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Chapitre 8 : Le passé

A peine étaient-elles arrivé chez Antonia que Phybie commença :

« -Pourquoi tu ne m'as pas dit que mon père n'est pas celui que j'appelle papa ?

-Alors tu sais ? Tu as déjà... tu l'as rencontrée ?

-Balder ?

-Zeya, ne le prend pas mal, il vaut mieux que tu rentre chez toi.

-Non, elle reste, montre lui.

-C'est pas une bonne idée Phybie... »

Phybie mit un coup très fort à Zeya, elle se tenue le bras et tourna la tête malgré cela, Antonia vit les yeux de l'adolescente, ils étaient devenue complètement noir et on voyait des flammes dedans.

« -Entré toute les deux... nous devons parler. »

Elles s'installèrent dans la cuisine, Antonia était stupéfaite par Zeya, elle ne se doutait pas un seul instant qu'elle pouvait être un démon. Rapidement, Phybie lui raconta tout ce qu'elles avaient découvertes pendant cette première semaine de vacances.

« -Oh mon dieu... alors c'est toi Zeya qui est... je suis si désolé...

-Pourquoi tu dis ça maman ? Tu n'y peux rien.

-Le jour de ta naissance, ton père a chercher l'autre enfant née le même jour, le petit démon... il voulait... éviter la prédiction.

-Il voulait me tuer en gros.

-Je suis désolé Zeya.

-Pas besoin, ce n'est pas toi qui voulait me tuer, c'est Balder.

-Comme il ne t'avait pas trouvé, il s'est rabattue sur... Phybie.

-Comment ça ?

-Il était prêt à tout pour que la prédiction n'arrive jamais alors il... a décidé de te maudire pour que tu ne sois pas... c'est de ma faute si tes parents ne se sont jamais occuper de toi... tout ce qui t'es arrivé est de ma faute...

-Non maman, tu n'as rien fait.

-Il t'a maudit parce que j'ai ruiné son plan B, comme il ne te trouvait pas, il voulait... tuer Phybie... mais je ne pouvais pas le laisser tuer mon enfant. Je suis partie et j'ai emporter Phybie... je pouvais pas le laisser faire ça à... » Antonia pleurait, elle s'en voulait.

« -Ne pleure pas, je ne t'en veux pas, tu n'y est pour rien. Et puis, je vais bien, mieux je veux dire. Et puis, c'est ta fille, tu ne pouvais pas la laisser mourrir.

-Merci...

-Maman, est-ce que Balder peut faire du mal aux anges ?

-Ma princesse, il ne faut pas que tu revois cette homme, il est dangereux !

-D'accord maman, je ne le reverrais plus.

-Phybie, je suis désolé de ne pas t'avoir dit la vérité mais... je voulais te protéger, je pouvais pas savoir que c'était Zeya le démon... au fond c'est mieux que vous soyez amies...

-Merci maman, on te laisse, Zeya doit aller t'entrainer.

-D'accord, soyez prudente, toute les deux.

-Merci, bonne journée.

-A plus maman. »

Elles sortirent et marchèrent.

« -Je t'accompagne pour ton entrainement ?

-Non, on rentre. C'est beaucoup pour aujourd'hui... je suis fatiguée... d'ailleurs, tu peux rester chez toi si tu veux.

-Pourquoi tu dis ça ? Je reste avec toi, comme prévue ! C'est pas parce que je t'ai presque arraché le bras, si ?

-Tu plaisante j'espère ? Je t'avais à ma merci !

-Dans tes rêves.

-C'est toi qui délirais, pas moi.

-La dépression, tu as surement dû faire une rechute.

-Ne plaisante pas avec ça. » dit Zeya un peu pour plaisanter et un peu sérieusement.

Elles étaient à nouveau chez Zeya, Phybie comprenait sa mère, elle ne pensait qu'à la sécurité de son enfant et d'elle même. Cela dit, quelque chose la tourmentait, sa mère lui avait toujours raconté que leurs mariage avait été trois mois après sa naissance. Sachant maintenant ce qu'elle savait, elle ne comprenait pas pourquoi son père adoptif avait épousé une femme qu'il connaissait à peine depuis trois mois, peut-être moins. En plus, il avait reconnue un enfant qui n'était pas le siens sans discuter. Peut-être un coup de foudre et qu'il ne peut pas avoir d'enfant, ses parents étaient marier depuis presque dix-huit ans et ils n'avaient pas eu d'autre enfants, c'était plausible. Son père devait donc être heureux que la femme de sa vie avait déjà un bébé. Tout cela tournait dans l'esprit de Phybie qui essayait de ne rien laisser paraitre, elle ne voulait pas en parler à Zeya, elle qui avait une histoire bien moins heureuse. Elle avait été abandonnée par ses parents pour être adopter par un couple qui ne voulait pas vraiment d'elle, c'était bien pire qu'une sorte de mal entendue sur la paternité ou les raisons d'un mariage. Il faisait encore jour, Zeya et Phybie était allongées dans l'herbe, dans le jardin.

« -J'ai jamais aimé ce jardin.

-Pourquoi ? Il est charmant ?

-Toute ses plantes, elles attirent les guêpes.

-Aussi les abeilles non ?

-Elles se font dévorer par les guêpes... moi qui adore les abeilles et qui ne supporte pas les guêpes. J'aimerais bien tout enlever et mettre des abris pour hérissons et des fleurs pour les abeilles en plus de repousse guêpes ! Mais c'est mes parents qui veulent se jardin...

-Et c'est toi qui doit y vivre.

-Plus longtemps, ils me mettront dehors quand j'aurais dix-huit ans.

-Ca à l'air de te soulager.

-Encore plus maintenant.

-Je te recueillerais si ils le font, ma mère et mon père seront d'accord, ils t'adorent... maintenant encore plus.

-Ta mère se sent coupable... il n'y a pas de raison pourtant.

-Je crois qu'elle aurait préféré ne pas m'avoir plutôt que de me faire vivre ce qui va arrivé... encore plus maintenant qu'elle sait ce que tu es.

-Ta mère est d'une gentillesse à toute épreuve, tu lui ressemble.

-Merci, c'est le plus beau compliment que tu pouvais me faire... toi tu ressemble pas du tout à ta mère.

-Merci... c'est aussi un très beau compliment. » La voix de Zeya baissait, comme si elle s'endormait.

« -Ne t'endors pas, je pourrais pas te ramener à l'intérieur.

-Je suis fatiguée... je sais pas pourquoi...

-Alors on rentre, tu seras mieux à l'intérieur ! Lève toi maintenant.

-J'arrive. »

Phybie leva Zeya, elles rentrèrent. A peine dedans que Zeya s'endormit, Phybie pue à peine ralentir sa chute. La brulure sur son bras, se dit Phybie, c'était ça. Elle releva la manche de son amie, la peau était bleu/noir avec des sortes d'égratignures dessus. Elle frôla la plaie, Zeya se redressa d'un coup, complètement éveillée.

« -Zeya ! Tu vas bien ?

-Je pense pas. J'ai eu une... vision, enfin, je crois.

-Une vision ? Tu as vue quoi ?

-C'était lumineux, j'ai sentie un grand coup, quelque chose c'est accroché à moi et plus rien.

-Plus rien ou tu t'es réveillé ?

-Je me suis réveillé. Je savais pas que j'avais ce pouvoir, je pensais que c'était toi qui l'avais.

-Moi, ça vaut ce que ça vaut, Balder m'avait dit que seul les anges avaient ce pouvoir, et encore, c'est rare. »

Zeya toucha sa brulure, Phybie le remarqua.

« -Toi aussi tu pense que ça vient de la ?

-Je vais aller voir Rukkia, il pourrait m'aider ou quelqu'un pourrait m'aider.

-O-Yama ?

-Elle ne voudra pas me voir avec ça sur le bras.

-Elle ne supporte vraiment rien d'angélique.

-Elle a perdu un enfant à cause d'un ange... à cause de son maître.

-Balder ? Alors tout les anges sont comme lui ?

-Aucun démon ne veut parler des anges, c'est trop dure pour eux. Je vais aller voir...

-Pas toute seul, je viens avec toi ! Et j'en ai rien à foutre qu'il ne me laisse pas te suivre !

-De toute façon je peux pas me téléporter alors que toi...

-Allons-y ! »

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