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¤Chapitre 9¤

Je suis recroquevillé par terre, caché derrière des cartons.

A cause de Ty, des hommes m'ont couru après, et ils ne lâchent toujours pas l'affaire... J'ai peur qu'ils me trouvent, je n'ai pas d'argent pour m'acheter des vêtements ou même de la nourriture.

Je regarde à travers les cartons et je vois une voiture de police, je saute vers elle, les policiers sortent en me demandant ce que je fais, en sous-vêtements, ici à trois heures du mat.

Sans leur répondre je tombe dans les bras du premier policier en sanglotant.

Ils me ramènent chez moi, je rentre dans ma chambre pendant que mes parent continuent de discuté avec la police.

Je sanglote dans mon lit en me promettant de ne plus jamais faire confiance à un garçon.

Quelques heures plus tard, le gang des Anges viennent pour voir comment je vais, je ne leur répond même pas.

Il ne faut pas que je devienne amie avec mes futur victimes.

Ils partent sauf Alex, qui croise les bras.

- Tu es contente maintenant ? dit-il agacé, tu viens enfin de te rendre compte que Ty n'était pas un Ange ? Tu vas enfin comprendre qu'il ne faut pas faire confiance à un Démon ? et qu'il faut mieux être un Ange ?

- Je ne suis pas un Ange.

Il serre les poings.

- Pourquoi ?!

- Car je n'ai pas envie de te ressemblé, je me redresse, je n'ai pas envie de redevenir celle qui gardait tout ce qu'elle pensait dans sa tête car ça pourrai faire du mal au autre ! j'en n'ai rien à faire des autres !

Il hoche la tête.

- D'accord ! alors devient un Démon ! transforme ce monde en enfer !

Je me lève en m'approchant de lui, j'attrape le col de son T-shirt en collant mon front contre le siens.

- Tu ne me connais même pas Alex ! Tu n'arrive pas à comprendre que je n'ai pas envie d'être un Démon ! on m'oblige juste à l'être !

Mes larmes commencent à couler, son visage s'adoucit, il allait dire quelque chose mais je lui coupe la parole.

- Tu n'as même l'audace de m'empêcher de faire des bêtises !

- Je ne vais pas rester tous les jours derrière toi à te dire ce qui est bon ou pas ! c'est à toi de choisir !

- Je ne suis pas aussi sage que toi ! j'ai besoin qu'on m'aide !

- Tu n'es pas la sel qui a besoin d'aide ! arrête de ne penser qu'à toi !

On se regarde dans les yeux, et sans savoir pourquoi, on s'embrasse. Il touche timidement mon corps pendant que je passe mes mains sous son T-shirt, je l'enlève en l'embrassant dans le coup.

On s'arrête en même temps, je m'écarte de lui et lui de moi et on reprend notre engueulade :

- Si l'Humanité ne pense qu'au autre ! dis-je, elle court droit à sa perte !

- C'est bien une phrase de Démon, ça !

- Je ne suis pas un Démon !

On s'approche l'un vers l'autre pour s'embrasser, il me détache les cheveux pour enfoncer ses mains dedans, je parcours avec mes mains les courbes de son dos, il tire mes cheveux vers l'arrière pour m'embrasser dans le coup.

On se repousse.

- Bien sûre que si ! hurle-t-il, je vois très bien que ça te plait d'être un Démon !

- Sort d'ici !

Il remet son T-shirt et s'en va, j'ouvre la porte pour le laisser sortir.

- Je te déteste ! Hurlé-je.

- Moi aussi !

Je claque la porte et m'allonge dans mon lit, met un coussin sur ma tête et hurle pour expulser toute ma rage.

Euh... qu'es qu'il c'est passer là ? J'ai rien compris...

Pareil...

***

Ca fait maintenant un mois que je n'ai pas reparlé à Alex.

J'ai appris à garder une expression neutre, à m'exprimer dans la langue des signe, et, bonne nouvelle : j'ai discuté avec les Démons, et ils m'ont laisser un an pour tous les tuer.

Ils m'ont aussi expliquer que les symboles ¤ signifiaient, pour eux, la prévention, ils m'ont dit que si se symbole atteignait mon cœur, c'est que je les ai trop désobéit, donc, que je devais mourir.

Repenser à ça me donne des frissons.

Je mets mon foulard blanc autour de mon visage avec un bonnet pour cacher mes cheveux.

Je sais qu'aujourd'hui, Albert Dumoulin va au spa (aller savoir pourquoi)

Andréa, tu te rend compte de se que tu fais ?

Bien sûr, maintenant ferme-là.

Elle souffle et se tait. Je mets des gans et je pique la voiture de mes parents (qui sont repartis je ne sais où). Je la démarre et fonce vers le spa, j'arrive et abaisse mon écharpe.

- Je viens rendre visite à Albert Dumoulin, dis-je à l'hautesse, il a oublier ses médicaments.

Elle hoche la tête et me donne numéro de la salle ou il est en train de se faire masser. J'y cours et ouvre doucement la porte, la masseuse allais me demander de sortir quand je lui chuchote à l'oreille que je suis sa petite-amie et que j'aimerai lui faire une surprise, elle sourit malicieusement et sort de la salle, je remet mon écharpe devant ma bouche en remarquant quelques caméra.

Je m'assois à califourchon sur son dos en commençant à le masser.

- Vous portez des gans ? remarque-t-il.

Sans attendre, je lui bloque les mains avec mes genoux, il s'étonne et essaye de tourner la tête.

- Détendez-vous... lui chuchoté-je à l'oreille.

Il a un petit rire nerveux et détends les muscles.

C'est presque trop facile....

- C'est moi, Andréa, dis-je avant de l'étrangler.

Je souffle en sortant du spa, l'hautesse m'interpelle en souriant.

- Monsieur Dumoulin a bien reçu ses médicaments ?

- Oui, dis-je, merci de m'avoir laisser le voir, j'avais peur qu'il ne face une crise, quand il ne prend pas au plus vite ses médicaments, il fait une crise d'asthme ! Même la ventoline ne marche pas pour lui !

Je la salut et sort le plus vite possible. Je vais chez un chocolatier pour acheter du chocolat noir, je sais que je vais me faire punir, mais j'ai besoin de lui parler, ça fait un mois jour pour jour que je me suis rendue compte que je l'aimais, et j'ai besoin de le voir, de savoir qu'il ne m'en veut pas pour tout ce que je lui ai dit.

Je sors de la voiture quand j'arrive devant son immeuble. Je monte jusqu'à son étage et sonne, il ouvre et fronce les sourcils.

- Qu'es que tu fais là ? demande-t-il.

- Es que j'aurai le droit de me faire pardonner ?

Il regarde derrière lui et grimace.

- Je ne sais pas...

Je sors ma boîte de chocolat.

- C'est du chocolat noir...

Alex secoue la tête en souriant, il s'approche et m'embrasse sur le front, j'aime quand il m'embrasse là... Il attrape a boîte de chocolat et me prend la main, j'enlève mon écharpe et mon bonnet.

- A quoi te serre tout ça en plein printemps.

- J'avais froid...

Personne dans le salon.

- Où sont passer les autres ?

- Ils sont partis faire une journée au spa.

- Tu n'y es pas aller ?

Il sourit.

- Non, ce n'est pas trop mon truc les massages...

On s'assoit sur le canapé, il ouvre la boîte et je lui mets un chocolat dans la bouche.

- Trop bon ! dit-il la bouche pleine.

Quel bien ça me fait de le voir me sourire ! je ferme les yeux en inspirant profondément. Quand je les rouvres, je le vois froncer les sourcils, il pose sa main sur mon visage et me caresse la lèvre avec le pouce.

- Andréa... murmure-t-il, je veux qu'on s'engueule.

Je fronce les sourcils.

- Pourquoi ?

- Car la dernière fois qu'on c'est engueuler, j'ai eu la chance de t'embrasser, et j'ai envie de recommencer...

- Moi aussi.

Je pose une main sur son torse en l'insistant à se qu'il couche sur le canapé, il pose ses mains sur mes hanches pendant que je m'approche de lui, il a déjà la respiration haletante, et moi aussi. Je pose mon front contre le sien en le regardant dans les yeux, je tiens à durer se moment.

Quand je me décide à l'embrasser, j'entends la porte s'ouvrir.

- Alex ! crie Avril.

Elle arrive et nous vois, ses yeux deviennent littéralement blanc, elle hurle et se jette sur moi en me tirant les cheveux.

- Tu l'as tuer ! sanglote-t-elle, je te déteste !

Alex attrape Avril et la repousse.

- Qui a-t-elle tué ? demande-t-il.

- Albert ! elle a tué Albert !

Alex se tourne vers moi en fronçant les sourcils, derrière lui, Avril s'assoit par terre en continuant de sangloter.

- Tu as tué Albert ? demande-t-il sérieusement.

- Non, je n'ai tuer personne...

Il se tourne vers Avril et la console, je détourne le visage, honteuse de l'avoir tuer...

- Elle l'a tuer, chuchote-t-elle, j'en suis sûr, j'ai vu les vidéo de surveillances, elle a les même vêtements que le tueur...

Alex se tourne vers moi.

- Andréa... chuchote-t-il, pourquoi ?

- J'étais obligé, ils aillent tuer mes parents et toi...

Il ferme les yeux et serre les poings.

- Et tu dois tuer qui d'autre ?

Je lui tend une feuille ou j'ai recopier tous les noms, il grimace de rage et la déchire.

- Albert devenait mauvais de toute façon... chuchote-t-il.

Les autres arrivent, ils prenant Avril dans leurs bras, Alex me regarde dans les yeux.

- Tu m'en veux ?

Il inspire profondément et m'attrape par le bras, il m'emmène dans sa chambre et la ferme à clé, il s'assoit sur son lit et me regarde, je me sens gêner, car son regard m'oblige à baisser les yeux.

- Tu pourrai au dire que tu es désoler, dit-il d'une voix froide.

- Pardon...

Il se lève et ouvre les volet, il regarde la ville en respirant doucement, je m'approche de lui en passant mes bras autour de lui, je l'embrasse dans le coup, ce qui le fait frissonner.

- Je ne crois pas que c'est le moment de ce la jouer romantique Andréa.

Je serre les poings.

- Tu aurai préféré mourir ? craché-je.

Il se tourne vers moi.

- J'aurai préféré que tu ne fasse pas souffrir Avril !

- Je n'avais pas le choix ! je n'ai pas envie que tu meurs !

- As-tu lus ce qui a marquer sur ta feuille ?!

- Quoi ?

- Alexandre Blake, ça ne te dis rien ?!

J'ouvre grand la bouche.

- Qu'es que tu peux être bête... souffle-t-il.

Il y a trente secondes, j'allais lui présenter mes excuses, mais là...

Je ne supporte pas quand on m'insulte, surtout quand c'est le garçon que j'aime.

- Ok ! hurlé-je, cool ! j'en avais marre de toi !

Cette fois-ci, il peut rêver pour qu'on s'embrasse. J'essaye d'ouvrir la porte, mais c'est bloquer.

- Elle est fermer à clé, dit-il.

Je rougis et ouvre la porte, je rentre dans l'ascenseur, Alex arrive, rentre dedans et referme les portes.

- Je t'ai demander de me suivre ?!

- Je crois qu'il faut mieux te taire Andréa.

Dès que l'ascenseur commence à descendre, Alex saute partout et fait bouger l'ascenseur. celui-ci fini par ce bloquer.

- Qu'es que tu viens de faire ?! crié-je.

- Je n'avais pas terminer de parler !

- Et moi je n'ai pas envie d'en entendre plus !

Il me plaque contre un mur de l'ascenseur en collant son corps contre le mien, il me regarde, les yeux rétrécit par le désir.

- Tu es sur ? demande-t-il d'une voie rauque.

J'avale difficilement ma salive, il me regarde sans cillé, je sens son cœur battre la chamade, ses mains se déplacent vers mes joues, mon corps et le sien émane une chaleur, j'ai très, très, très, très chaud...

- Es-tu vraiment sûr de vouloir partir ? il marque une pause, souvient-toi qu'ave moi on n'a qu'une chance, pas deux.

J'ouvre la bouche pour respirer, ça sens la sueur, et le désir.

- Alors ? insiste-t-il.

- Je... je veux rester...

Il fonce vers ma bouche et m'embrasse, un beau, très beau baiser chaste, il enfonce ses long doigt fin dans mes cheveux pendant que les miens, parcourt son corps avec avidité.

Tout disparaît autour de nous, j'ai l'impression de flotter dans un immense trou noir.

Mais dans un trou noir remplis de bonté, et d'amour.

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