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§ Chapitre 41 §

18 septembre 2022
France

Niall sursauta, ne s'attendant pas à voir son colocataire partir dans les tours si vite. Un silence pesant les entoura, la respiration sifflante d'Harry résonnant autour d'eux.

« Personne n'a dit qu'elle est morte, s'avança l'irlandais prudemment. Si tu étais bébé et qu'elle était petite fille, elle doit avoir une vingtaine d'années aujourd'hui, non ? »

Un reniflement s'imposa pour toute réponse.

« C'est... Tenta Harry avant de sentir sa gorge se serrer. Je veux pas que ce soit un souvenir. Maintenant que tu le dis c'en est sans doute un, mais avant je me disais juste que c'était un rêve, même si c'est pas possible que c'en soit un.

- Pourquoi ça ne peut pas être un rêve ? Demanda doucement le plus âgé en voyant Harry peiner dans ses mots.

- Parce que j'ai jamais connu mon père, renifla le garçon en passant ses doigts sur ses yeux, en retirant des larmes. Et dans ce... truc, je vois mon père, même si je ne l'entends pas, et je sais que les rêves prennent appui sur ce qu'on vit, mais là ça faisait des années que j'avais pas entendu parler de mon père, je sais pas qui est cette fille, je sais pas où on est, je sais pas quel âge j'ai- Merde, qui rêve de lui-même, en étant un bébé, dans les bras de son père, qui est mort avant qu'il ait un an ! S'énerva-t-il d'un coup. Je sais que c'est pas un rêve, c'est pas possible, mais si c'est un souvenir ça veut dire que le gars que je vois et qui parle à la petite fille qui me porte, il a existé, je l'ai connu, et je vis sans lui depuis ma naissance alors que c'est un gars super sympa et- »

Sa tirade finit dans le pull de Niall, qui s'était approché, et qui se demanda s'il ne devrait pas se rebaptiser 'épaule pour pleurer'.

« Et quel est le lien avec la mort de la petite fille, alors ? Personne n'a dit qu'elle mourrait, elle va bien dans ton souvenir, non ?

- Mon père est mort peu après ce moment Niall, et- et elle le connaissait, a- alors je fais un lien, même si je sais qu'il est débile, hein, m- mais je ne peux pas m'en empêcher, sanglota Harry à moitié en serrant son colocataire plus fort contre lui.

- Comment est-il mort, si ce n'est pas indiscret ? »

Et là, le garçon eut beau chercher dans ses souvenirs, aucune réponse ne lui vint.

« Je sais pas, lâcha-t-il dans un reniflement. »

La tête de son colocataire fut éloquente.

« Ta mère ne te l'a jamais dit ? S'indigna-t-il.

- Non, on parlait tellement rarement de lui à la maison que j'avais oublié son nom, pendant un moment, se souvint Harry en posant sa tête sur l'épaule de son ami. C'est quand je me suis souvenu de la petite fille que je m'en suis rappelé, même si je ne savais pas que c'était mon père. Ma mère m'a avoué un peu difficilement que c'était son mari, du coup, mais elle ne voulait pas me parler de sa mort, ça lui faisait trop mal.

- Elle est égoïste, trouva Niall en tournant sa tête pour faire face au plus jeune. Elle ne se dit pas que tu voudrais savoir des choses sur lui ? Elle n'a pas le droit de garder ça pour elle.

- Je ne veux pas la forcer ! Protesta le garçon en fronçant les sourcils. Et puis en vrai ça va, je ne pense pas à lui consciemment tous les jours, je ne sais rien de lui.

- C'est justement le problème, marmonna l'irlandais en le repoussant doucement, partant se rasseoir. Sinon, quelque chose d'incroyable s'est passé aujourd'hui, ou pas ? À part le malaise. »

Harry réfléchit, puis pâlit un peu.

« J'ai oublié d'aller aux Crustacés ce matin, réalisa-t-il en se faisant un facepalm. J'espère qu'Olive ne me dira rien.

- Je l'ai informée de ton malaise, et honnêtement, que tu en fasse un sur le lieu de travail qu'elle gère alors que tu n'es pas un employé lui aurait fait plus de tort qu'autre chose. Tu n'étais pas du tout en état.

- J'irai les aider la semaine prochaine alors, pour compenser, décida le convalescent en ignorant le regard blasé que lui envoya son ami. Ah et si, il s'est passé quelque chose de notable aujourd'hui, se souvint-il avant de se mordre la langue d'avoir commencé sur le sujet.

- Ah, quoi ? Relança Niall, sans remarquer sa grimace.

- Enfin, je sais pas- si c'est important genre- c'est- euh...

- Tu sais que tu peux tout me dire Harreh ? Tu veux de la salade ?

- Je- non, merci. Mais, euh... c'est bizarre en fait... juste... quand j'ai fait mon malaise-

- Hm ? »

Si perturbé qu'il était de s'en souvenir, Harry sursauta en entendant Niall lui signaler qu'il l'écoutait.

« J'ai vu le visage de Charlie ? Murmura-t-il du bout des lèvres, Niall relevant la tête dans la seconde.

- QUOI ? »

Le plus jeune sursauta une nouvelle fois, sous le regard de son colocataire qui l'examinait de haut en bas, comme le prenant pour un fou.

« Tu trembles comme une feuille, constata l'irlandais en continuant de manger lentement sa salade, ses yeux fichés dans ceux de son ami. Tu as trouvé ça si horrible que ça ?

- Disons que je ne m'y attendais pas, admit le plus jeune en baissant son regard sur son assiette encore pleine. C'était assez perturbant, en fait.

- Tu l'as vu comment ? Pas que j'en doute hein, quoique si tu m'avais dit 'elle est sublime' je me serais posé des questions.

- Quand elle m'a fait la PLS, elle s'est relevée après, tenta d'expliquer Harry, Niall hochant la tête en face de lui. Bah c'est là que je l'ai vu, quand elle s'est balancée pour se relever, enfin tu vois, sa technique là. »

Le faux-blond plissa les yeux une seconde puis acquiesça vivement, se souvenant de la drôle de chorégraphie que faisait l'aveugle pour se relever.

« Tu as quand même de la chance de connaître son visage, je crois bien que les trois quarts de son entourage et de ses choristes en général ne l'ont jamais vu. Tu veux en parler ?

- Non, je vais juste... ressasser.

- Je vois, ça me l'a fait aussi la première fois, compatit son ami en finissant son assiette et partant le frigo. Dessert ?

- Non merci, je vais me coucher, déclina Harry en se levant.

- Et ta fourchette alors ? Tu m'avais promis sur le soleil et sur la lune que tu la finirais, plaida l'irlandais en envoyant un regard poignant à son colocataire. »

Harry retourna à sa place en souriant, mangeant la moitié de son assiette avant de souhaiter une bonne nuit à son ami et de partir se coucher. Mais aussitôt allongé sous ses couvertures, le visage que son esprit avait capturé retourna devant ses yeux, le forçant le regarder dans toutes ses bizarreries et caractéristiques étranges, pour lui qui avait l'habitude de ne voir qu'un panneau blanc surmontant une bouche moqueuse.

Il ne saurait même pas dire ce qui l'avait choqué en premier, ce qu'il avait vu immédiatement, tant tout était captivant à sa façon sur ce visage. Et ce sentiment de bizarre était sans doute renforcé par le fait qu'il savait qu'il ne le reverrait pas avant un long moment, voire jamais.

Commençons par le haut, voulut se calmer le garçon avant de s'éparpiller.

Déjà, les sourcils. Ils étaient blancs, comme ses cheveux, et comme la peau de ce visage qui ne voyait jamais la lumière du soleil. Mais malgré cette couleur, ils se démarquaient par leur teinte immaculée sur la peau de la jeune femme, bien dessinés et plutôt fins, de ce qu'en savait Harry. Ensuite, le nez. Plutôt fin et mignon, il avait l'air un peu relevé mais l'angle n'était pas idéal alors il ne saurait en dire plus. Les yeux, difficiles de les rater, ils étaient ouverts et ne clignaient pas. Harry avait ainsi pu déceler une pointe de bleu clair un peu gris à cause de la cécité dans les iris de Charlie, mais la chose qui l'avait le plus perturbé à cause de ces yeux, ce n'était étonnamment pas le fait qu'ils soient morts - les yeux d'aveugles le fascinaient - mais plutôt le fait qu'ils regardent Thomas alors qu'il parlait. Comme s'ils étaient encore vivants en fait.

Si j'avais parlé, est-ce que mon regard aurait rencontré le sien ? Est-ce qu'elle l'aurait su ?

Ensuite, venait la bouche, qu'il connaissait déjà pour la voir à chaque répétition, et son menton, petit et pointu. La forme de sa tête en général était plutôt ronde, et lui faisait étrangement penser à celle d'une enfant, même s'il était évident que ses cernes sous ses yeux morts et les tensions dans son visage exprimaient ses troubles quotidiens.

Tous ces traits suffiraient à décrire un visage appartenant à une personne normale, mais celui de Charlie présentait encore une particularité, qui était si fondamentale dans son équilibre que sans, Charlie ne serait même pas elle-même. Autour de son œil droit, montant jusqu'à son front, et sous son œil gauche, descendant jusqu'à la ligne de sa mâchoire en passant par son nez. habituellement cachées par sa coupe asymétrique et sa frange, se cachaient deux grandes balafres blanchâtres, qui avaient l'air si fragiles, composant cette peau à peine reconstituée, fine, si fine, comme une aile de papillon. Et Harry ne s'y connaissait pas beaucoup en blessures, mais il avait déjà traîné sur YouTube, et savait donc que ces taches maculaient la peau des dénommés 'grands brûlés', qui s'étaient sortis d'un incendie par miracle et y avaient laissé une partie de leur épiderme pour toujours.

Mais Charlie est aveugle, comment a-t-elle pu se retrouver dans un feu, le côtoyer d'aussi près et en réchapper ?

Et Harry partit dans un long tourbillon de suppositions sur la raison de la présence de ces cicatrices sur la peau de la musicienne, réfléchissant si longtemps qu'il ne finit par ne plus tenir en place. Il fila dans le salon chercher Niall pour le lui demander directement - après tout il connaissait le passé de Charlie, il pourrait lui en dire plus.

« Tu dors pas Harreh ? S'étonna l'irlandais en tournant la tête quand il arriva dans le salon. Tu as besoin de quelque chose ?

- Tu préfères que je vous laisse ? Demanda le garçon en retour en remarquant le téléphone de l'irlandais, ouvert sur une conversation en visio avec une femme.

- Non non, on allait raccrocher, le rassura le jeune homme en souriant. »

Harry attendit donc patiemment que l'appel soit terminé, et il ne fut qu'à moitié surpris de ne rien comprendre à la conversation entre Niall et sa mère, apparemment - leur accent était si corsé qu'à moins de se concentrer, il regardait les mots s'écouler comme du miel sans en reconnaître aucun.

« Tu voulais me dire quelque chose ? Lui demanda Niall en retournant vers lui quelques minutes plus tard, son accent irlandais plus persistant maintenant qu'il sortait d'une discussion dans sa langue natale.

- Oui, c'est... Hésita le bouclé en regardant ses pieds. En fait, je pense au visage de Charlie depuis tout à l'heure, et les cicatrices me hantent, si on peut le dire comme ça.

- Je comprends, acquiesça Niall en soufflant du nez, souriant. C'est normal, tu n'es pas habitué.

- Mais du coup, est-ce que tu peux me dire d'où elles viennent ? »

Le visage accueillant du faux-blond se ferma un peu, gêné.

« Je pense pas non. Pas que je ne le sache pas hein, se défendit-il aussitôt, mais ce n'est pas mon histoire quoi, je ne voudrais pas aller raconter sa vie partout sans son accord.

- Alors est-ce que je peux te poser une seule question précise et tu ne réponds qu'à celle-là ? Retenta Harry, désespéré. S'il te plaît, et tu as le choix de laquelle si vraiment elles ne te vont pas.

- Choisis bien alors, accorda Niall en croisant les bras, déglutissant nerveusement. Charlie va m'en vouloir si c'est quelque chose de vraiment trop perso.

- Non, t'inquiète, le rassura Harry en cherchant sa question. Juste attends, j'avais pas prévu ça. »

D'où viennent les cicatrices n'est pas assez précis, il faut quelque chose de plus concret. Est-ce que la cécité et l'incendie sont arrivés en même temps alors ? Oui, mais peut-être que ce ne sont pas des blessures liées au feu et que je me trompe.

« Est-ce que Charlie est née aveugle ? Lâcha-t-il sans réfléchir, se mordant la langue de stress. »

Niall sourit lentement, surpris du choix fait par l'adolescent.

« Bonne question, c'est vrai, pour la peine je t'en accorde une autre si elle n'est pas trop hard, concilia l'irlandais calmement. Non, Charlie n'est pas née aveugle.

- Elle l'est devenue à cause d'un incendie alors ? Demanda Harry à brûle-pourpoint. »

Niall perdit un peu son sourire.

« Ouais. Mais ne lui en parle pas s'il te plaît, et ne lui dis pas que c'est moi qui t'ai dit ça, elle me détesterait encore plus. Garde juste ça pour ta culture personnelle.

- Merci beaucoup, souffla Harry en baissant la tête. Je vais pouvoir aller dormir.

- Ha ha, rêve bien de petites filles et de Zayn volants surtout, lui souhaita l'irlandais en partant vers sa chambre. Et si demain tu ne te sens pas dans ton assiette reste ici, tu ne dois pas forcer ton corps.

- Ouiii, sourit Harry en lui envoyant un dernier signe de la main. Bonne nuit. »

Il retourna vers son lit calmement, puis posa ses protections auditives qu'il avait gardées toute la journée sur sa table de nuit, s'endormant en très peu de temps.

• § •

« DESMOND ! Est-ce que je peux dire au revoir à Bébé Harry ? »

[...]

« Oui, et même que je veux lui dire au revoir s'il te plaît s'il te plaît s'il te plaît ! »

[...]

« Il est grand ! Il a quel âge ? »

[...]

« Ce n'est plus un bébé alors, c'est un grand ! »

[...]

« Il est trop mignon... »

[...]

« Maman, est-ce que je pourrai avoir un petit frère ? »

• § •

« Et Bébé Harry , est-ce qu'il a aimé ? »

• § •

« ZAYN, AU SECOURS ! »

• § •

20 septembre 2022
France

« Ça alors, un revenant ! S'amusa Betty en voyant son ami arriver en cours le mardi matin. Ça sèche le premier jour de la semaine tranquillou et ça me prévient même pas à l'avance ?

- Tu sais que je le voulais pas, souffla Harry dans un sourire. Mais hier c'était juste pas possible, j'étais cloué au lit et je délirais encore un peu. Tu m'as bien pris les cours ?

- Oui oui, pas d'inquiétude, super Betty est là, scanda l'adolescente sans énergie en levant un poing en l'air. Je t'ai tout mis là-dedans, heureusement qu'on n'avait pas trop de cours de spécialités, mais j'ai prévenu un des gars de ta classe de psycho comme convenu, indiqua-t-elle en lui passant une pochette jaune en papier cartonné. Tu me redonneras ma pochette ? J'en ai que deux pour toute l'année.

- Je ne comptais pas te la voler, ne t'inquiète pas, la rassura le garçon en transvasant déjà les feuilles de ladite pochette à la sienne, verte en plastique transparent.

- Bouh, qu'elle est moche, se moqua Betty en le regardant ranger ses cours et lui rendre sa pochette. La mienne est tellement mieux, je n'emprunterais même pas la tienne en rêve.

- C'est justement pour ça que je l'utilise, indiqua le bouclé en finissant de fermer son sac. On rentre ? J'ai un peu froid.

- Oh, monsieur se découvre une tendance frileuse ? Ironisa l'ancien blonde en s'exécutant tout de même. Les jeunes d'aujourd'hui ne résistent décidément plus à rien.

- Je ne te le fais pas dire, soupira Harry en voyant déjà leur salle au début du couloir - le seul défaut de l'organisation de leur bâtiment était sans doute la disposition des pièces, qui étaient toutes le long de couloirs, certes parallèles les uns aux autres car s'empilant comme un mille-feuilles, mais ne laissant pas du tout place à un possible atrium ou cour de récréation ; Harry se sentait encore l'âme d'un lycéen et pensait bien que l'on ne pouvait pas l'en blâmer, seulement, le simple fait de voir une vie scolaire à l'entrée des couloirs de l'enfer l'aurait rassuré.

- On a quoi là, déjà ? S'enquit Betty en commençant à marcher à reculons ''parce que c'est drôle''.

- Biochimie, Madame Armel, récita Harry quasiment par cœur, ayant appris volontairement son emploi du temps pour s'en souvenir dans les moments utiles.

- Truc ennuyeux, dame exposant des possibilités de sauteries entre profs et élèves, modifia la blonde avec un sourire narquois, faisant référence à ce dont ils avaient déjà parlé ensemble.

- Tu es mauvaise langue, contesta le bouclé avec un demi-sourire.

- Elle sans doute pas, c'est vrai, fit mine de réfléchir l'adolescente en acquiesçant pour elle-même. »

Et Harry dut camoufler son gloussement disgracieux dans son coude quand ils entrèrent dans l'amphithéâtre encore à moitié vide, de peur que la professeure, déjà en train de papoter avec l'élève blond du premier rang, n'entende qu'elle était le sujet de leur conversation.

« Tu sais quand on commence ? Souffla Betty pas trop fort, ses yeux ne quittant pas le blond, gêné d'être le centre d'attention de sa professeure.

- Moins d'une minute en théorie, dix en pratique étant donné qu'on n'est pas tous là, lui répondit Harry sur le même ton en jetant un œil à l'horloge numérique murale, énorme pour permettre à tous de la voir. Tu veux aller à ta place directement ?

- Ouais, j'ai pas envie de devoir sortir mes affaires en stress, opina du chef Betty en faisant quelques pas vers le bas pour se diriger vers sa place. On se reparle après ?

- Évidemment. On mangera ensemble, j'espère que tu le sais.

- Maintenant c'est chose faite. À toute !

- À toute. »

Le bouclé partit à sa place à son tour, étant donné que le reste des étudiants entrait, en bavardant certes, mais entrait tout de même. Madame Armel ne tarda pas trop à réclamer le silence cette fois, et annonça bientôt la raison de ce changement d'attitude.

« Je sais que la journée de cohésion n'est pas encore passée et que vous ne vous connaissez pas bien, mais vous allez devoir effectuer un travail par groupes de deux à me rendre pour les vacances de la Toussaint, soit dans un mois. Je vois conseille de ne pas vous y prendre le soir même, c'est un gros travail et beaucoup devront y passer plus de cinq heures pour atteindre une note acceptable. J'ai fait les groupes moi-même, continua-t-elle en voyant que personne ne réagissait, et comme vous ne vous connaissez pas, ce qui est normal, vous vous lèverez et vous identifierez un minimum quand je vous appellerai. Je commence, soyez attentifs à votre nom s'il vous plaît. »

Harry envoya un regard plein d'espoir à Betty, qui fit la même chose, mais ils furent réduits à néant quand elle fut nommée avec le garçon blond du premier rang sur lequel elle crushait. Il put distinguer sa joie même avec la distance qui les séparait, et ne sut pas trop quoi penser de cette réaction. Lentement, les noms défilèrent, et le sien ne fut appelé que dans les derniers, avec un nom qu'il aurait bien aimé ne jamais entendre associé au sien.

« Harry Styles et Alicia Roy »

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