Je retiens un hurlement, ils veulent que je tue des gens ?!

mes yeux restent longtemps sur Avril Jenkins, pourvu que ce n'est pas celle que je connais...

Je range mon carnet dans mon tiroir et je sors mon portable, je vais sur Google et je tape Avril Jenkins, mon Dieu... c'est vraiment elle !

Ma tête commence à tourner, c'est un peu trop pour moi, je n'ai jamais tuer de gens et, depuis aujourd'hui, je n'en avais pas l'intension, mais là, c'est ma vie contre la leur, et je n'ai pas envie de mourir !

Et si je les tuais d'une manière vite, sans qu'il puissent souffrir ? je fais croire au autres que c'était une suicide !

Mais une dizaine de personne se suicidant en trois mois, ce n'est pas très facile...

Je cache ma tête en posant mes mains dessus, qu'es que je vais faire ? Les tuer, ou rester en vie ?

Tue-les !

Je sursaute en entendant la voie de Défaut.

Défaut ! c'est toi ?

Je ne peux pas te parler trop longtemps, mais une chose : tue-les tous dans l'ordre, je te promet que ça va être marrant.

Mais il s'agit des tuer des personnes ! et je n'ai pas envie de...

Ces personnes là sont méchantes ! Tue-les et tu aurai fait du bien à l'humanité !

D'accord...

C'est la première fois que j'accepte aussi facilement de faire une bêtise...

Mais qu'es qu'il te prend Andréa ?! tu vas tuer des gens ? non ! tu vas devenir une meurtrière aussi non ! ce n'est pas bien ! pense...

Ferme-là face de rat ! c'est à elle de décider !

Je serre les poings.

En plus, ils ne sont même pas méchantes !

Bien sûr que si !

Pour toi ! mais pas pour les autres !

Taisez-vous ! laisser moi choisir !

Andréa ! tu n'as pas à choisir ! tu ne les tues pas, poing barre !

Alors elle va mourir !

Il vaut mieux qu'elle se sacrifie qu'elle ne devienne un monstre sanguinaire !

C'est à moi de choisir ! pas à vous !

Mon téléphone vibre à côté de moi, c'est Avril, elle me demande ce que je fais.

Ne lui répond pas ! il ne faut pas devenir amie avec sa victime !

Je secoue la tête en lui répondant que je m'ennuis, elle me répond une minutes plus tard de demander à mes parents si j'ai le droit de sortir ce soir.

Je descends les escaliers en toquant à la porte du sous-sol. Mon père l'entrouvre et sort sa tête.

- Oui ?

- Es que je peux sortir se soir ?

Il grimace, et regarde à l'intérieur du sous-sol, il souffle et hoche la tête.

- D'accord, mais je veux que tu sois de retour avant vingt-trois heures.

- Qu'a maman ?

Il grimace et m'embrasse sur le front.

- A ce soir ma chérie ! dit-il avant de refermer la porte.

Je fronce les sourcils et j'envois à Avril qu'il a dit oui.

Super ! m'a-t-elle dit, fait toi belle !

Je range mon portable et rentre dans ma chambre.

Met une belle robe blanche !

Non ! noir !

Je secoue la tête, je vais mettre une robe noir et blanche moulante, pour mettre en valeur mes cheveux et mes yeux. Je les attaches en queue de cheval avant de me mettre un traie fin d'eyeliner et un petit coup de gloss transparent. Avril m'envoie un message en me disant qu'elle est là, je pique des talon aiguille à ma mère avant de sortir. Je garde une expression impassible pendant qu'Avril me regarde avec un grand sourire.

J'hésite avant de rentré, il y a Alex, et plein d'autres personnes, je prends mon courage à deux mains et rentre.

- Alors, dit Avril, je crois que tu connais déjà Alex...

Il me salut en me faisant un beau sourire.

Je remarque que tout le monde ici, on les cheveux noir et les yeux noir, avec des vêtements noir, j'aurai peut-être du écouter Raison...

- Donc, continue Avril, voici Brook, Richard, Isaac, Albert...

J'arrête d'écouter en me mettant à trembler, tous ces noms... ce sont ceux de ma liste ! Avril remarque que je ne vais pas bien.

- Ca ne va pas ? demande-t-elle.

Je ne secoue la tête et sort de la voiture, j'allais ouvrir ma porte quand quelqu'un m'attrape par le poignet, je me retourne en voyant Alex, qui fronce les sourcils.

- Qu'es que tu as ? demande-t-il.

- Je ne peux pas rester avec vous...

J'ai les larmes aux yeux, même si je garde une expression fermé, il se tourne vers la voiture et leur sourit.

- Pourquoi tu ne peux pas ?

Je secoue la tête.

- Tu ne peux pas comprendre...

Il me prend par la main en me regardant dans les yeux.

- Tu es sûr de ne pas vouloir ?

Je serre les poings.

Vas y ! comme ça tu en aura un de moins sur la liste !

Je ferme les yeux et lui lâche la main.

- Je suis désoler.

J'ouvre la porte de chez moi et la referme derrière lui, mon portable vibre, c'est Avril.

Je suis désoler si j'ai dit quelque chose de mal, m'a-t-elle envoyer, j'aimerai juste qu'on devienne amie...

Une boulle se forme dans mon ventre, ça ne fait que deux jours de que je suis devenue ça, et j'ai déjà l'ordre de tuer ma nouvelle amie.

Je m'assois contre la porte en essayant de réfléchir, quelques minutes plus tard, j'envoie à Avril ou elle est, elle m'a envoyer l'adresse d'une boîte de nuit. Je vais dans la cuisine et j'attrape un long couteau, je l'attache autour de ma cuisse avec une écharpe noir, dans un sac je mets mon petit carnet avec des vêtements de rechange. Je n'ai pas l'intention de mourir.

D'un visage déterminer, je sors dehors en allant jusqu'à la boîte de nuit à pied.

Je rentre dedans et me dirige droit vers mes victimes, je jette un petit coup d'œil vers Alex, qui à l'air assez vexer que je ne l'ai pas suivi dès le début. Je jette un petit coup d'œil sur mon carnet, Albert Dumoulin, je demande à Avril de me faire les présentations, et dès qu'elle me présente ce fameux Albert, je lui adresse un beau sourire, il semble charmé. dès qu'elle a fini de me les présenter, je m'approche de lui en lui proposant d'aller danser. II accepte, nous nous dirigeons au milieu de la piste de danse pendant que je calme mes tremblement. Je passe mes mains autour de son coup en me collant contre lui, j'ai l'impression qu'il rougis, je ne le lâche pas des yeux, j'adore les yeux noir, c'est tellement beau et fascinant...

- Tu es super sexy, lui chuchoté-je à l'oreille.

Il frisson et me regarde dans les yeux.

- Je croyais que tu étais muette ?

- Je n'adresse la parole qu'à ceux qui en valent la peine.

Je lui fais les yeux doux et l'embrasse dans le coup. Il a un petit mouvement de recule, mais je le tire vers moi en lui disant de se laisser aller. Il fini par m'écouter et m'embrasse sur la bouche. Nos langues se battent dans un combat assez sensuelle. Je lui chuchote de me retrouver aux toilettes, il hoche la tête, j'y cours et l'attend dans la première cabine, cinq minutes plus tard, je l'entends m'appeler, j'ouvre la porte et le laisse entrer, il s'assoit sur la cuvette et moi sur ses jambes à califourchon, je l'embrasse en sortant discrètement mon couteau, heureusement, quand il passe une main sous ma robe, j'avais déjà poser mon couteau sur son dos.

Il attrape mon sous-vêtement et commence à le tirer vers lui, son autre main remonte jusqu'à ma poitrine.

Quand je trouve que ça va trouve loin entre nous, je le regarde dans les yeux lui disant au revoir avant de lui enfoncer un mon couteau dans le dos. J'avais déjà visé pour lui enfoncer dans le cœur, pour l'enfoncer plus profondément, je prend le couteau avec mes deux mains et je pose ma bouche sur la sienne pour l'empêcher de crier. Quand son corps s'affaisse, je laisser couler une petite larme pour lui.

- Excuse-moi, chuchoté-je.

J'essuie avec le PQ mon couteau et le replace sous ma robe, je calme ma respiration, j'essuie ma larme et sort des toilettes, je me dépêche et je retourne voir mes "amis". Avril sourit et me prend dans ses bras.

- Tiens, dit-elle en me tendant une boisson, c'est un cocktail sans alcool !

Je la remercies et le boit cul sec, au même moment, on entends des hurlements. Tout le monde tourne la tête vers les toilettes, deux hommes portent Albert et le posent à terre, je regarde la réaction de mes victimes et je prend la même qu'eux, choquer, les larmes aux yeux, une femme court vers lui, les garçons se mettent à prendre les filles dans leurs bras, mais c'est tout aussi dur pour eux, Alex, les larmes aux yeux, s'approche de moi en me prenant dans ses bras.

- Tu n'as pas intérêt à recommencer... chuchote-t-il gentiment avec une touche d'autorité.

Quoi ? je m'écarte de lui en fronçant les sourcils. Il m'embrasse sur le front.

- Albert n'est pas mort, il ne se laisserai pas ensorceler par une débutante.

- Quoi ?! m'écrié-je à haute voix.

- Regarde mieux l'homme que tu as tuer.

Je l'écoute et le visage d'Albert disparaît sur celui d'un autre, plus âgé, d'une quarantaine d'année. Je me mets à trembler, de peur.

- C-comment tu as fais ça ?

Il fronce les sourcils.

- C'est facile, tout les Anges et Démons savent faire ça...

- Quoi ?!

Je secoue la tête en me mettant à rire.

- Tu te moques de moi, c'est ça ?

Il fronce les sourcils.

- Andréa, tu n'es pas... un Ange ou un Démon ?

- Les anges et les démons n'existent pas !

Il tend une main vers moi mais je le repousse. Je cours en dehors de la boîte et je me cogne contre quelqu'un, un policier, il me pose une question, mais je n'arrive plus à entendre quoi que se soit, je m'excuse et je cours dans la rue, en trébuchant à cause de mes talons, je les enlève et me réfugie dans une ruelle sombre, j'ai atrocement chaud, mes mains me font horriblement mal, je les tend, le souffle court et je vois mes ongles se teinter de rouge sang, j'inspire profondément mis je m'étouffe avec quelque chose, je me met à quatre patte en essayant de recracher se qui me bloque la gorge, je n'arrive plus du tout à respirer, la chose est trop grosse pour sortir, je tape sur mon torse en espérant la faire sortir, je pose deux doigts au fond de ma gorge en me faisant vomir, j'entends la chose ricocher au sol pendant que je vomi dans une poubelle, quelqu'un se met derrière moi et m'attrape les cheveux, quand je me redresse, je manque tellement d'air que je m'évanouie d'un coup.