Dernier jour
Je me réveilla, un peu sous le choc. Ma tête tournait et je ne pouvais pas rester en place. Je me leva difficilement de mon lit. En fin de compte, l'alcool ne me réussi pas du tout. Je me leva et me dirigea vers ma salle de bain, prendre une bonne douche chaude et me brosser les dents. Ma serviette enroulé autour de ma taille, ma brosse à dents dans la bouche je m'avança dans ma chambre. MERDE! Je me retrouva, face à mon lit, une touffe de cheveux dépassait au dessus de mes draps. Un gars dormait dans ma chambre, dans MON lit. Je ne me rappelais de rien depuis hier soir. Je ne me rappelais même pas de ce qui c'était passer hier. Le garçon mystérieux se retourna dans le lit et leva la tête, il me regarda et je me rassura en découvrant le doux visage de Laurent au matin.
-Salut toi! Tu m'as fait peur, je ne savais pas que c'était toi! Je pensais qu'un homme pas rapport étais dans ma chambre, en faite, dans mon lit. Di-je avec difficulté, la bouche pleine de dentifrice.
-Non princesse, ce n'est que moi. Dit-il en s'assoyant en tailleur sur le lit.
-Attend, rassure-moi on a pas... Di-je inquiète.
-Non, il ne sait rien passer entre nous, pourquoi? Tu ne t'en rappelle pas?
-He non... La seule chose dont que me rappelle de hier c'est quand Tristan et Lauriana jouaient au dentiste sans les mains.
-Ark j'ai encore l'image!
-Ark! Haha!
-Bon Bella, café ou thé? Dit-il en se levant en en enfilant un jeans noir qui traînait près du lit.
-Thé pour moi, merci! Di-je en lui donnant un gros bisou dentifrice sur la joue, avant qu'il ne sorte de la chambre dégouté par se bisou.
Je m'habilla d'une petite jupe blanche à pois noir et d'un petit t-shirt beige ligné blanc et d'une petite veste blanche sur le tout de plus, pour couronné le tout, une pochette rose pastel(MÉDIA). Je pris mon téléphone, puis sortie sur le balcon, admirer la vue. J'avais 3 appelles manquer de Leila. Je l'appela et elle décrocha après 3 essai.
CONVERSATION TÉLÉPHONIQUE
-Hey! Leily! Pourquoi tu m'as appelé tout à l'heure?!
-Heu fallait que je te dise quelque chose...
-Oui quoi? Je t'écoute.
-Heu, j'ai reçu un message, anonyme. Il disait que Cédric allait mal
-Cédric?!
-Oui, tu sais, s'est parents vont mal en ce moment, et sa l'affect beaucoup...
-Qu'est-ce que tu veut dire?
-Je ne sais pas, le message ne disait rien de plus... Bon là il faut que j'y aille, Christophe m'a préparé un petit déjeuner entre amoureux sur sa terrasse!
-T'as dormis chez lui?!
-Heu ouais..! Bon faut vraiment que je parte il insiste vraiment là. Haha arrête Christophe! Lui dit-elle.
-Bon bye Juliette! Tu dira bonjour a ton Roméo de ma part!
-Je le ferai. Ciao!
FIN CONVERSATION TÉLÉPHONIQUE
-Alors, je t'es pris du thé algrey mais je ne sais pas trop le quel tu prend.
-C'est pas grave... Ça te dis de manger sur la plage, pour changer?
-Génial! Dit-il en sortant de la chambre avec moi à ses côtés.
Nous nous arrêtions devant ma porte, le temps de s'embrasser et de se retourner et de voir Lauriana et Tristan qui sortait en douce de la chambre à côté.
-Heum heum. Di-je en même temps que Laurent en les regardant.
-Hey salut! Ça va? Disent-ils en s'arrêtant et en fessant les innocents.
-Non ne me dites pas que...
Ils se regardèrent, l'aire coupable avec un sourire coquin sur le visage.
-NON! S'il vous plaît! Pas ici! Pas chez moi! Pas dans la chambre à côté! Pas dans ce lit!
-Désolé, Anaïs, je m'excuse... Un chose est sûre, le lit est très confortable...
-TRISTAN! Di-je en lui gelant dessus.
-Bon heu je cois que l'on vas y aller nous... Dit Lauriana en tapotant sur l'épaule de Tristan.
-Ouais c'est ça partez. Di-je en leur pointant la direction à suivre vers la porte d'entrer.
-C'est beau l'amour... Dit Laurent en les regardant partirent en riant.
-Oui, mais pas chez moi, et surtout pas dans le lit à côté! Di-je en riant.
En nous dirigeants vers les escaliers, nous croisions ma mère et mon père en train de donner des directions a des hommes qui amenait leurs meubles et leurs affaires hors de la chambre.
-Maman?!
-Ha salut vous deux! Ça va? Laurent tu es très beau aujourd'hui!
-Merci Marie?!
-Bon maman, arrête te matter mon mec et dit moi plutôt ce qui ce qui ce passe. On déménage?
-Nous oui, toi non.
-Je comprend pas là... Di-je en les regardants d'un regard interrogateur.
-Ce que ta mère veut dire c'est que. Tu deviendra reine dans moins de 48h, ce château t'appartiendra et nous nous ne vivrons plus ici, quoi.
-Papa, mais où allez vous habités sinon?! Di-je inquiète pour eux.
-Dans le cotage sur le bord de la côte, vers le village d'Oréa.
-Mais là... Moi toute seule ici? Je ne pourrais jamais!
-Chérie tu ne sera pas toute seule! La personne derrière toi, elle ne va pas habité dans sa maison au village. Dit ma mère en pointant derrière moi.
Je me retourna et vis Laurent qui regardait le plafond l'aire de rien.
-Oui mais sans vous à mes côtés, même si j'ai mon amour avec moi, je ne réussirai jamais à mis faire... Di-je en regardant mes pieds de tristesse.
-Bella, ne pleure pas... Dit Alexandre en me prenant dans ses bras.
-C'est dure... Di-je en laissant couler une larme sur ma joue.
-Bon, aujourd'hui, tu vas t'amuser, ok? Tu vas te laisser aller et profiter de t'es dernières heures de liberté, sans te vexer Laurent. Dit Marie en m'enlaçant à son tours.
-Non, non, pas de problème, moi aussi il faut que je profite.
-Bon bien, passer là journée ensemble à vous amusez tout les deux! Dit ma mère en nous donnant chacun un bisou sur la joue.
On descendis et parties manger sur la plage comme prévue.
Après quelques heures de baignade, Leila et Christophe nous rejoignit et nous passions l'avant midi sur la plage. Jake arriva quelques minutes plus tard en nous disant qu'il venait de rencontrer une personne, LA personne de ses rêves, c'est vraie qu'il nous a un peu casser les pieds aussi avec ça même. Puis en soirée Laurent est partie, suivi de Leila et Christophe, il ne restait plus que Jake et moi. Alors nous sommes allés se promener dans la ville vers 7h30, juste pour se détendre un peu avant demain.
-Bon, alors, tu l'aime? Demande-ai-je curieuse.
-Putain, je n'ai jamais été amoureux et ce que je ressent, je ne l'ai jamais ressenti avant...
-Comment elle s'appelle la femme parfaite alors? Di-je en lui tapant l'épaule amicalement.
-Qui te dit que c'est une fille?
-QUOI?! C'est un mec? Je pensais que t'étais hétéro!
-Bin, au départ j'étais sûr que je l'étais, j'avais même un petit kic sur toi, enfin je croyais. Puis je l'ai rencontré, Michael...
-Merde, jamais j'aurai penser que tu étais gay, en tout cas contente pour toi... Di-je en devenant mélancolique tout à coup.
-Pourquoi t'es triste?
-Quoi, tu ne lis pas dans mes penser pour savoir? Di-je surprise.
-Je sais que tu pense à Cédric mais je voulais juste savoir si tu ne m'aurait menti ou pas.
-Pffff. Di-je découragé.
-Tu veut le voir avant demain?
-Ouais, en fait je dois lui parler.
-Pourquoi? Tu ne l'as pas vue depuis 4 ans.
-Oui mais en fait, quand on était ami, je ne m'en suis pas rendu compte avant mais j'avais en quelque sorte un kic sur lui, alors...
-Tu veut savoir si tes sentiments sont encore présents et si tu es vraiment sûre de ta décision finale.
-Putain que je t'aime toi, ça fait du bien d'avoir une personne qui comprend totalement tout ce que je ressent, sans que je lui explique tout en détails!
-Moi aussi je t'aime. Dit-il en me donnant un câlin.
-Je dois aller chez lui, maintenant. Di-je décidée.
-Tu sais où c'est?
-Non pas trop.
-2247 Rue L'apologéa, enfin c'est là que la dernière personne qui l'a vue, la vue.
-Merci!
Je pris le temps de lui dire au revoir, de lui donner un bisou sur la joue et de partire en direction de cette maison. En arrivant devant cette maison qui m'étais totalement inconnu, les lumières étaient éteintes et quelques unes des fenêtres étaient casser. Des boîtes de cartons traînaient dans l'allée, devant la porte. Elles étaient en très mauvaises états comme si elles étaient là depuis très longtemps. Avec peine et misère, je me faufila entre elles pour me rendre devant l'entrée principale. Je sonna plusieurs fois mais personne ne vient m'ouvrir, je toca sur la porte puis elle s'ouvrit toute seule au simple contact de mon point ferme sur celle ci.
-Cédric? Tu est là? Di-je en ouvrant la porte complètement et en entrant dans la maison.
La maison était froide et inhabité de toute forme de vie. De la poussière revolait de partout et seul quelques rayons de lumières entrai dans la maison.
-Cédric? Cééédric?
-Qui est là? Dit une voix épeurante qui m'étais totalement inconnu.
-Je suis une amie de Cédric, et, et vous qui, qui êtes vous? Di-je la voix tremblante de peur.
Une ombre descendit les escaliers qui me fessait face. Une personne qui m'avais tout l'aire d'un homme se trouvait devant moi mais sa grande silhouette sombre ne me disais absolument rien. Il était grand, le dos courbé et tout ce que je réussissait à percevoir de lui était ses cheveux en batailles.
-Tu ne devrait pas être là, Anaïs.
-Qui êtes vous et comment savez vous mon nom?
Cette silhouette s'avança vers moi puis m'agrippa le bras si fort que mon sang avait du mal à se rendre à ma main.
-Vas t'en, et ne reviens plus jamais s'il te plaît...
-Je ne partirai pas avant de savoir ce que tu a fait à Cédric salle monstre!
-Anaïs, je ne suis pas un monstre mais tu apprendra tout au moment venu...
En s'éloignant de moi, le garçon se recula et traversa dans uns des uniques rayons de soleil de la maison, je pue enfin apercevoir les traits de son visage. Un visage avec pleins de cicatrices, d'ouverture et de sang qui en dégoulinait.
-Cé,..., Cé,..., Cédric. C'est toi?
-Anaïs vas t'en.
-Mais Cédric tu es bléser! Di-je en m'avançant vers son visage meurtri.
-Anaïs! Tu n'as rien à faire ici! Dit-il en me frappant violemment dans les côtes.
Ce coup violent me projeta par terre d'un seul coup. Je me releva avec le peut de force qu'il me restait. Je me retrouva sur mes deux pieds, en voyant la silhouette s'avancer vers moi, je ne voulait pas qu'il me fasse plus mal. Cédric était devenue un monstre, la pire personne dans ce monde. Par peur qu'il me fasse mal à nouveau, je me dirigea vers la porte, sortie du bâtiment, puis m'arrêta au milieu de la rue, l'orque j'entendis un "ANAÏS! ATTENTION" je n'ai qu'eu le temps de me retourner pour voire une voiture s'avançant à pleine vitesse vers moi.
La douleur était horrible.
Tout devenue flou
Puis noir. Puis,
Plus rien...
~PDV DE LEILA~
Il était près de 2h du matin que mon téléphone sonna.
CONVERSATION TÉLÉPHONIQUE:
-Bonjour vous êtes bien Leila McAdams?
-Oui c'est moi? Qui est-ce? Di-je endormi.
-Je vous appelle pour vous informer que votre amie Anaïs Lalonde à été retrouvée bléser et en difficulté, elle est présentement aux urgences. Nous avons trouver sur elle qu'un carnet d'adresses et un téléphone alors nous vous avons contacté le plus rapidement possible.
-Hô mon dieu merci, j'arrive.
Je me leva et ne pris même pas le temps de m'habiller que j'écrivis une lettre que je laissa sur le contoire de la cuisine "Papa, Maman, Anaïs est en difficultés je suis partie, si vous me cherchez je suis à l'hôpital. Biz". Je pris juste le temps de prendre mon téléphone et un peu d'argent puis sortie de chez moi rapidement. J'embarqua dans ma voiture, la démarra et partie le plus vite possible vers les urgences.
Arriver à l'hôpital je me précipita vers la réception en courant le plus rapide que je pue.
-Bonjour je p...
-J'ai une amie qui a un problème, où je peut la trouver? Di-je en interrompant la dame.
-Son nom s'il vous plaît?
-Anaïs Lalonde.
-Au 3ème avec les urgences, chambre 125.
-Merci beaucoup. Di-je en courant vers les escaliers.
En arrivant dans sa chambre d'hôpital, il n'y avait qu'une jeune fille de dos qui semblait avoir notre âge, elle avait les cheveux d'un beau dégradé de brun ondulés. Elle tenait la main d'Anaïs en pleurant toutes les larmes de son corps, sa tête posée sur son bras.
-Bonjour. Di-je en m'approchant du lit.
-Bonjour. Me dit la jeune fille en se retournant, les yeux rouges en eau.
Je dirigea mon visage vers celui d'Anaïs. Elle avait des centaines de tuyaux et de truques accrocher à elle et son corps. Des tuyaux dans le nez, dans le bras, des marques de mains sur le bras et une grosse prothèse qui lui entourait la poitrine.
-Je te connais?
-Je suis Sarah.
-Moi c'est Leila... Comment tu la connais?
-On, on, comment dire, on était dans le même orphelinat ensemble, nous étions très proche...
-Hô...
-Toi?
-On est meilleures amies toute les deux.
Nous avons arrêtés de parler puis nous avons attendu les parents d'Anaïs qui habitait plus loin.
Plus de 40 minutes se sont écoulées avant qu'ils n'arrivent.
Cette matinée était horrible. Plusieurs médecins ont fait des aller-retour dans la chambre soit pour s'occuper d'elle, d'autre nous informaient sur sa santé. Tout ça ne sentait vraiment pas bon. Vers 4h30 un médecin, demanda à Marie et Alexandre de sortir pour parler d'elle, puis après qu'il leurs ai dit quelques mots, Marie s'effondra de pleur.
-Que se passe-t-il Alexandre? Demanda Sarah qui voyait que Marie était vraiment pas en état de parler.
-Le docteur nous a dit que,..., Anaïs avait quelques côtes cassées et qu'avec le choc, elle se serait cogner la tête sur quelque chose qui lui aurait abîmé la boîte crânienne. Répondit Alexandre en s'asseyant sur une chaise, près du mur du fond, sous le choc.
Nous restions tous 30 secondes à ne rien dire et juste garder la bouche grande ouverte les larmes qui glissaient sous nos paupières.
À ce moment, Laurent, Tristan et Lauriana arriva précipiter dans la pièce.
-Leila ques ce qui ce passe, j'ai reçu ton messag... Dit Tristan puis s'arrêta net en voyant Anaïs étendu dans le lit d'hôpital.
-Je, je ne voulais pas que vous le découvrirez comme ça... Je... Di-je confuse.
-Anaïs ma chérie... Elle, elle, elle... Dit Laurent en s'approchant d'elle, avec des centaines de larmes coulant sur ses joues.
-Non Laurent, elle est juste assommer pas... Enfin tu sais quoi...
Ils s'assirent à mes côtés puis nous restions, près d'elle. Des cicatrice plein le visage, un bras dans le plâtre, des côtes brisées, une vie...
Entre les mains du destin...
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Salut! Bon, chapitre pas comme les autres je sais... Un peu dark surtout... Mais bon c'est bien le changement parfois, très long aussi.
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