Chapitre 7
Carmen
Lorsque je me suis éveiller, j'étais dans mon lit. Est ce que tous ceci n'a été qu'un rêve ? Est ce que Yao n'a été que le fruit de mon imagination ?
Toutes mes craintes furent dissiper par l'horrible mal de crane que j'avais. Mais si tous ceci étais bel et bien réel, qu'ait-il arriver à Yao, à Anna et à Diego ?
Je fut interrompu par ma mère qui venait de rentrer dans la pièce et en me voyant réveiller, se jeta sur moi et me dit en pleurant:
-Carmen, ma chérie, tu m'a tellement fait peur ! J'ai cru que je ne te reverrais plus jamais et lorsque j'ai su que tu étais blessé j'ai eu peur que ta plaie est pu s'infecter.
-Ou est Diego mère ?
Son visage s'assombrit aussitôt quand le nom de mon frère fut mentionner.
-Diego a été kidnappé par les Mullery, et avant que tu ne me poses une question, j'en est plein pour toi. Mais que faisais tu dehors en pleine nuit avec Diego ?
-On ne faisait que se promener dans la ville. dis je. Puisque j'ai des parents assez tyranniques pour m'enfermer dans cette maison. murmurais je
-Jeune fille, je t'interdis de parler de tes parents de la sorte. dit-elle
-Mais vous m'interdisait tous ici !! Carmen je t'interdis de sortir de la maison. Carmen ne fais pas ici, ne fais pas ça. J'en ai marre. Aïe !! dis je avant de retomber sur mon lit
-Carmen ma chérie, c'est comme ça la vie. dit ma mère d'une voix douce en me caressent les cheveux. Les femmes doivent obéir à un certains nombres de règles pour pouvoir faire un bon mariage.
-Mais pourquoi ?
-Car c'est la vie ma chérie.
-Alors je préférerait finir vielle fille que devoir obéir à ses règles stupides.
-Carmen ne dis plus jamais ça. dit-elle en reprennent sa voix sévère. Finir vielle fille est l'une des choses les plus horribles qui peut arriver à une femme.
-Mais mère......
Mais avant que j'eus le temps de finir ma phrase, père surgit dans la pièce.
-Comment va ma fille chérie ? me demanda mon père en s'agenouillant près de moi d'une voix mielleuse
Je lui jeta un regard assassin et lui dit:
-Pourquoi les a tu enfermer alors qu'ils m'ont sauver la vie.
-Mais se sont des marroneurs Carmen. Si je laisse passer ça, je n'aurais plus d'autorité sur le reste de mes employés
-Mais impossible de faire l'exception sur ceux qui ont sauver un de tes enfants. dis je en le regardant dans les yeux
Il soutint mon regard avant de détourner les yeux et de dire:
-Pourquoi ne peux tu pas être simplement une fille normale et t'intéresser aux jolis choses, aux robes et à la mode ? Pourquoi fais-tu tous ça ? Réfléchir est fait pour les hommes et les garçons et non pour les filles. En plus de cela, personne n'ignore que vous les femmes, le sexe faibles, êtes moins intelligente que nous.
-Celle la c'est la meilleur. Je ne m'intéresse point à la mode et aux jolies choses car moi je sais très bien se qui ce passe dans ce monde si cruel et si injuste enfers nous les femmes. J'espère que dans quelque années ce monde si inégalitaire envers les femmes changera et nous permettra de nous épanouir librement. dis je avant de me tourner pour pouvoir dissimuler mon regard remplie de larmes de rage.
Anna
-Regarde maman, regarde à quoi ça nous a mener de venir en aide à cette fille. Elle n'apporte que des malheurs avec elle.
-Ne dis pas ça ma chérie. dis je
Mais je savais que c'était en partie à cause de Carmen que nous étions en prison avec Yao. Pas entièrement mais si je n'avait pas accepter de la recueillir chez moi, nous ne serions pas là. Cependant je ne pouvais pas la laisser blesser,dehors, elle qui avait illuminer la vie de ma petite Doueida.
Soudain nous entendîmes quelqu'un ouvrit la porte principale de la prison et que fut notre surprise lorsque nous vîmes notre ancien maitre. Notre étonnement était justifier par le fait que nous pensions qu'il ne se donnerait jamais la peine de descendre jusqu'ici pour voir des marronneurs comme nous. Il vint vers nous et nous dis:
-Vous savez très bien que l'on coupe un bras ou une jambe au personne comme vous. dit-il d'un temps. Mais comme vous avez sauver ma fille, mon enfant donc je vais vous proposer quelque chose. Si vous reprenait le travail normalement sans rien évoquer de se qui s'est passer.
-Nous acceptons. dit ma fille sans hésitation.
-Donc vous reprenais le travail au champs demain. dit-il avant de s'éloigner
Mais il se retourna et nous dit:
-Ah et vous devais votre salut à ma fille car si elle n'avait pas intervenu vous serez tous morts.
-Alors Carmen nous à aider ? Mais pourquoi ? dit ma fille lorsque l'homme fut assez loin
-Car c'est une bonne personne. Et c'est ce que je m'acharne à te dire pendant tous ce temps.
Face à mes paroles, Olivia n'osa pas prononcer un mot car elle savait très bien que j'avais raison et que cette fille ne nous voulais pas de mal. On peut le voir à sa façon de rire, de parler et s'attacher à toi, ça ne peut pas être de l'hypocrisie, cette pureté.
Carmen
Lorsque ma mère ferma la porte de ma chambre avant d'en sortir pour me laisser me reposer, je me leva difficilement de mon lit et me dirigea vers mon armoire. Là-bas, je pris l'un de mes plus grands sacs de voyages et y engouffra plusieurs couvertures et des vêtements chauds sans trop extravagances. Cette idée me vint si clairement que ne cessait de me demander comment n'y ai-je pas pensé plus tôt ?
Lorsque je fus prête, mes sacs sous mes bras et les vertiges surmonter, j'ouvris la porte pour sortir de cette prison doré que me retenait depuis trop longtemps. Mais quand je la franchie, je tombais nez à nez avec un des domestiques de mon père. Il me regarda avec stupéfaction et dit:
-Que fait mademoiselle hors de sa chambre avec ses sacs ?
-J'allais au balcon. dit avec hâte. J'en avais marre de rester dans ma chambre toute la journée et ce qui je fais ne vous regarde pas.
-Bien mademoiselle. dit-il en s'en allant et en me faisant une petite révérence
Je n'aimais pas me comporter comme ceci avec nos domestiques, surtouts ceux que je connais depuis ma plus tendre enfance, mais à ce moment là je n'avais qu'un objectif et il fallait que je le remplisse coûte que coûte: sauver mes amis.
Malgré les vertiges qui planais au dessus de ma tête, je me vit violence et allais vers le "donjon" où mon père envoyait parfois les esclaves désobéissant. Je descendis les marches mes j'avais oublier une chose très importante et que ne me frappa que lorsqu'il ne me restait plus que quelque marche à descendre es gardes qui surveillait cet endroits.
Qualifier les personnes qui gardaient ce donjon de gardes étaient un peu exagérer, mais ils avaient en leurs possessions des armes et s'il me voyaient, ils n'allaient pas tarder à prévenir mon père ce qui fera échouer mon plan. Alors je pris mon courage à deux main et ouvris la porte avec toutes les précautions du monde et risqua un coup d'œil vers les fameux "gardes". Je n'osai pousser un soupir que lorsque je les vit affaler sur leurs chaises, au fin fond du pays des rêves.
J'entrepris d'ouvrir la porte avec la plus grande délicatesse et le moins de bruits possible. Par je ne sais quel miracle, ma présence ne fut pas détecter par les gardes et je réussi même à leur prendre leurs trousseaux de clés.
Avant aujourd'hui je n'avais jamais visiter cette partie de la maison et je fus surprise par l'immensité de cet endroit qui ne servait presque jamais et dont à peut près tous les emplacements étaient vides.
Je ne précipitai vers le couloir pour essayer de retrouver mes amis en espèrent qu'ils sont saint et sauf. Et elle faillit s'évanouir de soulagement lorsqu'elle entendit Yao lui dire:
-Carmen ???
Je me précipita vers la minuscule cage qui les retient prisonnier depuis trop longtemps à mes yeux. Mais ma main fut intercepter par Yao qui me dit droit dans les yeux:
-Est ce que ça va ? Mais qu'est ce que tu fais ? Tu risques de gros ennuis si l'on te prouve. Et les gardes ? T'y a penser ?
-Je vais vous sortie de là, c'est la moindre de chose après ce que vous avez fait pour moi. dis-je en me dégageant et en essayant d'ouvrir cette foutue serrure.
Je réussi enfin à trouver la bonne clé et à déverrouiller cette foutue barrière après avoir du user des dernières forces que j'avais.
Lorsque la porte s'ouvrit, Yao et Anna ce précipitèrent vers moi pour me serrer dans leurs bras et je m'abandonnait complètement à ceci tellement la fatigue m'écrasait de son énorme poids accentuer par la perte des dernières forces que mon corps avait emmagasiner.
Je me sentit partir et petit à petit mes yeux voulurent se fermer mais je luttais tant bien que mal à les laisser ouvert pour ne pas affoler mes amis qui venait de passer plus de deux jours enfermer dans ce donjon dont l'humidité était maitresse des lieux.
Après notre longue accolade, mes deux amis ne cessaient de me poser des questions sur ma santé et de me sermonner sur la gravité de mon acte et des conséquences que cela pourrait avoir auxquels j'essayais de répondre le plus possible. Mais mon attention était reposé sur Olivia qui n'avait prononcer aucun traitre mot depuis ma venu et qui me regardait d'un œil mauvais avant de me dire d'une voix glaçante:
-Au tu nous a "sauver". Merci a toi cher "amie". Mais nos chemins s'arrête ici car je ne veux pas être encore mêlé dans tes histoires. dit-elle en s'en allant, avant que sa mère ne puis dire quoi que ce soit
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