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Chapitre 4

Carmen

Soudain j'entendis un bruit derrière les buissons.

Mon cœur battait la chamade. Même si mes facultés intellectuels étaient énormément réduites, je sentie la peur m'envahir et grandir en moi. J'avais peur que ce ne soit un animal sauvage qui ne ferait qu'une bouchée de moi.

-Mam'zelle ? C'est vous ?

A mon soulagement, je vis le jeune homme que j'avais percuter quelques minutes plus tôt. Pour moi c'était mon sauveur et que je n'allais pas mourir dévorer par des bêtes dangereuses.

-Salut toi. dis je d'une voix rêveuse.

Je crois qu'il remarqua la flaque de sang sous ma tête car il s'approcha de moi, souleva ma tête, écarta mes cheveux et vit ma grosse blessure au crâne, ce qui le poussa à dire:

-Mam'zelle......

-Ne m'appelle plus mademoiselle. dis-je. Appelle.... moi Carmen

-Mam....je veux dire Carmen, qu'est ce qui vous est arriver ?

-Je suis tomber part terre.

-Je vais vous amener chez une amie qui va vous soigner.

En liant la parole à l'acte, il la souleva sur son dos et commença à se diriger vers un endroit que je ne connaissait pas.

-Comment tu t'appelle ? demandais je. Tu veux bien me parler de toi ?

-Je m'appelle Yao. Je vivais à Quiloua avant d'être venu par ma famille qui avait besoin d'argent, il y a à peine 8 mois. Et toi parle moi.

-Moi ben il y a pas grand chose a dire sur moi. Je m'appelle Carmen, comme tu le sais. dis je en m'arrêtant pour retirer. Je vis ici depuis ma naissance. Je....C'est pas la maison de ton amie là bas ?

-Oui c'est elle. Tu peux encore tenir un peu de temps ?

Sérieusement, non. Je sens que j'allais mourir. Je peinais à parler avec Yao mais comme je ne voulais pas inquiéter le chevalier servant qui m'a sorti de cet endroit ou j'allais passer le reste de ma vie, ca veut dire que minutes, je me contentais de hocher la tête en signe d'approbation.

J'ai l'impression d'avoir oublier quelque chose mais je ne sais pas quoi. Attendez...... DIEGO !!!

J'avais complètement qu'il était parti chercher des secours chez nous et quand il reviendra, je ne serait plus là. Il fallait que je le dise à Yao que qu'on dois retourner sur nos pas pour ne pas les rater. Mais comme j'étais trop faible pour dire quoi que ce soit. Donc j'essayer de me débattre pour lui faire comprendre ce que je voulais dire mais tous a coup mes forces m'abandonnèrent et tous devint petit à petit noir autour de moi.

Diego

Où-suis je ? Tel est la question.

J'ai l'impression d'avoir dormi toute ma vie.

J'étais ligoter à chaise, j'avais les yeux et la bouche attacher et j'avais l'impression de ne plus pouvoir respirer. Mais qui à bien pu me faire ça ? A ma connaissance, je n'avais pas d'ennemi et je ne dois rien à personne.

Puis soudant j'entendis des bruits de pas se rapprocher de la pièce ou j'étais séquestré et la porte de mon donjon s'ouvrir tous à coup.

A en juger le bruit de pas, ils sont deux. Puis j'entendis l'un deux dire:

-Regarde ce que j'ai pêcher.

-Ne me dis pas que.... dit le propriétaire de la deuxième voix

-Le fils de Marcus en chair et en os. N'est ce pas mon petit gars, tu es bien le fils de Marcus ? dit-il en m'enlever le bandeau sur ma bouche

-Pourquoi je dirais ça. dis je

-Ca me va comme réponse. dit-il en me remettant le bandeau.

Puis je les entendis se diriger vers la sortie en chuchotant.

Privé de ma vue, j'essayais d'estimer l'endroit où j'étais prisonnier. En se basant sur l'écot de la salle lorsque mes ravisseurs parlaient, la salle est vaste et j'ai aussi pris l'initiative de compter les pas qu'on fait les deux individus, 68. Ce qui confirmer ma première hypothèse.

Je ne savais pas qu'est ce que ses informations mais j'ai le pressentiment qu'elles vont m'être utile.

Yao

Lorsque je sentis que Carmen s'étaient évanoui, j'entrepris de la porter en princesse. Elle est tellement belle.

Mais que racontais je ? Je ne dois plus jamais penser à ça. Nous ne sommes pas du même rang social. Nous ne sommes même pas de la même couleur de peau. Mais je sens des papillons dans le ventre à chaque fois que je la voie. Elle si belle, si douce et à une franchise hors du commun.

Je voyais de là la maison d'Anna. S'étaie une petite maison de briques tous à fait charmante. Anna y a emménager après le Drame qui la frapper il y a quelque temps après s'être enfuie avec sa petite fille. Je connais Anna car c'est ma marraine et une veille amie à ma mère.

Lorsque je toquais à la porte, Anna m'ouvrit très grand quand je lui dis que s'étaie moi. Mais quand elle vis Carmen dans mes bras, elle ferma aussi tôt la porte et elle m'aurait claquer la porte si je ne l'est pas arrêter avec mon pied pour la stopper

-Anna, s'il te plait, elle est blesser.

-Mais quand nous ont, ils ne n'aidaient pas Yao

-Mais elle est gravement blessé.

Lorsqu'elle vit Carmen, elle dit:

-C....Carmen ? C'est elle ? C'est bien elle ?

-Comment tu connais son prénom ? demandais-je

-Je te le dirait plus tard fait là rentrer.

Et elle joignis le geste à la parole en nous ouvrons grand la porte.


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