Sehun avait bien senti le tracas de son amoureux, il était moins joyeux et supportait de moins en moins se dévoiler devant lui. Quelques fois, alors qu'il faisait croire qu'il dormait, il l'entendait versait des larmes et sentait son petit corps pris de soubresauts, convulser contre son flanc. Chaque nuit, son coeur se serrait quand après que Luhan se soit endormi, il se tournait vers ce dernier et voyait ses yeux rougis et encore humides, des sillons salés traversant ses jolies joues rebondies. Et cette situation allait en s'empirant jusqu'à ce que Luhan refuse le toucher de son amant et renie ses avances. Pensant être le problème, Sehun se vexa et murmura:

-Je vois bien que je ne te plais plus autant et que ton amour pour s'éteint...

L'affranchi avait de suite levé la tête vers son amant, sa bouche formant un parfait O. À son tour, il murmura:

-Non... Ce n'est pas ça...

Sehun, énervé, s'emporta et prenant le plus petit par les épaules, il le secoua et cria:

C'est quoi alors ?! Dis-moi pourquoi tu n'acceptes plus mes mains sur ta peau et mes lèvres sur les tiennes, pourquoi ?!Tu as un amant c'est ça ? Tu me trompes ?!

Il serrait fortement les épaules du plus petit le faisant trembler de peur et faisant couler à flot ses larmes. Ce dernier bredouilla tant bien que mal:

-Se-Sehun... Tu me fais mal... Lâ-lâche moi... S'il te plaît...

La pression sur ses os se fit moins forte et il regarda le plus grand dans les yeux. Ces derniers laissaient transparaître un tas d'émotions: la colère, la tristesse, la culpabilité, l'incompréhension. Il le regarda, ses yeux brouillés par les larmes:

-Ne doute jamais de mon amour pour toi et de ma fidélité. Jamais je ne pourrais te remplacer...

Sehun soupira de soulagement. Il le lâcha enfin et le petit respira enfin. Il murmura ensuite si bas que le plus jeune peina à entendre:

-C'est toi qui va me remplacer...

Ses paroles n'étaient surement destinées qu'à lui-même mais Sehun en comprit les moindres syllabes et ses yeux s'écarquillèrent face à la surprise qui l'envahit. Il s'empressa de contredire les mots de son amant:

-Mais comment peux-tu dire une chose pareille, Luhan ? Tu doutes de mes sentiments ? Tu doutes de mon amour à ton égard ? Mais je t'aime bon sang !

-Quand les prémices du temps ravageront tout ce que tu trouves beau en moi tu ne diras plus la même chose...

Sehun se tut. Alors voilà ce qui tracassait le jeune homme depuis quelques temps. Voilà ce qui était la cause de son éloignement. Il avait peur. Peur de trop aimer sans être aimé en retour. Peur d'être abandonné. Alors il s'éloignait pour tenter de moins souffrir sans savoir qu'il faisait plus de mal encore à l'être aimé. Les muscles du grand bras s'étaient tendus et sa mâchoire s'était crispée, il s'en était voulu de ne pas avoir vu plutôt le malêtre du jeune homme qu'il aimait intensément. Il avait caressé la joue humide de l'affranchi puis avait posé son front contre le sien, son regard pénétrant le sien puis il lui avait susurré:

-Jamais rien ne me fera t'aimer moins. Tu es mon soleil, mon tout, une partie de mon être et sans toi je ne suis rien. J'aurai beau te dire avec tous les mots du monde, te le montrer avec tous les gestes possibles ou t'offrir les plus belles merveilles du monde, jamais rien de tout cela ne pourra te faire voir à quel point je t'aime. Alors ne doute pas de mes sentiments pour toi Luhan, ils sont sincères et je t'aime plus que ma propre vie.

Les larmes des deux protagonistes coulaient à flot sur leur joues et leurs lèvres se retrouvèrent bien vite jointes comme si elles ne pouvaient rester séparées plus longtemps, comme deux aimants qui s'attirent irrémédiablement pour ne plus jamais se séparer. Les deux faisaient passer à travers leur baiser le trop plein d'émotions qui les submergeait. Pour l'un se fut l'amour, pour l'autre au contraire ce fut la peur. Cette peur qui lui tordait l'estomac et lui broyait les os. Il embrassait fougueusement et surtout désespérément son vis-à-vis dans l'espoir d'oublier quelques instants ses sombres tracas. Cette nuit-là, ils s'unirent à nouveau comme ils ne l'avaient jamais fait, avec autant de tendresse que de force et avec tous leurs sentiments combinés. Ils se perdirent ensemble dans les limbes du plaisir ne se souciant plus de ce qui les entourait, ne se doutant pas plus du pire qui arrivait.


« Il avait dû se croire bien peu aimé pour ne pas sentir que le pire des maux serait de l'avoir perdu »


Luhan n'avait pas connu son père et avait très tôt était arraché à sa mère. Sa vie s'était construite autour de la méfiance et très rares étaient ceux qui gagnaient sa confiance. Malgré son apparence douce et sa nature si bonne, il était tout de même assez têtu. Et quand il avait une idée en tête, il était très difficile voir impossible de la lui enlever. Le manque d'une figure paternelle et l'absence d'une mère ne lui permis pas d'avoir confiance en lui et nombreux étaient les défauts qu'il se trouvait. Et le pire selon lui était son âge. Cette obsession grandissante l'angoissait au point qu'il ne voulut plus croiser le moindre miroir et que dès qu'il avait à se baigner, il évitait de regarder son reflet dans l'eau. Luhan était pourtant encore très beau et ce n'était surement pas ses 28 ans qui l'enlaidissaient. Sa peau était toujours aussi douce et blanche et son visage aussi fin et parfait. Mais il se trouvait tout de même horrible et était certain de ne pas mériter l'amour de son empereur. Pire encore, il était d'autant plus persuadé que ce dernier allait l'abandonner et le remplacer, sa soit-disant laideur ne tardant pas à le répugner. Son coeur le brûlait douloureusement dès qu'il croisait son regard et il croyait y déceler à chaque fois la pitié et la compassion alors qu'ils brûlaient en réalité d'un amour incommensurable. Et il avait l'impression que dès que le plus jeune posait le regard sur lui, son seul but était de dénigrer un corps frêle et fade alors qu'il le désirait purement et simplement. Le goût de la vie l'avait quitté peu à peu, entêté par cette fausse idée qui rongeait tout son être. Il ne prenait plus goût à partager du temps avec celui qu'il aimait, il ne prenait plus goût à rien. Il s'en voulait de vivre et de gâcher la vie du grand brun.

Le fleuve Han était l'endroit préféré de Sehun. Il aimait se promener le long des rives de ce dernier à cheval et s'asseoir plusieurs heures durant à observer les remous incessants de l'eau en perpétuel mouvement. Cet endroit était pour lui apaisant et il l'appréciait plus encore en compagnie de l'homme qu'il aimait. Les temps étaient difficiles pour eux. Sehun était contraint de s'éloigner de son petit affranchi pour régler des affaires d'État ennuyantes dont il se serait bien passé. Il avait remarqué que Luhan souffrait et il était persuadé que cela était dû à son absence. Il avait donc décidé de faire une surprise à son amant, lui donnant rendez-vous au crépuscule, près de la rivière. Tout avait été préparé avec soin et il se promit de faire de cette soirée la plus inoubliable que l'affranchi ait connu. Il avait préparé son cheval et soigné son apparence, un fin sourire satisfait ornait ses lèvres, il était fin prêt à retrouver son amant. Le chemin lui parut durer des heures tellement il était pressé et quand enfin il fut arriver, la surprise le cueillit quand il ne vit pas Luhan. Il eut beau le chercher partout, il ne le trouva pas. Il eut beau attendre des heures, il ne vint pas à lui. Il était tout bonnement introuvable. Sehun avait passé la nuit à attendre son amour, il était triste et déçu que ce dernier ne soit pas venu, une pensée l'assaillit: Luhan ne l'aimait plus et était peut être parti. Après tout, il en avait tout à fait le droit. Ayant été affranchi, il était libre de ses moindres faits et gestes.

Le soleil se levait lentement sur la rivière Han, envoyant ses rayons mielleux taper sur la surface de l'eau. Sehun sourit en observant cette douce lumière que l'eau reflétait. Il se souvint de ces aubes passées avec son petit affranchi dans les bras, au bord du fleuve. Ils étaient tellement heureux... Soudain, alors que son regard se perdait sur l'étendue du fleuve, son sourire s'effaça instinctivement alors que se dessinait à la surface, la forme fine et gracieuse d'un corps flottant, illuminé par les funestes rayons du soleil. Et de ses yeux, les larmes ont commencé à couler alors qu'il se jetait à l'eau afin de récupérer la forme immobile ondoyer sur le fleuve. Il ne pensait qu'à une seule personne, Luhan. Il sentait deux choses se briser: son coeur et l'amour qu'il contenait. L'Amour, le plus sage des dieux... Mais l'amour n'était pas responsable de cette négligence, de ces duretés, de cette indifférence mêlée à la passion comme le sable à l'or charrié par un fleuve, de ce grossier aveuglement d'homme trop heureux. Un être insulté lui jetait à la face cette preuve de dévouement; un jeune homme inquiet de tout perdre avait trouvé ce moyen de l'attacher à jamais à lui. Un jeune homme qui avait tenu à garder le secret de son jeu et celui de sa fin tragique. Et le corps sans vie entre ses bras souriait de soulagement comme libéré d'un poids trop difficile à supporter. Et son cri de désespoir résonna jusque dans les cieux, jusque dans l'Au-Delà où son ange reposait paisiblement. Et sa vie ne rima plus à rien dès l'instant où il eut tenu ce corps sans vie entre ses bras tremblants. Luhan était mort de s'être senti trop peu aimé et trop peu utile dans ce monde sans même se douter qu'il avait laissé derrière lui un homme déchu dont le coeur avait été réduit en morceaux.




Et le cri de la nuit avant l'aube du jour,

Retentit à jamais dans son bel esprit sourd.

Puis les perles salées de ses yeux ont coulés 

Dessinant sur ses joues des sillons dévastés

Ses grands bras tremblant d'un immense désespoir,

Tenaient le corps sans vie de l'amant qui le soir,

Se sentant peu aimé a préféré mourir

En laissant derrière lui un homme déçu de vivre.





J'espère que vous avez aimé ! Le poème de fin est entièrement rédigé par moi même c: Cet OS est inspiré d'une légende si je puis dire, celle de l'empereur Hadrien et de son amant Antinoüs, si vous ne connaissez pas je vous invite à faire des recherches sur notre merveilleux ami google ! Les phrases en gras entre guillemets sont tirées de ce qu'Hadrien lui-même a écrit sur son petit esclave c: N'hésitez pas à laisser un vote si vous avez aimé et un petit commentaire pour me dire ce que vous en pensez ! Bisous ❤️

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