Chapitre 6
-Halte là madame. Qui êtes vous ? dit un garde. Et que faites vous ici ?
-Je...je... je vis ici.
-Donc vous avez maronner ? Les gars, j'ai trouver une maronneuse.
Quelque heures plus tôt
Stella
J'avais la boule au ventre. Oh mon dieu, faite qu'elle revient. Si Marcus l'apprend, elle n'échappera pas une fois de plus à sa sanction. Pourquoi est-elle aussi impulsive et est une tête de mule. Les jeunes filles de son âge ne devrais pas gambader dans les rues ou nul part ailleurs. Ceci est la spécialité des garçons et non des filles. Une fille se dois de rester droite, juste, charmante, élégante et surtout docile et ne doit jamais contrarier un homme. J'ai beau le répéter à Carmen, elle fait tous le contraire.
Lorsque j'arrivais dans le petit salon, je trouvais mon mari assis sur son fauteuil, la tête entre les mains et une lettre dans l'une d'elle. Par politesse, je lui demande:
-Que ce passe-t-il chéri ?
-Diego a été kidnapper par les Mullery. répondit-il
-Quoi ? Mais qu'est ce que tu racontes ?
-Regarde par toi même. dit mon mari en me tendant la lettre
Cher Marcus,
Je crois savoir que ton fils n'est plus dans son lit. Mais ne t'inquiète pas, il est bien au chaud chez nous dans une pièce sombre attacher à une chaise. En vérité, tu devrais t'inquiéter. Bon je n'irais pas par quatre chemins, soit tu nous donne la main de ta fille, soit ton unique fils meure. Tu as 3 jours au plus tard pour répondre à ma proposition.
Mullery
-Et qu'allons nous faire ? demandais-je
-Je vais lancer des recherche au alentours et si ceci n'aboutis à rien, j'accepterais sa proposition car je ne peux pas risquer de perdre mon héritier.
-Mais....
-Il n'y a pas de mais Stella. Faut-il que je te rappelle qui est l'homme de cette maison
-Non. murmurais-je
-Bien. dit-il en se levant, signe que la conversation était fini.
Yao
Lorsque je revenais du jardin, je me mit près de Carmen. Elle était si belle. Yao, il faut que tu l'oublie. D'est qu'elle va mieux je la reconduit chez elle et l'histoire est fini. Mais quand même... Imagine deux secondes si vous étiez de la même couleur de peau....
Alors que j'étais assis près d'elle, j'entendis des bruits venant de dehors. Puis j'entendis la voix d'Anna. Alors je partie à sa rencontre et la trouva cerner par plusieurs soldas donc deux lui tenais les bras à les découper.
-Yao !! Vas-t-en et emmènes les avec toi !!
-Donc ils y en a d'autres ? dit une voix que je ne connais que trop bien
Carmen
A ma tête !!
Je venais d'ouvrir les yeux après avoir entendus quelqu'un ce précipiter vers la porte d'entrer. Je voyais tous floue pendant quelque minutes avant que tous devint clair. Je vrai question est où suis je ? Et ou est passer Yao ? Et Diego?
Lorsque j'essayais de lever ma tête, j'étais prise de vertige. Puis j'entendis des voix que je connaissais mais je ne distinguais pas ce qu'ils disent. Yao... Anna... et mon père ?!
Sachant que tous ceci n'étais pas cohérent, je me forçais à me lever et à me diriger à mon tour vers la sortie malgré mes vertiges.
Lors de ma traversé, j'ai failli tomber trois fois mais les trois fois je me rattrapais de justesse. Quand je suis arriver dans le jardin, une dizaine de paires de yeux se sont tourner vers moi.
-Carmen ? dirent Yao, Anna et mon père en même temps.
Même si il me fallut plusieurs secondes pour comprendre se qui ce passait, j'ai compris que mon père et ses soldas étaient entrain d'arrêter Yao et Anna.
-Mais qu'es que tu fais ici ? dit mon père
-Papa.... relâche les s'il te plait. dis je en m'appuyant son un arbre
-Pourquoi tu es toutes chancelantes ? Qu'est ce que vous avais fais à ma fille ? dit-il en attrapant Anna par le col.
-Ils veulent m'ai....m'aider . dis je
-Ma chérie, qu'est... dit-il en s'approchant de moi
Mais je lui dit de s'arrêter.
-Ne t'approche pas de moi tant que tu ne les auras pas relâcher.
Ils fit un signe à ses hommes de relâcher mes amis et je m'écroulais dans ses bras, à bout de force. Je revenais dans les bras du père aimant que j'avais avant. Mais ces dernières années me revirent tous à coup et je commençais à me débattre mais sans succès
-Shuut ma chérie, nous allons rentrer à la maison. Vous, emmenez les. dit-il pour ses gardes
Diego
Cela fait plus d'une journée que je suis enfermer dans ce vieux local infester de termites et je ne sais pas comment m'en sortir.
Si mes parent veulent que je m'en sorte vivant (ce qui n'arrivera pas dans les deux cas ), ils doivent donner la main de ma sœur. Mais si ils veulent garder Carmen, je devrais en payer de ma vie ( ce qui arrivera dans dans les deux cas). Donc il faut que j'en m'en sorte tous seul.
Puis la porte ouvris tous à cout en laissant entrer quelqu'un muni d'un plateau.
-Angela, qu'est ce que tu fais ici ? ai-je dis
-Je....je n'ai pas le droit de te parler.
Angela est l'ancienne petite amie de Juan. J'étais amis avec elle quand nous étions plus jeunes mais je ne lui est plus parler depuis qu'elle sortait avec Juan.
-Angela dis moi tous je t'en supplie, redevenons comme avant. dis-je avant qu'elle n'éclate en sanglot
Je l'ai prise dans mes bras pour la réconforter du mieux que j'ai pu. Lorsqu'elle se calma enfin, elle me dit:
-Après que j'ai quitter Juan, sa famille a ruiner la mienne à coup de dette et de je ne sais quoi. J'ai étais contrer de travailler pour eux pour les rembourser. Mais toi qu'est ce que tu fais ici, attacher à cette chaise ?
-C'est une longue histoire, est ce que tu peux m'aider à m'échapper de cet endroit ?
-Je ne peux pas. Si on vieux à le découvrir, moi et ma famille nous risquerons gros. Désolé Diego, si cela ne dépendrait que de moi, je te sauverais mais je ne peux pas faire ça à ma famille.
-Je comprends mais est de que tu peux juste me trouver un crayon et du papier ?
-Tu veux prévenir quelqu'un ? dit-elle apeurée
-Je veux juste prévenir que ma sœur est dans la forêt, toute seule et blessée
-Carmen ? dit-elle
J'hochais la tête
-C'est d'accord. répondit-elle en quittant la pièce, me laissant seul dans cette pièce sombre et humide.
Bạn đang đọc truyện trên: Truyen247.Pro