Chapitre 17 : Help
Précédemment :
Wendy (en colère) : Fermez vos gueules ! Pendant que vous êtes en train de vous chamailler comme des idiots, Juvia est en danger. Il faut la sauver au plus sacrant. Alors, j'veux plus entendre une connerie et vous ouvrez votre sale bouche seulement si vous avez un plan, pigé ?!
On regarde tous Wendy les yeux écarquillés, surpris par sa réaction, elle qui est de nature si calme. Par conte, elle a un point. Il faut trouver une façon de sauver Juvia le plus vite possible, avant qu'il soit trop tard.
Grey (froidement) : Elle a raison. Merci, Wendy. Alors que tout le monde m'écoute, j'vais pas me répéter. Voici, le plan. Natsu, Gadjeel et Reby vous monter avec moi. Erza, Wendy et Roméo, vous monter avec Jellal. Nous on va chercher à l'est de Magnolia, et vous à l'ouest. Fouiller toute les coins de rues, les ruelles, les coins abandonnés, les forêts, les endroits sombres de la ville, sans exception. Chercher partout !
On se regarde tous, étant tous d'accord avec le plan.
Natsu (cris d'encouragement) : C'est partit, je m'enflamme !
Tous : Ouais !
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PDV Juvia
Quand je reprends conscience pour la deuxième fois depuis que je suis dans cet endroit infernal, je me rends compte que mes mains sont ligoté à une corde suspendue au plafond. Elles sont attachés tellement serrés que je ne les sens même plus, alors que mes pieds ne touchent même plus au sol.
Lyon (impatient) : Bon, t'es enfin réveillé. Pas besoin de te dire que ça va mal fourrer une fille quand elle est inconsciente hein.
Juvia (en colère) : J'vais pas te laisser m'approcher, sale psychopathe.
Lyon (rigole) : Psychopathe hein ? Ta encore rien vue, tu sais même pas à quel point j'peux l'être.
Juvia (malicieuse) : Une merde comme toi me fais pas peur.
Lyon (sombrement) : Tu devrais.
Il s'approche dangereusement de moi, m'attrape la gorge et commence à la serrer, pendant que je suffoque. Il ressert sa poigne encore plus, au point de sentir ses ongles s'enfoncer dans ma peau. J'essaye de le repousser avec mes mains, de les retirer de ma gorge, mais je n'arrive qu'à empirer la situation. Je sens que l'oxygène me quitte, et que la mort approche. Il finit par retirer ses mains en rigolant machiavéliquement.
Je tousse bruyamment en respirant difficilement. Du sang coule de ma gorge meurtri, après qu'il a enfoncé ses ongles dans ma peau.
Juvia (en colère) : Sale monstre.
Lyon (malicieux) : Ah bon ? J'croyais que c'était ton type, vue que tu es tombé sous le charme de Monsieur Bite de Glace. J'crois que tu sais pas vraiment t'es tombé amoureuse de qui, ma pauvre.
Juvia (rigole sarcastiquement) : Ouais, j'crois que je le sais. Mieux que toi. Grey a beau être un salaud baiseur de putes, il ne ferait jamais ce que tu es en train de me faire.
Lyon (impatient) : Bon, trêve de bavardage, tu me soûles. Il est temps de passer au chose sérieuse.
Il se penche devant moi, relève ma robe noir, puis retire violemment ma culotte. J'essaie de croiser mes jambes du mieux que je peux pour lui empêcher l'entré dans ma féminité. je commence à hurler, en espérant que quelqu'un puisse m'entendre. Il prend ma culotte, puis me l'enfonce dans la bouche pour me faire taire.
Je gigote dans tous les sens, essayant de me libérer de ces cordes, sans succès. Une idée me vient alors en tête : mes mains sont ligoter, mais pas mes pieds. J'attends donc le bon moment pour m'en servir, car si mon plan échoue s'en est finis de moi. Lyon approche son visage de ma féminité, sa main s'apprêtant à la pénétrer. Voilà le bon moment. Je lève mes jambes et frappe violemment son visage avec mes pieds. Il tombe brusquement sur le sol, le visage en sang.
Lyon (en colère) : That's it, tu vas me le payer.
Il se dirige vers une petite table en bois, où un sac s'y trouve. C'est avec terreur que je le vois sortir un pistolet, puis le pointe vers moi. Il revient dans ma direction en rigolant machiavéliquement.
Lyon (machiavéliquement) : Alors voilà comment on va faire : tu parles, tu bouges, tu fais un son, je te tire. T'as pigé, sale pute?
Je commence à trembler, les larmes coulent sur mon visage meurtri par les gifles qu'il m'a infliger.
Il met son fusils dans ses poches de son jeans, puis m'empoigne le bras.
/!\ LEMON HARDCORE /!\
**(Cette scène décrira explicitement un viole, donc pour les âmes sensibles, veuillez sauter cette partie jusqu'à temps que vous voyez la fin du lemon. À la fin du chapitre, je vais faire un petite parenthèse en lien avec cette scènes choquante). **
Il sépare violemment mes cuisses, puis observe mon vagin malicieusement. Il introduit deux doigt à l'intérieur et fais des vas et vient brusque, qui au lieu de me procurer du plaisirs, me fait atrocement mal. J'essaie d'hurler de douleur, mais ma culotte m'empêche de le faire.
Je le sens allez de plus en plus profond, en ajoutant des doigts au fur et à mesure de ses vas et vient. L'atroce douleur qui me prend quand je le sens atteindre la membrane de mon hymen. Quelques millimètres de plus, et il le déchire. À mon grand soulagement, il retire ses doigts, mais attaque mon entré avec sa langue, à mon plus grand malheur. Je pleure de dégoût, pendant que des spasmes me parcours de corps.
Je sens sa langue de vipère dégueulasse tourner comme une torpille autour de ma cerise, puis un pincement douleur me fait cambrer. Ce salaud vient de me mordre le clitoris, mais de façon à t'exciter, non. Plus comme si un requin venait de me mordre le vagin en entier.
Un rire machiavélique de satisfaction sort de sa bouche, alors qu'il se relève en déboutonnant son jeans.
Lyon (malicieusement) : Au moins, je dois t'avouer que tes trop bonne. J'crois qu'on va bien s'amuser.
Il détache les cordes du plafond, puis les attaches maintenant à un poteau, en me tirant violemment par en arrière. Les mains ligoter en arrière du poteau, j'essaie de détacher les cordes sans qu'il puisse me voir, pendant qu'il retire son jeans. Se trouvant en boxer devant moi, je peux le voir bander, me procurant une énorme envie de vomir. En s'approchant de moi, il réussis à apercevoir mes mains en essayant de me libérer. En colère, il me gilfe le visage, puis sort son arme.
Il pointe le pistolet vers moi, puis tire sur ma cuisse. J'agonise de douleur, n'ayant jamais souffert comme ça de toute ma vie. Ma cuisse commence à pisser le sang, mais Lyon s'en fout.
Lyon (froidement) : J'espère que t'a compris le message. Ça t'apprendra, connasse.
En lançant son arme sur sa pile de vêtements, il vient ensuite se placer devant moi, son membre devant mon visage. Il baisse son boxer, puis retire la culotte de ma bouche.
Lyon (froidement) : Suce-moi.
Juvia (en colère) : JAMAIS !
Il retourne son prendre son arme, et le pointe encore une fois sur moi.
Lyon (en colère) : T'en veux encore ?! Je pourrais te tirer sur la poitrine cette fois, ou dans la tête tiens ?
Juvia (pleure) : Snif...
Lyon (froidement) : C'est bien ce que je pensais aussi.
Il lance son arme, puis met son verge devant ma bouche. Avec dégoût, j'ouvre ma bouche alors qu'il introduit violemment son pénis dans celle-ci. Je commence à faire des vas et vient, pendant qu'il mes ses mains derrière ma tête, tirant sur mes cheveux. Les larmes coulent et coulent et coulent sans jamais s'arrêter.
Que quelqu'un me sauve de ce cauchemars !
/!\ FIN LEMON HARDCORE /!\
PDV Jellal
Ça fait déjà une bonne demi-heure qu'Erza, Wendy et Roméo cherchons Jubia, et nous n'avons toujours pas de piste. Grey et moi s'appelons fréquemment pour savoir si nous avions trouver quelque chose, par quoi nous répondions négativement. Nous avions commencer par chercher dans le coin de la Gare de Magnolia, sans résultats. Puis, nous nous étions déplacer vers le centre-ville, toujours rien.
Nous sommes maintenant en train de nous diriger dans le coin de la Cathédrale Cardia. Je vois dans le rétroviseur de ma voiture que Wendy et Roméo se tienne la main, ce derniers essayant de la calmer du mieux qu'il peut. Quant à Erza, elle est accoter sur le bord de la fenêtre à regarder dans le vide. Je peux apercevoir quelques larmes couler, qu'elle essuie rapidement.
Nous nous sommes pas reparlé depuis notre dispute chez Natsu. Maintenant, je me sens pas mal coupable d'avoir réagis si brusquement avec elle. J'ai un peu exagérer et je regrette vraiment ce malentendu.
Je dépose ma main sur la sienne, puis la serre doucement. Elle se retourne surprise, regarde nos mains, puis moi.
Jellal (doucement) : On va la retrouver, Erza. Je te le promet.
Erza (chuchote) : Comment peux-tu le savoir ? Si seulement j'avais utiliser mon cerveau quand j'ai vue Lyon et Juvia, elle serait en sécurité. Dieu seul sait ce qu'il est en train de lui faire en ce moment.
En colère, je freine brusquement la voiture. Erza me regarde choquer, alors que je me tourne vers elle.
Jellal (en colère) : Erza Scarlet, sur la tombe de ma mère, si tu dis encore une fois que c'est de ta faute, je te jette hors de cette voiture, t'a compris ? Les seuls à blâmer sont Lyon et Sting. Tu n'aurais jamais pu le savoir à ce moment-là que Lyon était malveillant. T'es pas responsable de ce qui peux bien arriver à Juvia en ce moment. Et je suis sûr que si elle était là en ce moment, elle te dirais la même chose. Alors, sèche tes larmes, garde la tête haute, et utilise ton sang froid et ta colère pour nous aider à trouver une de tes meilleures amies !
Erza me regarde surprise, les yeux grands ouverts. Puis, elle finit par faire un petit sourire, hoche la tête, essuie son visage et se replace, la tête haute.
Je sourit à mon tour, puis repars la voiture.
Erza (doucement) : Merci, Jellal. Je de la chance d'avoir un ami comme toi.
Je serre fortement le volant, et jette un coup d'oeil rapide vers Erza. Ouais, ami.
Jellal (petit sourire) : Le chanceux ici c'est moi...
Un petit sourire timide se dessine sur son visage, puis elle reporte son attention sur la fenêtre, alors que moi je pèse sur le gaz et roule à toute vitesse, à la recherche de ma jumelle de cheveux bleuté.
PDV Luxus
Arrivé chez Mira, je débarque en trombe de la voiture, puis ouvre la porte arrière pour la voir elle et Lucy détruite par la disparition de Jubia. Mira me fait signe de prendre Lucy et de la monté jusque chez elle, n'ayant pas l'énergie de monter par elle même. J'obéis et prend Lucy dans mes bras, alors que Mira sort de la voiture par l'autre porte. Nous montons en silence, pouvant entendre que les reniflements et les pleurs des deux filles.
Une fois entré chez Mira, je dépose doucement Lucy sur le divan, puis me dirige vers le frigidaire me prendre un bière. J'ai besoin de me calmer sinon je vais tout casser. Mira va s'asseoir près de Lucy, puis lui caresse les cheveux.
Mira (pleure) : Au moins, tu es saine et sauve. Maintenant, il faut sauver Juvia. Et j'ai confiance en nos amis, ils seront la retrouver. Je sais que ce soir n'est vraiment pas un succès, mais je te promet que tout rentreras dans l'ordre, okay ? Tu as ma parole, Lucy.
Lucy (se lève) : J'ai besoin d'être seule.
Je vois Lucy se diriger comme un zombie vers la chambre d'invité, puis fermer la porte. Mira se lève à son tour et se dirige vers moi. Je la prends dans mes bras, puis lui donne un bisou sur la tête.
Luxus : Ça va s'arranger, j'men occupe.
Je boit le reste de ma bière cul sec, la dépose sur le comptoir et sort rapidement de l'appartement. J'embarque dans ma voiture et pars à toute allure vers l'Allée Centrale de Magnolia.
Juvia a besoin de toutes aides possible.
PDV Lucy
Une fois la porte fermé, je me dirige dans la salle de bain communicante à la chambre d'invité. Je me place devant le miroir, et observe ma silhouette de morte vivante dans la glace : mes cheveux en bataille, le sang sur mon crop top blanc nouvellement acheté de hier, mon maquillage coulé sur mes joues, mon rouge, ma bouche pâteuse, bref un désastre.
Je détache mes cheveux, le peigne délicatement, retire mon maquillage avec un démaquillant qui se trouvait sur le comptoir du lavabo et retire mes vêtements tâché par le sang d'un salaud.
Décidant de me couler un bain, j'y entre et accote ma tête sur le rebord de celui-ci. Je ferme les yeux et essaie de me vider la tête, mais pour je ne sais quel raison, un souvenirs me reviens à l'esprit.
~ Flashback 12 ans plus tôt (Lucy et Juvia avaient 6 ans) ~
PDV Omniscient
Juvia (sourit) : Allez, Lucy ! Tu es capable, regarde je vais te montrer.
La petite bleuté monte sur la bicyclette et roule en tournant en rond autour de sa meilleure amie blonde. Juvia est en train d'apprendre à petite Lucy comment faire de la bicyclette.
Lucy (peur) : Je vais jamais y arriver, Juvia. J'ai trop peur.
Juvia (sourit) : Ne t'en fais pas, je vais t'aider. Regarde, assis-toi sur le siège du vélo, bon. Maintenant, tiens bien les poignées. Parfait. Là, tu va doucement pédaler. T'inquiète pas, je vais tenir ton siège, comme ça tu pourras pas tomber.
Lucy (peur) : Tu es sûr ?
Juvia (sourit) : Oui, Lucy. Tu vas y arriver.
La mini blonde commence tranquillement à pédaler, puis après quelques secondes elle arrive à se stabiliser avec son vélo.
Juvia (rigole) : Tu vois, ce n'est pas si compliqué, n'est-ce pas ?
Lucy (sourit timidement) : Oui !
Lucy continue à pédaler lentement, jusqu'à un certain point où Juvia finis par lâcher le siège du vélo. Lucy arrive finalement à faire de la bicyclette toute seule, comme une grande fille.
Juvia (crie) : Continue comme ça, Lucy ! T'es la meilleure !
Lucy (joyeuse) : Regarde, Juvia ! J'y arri--
BOUM !
Lucy bascule sur le côté, puis tombe lourdement sur le trottoir de ciment. Elle se met alors à pleurer de douleur. Juvia se précipite vers elle, inquiète.
Juvia (inquiète) : Lucy, ça va ? Où t'as mal ?
Lucy (pleure) : Les genoux, snif, et les coudes, snif snif.
Juvia : Okay, montre les moi, je vais regarder.
Lucy tends alors son coude droit doucement, en s'essuyant le visage. Juvia l'observe minutieusement, comme si elle est une vrai infirmière.
Juvia (sourit) : Celui-ci n'est pas si mal. Montre-moi l'autre coude ?
Lucy tends donc son autre coude, puis Juvia refait donc le même processus d'inspection.
Juvia (grimace) : Ouch, celui-là va avoir besoin d'un bandage. Mais ne t'en fais pas, dans trois jours, tu n'auras plus mal. Montre-moi tes genoux, maintenant.
Lucy regarde son coude meurtri, puis recommence à pleurer.
Juvia (rassurante) : Oh, ne pleure pas, Lucy. Tu es une grande fille, et les grandes filles ne pleurent pas. Allez, tends-moi tes genoux.
Lucy se calme, puis tends alors ses genoux. Jubia les examine attentivement, puis donne son verdict de médecin.
Juvia (sourit) : Donc, ton genoux gauche est à peine éraflé, ce qui est une bonne chose. Pour ton genoux droit, il saigne un peu, mais le désinfecter avec de l'alcool devrait être assez.
Lucy (triste) : Juv-Juv ?
Juvia (sourit) : Oui, Lu-lu ?
Lucy (inquiète) : Est-ce que je vais mourir ?
Juvia (rigole) : Je dirais que tes chances de survies sont de 100%.
Lucy (inquiète) : Est-ce que toi tu va mourir ?
Juvia (pensive) : Eh bien, tout le monde meurt éventuellement, mais ne t'inquiète pas, ce ne sera pas avant un très très long moment. T'en fais pas, je vais rester dans les parages le plus longtemps possible.
Lucy (triste) : Et si tu meurt avant moi ? Qu'est-ce que je vais faire ?
Juvia (sourit) : Si ça arrive, tu seras déjà une très grande fille, tu sera heureuse avec une famille et des enfants, et tu sera très bien te débrouiller sans moi.
Lucy (triste) : Je crois que vais toujours avoir besoin de toi, Juv-Juv.
Juvia (sourit) : Allez, je vais prendre le vélo. Ça te dit d'allez faire un tour chez Erza ? On pourra manger des fraisiers ?
Lucy (sourit) : Oui ! Fraisiers !
~ Fin Flashback ~
Plic ! Plac ! Ploc !
Une larme tombe dans le bain, puis une deuxième et une troisième. Je prends ma tête entre mes mains, puis recommence à pleurer, pour la 2018 ième fois ce soir. Pourquoi ? Pourquoi tout ces conneries m'arrive ?
Pourquoi ma mère est tombé malade ?
Pourquoi elle est morte quand j'avais 6 ans ?
Pourquoi mon père ne m'a pas laissé lui dire Adieu ?
Pourquoi il m'a empêcher d'allez aux funérailles ?
Pourquoi mon père me déteste ?
Pourquoi il m'a expulser de la maison ?
Pourquoi il m'a laissé dans la rue ?
Pourquoi Juvia est partie ?
Pourquoi elle a déménagé ?
Pourquoi elle m'a abandonnée ?
Pourquoi je suis allez à Fairy Tail ?
Pourquoi j'ai échappé mes livres dans les couloirs ?
Pourquoi c'est LUI qui l'ai a ramassé ?
Pourquoi il m'a aider ?
Pourquoi nous sommes devenu amis ?
Pourquoi je suis tomber amoureuse de LUI ?
Pourquoi Grey et LUI ont dit des atrocités pareils ?
Pourquoi j'ai voulu me venger ?
Pourquoi j'ai accepté d'être accompagné par Sting ?
Pourquoi il a essayé de me violer ?
Pourquoi j'ai danser aussi vulgairement avec lui devant LUI ?
Pourquoi Lyon a kidnappé Juvia ?
Pourquoi je finis cette soirée pourris le coeur en miette et ma tête en préparation de deuil ?
Pourquoi la seule solution pour régler tous mes problèmes c'est CELLE-CI ?
Je me lève debout dans le bain, sort et me met devant la glace, dégoulinant de partout. J'ouvre le tiroir du comptoir, puis aperçois un rasoir lamé.
Je le prends, m'observe devant le miroir. Je prends une grande respiration, puis commence à me couper le poignet avec la lame.
(Petit message à la fin du chapitre sur cette scène)
PDV Reby
Arrivé devant un bar situer dans le quartier le plus pauvre de Magnolia, Grey, Natsu, Gadjeel et moi y entrons rapidement, en espérant trouver quelqu'un qui peut y avoir vue Lyon ou Jubia dans le coin.
Grey pousse brusquement la porte, et se dirige vers la barmaid du bar.
Grey (froidement) : Hey, toi ! J'veux voir ton manager.
Barmaid (surprise) : Euh, eh bien, bon c'est pour qu'elle raison ?
Grey (en colère) : Ce n'est pas de tes putain d'affaires. Va me le chercher tout de suite, avant que je casse tout.
Natsu (met sa main sur son épaule) : Calme-toi, vieux.
Reby (calmement) : Peux-tu juste allez le chercher, s'il te plaît ? Il y a urgence.
Barmaid (doucement) : Bon, d'accord. Je reviens dans 2 minutes.
Une fois la barmaid partit, Gadjeel se retourne vers Grey, puis lui frappe le torse avec le dos de sa main.
Gadjeel (découragé) : Bien joué, cerveau de glace. La dernière chose qu'on a besoin c'est qu'ils appellent les flics parce qu'on a menacer de vandaliser la place.
Grey s'approche de Gadjeel, puis le regard froidement. Il avait l'air d'être à deux doigts de balancer son poing dans sa tronche.
Grey (dangereusement calme) : Tous ceux qui osent se mettre dans mon chemin pour sauver la fille que j'aime, j'lui nique sa race. Donc, j'm'en balance royalement si les flics débarquent.
Natsu (sarcastique) : J'crois que t'as pas mal le goût de passer tes trois prochaines années en taule, mec.
Grey (se tourne) : La ferme, Natsu.
Reby (roule des yeux) : Bon, j'pense que tout le monde ici a besoin de juste chill out, okay ? Ce que voua faites là sert strictement à rien, à part montrer que vous êtes des vrais gamins de 8 ans.
Avant que les gars puissent répondent quoi que ce soit, la barmaid reviens enfin, accompagné du manager, ou devrais-je dire la manager.
Manager (sourit) : Bonjour, mon nom est Cana Alperona. Je suis la manager de ce bar. J'ai compris que vous me demandiez pour une urgence ?
Reby (inquiète) : Oui, enchanté. Justement, notre amie s'est fait kidna--
Grey (lui coupe la parole, en colère) : Avez-vous vu roder dans les parages un mes aux cheveux argents avec une fille aux cheveux bleues ?!
Cana (curieuse) : Si je peux me permettre, pour quelle raison ?
Gadjeel (froidement) : Nan, justement permet-toi pas. C'est pas vraiment tes oignons, donc fait juste répondre. Tu les a vues, oui ou non ?
Natsu (impatient) : On a pas le temps de tout expliquer, c'est une question de vie ou de mort.
Cana (rigole) : Bon, je vois. Hum, je n'est vu personne. Mais je peux demander à l'une de mes serveuses. Hey, Ultear ! Viens pas ici !
La dénommé Ultear viens nous rejoindre, un peu perplexe.
Ultear (perplexe) : Oui, boss ? Je peux vous aider ?
Cana (sourit) : Ouais, justement. Il se trouve que ces jeunes gens recherches deux pers--
Grey (la coupe, en colère) : T'aurais pas vue un mec aux cheveux argents et une fille aux cheveux bleues ?
Reby (se frappe le front) : 10 sur 10 pour la civilité, Grey hein.
Ultear (pensive) : Euh, non désolé.
Grey (hurle) : Putain !
Ultear (pensive) : Mais attendez, attendez ! Je viens de me rappeler qu'une de mes clientes parlaient toute à l'heure qu'elle devait rencontré un gars aux cheveux argents plus tard dans la soirée.
Grey (paniqué) : Elle t'a dit où elle devait le rencontrer ?
Ultear (pensive) : Si je me souviens bien, c'était pas loin d'ici.
Grey (impatient) : Où exactement ?
Ultear (triste) : Désolé, c'est tout ce que je sais.
Grey (se retourne) : Bon go, on se barre.
Gadjeel et Natsu le suivent à l'extérieur du bar, alors que je prends le temps de remercier Cana et Ultear pour leurs aides.
Reby (pensive) : Oh, j'allais oublier. Savez-vous le nom de votre cliente ?
Ultear (sourit) : Oui, Cherrya Brandy.
Reby (sourit) : Parfait, merci beaucoup !
Puis, je quitte à mon tour le bar, puis entre dans la voiture rejoindre les gars.
Nous zigzaguons dans toutes les rues du quartier, Grey au volant, Natus à coté, puis Gadjeel et moi à l'arrière.
En tournant un virage trop brusque, je tombe maladroitement sur Gadjeel, ce qui me procure des rougeurs intense partout sur le visage. À ma grande chance, il me rattrape avant que je tombe sur une zone un peu plus malaisante, si vous voyez ce que je veux dire.
Reby (rougit) : Désolé, c'est de ma faute si---
Gadjeel (rougit) : T'inquiète, c'est pas ta faute si GREY SAIT PAS CONDUIRE !
Grey (se retourne) : J'tes entendus, connard.
Gadjeel (malicieusement) : C'était le but, justement.
Natsu (roule des yeux) : Mettez là en veilleuse, les gars.
Gadjeel (rigole) : Dit la flammèche.
Reby (roule des yeux) : Incorrigible, c'est imbéciles.
Natsu (sourit) : Et fière de l'être.
Gadjeel (boude) : Pff, parle pour toi.
Soudainement, un téléphone se met à sonner. C'est celui de Grey. Peut-être que c'est des nouvelles de Jellal ?
Grey prends son cellulaire, et nous montre l'afficheur.
Grey (perplexe) : C'est un numéro masqué.
Hésitant, il répond.
Grey (curieux) : Grey Fullbuster à l'appareil.
??? : Serais-tu à la recherche de quelqu'un par hasard ?
Grey (froidement) : À qui je parle ?
??? : Tu devrais le savoir, après toutes ces années. J'avoue que je suis déçu.
Tout à coup, Grey freine brusquement, puis sert son téléphone tellement fort que je pense qu'il va carrément le briser. Son expression est ferme, froide et comme s'il s'apprête à exploser.
Grey (d'une froideur dangereuse) : Lyon.
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Salut salut mes chers lecteurs !
Eh oui, vous ne rêvez pas, voici enfin la suite tant attendu depuis quelque mois ! Comment l'avez-vous trouvez ? Ça vous a plus ? Remarquer que j'ai fait ce chapitre extrêmement long, comme vous pouvez le voir (je crois même que c'est mon plus long chapitre à vie, donc vous ne serez pas déçue) ! Dites-moi tout dans les commentaires, je vous y attends !
/!\ Message concernant la scène de viole /!\
Donc comme vous avez pu voir, cette scène est assez choquante et bouleversante à lire. Je n'avais pas prévu du tout d'écrire des scènes de ce genre dans ma vie aussi explicitement, et je m'excuse pour ceux que ça a choquer. Mais j'ai crue important à la dernière minute d'incorporer une scène comme ça, pour vous montrer un peu ce que peut vivre une personne victime de viole. Peut-être connaissez-vous des personnes ayant vécue cette malheureuse expérience, peut-être même que des membres de votre entourage à déjà été victime de viole et vous ne le savez même pas. Mais en gros, n'importe qui peut se faire violer, personne n'est à l'abri et il faut faire extrêmement attention à ça, ainsi qu'à être prêt à dénoncer ce geste. Certains ne le font pas par peur de réaction de la personne posant le viole, et certains on peur car souvent, les gens qui se font violer, ils se font violer par une personne de leur entourage, et non le courage de la ou le dénoncer pour cette raison.
Mais n'ayez jamais peur de dénoncer, car c'est la clé pour passer au travers de cette triste expérience.
J'ai une amie proche qui a été victime d'un viole, et il se trouve que son violeur était un de ses amis les plus proche. Donc, on ne peut jamais vraiment faire entièrement confiance à quelqu'un et il faut savoir être sur nos gardes.
/!\ Messages concernant la scène de mutilation /!\
La raison pourquoi j'ai mis une scène de mutilation dans cette histoire n'est évidemment pas pour montrer ce geste comme modèle ou pour vous encourager à le poser. J'ai voulu la mettre pour que vous comprenez à travers les futurs chapitres les conséquences grave de la mutilation, et les problèmes que ça peut amener. Donc en gros, c'est pour vous dissuader de poser ce geste un jour, si vous avez déjà envisager l'idée de le faire, car la mutilation n'est pas une solution. Sur le coup, vous croyez que ça vous fait du bien, mais en fait en plus de vous blesser physiquement, ça vous blesse et vous déboussole aussi psychologiquement, laissant des séquelles sur les deux. Alors, pensez-y deux fois avant de poser un geste de ce genre, mes chéries.
Pour finir, ayant parler ici de deux sujets assez lourds, si vous avez besoin de parler, de vous confier sur vos émotions ou une expérience, sachez que je suis totalement disponible pour vous écoutez en cas de besoin. Pour ceux qui veulent, venez m'écrire en privé et ça me fera très plaisirs de vous écouter et de vous conseiller du mieux que je peux.
Sur ce, je vous embrasse tous,
Gros bisous,
Fairy-Gruvia xxx
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