Chapitre 14 : Réguler
Phybie s'en était sortit très vite, elle avait fait semblant d'être possédé par le néant et, une fois que Balder l'avait prit, elle prit ses ailes à son cou et détala le plus vite qu'elle pouvait. L'ange « professionnel » ne put même pas activer « l'ordre » pour empêcher Phybie de fuir, elle était d'une rapidité déconcertante ! Seule Zeya pouvait aller plus vite, enfin, c'est ce que pensait Phybie, elles n'avaient jamais fait la course.
Du côté de Zeya, elle avait à nouveau des leçons de retard, O-Yama ne lui en voulait pas, elle avait comprit la situation. Mais néant ou pas, il n'était pas question que son élève continue de se tourner les pouces ! Elle devait toute les rattraper sans plus tarder, Balder avait fait rattraper son retard à Phybie, Zeya devait reprendre de l'avance au plus vite.
« -Tu vas même devoir travailler plus.
-Aucun problème.
-Tu as prit goût à tes pouvoirs ?
-Pire qu'une addiction.
-Tant mieux, plus tu les utiliseras, plus tu seras « accros », plus tu seras puissante.
-Un cercle vertueux en sorte... on commence ?
-Je n'attend que toi. »
Zeya put juste envoyer un message à Phybie pour lui dire qu'elle n'allait pas aller au point de rendez-vous de si tôt. La jeune ange alla donc voir sa mère. Elle était si heureuse de voir sa fille en bonne santé, elle essaya tout de même de lui faire la moral même si sa joie de la voir la rendait pas du tout convaincante. Enfin, quand Phybie lui raconta tout ce qui c'est passé cette semaine où elle avait disparut, sa mère s'arrêta et fut encore plus soulever de la revoir. Balder lui avait perler du néant mais il n'était pas question de tout dire à Phybie, surtout en se moment. Son père la manipuler en de la tuant presque. (Même si, de mon poids de vue de narratrice c'est une vrai tentative de meurtre !) Enfin, elle laissa sa fille prendre une douche et se changer, elle avait aussi besoin de se reposer, après toutes ses émotions...
« -Je suis vraiment désolé maman, je n'aurais pas dû tellement t'inquiéter.
-Ce n'est pas de ta faute ma puce, tu n'y peux rien. L'important c'est que tu vas bien... et Zeya ? Où est-elle ? Elle va bien ?
-Oui, elle est aller... prendre des cours. »
Phybie n'allait pas tout dire à sa mère, surtout que ça ne concernait pas sa mère, c'était les histoires de Zeya. Elle voulait garder les secrets de Zeya rien que pour elle, ça les rapprochaient. Elle regarda son téléphone, un sms de Zeya, elle avait déjà finit ?
« Tu as déjà finit ?
Non pas encore mais j'ai eu le droit à une pause donc je me suis dit que je pouvais un peu te parler. » Phybie rougit en lisant se message, sa mère se mit à rire. Elle savait les sentiments de sa fille, même si ça fille ne les connaissait pas encore.
Si tu serais un mec, je craquerais pour toi tout de suite !
Ne me tente pas ! Plus sérieusement ça c'est bien passé chez tu sais qui ?
Très, il a même pas eu le temps de se rendre compte que j'étais parti que j'étais déjà chez ma mère !
Cool je te laisse je dois reprendre.
Ok tu m'envoye un message quand ta finit. » sa mère leva un sourcil.
« -Dit lui de venir dormir à la maison, je me suis aussi beaucoup inquiété pour elle tu sais, vous voir toute les deux ici me ferais du bien.
-Ok, je demande. »
« Attend, tu veux dormir à la maison se soir ? Ma mère est d'accord.
Ok avec plaisir mais la faut vraiment que j'y retourne.
A+ »
« -Merci maman, c'est gentil.
-C'est normal ma puce, c'est ta meilleur amie après tout. » dit-elle avec beaucoup de sous-entendus que Phybie ne compris pas, enfin c'est ce qu'elle pensait.
« -Zeya, ressent tu des émotions ?
-Jamais trop...
-Comme tout les démons, les émotions sont nuisibles pour les démons mais ceux qui peuvent les ressentir un peu sont les plus puissant.
-A bon ?
-Oui, tes parents étaient les premières démons à ressentir de l'amour, ils en sont devenue assez puissants pour briser leurs chaines.
-Alors ils sont en vie ? » c'était plus par politesse que Zeya posa cette question, O-Yama semblait avoir envie de parler et ça ne dérangeait pas Zeya d'écouter. Ses parents biologique... elle n'en avait rien à faire et n'en avait jamais eu rien à faire.
« -Non, ils sont morts... mais je pense qu'ils t'aimaient vraiment, ils voulaient juste te protéger.
-Je vois... ils sont morts pour me protéger ?
-Oui. Tu as eu un très grand pouvoir mais... tu ne ressent rien.
-Presque rien.
-Au moment de ton éveille tout disparaitra.
-C'est si grave ?
-Non, moi je ne ressens rien et c'est ça qui m'a permit de survivre.
-Heureusement.
-Oui... heureusement. » et la leçon reprit, Zeya devait réussir à arrêter le temps le plus longtemps possible (pardon).
Une fois que Zeya avait finit son entrainement, tout é »tait à nouveau en ordre. Elle alla chez Phybie, l'aida à rattraper ses cours et elles mangèrent avec la mère de Phybie puis elles allèrent regarder la télé dans la chambre de Phybie puis dormirent. Le lendemain, en cour, tout se passa comme d'habitude, à la différence que Phybie n'imposa pas les autres à Zeya pour une fois. Dans son inconscient, elle voulait être sa Zeya.
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