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Aomine Daiki x reader : deux personnes s'embrassant (KNB)

Hé hé vos réactions sur l'OS d'hier étaient assez drôles, 

Je voulais juste faire une reader assez décalée car je trouve que Hawks ne pourrait pas aimer quelqu'un dans les normes ou qui est assez classique. 

Et je pense que son attachement pour Endeavor malgré son caractère et sa réputation prouve bien ça dans l'anime...

Sinon oui retour du bleu avec un OS....que j'apprécie beaucoup.

En espérant que ça vous plaira ^^

Bonne lecture !

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Comme si elles avaient été crées pour ça avec ce léger creux qui ne demandait qu'à être comblé, comme si elles l'avaient appelées toute la soirée, il posa ses doux mots qu'il lui avait dit toute la journée sur ses lèvres et dans un baiser, leur amour se scella.

Il se recula rouge d'embarras et son homologue masculin sourit, heureux qu'il ne l'est pas repoussé malgré son sexe ou même son attirance.

Oui, ce n'était que deux personnes s'embrassant mais à cause de ces dernières qui bloquaient l'entrée du Maji, une certaine femme tomba sur un bleu qui embrassa le sol.

Ce fut encore une fois, une rencontre des plus bouleversantes.

Un sol usé de sa vie, rempli de microbes et de choses douteuses, un objet que dis-je un endroit qui ne demandait qu'à être aimé autrement qu'avec du soda renversé ou du ketchup envolé.

Et là ce bleu lui donnait cet amour si puissant, la c/c l'encouragea même en s'appuyant sur lui pour se relever tout en s'excusant et elle partit au loin.

Le sol profita mais le bleu avait son coeur ailleurs et décida de se relever et de poursuivre la c/c.

Peut-être pour l'embrasser ?

Hmm non, il l'engueula mais malheureusement pour lui le serveur ne lui permit point cela, il voulait savoir quand le menu et l'argent pourraient se rencontrer car il voulait un salaire et aussi éviter l'attente.

T/p paya alors et prit son plateau, le bleu la regarda.

Et alors que pendant ce temps les frites sautaient de joie à savoir qu'elles allaient enlacer des lèvres elles-aussi...

Il mangea ses frites.

Et s'installa devant elle.

Les blondes furent donc volées par ce seigneur bleu, promises à un autre que celle qu'elles aimaient.

Une bien triste histoire.

La c/c outrée tendit son pied et le cogna contre les bourses, mais malheureuse qu'elle fut, il portait un jogging.

Ce gros charmeur de jogging enlaça alors sa chaussure avec facilité vu les amants qu'il avait eu par milliers, et elle ne put toucher les fameuses bourses car elle était trop petite.

Aomine sourit narquoisement, elle soupira et lui demanda ce qu'il voulait.

Le bleu réfléchit.

Il voulait manger, boire et peut-être combler sa libido avec ce papier si soyeux nommé sopalin.

Mais une réconciliation pouvait attendre et il voulait lui aussi combler ce creux sur les lèvres de la c/c.

De quelles lèvres il parle....je ne saurais vous dire.

Il lui sortit donc une disquette qui mourut de chagrin en voyant qu'elle n'enlaçait même pas les joues de t/p avec un rougissement.

Un soupir apparut, elle se leva et lui laissa son plateau en se doutant de sa lourdeur mais elle ne savait pas qu'il n'en avait pas fini.

Il se leva donc et...le sol le rappela.

Il l'embrassa encore une fois par la faute de certains ciseaux qui se baladaient dans les airs à la recherche d'une peau à aimer jusqu'au sang.

La c/c se retourna pour voir l'ébat du sol et d'Aomine et rigola, elle lui dit alors que le karma était là et partit.

Mais le bleu se releva encore une fois et l'attrapa.

Et dans cette même entrée bouchée plus tôt par deux hommes s'aimant et s'embrassant....

Il se prit un vent.

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Elles étaient fripées, usées et sans doute des plus repoussantes. Pourtant son mari lui sourit et comme dans le temps, il passa son pouce sur elles.

Doucement il se pencha et l'embrassa dans ce parc où ils s'étaient rencontrés.

50 années d'amour entre eux, 50 années où ils s'embrassaient sans se lasser et où heureux ils étaient.

Mais dans ce cadre idyllique et paisible, une c/c hurlait bite.

Un bleuté lui répondait qu'il voulait bien l'utiliser pour la fourrer, et la main de la c/c épousa sa joue.

Est-ce que cela durera 50 ans ?

Non mais la douleur probablement.

Aomine se stoppa.

Il lui courait après depuis cette rencontre, ou plutôt depuis qu'il avait découvert qu'elle était dans sa classe et qu'il devait remonter ses notes et que la seule personne ayant une moyenne et l'aidant sans chantage serait-elle.

Mais malheureux il fut face à ses nombreux refus.

Cependant une amitié semblait les étreindre malgré qu'ils ne se supportaient pas, le vieux couple sourit d'ailleurs en voyant ça.

Oh oui, les taquineries pouvaient être plus que de la haine ou de l'humour.

Elles peuvent être là pour vous titiller et vous voler votre attention afin de la ravir et de peut-être vous faire sourire.

Bon certes cela n'excuse point celle de votre oncle avec sa fameuse "tire sur mon doigt" mais peut-être cherche-t-il à vous avouer qu'il aime justement se prendre des doigts.

Qui sait...il est peut-être un poète caché derrière son verre de rouge et ses chansons paillardes.

Mais revenons à ce baiser, ou plutôt la gifle que t/p a mise plus tôt.

Aomine ne se laissa pas faire et lui fit faire une visite à son amant si connu : le sol.

Oui c'est bien une balayette que se mangea t/p.

Mais avec une grâce inégalée.

Car personne n'imiterait un cochon en rut en train de dire bonjour à un mamouth en tombant.

Non, généralement notre gorge et notre voix s'unissent dans un "Aïe" voire un "Ouïlle" ou un "PUTAIN DE SA MÈRE"

Quoique, on n'insulte pas les mamans, donc juste "putain".

Cependant il l'aida à se relever en rigolant devant ce banc où il y avait deux personnes s'embrassant.

Mais il ne se prit pas un vent.

Non juste un "je tuerais ta bite dans la nuit pour avoir osé ça petit con de schtroumph".

Oui on pouvait clairement voir une évolution.

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Les deux étaient dansant, fêtant avec joie cette nouvelle.

Elle avait un enfant grandissant dans son ventre.

Leur premier.

Il était heureux et la souleva alors dans les airs et l'embrassa quand elle retomba sur Terre.

Un couple heureux et encore jeunot qui aimait l'amour comme l'amour les aimait.

Doucement le baiser devint important, avec une langue venant dire bonjour à sa concubine.

Puis....

- JE NE RESSEMBLE PAS A UNE BITE !

Ah cette fois ce n'est pas une c/c.

Mais une fille de passage qui parle à quelqu'un dans ses écouteurs.

Et bien que dire sur elle...

Elle ne ressemble pas à une bite.

Oui voilà sa description puis de toute façon elle vient de descendre pour prendre le métro donc oublions-la mais souvenons-nous de cette phrase.

Alors nous étions à ce couple qui...

- J'aime une bite.

Ah.

Voilà la c/c.

Elle fixait le sol et le couple qui dansait s'arrêta à cette phrase.

Pouvait-on aimer une seule partie du corps ?

Imaginez le mariage de cette c/c, elle passera un anneau à une bite ?

Mais dans ce cas nous partons sur un cock ring et c'est loin d'être catholique ou même de fêter l'amour.

A moins que le prête ne veuille l'embrasser dans sa tenue de BDSM en disant Amen lors de l'éjaculation.

Enfin non du coup il n'y en aura pas à cause de la bague mais vous voyez que....

- Une bite bleue en plus.

Les mots embrassaient ses lèvres pour mourir tel la poésie dans cet OS.

Elle se leva désespérée.

Les taquineries étaient devenues plus sans qu'elle le voit, il avait été gentil et...

Un coup classique de crush.

Cependant elle pensait ne jamais l'aimer.

Ne jamais vouloir l'embrasser.

Pourquoi ?

Ses amis étaient plus respectables.

Il était arrogant, égocentrique, peu respectueux....

Et elle pouvait vous lister tant de choses qui embrasseraient les caractères à fuir de toutes femmes.

Pourtant elle était là à dire ces choses qui lui étaient sur le coeur.

Elle aimait ce bleu.

Comme ces gens qui s'embrassaient, s'aimaient.

Elle souffla et se leva.

Elle ne l'embrasserait jamais de toute façon, elle venait juste de comprendre sa connerie et son talent de fermer les yeux sur ses propres sentiments.

Elle partit alors au loin avec cet air attristé qui peina le sol.

Le sol, ce gentleman tenta avec une racine de lui donner du réconfort mais en tombant, elle ne put que se sentir encore plus misérable.

Ses yeux devinrent flous car ses nerfs lâchaient prise, le couple heureux la regarda avec peine.

Elle connaissait son premier chagrin d'amour.

Et là dans cet endroit où il y avait deux personnes s'embrassant, une dernière se laissa enlacer par ses larmes.

Elles comblèrent alors ce léger creux sur ses lèvres et ce fut là que tout se finit.

.

.

.

- Putain. dit une voix essoufflée

Elle leva la tête, il se baissa et l'enlaça.

Ses larmes épousèrent alors une deuxième paire de joues.

Il lui frotta le dos, ne sachant pas trop quoi faire bien qu'il aie vu pleurer tant de fois son ami blond ou Momoi face aux vents de Tetsu.

Elle s'arrêta et lui murmura un merci.

Mais il ne la lâcha pas.

Il la fixa alors.

Ses pupilles se dilatèrent.

Celles de la c/c se rétrécirent.

Et doucement dans ce lieu où il y avait eu deux personnes s'embrassant, le nombre finit à 4.

Et le lendemain au Maji alors qu'un bleuté et une c/c s'embrassaient devant un plateau, un petit brun se cachait le coeur serré de voir son crush avec quelqu'un.

Il fit alors tomber les plateaux et trembla de peur, cependant certains ciseaux toujours à la recherche de peau à aimer jusqu'au sang le rencontrèrent.

Était-ce là notre nouvelle histoire ?

Ou juste une simple égratignure ?

Ah qui sait...après tout, il se passe tant de choses derrière des personnes s'embrassant...



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