Louise : Voilà je vous présente ma confiserie mademoiselle!

Anaïs : Et bien, dites-moi, je n'avais jamais vu tant de sucreries réunies !

Louise : Oh, tu peux t'en servir, ma jolie fleur.

Anaïs : Ca me fait si étrange de me faire tutoyer, mais continuez je vous en prie c'est un sentiment agréable.

Louise : Hi, hi. (Quelqu'un arrive) Oh et bien voilà notre premier client de la matinée ! Que souhaites-tu mon petit ?

Jean : Un marshmallow madame.

Louise : Ca fait 10 centimes, petit cœur!

Jean : Voilà madame! (il paye puis sort)

Louise : Il vient tout les mercredis, le petit Jean.

Anaïs rit. William entre (perdu dans ses pensées)

Louise : Bonjour, de quoi avez vous besoin, jeune homme.

William : D'une femme... Euh... à non excusez moi... deux réglisses et un berlingot s'il-vous-plait.

Louise : Anaïs, tu peux aller me chercher le bocal de berlingots s'il te plait ?

Anaïs : Ah... Euh oui tout de suite tante! (elle a vu William et tombe dans des pensées amoureuses)

Anaïs passe devant William pour prendre les berlingots. A un moment elle tourne la tête et voit William qui la regarde aussi. Elle rougit et retourne sa tête vivement. Puis elle donne le bocal de berlingots à sa tante.

Louise : Un franc s'il vous plait

William (donne le franc et reçoit les bonbons) : Merci, madame

William sort avec le cœur qui bat.

Anaïs (en train de sortir) : Je reviens tout de suite!

Louise : Où vas tu ainsi ? (Anaïs est déjà sortie) A les jeunes...