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¤Chapitre 3¤

J'ouvre les yeux sur une étendue de blanc, partout, je suis moi-même habiller de blanc, le sol est comme de la terre blanche, il règne une odeur de brûler.

Je voie des portes rouges sang, qui ne m'inspire pas confiance. Une main froide se pose sur mon épaule, je me tourne sur un homme, trois fois plus grand que moi.

- Où suis-je ? demandé-je d'une voie lointaine, je suis au Paradis ?

L'homme sourit cruellement et sort un fouet blanc, attaché de rouge.

- Bien au contraire, me répond-t-il d'un air menaçant.

Je pars en arrière en fermant les yeux, quand je les rouvres, j'ai les mains attacher au dessus de ma tête, je suis dans une arène blanche, plusieurs personne crie en levant le poing :

- CHATIMENT ! CHATIMENT !

Je suis attacher en plein milieu de cet arène, des personnes me jette un liquide rouge en plein face, à l'odeur, je peux croire que c'est du sang.

Les cris de colère se transforment en cris d'hystérie quand un gladiateur habillé en blanc, cheveux blanc, yeux blanc comme les miens, s'avance vers moi en laissant trainer derrière lui son fouet blanc.

Je commence à paniquer, je tire sur les liens, mais rien à faire, ils sont trop serrer, je commence à hurlé à l'aide, mais je n'ai qu'en retour des rire et du sang.

Le gladiateur se met derrière moi et fait claquer son fouet, la foule l'acclame, je me mets à pleurer en suppliant aux autres de me laisser partir.

- Tu as osé enfreindre les règles ! annonce le gladiateur, il faut que tu sois punie !

La foule hurle de joie, j'entends le fouet claquer une seconde fois.

- Tu as parler !

Le fouet claque, mais cette fois-ci sur mon dos, j'hurle un long moment en sentant la douleur se propagé dans tout mon corps.

- Tu as laisser des sentiments salir ton visage !

Il me fouette une seconde fois, j'hurle en essayant de me débattre.

- Tu as fréquenté la mauvaise personne !

Le fouet claque, je me mets à m'excuser pour toutes les choses que j'ai mal fait, mais ça ne les soulagent pas.

- Tu as suivi ta conscience !

Je me penche sur le côté pour essayer d'éviter le fouet, mais ça ne marche pas, et ça me fais encore plus mal.

Quelque chose me secoue dans tous les sens, en m'appelant, c'est mon père, mais je ne le vois pas, j'entends le fouet claquer et s'abattre une dernière fois sur mon dos, j'hurle et m'évanouis.

***

Je me redresse en hurlant, mon père me prend dans ses bras en essayant de me réconforter, maman est derrière lui, la tête baisser, quelqu'un apparaît aussi dans ma chambre, le garçon. Je me met à trembler en me remémorant ce rêve. Ils ont l'air tous les trois gêner.

Mon père me demande si je vais bien, j'hoche la tête en leur demandant, dans la langue des signes, de me laisser seul. Ils sortent tous un par un. Le garçon me lance un regarde en me souriant gentiment.

J'attend qu'il referment la porte pour enlever mon T-shirt et foncer vers mon miroir, je regarde mon dos qui n'a pas changer, à une chose près.

Sur le haut de ma nuque, de couleur rouge sang, se trouve se symbole :

¤

J'abaisse mes cheveux en fermant les yeux, je respire calmement et les soulèves une seconde fois, il est toujours là.

Défaut ? Raison ? vous êtes là ? s'il vous plait, expliquez-moi ce qui se passe !

Personne ne me répond, je mets un T-shirt noir à col roulé puis je descends en bas, en gardant un visage neutre. Mes parents et le garçon se lève en me demandant si je vais bien.

- Oui, c'était juste un cauchemar.

Maman essaye de sourire malgré ses tremblement, je la regarde de haut en bas, j'ai l'impression qu'elle se reteint, papa s'en aperçoit au même moment.

- Merde... chuchote-t-il, rester là, je reviens vite.

Il attrape maman par la main et l'emmène dans la cave, un long silence s'installe, je me tourne vers le garçon, en remarquant que je ne connaît toujours pas son nom.

- Comment tu t'appelles ?

- Alex.

- Ok, merci d'être passer, maintenant tu peux rentrer chez toi.

Il hausse les sourcils et se lève, il me tend des notes en me disant que ce sont les cours que j'ai rater. Il me tend la main, je lui serre en voyant sur sa clavicule un tatouage en grec :

Εἰ μὲ φιλοῦντα φιλεῖς, διπλὴ χάρις· εἰ δὲ μὲ μισεῖς τόσσον μισοίης, ὁσσον ἐγὼ σὲ φιλῶ.

Je lui demande se que ça veut dire, il sourit en rougissant.

- C'était la citation préféré de ma mère, ça veut dire : si tu m'aimes comme je t'aime, c'est double plaisir ; mais si tu me hais, hais-moi autant que je t'aime.

- C'est beau.

- C'est pour ça que ma mère aimait cette citation.

Il attrape son sac et sort, je m'assois sur mon canapé en attendant le retour de mes parents, quand je commence à entendre des bruit bizarre, quelqu'un sonne à ma porte. Je me lève pour ouvrir, Alex est là, avec un grand sourire.

- Ca te dit de sortir ?

- Mais il est tard.

Il hausse les épaules.

- Ce n'est pas grave, aller, vient !

Il m'attrape par la main et referme la porte de ma maison, il me traine jusqu'à sa voiture, je m'assois à côté de lui en lui demandant son âge.

- Dix-huit ans.

- Tu as redoublé deux fois ?

- Oui mais...

Il secoue la tête et démarre la voiture, un long silence s'installe, j'essaye de contacter Défaut et Raison, mais aucun des deux me répond, j'ai l'impression qu'elle me font la tête...

- Où tu m'emmènes ? demandé-je.

Il sourit gentiment.

- En boite de nuit.

- Tu y es déjà aller ?

- Non, et toi ?

Je serre les poings.

- Pourquoi je devrais te suivre ? je ne te connais même pas ! mes parents vont me tuer ! il est tard et...

Il hausse les épaules et commence à faire demi-tour.

- Qu'es que tu fais ?

- Je te ramène chez toi.

- Pourquoi ?

- Tu ne veux pas venir avec moi donc je te ramène.

- Je n'ai jamais dit que je ne voulais pas !

- Donc tu veux y aller ?

- Oui.

Il me sort son beau sourire.

- Trop tard, me répond-t-il, tu vas vite comprendre qu'avec moi, on n'a qu'une seul chance, pas deux.

Il s'arrête devant ma maison, je lui lance un regard noir et je sors de sa voiture.

- Au revoir ! me dit-il gentiment.

J'aurai bien voulu lui répondre avec un geste grossier, ou quelque chose comme ça, mais il m'a saluer tellement gentiment que je ne peux pas, se serai trop méchant, je me tourne vers lui en le saluant avant qu'il ne parte, je rentre chez moi en me rendant compte que je souris bêtement.

Je retourne dans ma chambre en reprenant mon visage neutre et j'ouvre mon tiroir pour sortir mes quatre feuilles.

mais au lieu de ça, il y a un petit carnet blanc laiteux. Je l'ouvre, la première page est celle de mes interdictions et de mes obligations, puis je la tourne et quelque chose est en train de s'écrire, maintenant ! le titre apparaît et mon sang se glace.

ENNEMIS A ELIMINER

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