Punition

La voiture roule. Aussi pourquoi elle ne roulerait pas ? C’est le but de cet cage en métal, de rouler. On le lui demande pas de voler, nager ou encore apaiser l’ambiance qu’elle renferme.

En effet, voilà un bout de temps que la mère, le fils et l’ange roulent dans une voiture. On pourrait dire que c’est le début d’une bonne blague mais l’ambiance n’est pas à la fête. Personne ne parle, personne ne rit ni pleure, ils se contentent de respirer en silence. Quand cet situation finira-t-elle ? Sûrement maintenant, car ils sont arrivé devant la grande maison acheté par le père. Ils descendent chacun leur tour, puis rentrent chacun leur tour dans la maison.

Et chacun se mit à leur occupations. Eden retrouvant son carnet et ce mit à faire une page sur le modèle médical du monde humain. Pour penser à autres choses, Luke lance sa partie d’assassin’s creed, pour finir le jeu à 100%. Et la mère se met a faire a manger.

Le soir vint comme tous les jours, les animaux se blottissent dans le foin, les feux de cheminées s’allument, le soleil tombe et le père de Luke revient à la maison. Peu de temps après avoir entendu la porte d’entrée claquer, des pas puissants se font entendre dans les escalier. L’homme d’affaire ouvre la porte de la chambre de son fils avec une feuille à la main.

_Luke !

Les deux bruns relèvent la tête, Luke sait à l’avance comme cela va se finir. Il se prit une claque par son père, aussi sèche et rapide qu’un coup de vent, mais aussi brutal qu’une éruption. 

_Alors j’apprends que tu te bats encore au lycée ? Tu as envoyé Eden et un autre à l’infirmerie ? Tu veux te faire virer du lycée ?!

_Pourquoi tu me cries dessus, tu connais la réponse.

_Me répond pas ! Je vais te prendre ta console et te mettre plus de devoir. On va voir après c’est qui le branleur.

_Quoi ? Mais pourquoi tu me prends mon jeu, j’ai rien fait.

_Et ça t’appelles rien ?

L’homme montre de la main l’ange, ou plutôt son cocard, ce n’étais pas beau à voir en effet. L’ailé prit son air le plus suppliant envers Luke, serrant son stylo contre lui.

_Il avait pas qu’à interférer dans mon combat. C’est à cause de lui tous ça, si l’autre enculé avait pas volé son carnet pendant la soirée il n’y aurait rien eu.

_Si tu évites de tous régler par la violence on en serait pas là.

_C’est pas toi qui vient de me gifler.

_Vas-y répond, mais on verra qui gagnera à la fin.

La père pris la console du fils et sortit de la chambre. Les deux adolescent se regardent longuement. Lentement, Eden se lève et vient pressé une lingette humide qu’il avait fait apparaître sur la joue du plus grand.

_Pardon.

_Roh ta gueule toi